" Le gîte du moulin de la Boulaye, " ... un autre poème de Pierre sur ce moulin !
C’est une invite à la découverte !
Nota : C'est le 3ème poème que j'écris sur ce gîte et ... il y en aura un 4ème !
Préambule :
.
Avec plaisir et conviction
j’ai mis en forme ce poème
pour la seule satisfaction
de décrire un endroit que j’aime !
S’il vous vient après l’avoir lu
le grand désir de le connaître
j’aurais alors atteint mon but
et ressentirais du bien être !
Le gîte du moulin de la Boulaye,
L’étang du haut, l’étang du bas
et juste au pied de la chaussée
une construction adossée
bien à l’abri du brouhaha.
Le seul bruit que l’on y entend
est celui de l’eau en cascade
qui part en longue promenade
dans le ruisseau tout en chantant.
Il y a aussi les oiseaux
qui de temps en temps s’interpellent
et les grenouilles qui rappellent
que nous sommes au bord de l’eau.
Mais n’oublions pas les poissons
toujours en grand conciliabule
mais là on ne voit que des bulles :
où est passée la bande son ?
Je ne vous étonnerais pas
en vous apprenant que ce gîte,
tout à fait intégré au site
était un moulin autrefois !
Moulin à eau bien entendu
dont la roue, antique turbine,
faisait tourner pour la farine
un mécanisme entretenu.
Si le temps l’a mis bien à mal
il en reste quelques vestiges
qui rappellent que le prestige
des meuniers était maximal.
Rénové avec goût et art,
sous le soleil ou sous le givre
il est agréable d’y vivre
loin du bruit des grands boulevards !
Aux alentours bois et chemins
sont des invites aux balades
où l’on passe dans des bourgades
perdues au milieu des jardins.
On peut et ce n’est pas banal
observer dans un pâturage
des lamas libres et très sages
au comportement amical !
Situé dans le Morbihan,
presqu’au centre de la Bretagne
au beau milieu de la campagne
ce gîte est vraiment attachant.
.
Sur la commune de Pluméliau,
peu peuplée mais très étendue
on croise tracteurs et charrues
mais très rarement le métro !
Quant à ce qui est de l’accueil
il est fait avec le sourire,
on ne peut vraiment qu’y souscrire
à peine a-t-on franchi le seuil !
Un bouquet, du cidre et du far
sont les cadeaux de bienvenue,
un petit plus qui contribue
à des conversations sans fard !
Si vous voulez vous ressourcer,
n’hésitez pas venez y vite,
c’est un appel, c’est une invite
… vous ne pourrez que me louer !
Pierre DUPUIS
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 2ème image:ce n'est pas beaucoup, mais un " - - - " c'est un " - - - " ! Dernière image : il faut prendre l'action !
2ème ligne, Dernière image : le serpent fait " s " ... l'autre aussi !
3ème ligne, 2ème image: il ne faut pas prendre la brosse !
5ème ligne, 2ème image : le marin monte en haut du " - - - " ... comme Alexandre ! 4ème image : ça " - - - " !
Dernière ligne, 2ème image : quand il pique ça fait mal ! 3ème image : endroit où l'on entrepose des fûts !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Je soupçonne un service secret israélien de manipuler le temps chez nous !
Le service secret israélien étant … le Mossad … comme le temps chez nous en ce moment !
Qu'il dit l'animal !
Jean Ferrat : " La fête aux copains " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
La fête aux copains
C'est la fête à Pantin
C'est la fête à Paname
C'est la fête aux Lilas
La fête ici et là
C'est la fête à mon âme
Il y a du défilé
Du bal dans les quartiers
Des moufflets que l'on gronde
C'est la fête aux barbus
C'est la fête aux cocus
C'est la fête à tout le monde
Quatorze, c'est fou c'que t'es triste
Quand sur un édifice
T'es suivi de dix-huit
Quatorze, c'est fou c'que t'es gai
Quand au calendrier
T'es suivi de Juillet
C'est la fête aux copains
C'est la fête aux trottins
Qui suivent la musique
C'est la fête aux marins
Qui montrent dans un coin
Comme on danse en Afrique
C'est la fête à Taupin
Le vieux Républicain
Qui règle les sous-tasses
C'est la fête aux tambours
C'est la fête à l'amour
Où tout le monde s'embrasse
Allez, allez, allez, viens...
C'est la fête à Meudon
C'est la fête aux lampions
C'est la fête aux étoiles
C'est la fête en plein air
Il y a d'la joie dans l'air
Et du vent dans les voiles
C'est la fête à la rue
Où tous ces inconnus
Vont ranimer leur flamme
C'est la fête où l'on rit
En voyant que Paris
Sera toujours Paname
Allez, allez, allez, viens...
C'est la fête à nous deux
Si tu me pousses un peu
Je t'ai dit Je t'adore
Quand tu m'as répondu
Ma parole t'as foutu
Mon cur en tricolore
Et c'est la fête à toi
Et c'est la fête à moi
C'est la fête aux bêtises
Dans une rue perdue
Quand je te dis " veux-tu ? "
Je vois tes yeux qui disent...
Ah, ça ira, ça ira, ça ira...
Ah, ça ira, ça ira, ça ira...
Ah, ça ira, ça ira, ça ira...
Bon partage !
Rotpier
Mirabelle ? ... Allez, croquez encore un peu dedans ! Le poème du jour : "Mirabelle" de ... Pierre !
Allez, cueillez et ... croquez !
Image du net
Mirabelle,
Elle s’appelait Olivia,
Mais nous l’appelions Mirabelle,
On ne savait pas trop pourquoi
Mais bon dieu comme elle était belle !
Peut-être à cause de sa peau
Aussi brillante que la prune,
Au goût sucré qui donnait chaud :
Blonde de la tête à la lune !
Nous nous faisions Pierrots gourmands
Pour croquer cette colombine
Qui ne comptait plus ses amants,
Nous connaissions tous la combine !
Au grand tourniquet de l’amour,
Elle ne faisait pas fortune,
Pour allez faire un petit tour,
C’était gratis : pas une tune !
Mais elle seule choisissait
Et savait se montrer teigneuse
Eloignant ceux qui insistaient
D’un coup de pied dans les valseuses !
Elle s’appelait Olivia,
Mais nous l’appelions Mirabelle,
Elle était notre alléluia :
Pas très madone la rebelle !
Pierre DUPUIS
Ris ma belle en croquant la mirabelle !
" Simple réflexion " : un petit sonnet raisonné de ... Pierre
Image du net
Simple réflexion,
Passer son temps à réfléchir
est une occupation louable
mais il faut c’est indispensable
de temps en temps s’en affranchir.
Le cerveau doit se rafraichir,
il a besoin c’est indéniable,
impératif, indispensable,
de s’aérer pour repartir.
Il lui faut des moments de pause,
c’est pour cela que je propose
des temps de repos intégral.
Revenons au statut de singe,
au minimum cérébral :
soyons pour la paix des méninges !
Pierre DUPUIS
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
.
Et pis c’est tout !
Le Rotpier
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
C’est une pensée du Rotpier !
1ère ligne, 1ère image: quand elle est petite, la bête est lente ! 3ème image : figure aux échecs !
3ème ligne, 3ème image: ils sont à poil ! 4ème image : " - -- " est ce personnage ?
4ème ligne, 2ème image : le serpent fait "s" !
Dernière ligne, 3ème image : à tout faire !
Même pas peur !
Réponse :
Pour foutre les boules à un eunuque il faut se lever de bonne heure !
Qu'il dit l'animal !
"Le coup de soleil" de Richard Cocciante ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Allez, un petit coup de soleil !
Mais avec modération quand même:
gare à votre peau !
Un coup d'amour, un coup d'je t'aime
J'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle
Si c'est un rêve, t'es super belle
J'dors plus la nuit, j'fais des voyages
Sur des bateaux qui font naufrages
J'te vois toute nue sur du satin
Et j'en dors plus, viens m'voir demain
Mais tu n'es pas là, et si je rêve tant pis
Quand tu t'en vas j'dors plus la nuit
Mais tu n'es pas là, et tu sais, j'ai envie d'aller là-bas
Le fenêtre en face et d'visiter ton paradis.
J'mets tes photos dans mes chansons
Et des voiliers dans ma maison
J'voulais m'tirer, mais j'me tire plus
J'vis à l'envers, j'aime plus ma rue,
J'avais cent ans, j'me r'connais plus
J'aime plus les gens depuis qu'j't'ai vue
J'veux plus rêver, j'voudrais qu'tu viennes
Me faire voler, me faire je t'aime.
Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide
J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide
J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine
J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel
Je m'jette à l'eau des pluies d'été
J'fais du bateau dans mon quartier
Il fait très beau, on peut ramer
La mer est calme, on peut s'tirer
Le futur restau de Sarko : l'actualité vue par le rotpier

Sarko va se recycler … en restaurateur !