Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Ne peut-on pas qualifier les querelles entre journaux de gauche et de droite de conflits de canards ? Que l’on soit du sud-ouest ou pas !
Qu'il dit l'animal !
Festival de cannes : ... les musiques que j’aime … de Rotpier
« Can Can »
Dans le cadre du festival de Cannes …
Bon partage !
Rotpier
Festival de Cannes, le poème du jour: "Festival de cannes à Cannes," ... de ... Rotpier !
On y va ?
Je recroisette les doigts !
Aurais-je une palme ?
Image du net
Festival de cannes à Cannes,
g
Sur le grand tapis rouge
une longue ascension
et des fesses qui bougent :
fais gaffe à ta tension !
b
Corps sculptés à la gouge
des totems ! … Attention !
Des milliers de peaux-rouges
sont en adoration !
b
Robes longues ou courtes :
on devine ou l’on voit !
Ça prolonge ou écourte
b
… ça s’écarte parfois !
Gambettes en arcanes :
vrai festival de cannes !
v
Image du netMixité de couple: ça dérange ! Le poème du jour: "Trait d'union" de ... Pierre
Je doute fort que ces quelques rimes fassent bouger les lignes car l’étroitesse d’esprit des personnes racistes confine à l’infini.
Mais qu’importe, nous sommes dans des temps où il est important de le marteler et de le remarteler sans relâche.
Pierre Dupuis
Image du net modifiée par mes soins
Trait d’union,
Ils avançaient en bavardant. Quand je dis « ils »,
il n’y avait qu’un « il » et … deux superbes « elles » !
Le « il » couleur café, bien tassé, du brésil !
Les « elles » : l’une blanche et l’autre cannelle !
Ils allaient de l’avant, main dans la main.
Papa, enfant, maman : une jolie palette
avec en son milieu le résultat certain
du mélange grand teint de peau de la fillette.
Papa couleur café,
maman au teint de lait,
un subtile mélange :
tant pis si ça dérange !
Un résultat parfait
couleur café au lait !
Le petit bout de chou était le trait d’union
entre deux êtres qui, en toute connaissance,
n’avaient pas hésité à vivre leur passion
sans se préoccuper des vieilles convenances !
Je me pris vite au jeu d’observer les regards
des gens qui les croissaient : édifiante expérience !
Des coups d’œil assez noirs, d’autres plutôt bâtards,
peu de salutations et beaucoup de défiance !
Mélange de pigments
dérange bien des gens
qui deviendraient acerbes
et perdraient leur superbe
s’ils croisaient en chemin
… leurs ancêtres lointains !
Car même si cela remonte à très longtemps
nos ancêtres éloignés étaient de bien des races :
nous sommes tous issus de divers croisements
n’en déplaise à tous ceux que ce fait embarrasse !
On peut bien s’affubler du terme « vrai gaulois »
comme d’autres rêvaient d’être de race aryenne,
on peut tout mépriser et se sentir les rois :
c’est méconnaître ou nier toute l’histoire ancienne !
Certains l’ont bien compris qui surfent là-dessus,
c’est leur produit d’appel, c’est leur fond de commerce !
Les gens ont oublié qu’un petit moustachu
a autrefois joué cette carte perverse !
Mélange de pigments
dérange bien des gens
qui deviendraient acerbes
et perdraient leur superbe
s’ils croisaient en chemin
… leurs descendants lointains !
Pierre Dupuis
Je doute fort que ces quelques rimes fassent bouger les lignes car l’étroitesse d’esprit des personnes racistes confine à l’infini.
Mais qu’importe, nous sommes dans des temps où il est important de le marteler et de le remarteler sans relâche.
Pierre Dupuis
Image du net modifiée par mes soins
Trait d’union,
Ils avançaient en bavardant. Quand je dis « ils »,
il n’y avait qu’un « il » et … deux superbes « elles » !
Le « il » couleur café, bien tassé, du brésil !
Les « elles » : l’une blanche et l’autre cannelle !
Ils allaient de l’avant, main dans la main.
Papa, enfant, maman : une jolie palette
avec en son milieu le résultat certain
du mélange grand teint de peau de la fillette.
Papa couleur café,
maman au teint de lait,
un subtile mélange :
tant pis si ça dérange !
Un résultat parfait
couleur café au lait !
Le petit bout de chou était le trait d’union
entre deux êtres qui, en toute connaissance,
n’avaient pas hésité à vivre leur passion
sans se préoccuper des vieilles convenances !
Je me pris vite au jeu d’observer les regards
des gens qui les croissaient : édifiante expérience !
Des coups d’œil assez noirs, d’autres plutôt bâtards,
peu de salutations et beaucoup de défiance !
Mélange de pigments
dérange bien des gens
qui deviendraient acerbes
et perdraient leur superbe
s’ils croisaient en chemin
… leurs ancêtres lointains !
Car même si cela remonte à très longtemps
nos ancêtres éloignés étaient de bien des races :
nous sommes tous issus de divers croisements
n’en déplaise à tous ceux que ce fait embarrasse !
On peut bien s’affubler du terme « vrai gaulois »
comme d’autres rêvaient d’être de race aryenne,
on peut tout mépriser et se sentir les rois :
c’est méconnaître ou nier toute l’histoire ancienne !
Certains l’ont bien compris qui surfent là-dessus,
c’est leur produit d’appel, c’est leur fond de commerce !
Les gens ont oublié qu’un petit moustachu
a autrefois joué cette carte perverse !
Mélange de pigments
dérange bien des gens
qui deviendraient acerbes
et perdraient leur superbe
s’ils croisaient en chemin
… leurs descendants lointains !
Pierre Dupuis
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Donner l’asile à des personnes qui y ont droit c’est bien mais après que fait-on des fous ?
Ce court séjour a été excellent ! Il faisait très beau à Paris ce matin et, coup de chance, le périphérique n’était pas trop bloqué. Le stade de France est toujours à la même place !
Qu'il dit l'animal !
Nicoletta : "Il est mort le soleil" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Nicoletta »
« II est mort le soleil »
J’espère que non, même si je suis
un peu fâché avec !
Il est mort,
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Mais je suis la seule à porter le deuil
Et le jour ne franchit plus mon seuil.
Hier, on dormait sur le sable chaud
Hier pour nous il faisait beau
Il faisait beau même en hiver
C'était hier
Il est mort,
Il est mort, le soleil
L'ombre est sur ma vie,
Dans mon cœur, la pluie
Et mon âme s'habille de gris.
Hier, la couleur que j'aimais le mieux
C'était la couleur de tes yeux
C'était la couleur de la mer
C'était hier.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil,
Il est mort, le soleil.
Bon partage !
Rotpier
Confessez-vous et allez en paix, même avec les pires péchés sur la conscience ! Le poème du jour : "Confession peu banale d’un vieux … confessionnal ! " de ... Pierre !
Vous avez tué, torturé, violé,
volé, mais vous vous êtes confessés :
allez-en paix mes frères,
vous êtes ... pardonnés !
Et, si vous l'avez fait au nom de votre dieu,
vous serez sanctifiés !
Sur une superbe photo de Marie Lecorre :
Confession peu banale
d’un vieux … confessionnal !
Si je suis tout en bois,
je ne suis pas de bois !
Je vous dirais ma foi
que j’ai perdu la foi !
Abritant en confesses
de drôles de bougresses
oscillant en souplesse
entre messes et fesses :
J’ai fini - je le dis ! -
par être très instruit
sur les grands interdits
touchant au bigoudi !
Ah ! j’en ai vu passer
quelques uns de curés !
Célibat enduré
ou bien lit partagé !
Dame de compagnie,
simple bonne ou amie ?
carrément bonne amie,
dans le lit endormie !
Presbytère occupé
par rejetons d’abbé :
pas généralité
… pas non plus rareté !
Des bouffeuses d’hosties
hantant les sacristies,
oeillades garanties
pour de fines parties !
« Mon mari est absent
pour un travail pressant :
le lit est bien trop grand
et je m’ennuie dedans ! »
Et voilà - rebelote ! -
l’ aquicheus’ de calotte
mini jup’ ras de motte
avec ou sans culotte !
Mais les péchés de cœur
sont pour moi des liqueurs
quand j’entends les horreurs
de certains dits - d’honneur ! -
Le cul a ses faiblesses
et quand les mains caressent
d’un peu trop près les tresses
ça glisse vite aux fesses !
De tout ça j’en rigole :
ce n’est que gaudriole !
Ce qui vraiment m’affole
c’est les types qui violent !
Venez tous les pécheurs !
Venez tous les tricheurs
Venez les débaucheurs
et aussi les violeurs !
Venez en ribambelle,
la repentance est belle !
Quelques soient les gamelles :
virginité nouvelle !
Venez tous les banquiers,
tous les grands financiers,
les plumeurs d’ouvriers :
vous serez pardonnés !
Venez les politiques,
c’est le coté pratique :
promesses mirifiques
et … pas d’autocritique !
Venez les malfaiteurs,
venez les dictateurs,
tous les exécuteurs,
les bourreaux, les tueurs !
Venez en ribambelle
la repentance est belle !
Deux sous dans la coupelle
et la vie éternelle !
Deux pater, trois avé
« merci Monsieur l’ curé,
ça va mieux vous savez
depuis qu’ j’ai plus d’ péchés !
Allez, à la prochaine,
ma croyance est certaine,
je viendrai en neuvaine :
c’est vraiment une aubaine ! »
Et moi tous ces aveux
me rendent cafardeux
et plus d’un jour sur deux
je me foutrais le feu !
Les flammes seraient belles,
terminé les chapelles,
les vieilles, les nouvelles
qui poussent en kyrielles !
Toutes les religions
accordent le pardon
sur simple invocation
et repentir bidon !
Halte à l’hypocrisie !
Halte aux fautes blanchies !
A bas les homélies
et autres conneries !
Je voudrais m’immoler
pour que le monde entier
arrête de prier
des dieux tous inventés !
Pour certains bien pratique
pour asseoir leurs boutiques
qu’elles soient politiques
ou des plus mercatiques !
Les sermons orientés,
les versets détournés,
les peuples abusés
par des prêcheurs roués !
Je n’en peux plus de vivre,
de tout ça j’en suis ivre
je veux qu’on me délivre :
je veux fermer le livre !
Le seul dieu : c’est la loi,
que l’on soit humble ou roi !
C’est à ce prix, je crois,
que reviendra ma foi
en … les hommes !
Pierre Dupuis
Déjà publié !
" Les raboteurs de parquet," : un poème de ... Pierre d'après le tableau de Gustave Caillebotte
Je vous propose aujourd’hui un poème écrit à partir du tableau de Gustave Caillebotte : « Les raboteurs de parquet »
Lien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Raboteurs_de_parquet
Image du net
Liminaire :
Et ça rabote et ça rabote
Sous l’œil expert de Caillebotte
Qui mémorise les détails
De ces compagnons de travail.
.
Les raboteurs de parquet,
A genoux couverts de sueur,
torses nus sur corps athlétiques,
longs bras aux muscles élastiques,
ils s’activent les raboteurs.
Outils tranchants comme rasoirs
manipulés de main de maître,
que ce soit du chêne ou du hêtre
le parquet geint sous les racloirs !
De brut et rugueux au départ
il devient de plus en plus lisse,
bientôt sur lui les outils glissent :
il devient plan comme billard !
Dans la pièce flotte une odeur,
un composé âcre et hybride
de sueur et de bois acide
ne gênant pas les travailleurs.
.
D’un naturel plutôt taiseux,
les conversations sont très rares,
leur besogne les accapare :
ils gardent leur souffle pour eux.
Du vin est à portée de main,
ils en partagent les bouteilles,
pas un nectar de bonne treille
mais du gros rouge à fort tanin !
La chaleur et les gros efforts
font que parfois ils en abusent,
la fin de journée est confuse :
le travail avance moins fort !
Le lendemain ils seront là
prêts à recommencer leur tâche
douze heures par jour, sans relâche,
pas loin d’un travail de forçat !
Les genoux le dos et les bras,
le soir, ne sont plus que brûlures,
ce n’est pas une sinécure
que ce travail la tête en bas.
Quand la tâche est menée à bien
et que l’on voit le parquet lisse,
on dit : « c’est un travail d’artiste
ces hommes sont des magiciens ! »
Ils repartiront autre part,
d’autres demeures les attendent,
on ne manque pas de commandes
quand on maîtrise à fond son art !
A jamais immortalisés
par le pinceau de Caillebotte
ils sont toujours là qui rabotent
le geste lent et maîtrisé.
Image du net
Liminaire :
Et ça rabote et ça rabote
Sous l’œil expert de Caillebotte
Qui mémorise les détails
De ces compagnons de travail.
Les raboteurs de parquet,
A genoux couverts de sueur,
torses nus sur corps athlétiques,
longs bras aux muscles élastiques,
ils s’activent les raboteurs.
Outils tranchants comme rasoirs
manipulés de main de maître,
que ce soit du chêne ou du hêtre
le parquet geint sous les racloirs !
De brut et rugueux au départ
il devient de plus en plus lisse,
bientôt sur lui les outils glissent :
il devient plan comme billard !
Dans la pièce flotte une odeur,
un composé âcre et hybride
de sueur et de bois acide
ne gênant pas les travailleurs.
.
D’un naturel plutôt taiseux,
les conversations sont très rares,
leur besogne les accapare :
ils gardent leur souffle pour eux.
Du vin est à portée de main
et ils partagent les bouteilles,
pas un nectar de bonne treille
mais un gros rouge à fort tanin !
La chaleur et les gros efforts
font que parfois ils en abusent,
la fin de journée est confuse :
le travail avance moins fort !
Le lendemain ils seront là
prêts à recommencer leur tâche
douze heures par jour et sans relâche
pas loin d’un travail de forçat !
Les genoux le dos et les bras,
le soir, ne sont plus que brûlures,
ce n’est pas une sinécure
que ce travail la tête en bas.
Quand la tâche est menée à bien
et que l’on voit le parquet lisse,
on dit : « c’est un travail d’artiste
ces hommes sont des magiciens ! »
Ils repartiront autre part,
d’autres demeures les attendent,
on ne manque pas de commandes
quand on maîtrise à fond son art !
A jamais immortalisés
par le pinceau de Caillebotte
ils sont toujours là qui rabotent
le geste lent et maîtrisé.
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Est-ce qu’une femme particulièrement adipeuse remue les oreilles et barrit fortement quand on lui ligature les trompes ?
C’était sauvage mais je vous avais prévenu !
Je vous mets un lien vers le blog de l’ami Durdan qui a donné la réponse à sa manière : http://durdan.eklablog.com/rebus-d-apres-rotpier-a117525278
Qu'il dit l'animal !