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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

poesie

" Ils voulaient être libres " : un poème de Pierre en hommage à ces vaillants combattants

12 Mars 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie




A ces jeunes, fiers et vaillants combattants, même si souvent, ils ont la tête près du bonnet même sans en avoir !

Fantassins de l’extrême, toujours en première ligne : hommage doit leur être rendu. Qu’ils soient sûrs de notre entière reconnaissance.

 
 
 
 
 
 
Image du net tripotée par le Rotpier
 
 
 

Ils voulaient être libres,

 

Ils avaient l’arrogance

des très jeunes guerriers,

l’esprit d’indépendance

des cueilleurs de lauriers.

 

Ils avaient la vaillance

de ces aventuriers

pour qui la résistance

est un fait coutumier.

 

Trépignant d’impatience

sous le tissu geôlier,

malmené en conscience

sous assauts obusiers.

 

Commando qui s’élance

sous regards affolés,

bondissants fers de lances

déjà aréolés.

 

Ils voulaient être libres

- libres ! -  vous comprenez !

Avant qu’une main vibre

pour les emprisonner.

 

Toujours en équilibre

sur le torse bombé,

ils voulaient être libres

avant que de tomber.

 
 

 

                       Pierre Dupuis

 
 
 
 

 

 

 

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" La Rafle " Pour le jour de la sortie du film ... le poème du jour : " Dernier aiguillage, " de ... Pierre

10 Mars 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie




 
 
Aujourd'hui sort le film : " La rafle " de Roselyne Bosch.
 
J'espère que ceux qui sont racistes le regarderont et en tireront les conclusions qui s'imposent.
Mais ... j'en doute fort: le racisme est une tare profonde.
 
 
 
 
 
 
  
Pour ma part, je vous propose un poème revu :
" Dernier aiguillage, " 
 
 
 
 
Image du net
 
 

Dernier aiguillage,

 

Un sourd bruit de bottes

…on frappe à la porte

« Que personne ne sorte ! »

Les enfants pleurent et tremblotent !

 

Plus tard…

en gare…

on verrouille les portes

puis on les numérote.

Les tampons s’entrechoquent

et les enfants suffoquent

sous l’âcre fumée que la locomotive crachote.

Trois jours d’enfer

puis … l’enfer !

 

On les pousse vers la porte

… pour entrer.

On ferme la porte,

on verrouille la porte

puis … rapidement, plus rien.

Plus de bruit.

Plus de corps qui tremblotent.

Plus de nuit.

Plus de bottes.

… Plus de vie.

Seulement les fumées chargées de suie

que les cheminées crachotent

jour et nuit.

 

Jamais Auschwitz ne s’endort

tout à fait. La lune luit,

ignorante… elle joue avec l’acier poli

des mitrailleuses lourdes des miradors.

Les chiens, toutes dents dehors,

s’activent le long des corridors

des barbelés sentant encore la mort.

 

Jamais Auschwitz ne s’endort

… tout à fait.

 

                                                    

                                               Pierre Dupuis

 
 
 
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Journée de la femme: les femmes à l'honneur par ... Pierre

8 Mars 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 
 
En cette journée de la femme, je lui rends hommage:
trois poèmes ... rien que ça !
 
Pierre
 
 
( Déjà publiés quand même ! )
 
 
 
 
 
Les trois images sont prises sur le net
 
 
 

Femme en soi,

 

Dieu créa la femme.

 Pour ne pas être en reste, le diable mit

dans sa prunelle une petite flamme.

 Le poète l'habilla de vers,

le couturier de soie.

 L 'homme la déshabilla

et l 'aima.

 Ainsi soie style.

 

 

                                   Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Celui-ci, c'est pour ma chérie !

 

 

Amour fou ,

 

A uprès de toi, toujours ma belle,

M on cœur est tendre ou bien fripon,

O sant ou pas la bagatelle,

U n rien de toi donnant le ton !

R ire complice : adieu dentelles !

 

 F rissons coquins tout à tâtons :

O ublions tout, sauf l’étincelle :

U n amour fou n’est que tison !

 

Le temps qui passe en gommant tout,

s’use en vain sur notre amour fou !

 

                                             Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

 

Femme,

 

Femme,

amalgame

d’esthétique et de charme.

 

Femme,

paradoxe

de rires et de larmes.

 

Femme,

aux yeux passant

de la douceur aux flammes.

 

Femme,

aux ongles

tranchant comme des lames.

 

Femme,

sucrée-amère

entre fantaisie et drame.

 

Femme,

imprévisible

tout au long de la gamme.

 

Femme,

à étudier :

vaste programme !

 

Femme,

à visiter :

quel sésame ?

 

 

                                    Pierre Dupuis




 

 

 

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" Vertige " : Le poème du jour de ... Pierre

4 Mars 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie



 
 

C’était il y a fort longtemps … depuis, j’ai renforcé la base et la pile est plus stable … mais à l’évidence … pile il y a !

Jusqu’où montera-t-elle sans commencer à vaciller ?

… j’ai tout intérêt à soigner l’empilage !

 

Pierre

 

 

Vertige

Photo prise sur le net

 

 

 

Vertige,

 

J’empile les heures.

 

Des heures sur des heures

en pile de vingt-quatre.

 

J’empile les piles en paquets de trente :

je fabrique des mois stériles,

des mois débiles,

des mois qui me hantent

des « moi » vides

des mois vides de moi

des « moi » vides d’émoi

Je ne suis plus moi !

Vertige !

 

Toutes ces piles sans assises,

toutes ces piles sans liant vraiment,

vibrent à la moindre brise, vibrent au moindre vent !

Et… Je suis tout en haut - seul ! -

je vais me casser la gueule !

Pour celle que j’aime, encore, je m’arrime

mais à quoi cela rime ?

 

Oh ! Vertige ! Vertige qui m’opprime,

quelle sera mon ultime

rime

?

 

 

Pierre Dupuis

 

 

 

 

 
 
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De "rien" à "rein" .......... mine de rien ! Le poème du jour de Pierre

10 Février 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie




 
 
 
 
 
 
Image du net tripotée par Pierre
 

 

Comment, d’un petit rien,

obtenir une belle chute ?

 

« Rien ».

Tu prends le mot

et tu tripotes ses voyelles,

un peu comme le bas du dos

d’une charmante demoiselle.

Le « i » gaillard saute le « e »

et vient flirter avec le « n »,

mais le « e » n’a aucune haine :

son voisin l’accueille et le serre

… voisin qui ne manque pas d’air !

 

Voilà comment, mine de rien,

avec un rien tu as fait « rein » !

Je te loue et te dis bravo :

je l’aime bien ce nouveau mot !

J’adore l’avoir sous la main,

il est aussi doux que satin

et quand parfois il se fait dur,

c’est que ça va chauffer … c’est sûr !

 

Car :

 

Au dos de « rein », il y a « aine »,

petit jardin où l’on promène

un petit doigt vraiment sans gène

chez les Céline ou les Marlène !

 

J’arrête là

car je suppute

qu’il n’y a pas

plus belle chute :

de « rien » à « rein »

… jolie culbute !

 

 

                              Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

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" Confession peu banale d’un vieux … confessionnal ! " ... un poème de Pierre !

3 Février 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie



 
 
 
La confession faite dans le but de l'absolution de ses fautes est la plus belle invention marketing des religions.
 
Pierre
 
 
 
Photo de Marie Lecorre
 
 
 

Confession peu banale

d’un vieux … confessionnal !

 

Si je suis tout en bois,

je ne suis pas de bois !

Je vous dirais ma foi

que j’ai perdu la foi !

 

Abritant en confesses

de drôles de bougresses

oscillant en souplesse

entre messes et fesses :

 

J’ai fini - je le dis ! -

par être très instruit

sur les grands interdits

touchant au bigoudi !

 

Ah ! j’en ai vu passer

quelques uns de curés !

Célibat enduré

ou bien lit partagé !

 

Dame de compagnie,

simple bonne ou amie ?

carrément bonne amie,

dans le lit endormie !

 

Presbytère occupé

par rejetons d’abbé :

pas généralité

… pas non plus rareté !

 

Des bouffeuses d’hosties

hantant les sacristies,

oeillades garanties

pour de fines parties !

 

« Mon mari est absent

pour un travail pressant :

le lit est bien trop grand

et je m’ennuie dedans ! »

 

Et voilà - rebelote ! -

l’ aquicheus’ de calotte

mini jup’ ras de motte

avec ou sans culotte !

 

Mais les péchés de cœur

sont pour moi des liqueurs

quand j’entends les horreurs

de certains dits - d’honneur ! -

 

Le cul a ses faiblesses

et quand les mains caressent

d’un peu trop près les tresses

ça glisse vite aux fesses !

 

De tout ça j’en rigole :

ce n’est que gaudriole !

Ce qui vraiment m’affole

c’est les types qui violent !

 

Venez tous les pécheurs !

Venez tous les tricheurs

Venez les débaucheurs

et aussi les violeurs !

 

 

Venez en ribambelle,

la repentance est belle !

Quelques soient les gamelles :

virginité nouvelle !

 

Venez tous les banquiers,

tous les grands financiers,

les plumeurs d’ouvriers :

vous serez pardonnés !

 

Venez les politiques,

c’est le coté pratique :

promesses mirifiques

et … pas d’autocritique !

 

Venez les malfaiteurs,

venez les dictateurs,

tous les exécuteurs,

les bourreaux, les tueurs !

 

Venez en ribambelle

la repentance est belle !

Deux sous dans la coupelle

et la vie éternelle !

 

Deux pater, trois avé

« merci Monsieur l’ curé,

ça va mieux vous savez

depuis qu’ j’ai plus d’ péchés ! 

 

Allez, à la prochaine,

ma croyance est certaine,

je viendrai en neuvaine :

c’est vraiment une aubaine ! »

 

Et moi tous ces aveux

me rendent cafardeux

et plus d’un jour sur deux

je me foutrais le feu !

 

Les flammes seraient belles,

terminé les chapelles,

les vieilles, les nouvelles

qui poussent en kyrielles !

 

Toutes les religions

accordent le pardon

sur simple invocation

et repentir bidon !

 

Halte à l’hypocrisie !

Halte aux fautes blanchies !

A bas les homélies

et autres conneries !

 

Je voudrais m’immoler

pour que le monde entier

arrête de prier

des dieux tous inventés !

 

Pour certains bien pratique

pour asseoir leurs boutiques

qu’elles soient politiques

ou des plus mercatiques !

 

Les sermons orientés,

les versets détournés,

les peuples abusés

par des prêcheurs roués !

 

Je n’en peux plus de vivre,

de tout ça j’en suis ivre

je veux qu’on me délivre :

je veux fermer le livre !

 

Le seul dieu : c’est la loi,

que l’on soit humble ou roi !

C’est à ce prix, je crois,

que reviendra ma foi

 

en … les hommes !

 

                                        Pierre Dupuis

 

 

 

 

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" C'est ça demain " ................. un poème de Pierre

2 Février 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 
 
" Mais l'enfant qui naîtra un jour
aura la couleur de l'amour
contre laquelle on ne peut rien "
 
De tête: " Lily " .......... de Pierre Perret
 
 
 
 
 
 
Image du net
 
 

C’est ça demain,

 

Des mains noires,

des mains blanches.

Des mains noires

sur des blanches

… ça dérange !

 

Des mains blanches

sur des noires

… ça dérange

c’est notoire !

 

Mais bon sang

de bonsoir

… c’est ça l’espoir !

 

                     Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

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La femme caméléon : le poème du jour de ... Pierre

28 Janvier 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie



 
 
Photo prise sur le net

La femme caméléon,

 

La belle avait des yeux de biche

et un profil intéressant,

fringante comme une pouliche

qui désarçonne en meurtrissant !

 

Elle savait se faire chatte

pour attirer les beaux matous,

transformant en velours sa patte

mais en gardant griffes dessous !

 

Une oasis à elle seule

pour en amour soigner les maux,

une gazelle pas bégueule

sachant se faire aussi chameau !

 

Légère comme libellule

elle savait se déplacer,

même muer en tarentule

pour n’importe quel sang glacer !

 

Elle avait un coté vipère

capable de cracher venin

et de regagner son repaire :

un réflexe tout féminin !

 

Parfaitement insaisissable,

sachant se faire ange ou démon,

l’art et la manière haïssable

d’une femme caméléon !

 

                       Pierre DUPUIS

 

 

 

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" La main " : Un poème très ancien de ... Pierre

26 Janvier 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie



 

 

Poème très ancien ( 1999 ? )

 

 

" A force de discours et de maintes caresses

-         Une main, comme un homme, a besoin de chaleur ! -

Je parvins à calmer sa profonde détresse :

Je partageais alors sa terrible pâleur."

 
 
 
 
 
Montage Pierre
 
 
 

La main,

 

Comme enfin je soufflais - bonheur compréhensible -

Assis sur une table enduite de couleurs,

Récupérant un peu d’une classe impossible,

Je vis le tableau noir partager ma douleur !

 

La craie courrait sans fin, par une main guidée,

Une main je vous dis ! Toute seule ! Sans bras !

D’une pâleur extrême, assurément vidée

Du sang dont une goutte échappait vers le bas.

 

Le chapelet des mots - une langue inconnue -

S’égrainait sous mes yeux et très bizarrement

Je comprenais le sens des phrases contenues

Dans ce message étrange écrit si clairement.

 

Je m’en vais essayer de vous donner lecture

-         Pas du message écrit : il n’était que pour moi ! -

De ce qui se passa, c’est vrai, je vous le jure !

Et je saurais comprendre ensuite votre émoi !

 

La main - d’autorité - me pris alors en charge

en pointant son index sur un ordinateur

Qui afficha de suite en écran extra large

Une image incroyable : un plan fascinateur !

 

Je reconnus, malgré la façade noircie,

Le profil évident du Lycée Aragon

Qui avait dû subir un très grave incendie,

une porte battait, pendant à un seul gond.

 

Un bruit de fond montait et je vis une bande

Déboucher en hurlant de derrière un muret,

Des propos venimeux rythmaient la sarabande :

« A mort ces cons de profs, il faut les capturer ! »

 

On pouvait reconnaître en tête de la horde,

Les clones de certains du fond de nos paniers

Qui nous posent problème en refusant tout ordre :

Ils étaient à coup sûr les fils de ces derniers !

  

Et d’un bûcher fumant, les pages calcinées

Des livres déchirés s’envolaient dans le soir,

Un vent ascensionnel, volutes déchaînées,

Entraînait vers le ciel ce vol de corbeaux noirs.

 

La main vint à placer - je ne vis pas de suite -

Son index tremblant à un endroit précis :

Tout en bas du brasier, une forme réduite

Agitait sous le feu cinq doigts tout rétrécis.

          

La main comme une folle agita ses phalanges,

Son cri désespéré me vrilla les tympans

Et je la vis pleurer, libérant un mélange

Composé pour moitié, de larmes et de sang !

 

Je la pris dans mes mains, ce ne fut pas facile,

De calmer sa douleur, d’éteindre ses sanglots :

La peur de formuler des propos imbéciles,

Quoi dire à une main qui hante les tableaux ?

 

A force de discours et de maintes caresses

-         Une main, comme un homme, a besoin de chaleur ! -

Je parvins à calmer sa profonde détresse :

Je partageais alors sa terrible pâleur.

Le message était clair et l’avenir bien sombre.
Elle avait, il est sûr, renoncer à surseoir
L’annonce du futur : l’annonce des décombres.
En me serrant la main, elle me dit « bonsoir ! »

 

Le tableau s’effaça, supprimant le message.

L’ordinateur se tut, son écran devint noir.

Un tourbillon me prit : j’étais sur son passage

et je fus avalé par un grand entonnoir.

 

 

                                                         Pierre  Dupuis

 

 

 

 

 

 

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Les Sirènes : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

25 Janvier 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie



La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

 

1)   La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2)   Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3)   Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4)   Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août, un billet sur le sujet !

 

 


 

Aujourd’hui :  


 

Les Sirènes et Ulysse

 

Les Sirènes

 

Dans le douzième chant de l’Audi C (stéréo ), alors qu'Ulysse ( il se l’était rasé ) et ses compagnons s'apprêtent a quitter l'île de la magicienne Circé (Pompes) celle-ci les prévient que non loin, des monstres féminins charment les marins qui pissent comm’ je pleure pour les femmes de Fidèle qui se casse trop souvent et qui les délaisse comme des chiennes, les attirants sur les récifs sur lesquels ils meurent dans le naufrage de leur navire. C’est d’ailleurs ce qui est arrivé au PS quand il a succombé au chant de la sirène Ségolaina royalos qui portait toujours un pull en cachemire offert par Lang de chèvre qui était dans les guignols et qui en reste toujours un.

 

COMMENT LES SIRENES SONT DEVENUES SIRENES :

 

Filles du fleuve Achéloos et de la Nymphe Melpomène (ou filles du dieu marin Phorcys qui avait déposé le bilan en Belgique), les Sirènes auraient été transformées en monstres par Déméter, minée à cette époque, furieuse qu'elles aient laissé le dieu des Enfers Hadès enlever sa fille Perséphone et ses cartes de crédit, alors que Zeus leur avait donné des ailes pour sauver Perséphone.

 Très fières de leurs voix, au 2ème tour, de leurs talents de musiciennes, Les Sirènes osèrent, un jour, défier les Muses ( celles qui avaient des cornes )

Celles-ci, les privèrent de certaines plumes ( notamment celles qu’elles avaient de planté dans le c -  -, car elles faisaient aussi le Lido le soir ) ce qui les rendit inaptes au vol, contrairement à Madoff et à bien d’autres, et les exilèrent sur des rochers, au sud de l'Italie, aussitôt recueillies par Berlusconi.

D’autres auteurs, surtout Rotpierros, affirment qu’elles sont devenues Sirènes à causse du fait qu’elles faisaient beaucoup de gâteries aux pompiers de l’époque qui avaient tous pompier bon œil !

 

Leur nombre varie selon les récits et leurs noms évoquent le charme et la beauté : 
Thelxiépia (« Enchanteresse »), Himéropa (« Douce »),
 Leucosia (« Blanche »), Ligeia (« Mélodieuse »),
Parthénope (« Visage de jeune fille »),            
Peisinoé (« Persuasive »), Agtaopé (« Beau visage »), Aglaophonos (« Belle voix »), Molpé (« Mélopée »), Thelxiopé (« Persuasive »), Têtes (« Parfaite ») Carlaguitara (« Celle qui a de belles guitares ») Cristinalagardia («L’emberlificoteuse ») 
 

 

 LE CHARME DES SIRENES EST TROP FORT POUR ULYSSE: 

Même pour un personnage de la trempe d'Ulysse, il est impossible de résister aux fascinantes mélopées. Le héros devient comme fou, tente de briser les chaînes qui le retiennent au mat et adresse des regards suppliants à ses marins qui mangeaient des frites et puis des moules et buvaient du vin de Moselle, pour qu'ils le laissent aller vers celles qui chantent si merveilleusement. Conscients du péril qui les guette, les compagnons d'Ulysse leurs oreilles bouchées, serrent les fesses et ne font que resserrer ses chaînes en réponse à ses mouvements et à ses regards désespérés. Ils rament vigoureusement et le navire s'éloigne du danger.

 C’est exactement se que n’à pas réussi à faire l’entourage du petit Nicolas quand il s’est laissé séduire par la sirène Carlaguitara qui ne serrait jamais les fesses mais les montrait volontiers et que j'ai cité plus haut.

Ulysse est sauf, mais épuisé. La prochaine étape de son voyage sera consacrée à la recherche de l'âme du devin mort Tirésias, afin qu'elle le conseille sur son retour au royaume d'Ithaque en 2012.


 

 

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

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