poesie
Marine Le Pen, l'acrostiche pamphlétaire du jour: "La vague bleu Marine Le Pen" ... de ... Pierre
... Vous en reprendrez bien une petite fournée de celui-ci ... non ?
Grattez le vernis de la fille
et vous retrouverez le père !
Image du net venant du site du FN
Bidouillage d'images du net
Le petit jeu en bonus :
Dans la famille Le Pen
Choisissez celui ou celle qui a l’esprit le plus tordu … et ce n’est pas gagné d’avance !
Pour ma part, j’ai l’impression qu’ils se bonifient de génération en génération dans la dangerosité !
Et pour finir, la pensée du jour :
La démocratie, sous Marine Le Pen, risque d’être très vite à la peine et même d’être carrément torpillée : j’entends déjà des bruits de U-Boote !
Pierre Dupuis
" A force de mordre on trouve son maître, " ... un poème mordant de ... Pierre !
A force de lui montrer les crocs, elle l’avait mis à cran.
A force de mordre on trouve son maître,
Elle avait du chien à revendre,
hélas c’était du coté crocs,
il aurait mieux fait de se pendre
au lieu de jouer au velcro.
C’était difficile à comprendre
mais il aimait la virago,
certains aiment les scolopendres,
les scorpions et les marigots.
Mais quand même il y a des bornes
quand les journées sont plus que mornes
il suffit d’un tout petit rien
pour que d’un coup tout se bouscule,
un cran d’arrêt qui se bascule
pour enterrer la vie de chien !
Moralité :
On ne peut pas impunément
se conduire comme une chienne
avec un mari, un amant,
sans que la punition ne vienne.
Il l’enterra sommairement
et se délivra de ses chaînes
et se promis moralement
de bien museler la prochaine !
Pierre Dupuis
"Les pépettes" : le poème du jour de ... Pierre !
Un très ancien poème …
Les pépettes,
Un p’tit clin d’œil façon princesse
et pas plus haut’ qu’un bout de zan !
Ça joue déjà tout en finesse
une pépette de trois ans !
Une poitrine qui progresse
et qui attir’ les courtisans :
ça se transforme en chasseresse
une pépette de treize ans !
Un peu de stress et de détresse,
des p’tits amis mais pas d’amant :
ça doute un peu mais - sans confesse -
une pépette de seize ans !
Et puis un jour, volent les tresses !
il n’est plus temps le temps d’avant :
ça succombe sous les caresses
une pépett’ de dix huit ans !
Qu’elle soit ta femme ou ta maîtresse,
câlins malins très désarmants :
ça réduit bien ton tiroir-caisse
une pépette de trente ans !
Coule le temps, passe tigresse,
tout en douceur, chemin faisant,
ça s’assagit - sauf les diablesses ! -
une pépette avec les ans !
Pierre Dupuis
Le poème du jour : " Du populisme au fascisme, " ... de Pierre
« L'histoire est un perpétuel recommencement. »
Thucydide
Préambule :
Prêter une oreille complaisante aux sirènes du populisme c’est commencer à dérouler le tapis rouge pour le fascisme.
Du populisme au fascisme,
Le populisme est … populaire !
Lapalisse aurait dit : « Bravo ! »
il suffit pour cela de braire
ce que veulent entendre les veaux !
J’emprunte le mot de De Gaulle,
dans le fond il avait raison,
sans vraiment trouver cela drôle
j’admets qu’il reste de saison.
Venant de droite ou bien de gauche
le populisme est avant tout
une stratégie qui ébauche
le repli sur soi jusqu’au bout.
Et l’on retrouve à la manœuvre
quelques assoiffés de pouvoir,
les extrêmes sont à pied d’œuvre
à qui mieux mieux pour l’encensoir !
.
A un moment tout ça bascule
peu importe de quel coté
et le venin qu’on inocule
est un poison bien concocté !
Le pays devient narcissique
à l’image de son mentor
et l’enchaînement est classique :
ceux qui contestent ont tous les torts !
Un de ceux ayant mis en place
ce concept est Mussolini :
manipuler la populace
à loisir et à l’infini !
Museler la démocratie,
s’il le faut par un coup d’état,
glisser vers la suprématie,
vers le fascisme et l’omerta !
… Le fascisme … nous y voila !
Avec le populisme en place
et un grand chef à son sommet,
tous les gênants on les déplace
… certains ne reviennent jamais.
Et voila le nationalisme
érigé autour du drapeau,
glissant tout droit vers le fascisme
… démocrate gare à ta peau !
La violence est légitimée,
peut commencer l’épuration,
la race pure est sublimée
et le racisme entre en action !
Un cran de plus pour le fascisme
qui va se radicaliser
et prendre l’aspect du nazisme
avec ses clans fanatisés !
.
L’homme à la petite moustache
en a bien été le champion
mais il y a eu des bravaches
pour reprendre le pavillon !
Pour qu’une épuration ethnique
se mette en place quelque part,
c’est que quelqu’un tient la boutique :
il n’y a jamais de hasard !
Combien de pays dans le monde
sont assis sur ces fondations ?
En regardant la mappemonde
j’ai une montée de tension !
Combien de voyants à l’orange ?
A quel moment vont-ils mûrir ?
Le populisme engrange, engrange
à force à force de renchérir !
C’est le moment de le combattre
à tous les niveaux, pied à pied :
le fer est chaud, il faut le battre
et je le fais d’arrache-pied !
Mon arme à moi c’est l’écriture
mais j’irai plus loin s’il le faut,
pour ne pas qu’une dictature
puisse s’installer par défaut !
Et …
Chacun assumera sa place
qu’il soit neutre ou bien collabo,
milicien ou gros dégueulasse
en se transformant en corbeau !
Il sera hors question de dire :
« Mais nous n’étions pas au courant,
car au moment de les élire
ils n’avaient pas l’air très méchants ! »
.
Partout l’information circule,
même aux coins les plus reculés,
il serait vraiment ridicule
de prétendre tout ignorer !
L’histoire est là qui le démontre,
le populisme est un miroir
aux alouettes qui va contre
ceux que se sont laissés avoir !
Hélas la bêtise est humaine
et des peuples replongeront
à l’appel du chant des sirènes
et plus tard à ceux des clairons !
Aucune race n’est mauvaise
seuls des individus le sont,
au risque que cela déplaise
ceux qui disent non sont des cons !
Chacun va donc prendre sa place
et il lui faudra l’assumer
et pas de tour de passe-passe
quand viendra l’heure d’endosser !
Car partout les grandes oreilles
enregistreront tous les faits :
une mémoire sans pareille
pour confondre tous les méfaits !
Les héros de la dernière heure
seront grillés et démasqués
et ils seront mis en demeure
de reconnaître et de payer !
Pierre Dupuis
Poème à double détente : "Conseils d’ami … sans fioriture," de ... Pierre
Conseils d’ami … sans fioriture,
Cette fille a bien trop de classe
et tu seras à la ramasse
quand elle te laissera choir
tu n’auras plus que ton mouchoir.
Tu es pour elle une passade
et c’est une lapalissade
que de prévoir ton avenir :
tu n’as pas fini de gémir !
Laisse tomber un peu ta hargne :
tes sous à la caisse d’épargne
c’est ce qu’elle croque en huit jours
… ne bave plus le mot « Amour » !
C’est une fille de la haute
qui a voulu que tu la sautes
comme ça pour se divertir :
arrête donc de te mentir !
D’ailleurs tu as compris la chose,
tu sors enfin de ta névrose
tu as déjà un meilleur œil
et tu me fais plus bel accueil !
Retrouve toute ta jugeote
et remet-la dans ta culotte
ou bien avec casse les noix :
tu n’as vraiment pas d’autre choix !
Laisse tomber cette salope
au comportement interlope
qui ne peut que te démolir :
tranche un bon coup et sans mollir !
Même si ce n’est pas facile
prouve-lui qu’un bel imbécile
peut récupérer la raison
et traite-la de paillasson !
Chacun a les clés de son monde
qui lui vont et lui correspondent
quand on en sort il faut tricher
et l’on ne peut plus s’arrêter.
C’est entamer un jeu de rôle,
un jeu de dupe,un jeu pas drôle
dont on reste le prisonnier
jusqu’à ce que l’on soit canné.
Toujours rester sur le qui-vive
et être sur la défensive
pour ne pas que le naturel
revienne au galop sans appel !
Bien mieux vaut une vie modeste
que de frayer avec la peste
qu’est ce monde plein de clinquant
où l’on ne vit que si l’on ment.
Pierre Dupuis
Péroraison :
C’est un poème qui me classe
dans le tiroir « lutte des classes »
que l’on revoit poindre aujourd’hui
et que l’on n’a jamais détruit.
De nouveau fleurit l’arrogance
et les grands airs de suffisance
qui avaient cours aux temps anciens
… ça sent le noble citoyens !
Bien sûr ce ne sont plus les mêmes,
ils ont infiltré le système
et le maîtrise par l’argent
toisant de haut les pauvres gens.
Il faudra bien que l’on s’explique
et s’il faut ressortir les piques
et bien nous les ressortirons
car cela ne tourne plus rond !
Toute une vie pour un pécule
pendant que les traders spéculent
et peuvent gagner en un jour
mille fois plus … sus aux vautours !
Pierre Dupuis
Montage personnel à partir d'images du net
Ils vont bientôt revenir ... les coquelicots ! Le chaud poème du jour: "Trésor coquelicot," de ... Pierre
Du beau, du chaud, du coquelicot !
images du net !
Trésor coquelicot,
Jupe légère et froufroutante,
corsage ouvert en calicot,
la belle est belle et envoûtante
avec ses joues coquelicot !
Cheveux au vent et mèches folles
bouche à poser mille bécots
et un sourire qui affole
sur ses lèvres coquelicot !
Très réactive à touche-touche :
acquiescement sans quiproquo
pour se faire une fraîche couche
au milieu des coquelicots !
La peau à nu - adieu corsage ! -
corps velouté comme abricot
de jolis seins pas du tout sages
aux mamelons coquelicot.
Et pour finir - pourquoi le taire ? -
jupe en drapeau presque aussitôt
libérant enfin le mystère
d’un doux trésor coquelicot !
Et là une pressante envie
d’y déposer de chauds bécots
et de profiter de la vie
au milieu des coquelicots !
Et pour bannir toute indécence,
sur la scène : glisse rideau !
Aller plus loin serait licence :
on en reste aux coquelicots !
Pierre Dupuis
" Sa dernière heure avait sonné " : un poème de Rotpier ... vous pourrez en reprendre engore et engore !
Je vous propose, sur l’heure, ce billet posté de l’Eure.
Et… l’Eure c’est l’Eure,
avant l’Eure c’est pas l’Eure,
après l’Eure c’est plus l’Eure !
Et, si vous aimez, n’hésitez pas à en reprendre engore et engore !
Image du net
Sa dernière heure avait sonné,
Il était là, gisant,
enfin … ce qu’il en restait
et ce n’était pas peu dire.
C’était … c’était … comment définir
… hallucinant, hallucinant et terrifiant.
Il y en avait partout,
au sol, sur les murs, au plafond,
des gros et des petits bouts
… il était éventré
… complètement éventré.
Dans son pied gauche
une aiguille était plantée
… la grande.
Dans son œil, le gauche,
… oui, le gauche aussi, allez savoir pourquoi,
la petite s’était fichée.
Une série de chiffres, romains,
de un à douze mais dans un ordre libre
pendait au lustre de part et d’autre ainsi qu’une main,
… la droite… ce qui rétablissait un peu l’équilibre.
Ses viscères, interminables spirales,
étaient tout déroulés, tout détendus.
Tout cela ne marcherait plus
… indubitablement impossible à remonter.
Sa dernière heure avait sonné.
Cela faisait déjà un moment
qu’il n’allait pas bien
… il était décalé… oui, c’est ça, décalé,
jamais à l’heure.
On le sentait complètement perdu,
pas bien dans sa peau assurément
… son rythme circadien ne répondait plus.
Et, aujourd’hui, d’heure en heure,
son état avait empiré
et sur le coup de midi et demi,
sans perdre connaissance,
il avait avalé son horloge interne
comme d’autre leur bulletin de naissance
et tout avait explosé !
Fatal engrenage,
la belle mécanique s’était désintégrée.
Il était là, gisant,
enfin … ce qu’il en restait.
Sa dernière heure avait bel et bien sonné
… définitivement.
Terrible fin pour un horloger.
Rotpier
Image du net
Effet papillon : une autre version ! Le poème du jour " Métamorphose " de ... Pierre !

J’étais en ce temps là, un explorateur des plus novices mais j’avais déjà la fibre aventurière.
Métamorphose,
Elle avait, sans secret,
un joli petit bouton rose
sur le nez !
Elle avait, en secret,
deux jolis petits boutons roses
aux bouts de ses nénés !
Et moi, plus tout à fait un saint,
j’avais obtenu un blanc-seing :
j’avais le droit
de m’amuser avec les trois
… les trois à la fois !
Trois petits boutons roses
c’est bien !
Pourtant … pourtant cela devient
un peu énervant à la fin !
Alors, passant à autre chose,
j’entrepris de faire l’inventaire
de tout ce qui pouvait être rose.
Et, pourquoi le taire,
j’ai découvert
une délicate,
une merveilleuse,
une somptueuse
variété de rose !
Rose, qu’aucun papillon
n’avait jamais butiné.
Alors, instinctivement,
innocemment polisson,
je m’appliquais avec délectation
à ma métamorphose :
je devins … papillon !
Pierre Dupuis
Chat alors ! "Qui aime bien ..." Un petit poème animalier qui glisse vers une fable qui glisse elle-même vers ... vous verrez bien ! Signé: Rotpier !
Le printemps travaille chattes et matous !
Préambule :
Ces vers, articulés autour du chat, vont choquer quelques âmes puritaines qui sont, fort heureusement, de moins en moins nombreuses !
Pourtant, mêler des chats pelés et des grenouilles de bénitier me semble un assemblage fort judicieux … non ?
Introduction (… tiens teins ! Déjà ?)
Il y a matou et matou,
les pelés et les magnifiques,
ceux qui possède vraiment tout
y compris le talent phallique !
Le poème initial :
Qui aime bien …
Sa réputation était faite,
toutes les chattes du quartier,
dont celle de la sous-préfète,
en convenait bien volontiers !
Sa longue paire de moustaches
avait le don d’émoustiller,
tout comme sa queue en panache
qu’il savait si bien tortiller !
Pas besoin de grand clair de lune
pour entendre les miaulements,
les appels à bonne fortune
des chattes sur les toits brûlants !
Forte montée d’adrénaline
quand après l’heure de minuit,
il offrait à une féline
un voyage au bout de la nuit !
Il y avait file d’attente
pour profiter de ses faveurs,
une prestation éclatante :
c’était un merveilleux trousseur !
Maintenant, une question se pose …
Comment étoffer ce poème
limité à l’animalier,
sans trop de risque d’anathème
ni de : « Mais il est fou à lier ! » ?
Pourrait-on faire un parallèle
entre le félin et l’humain ?
Il faudrait que je m’y atèle
… et je n’attendrais pas demain !
Car …
Ce récit est fort transposable
à l’homme et dans le fond j’y tiens,
je pourrais en faire une fable,
je le confirme et le maintiens !
Il me faut donc une morale,
quelque chose qui sonne bien,
une maxime peu banale
… tiens … « Qui aime bien chatte y vient ! »
Mais … Oh ! … d’ici …
J’entends les cris de quelques prudes,
bien qu’elles ne soit plus beaucoup
à qualifier de turpitudes
le fait de céder aux matous !
L’espèce est devenue très rare
et je le dis sans un bémol :
« Piquons la dernière au curare
et plongeons-là dans le formol ! »
Sur l’étiquette et sur la souche
sera écrit « Dans ce bocal
se trouve une sainte-nitouche
en très bon état général !
C’est une espèce disparue
qui vivait au siècle dernier,
elle avait la langue fourchue
et vivait près des bénitiers ! »
Je … oh ! Excusez-moi ! Un appel …
Allô ! … oui … la sous-préfecture ?
L’auteur de ce poème ? C’est bien moi
… Oh !... Elle aime mon écriture ?
… Me parler … oui … j’en reste pantois !
Allô … oui … comment ?... En tête à tête ?
… Je dois passer par le jardin ?
… Bien sûr Madame la sous-préfète
mes hommages et à demain !
Et, n’oublions pas que quand la sous-préfète,
il faut la servir avant qu'elle ne refroidisse !
xxxxxxxxxxx
Bon, ce n’est pas tout ça,
mais il va falloir que je m’entraîne moi !
Miaou … Miaouuuuuuuuuuuuu !
Vous saurez un jour, c’est notoire,
comment tout cela se passa :
vous le lirez dans mes mémoires
mais foin de tout prêchi-prêcha !
Rotpier
" Triangle d’or," : isocèle ou pas, on s'en fiche ! Ce qui compte c'est : la couleur et la douceur !
.
Triangle d’or,
C’était une authentique blonde,
pouvant sur le champ le prouver !
Silhouette des plus girondes
troublant et faisant saliver !
Absolument pas pudibonde :
conduite à faire disjoncter,
des paquets de gars à la ronde
qui ne rêvait que de monter !
Que de monter en altitude,
les instruments : grillés, foutus !
S’aventurer dans l’inconnu
de son triangle des Bermudes !
Un triangle tout ourlé d’or :
paradis pour petite mort !
Pierre Dupuis
Non ! vous n'aurez pas d'autres images !
Déjà publié, mais je l'ai retouché :
je ne m'en lasse pas !!!