poesie
Poésie, le poème du jour : " Les mains" de ... Pierre
.
Un très ancien poème …
Image du net
Les mains,
Des mains qui s'ignorent,
des mains qui se cherchent,
des mains qui se trouvent.
Des mains qui se voient,
qui s’interpellent
qui s’entrouvrent !
Des mains qui se rapprochent,
qui se frôlent,
qui se découvrent.
Des mains qui se caressent,
qui s'étreignent,
qui s'affolent !
Des mains, main dans la main,
qui s’amusent
comme des folles !
Des mains qui se lassent,
qui s'affrontent !
Qui se blessent !
Des mains qui s'écartent,
qui se menacent !
Qui s'éloignent.
Des mains, sans lendemain,
qui se séparent
et qui s’égarent.
Des mains qui se perdent,
des mains qui s'oublient,
des mains qui s'ignorent.
Et ma tête
entre les miennes,
encore, encore et encore.
Pierre Dupuis
Éboulement de falaise aux Petites-dalles, le poème du jour de Pierre : " Gargantuesque Manche "
.
Troisième devoir de vacances...
- Photo personnelle
Gargantuesque Manche,
La Manche pleine d’appétit
ronge sans cesse les falaises
et gagne petit à petit
du terrain pour se mettre à l’aise !
A longueur d’année sans répit
elle creuse des trous balaises
et provoque des éboulis,
de gigantesques exérèses !
Dernièrement sans prévenir
elle s’est offert sans mollir
un gigantesque casse dalle !
Elle en a pris de gros morceaux
au lieu-dit les Petites-Dalles
juste à coté de Sassetot !
Cela a fait le désespoir
de tout ceux qui vont à la pêche
à pied et qui ont du surseoir
à leur passion : « Ah ! Quelle dèche ! »
Ce n’était que momentané
pour les mordus de l’épuisette,
le moment d’aller taquiner
autre chose que la crevette !
Je ne préciserais pas quoi,
chacun gère ses fantaisies,
alors je vous laisse le choix
… mais foin de toute hypocrisie !
Lien :
" Pays de Caux " ... un poème de ... Pierre
.
Second devoir de vacances !
Pays de Caux,
Si tu n’avais pas tes valleuses
tu serais monotone et plat,
elles te donnent leur éclat
et savent se faire enjôleuses.
Si tu n’avais pas tes falaises
que la mer a taillé à pic,
tu manquerais un peu de chic
mais tu les as et elles plaisent.
Si tu n’avais pas sur tes terres
des abbayes et des châteaux,
du lin, des fermes et des clos,
tu serais beaucoup plus austère.
Et si tu n’avais pas la Manche
qui te grignote un peu les pieds
sans pour autant trop t’estropier,
ta cote serait bien moins blanche.
Mais tu as toutes ces richesses
et tu sais les mettre en valeur
par l’entremise et le labeur
de ceux qui t’aiment sans faiblesse.
De tous ceux que tu as vu naître
ou de ceux qui t’ont adopté,
qui ont choisi de t’habiter
pour mieux t’aimer et te connaître.
Tu as su très souvent séduire
des peintres et des écrivains
qui n’ont pas travaillé en vain
et ont su si bien te traduire.
Une foule d’impressionnistes,
Pisaro, Boudin et Monet,
Renoir, Boldini et Sysley
et il en manque sur ma liste !
Ta côte aux lumières changeantes,
tes ports en pleine activité,
tes falaises et tes cités :
autant de toiles rayonnantes !
Et tes écrivains populaires,
l’incomparable Maupassant
mais aussi Maurice Leblanc
et son Arsène légendaire !
Et l’Abbé Bernard Alexandre,
célèbre conteur et horsain
qui a assisté au déclin
de l’église sans s’y méprendre.
En se rendant à sa paroisse :
« Métier d’ curé, métier foutu ! »
bel accueil d’un berger du cru,
un adage à porter la poisse !
Superstitions et certitudes,
méfiance envers les étrangers
porteurs de peurs et de dangers
faisaient partie des habitudes !
Magie noire et sorcellerie
étaient le lot du quotidien,
les cauchois, surtout les anciens,
craignaient toutes les diableries !
Dans cette campagne profonde,
ceux des villages d’à coté
étaient déjà des étrangers
qui venaient déranger la ronde !
Moins dans les ports que dans les terres
où l’autarcie était un fait,
le horsain était un parfait
et malheureux bouc émissaire !
Si ma mère est née à Bourville
au village d’André Raimbourg,
moi je n’y ai pas vu le jour
et n’y ai pas mon domicile.
Je ne suis qu’un simple touriste
et même si je suis normand,
je suis horsain assurément
… mais les mœurs sont moins rigoristes !
Quoiqu’il en soit j’ai des racines
planté en toi, Pays de Caux,
je te devais bien cet écho
en l’honneur de mes origines.
J’ai parcouru toute ta côte,
j’ai sillonné tout ton plateau
et je me suis senti ton hôte
sans résistance et de facto !
Car tu as su tourner la page,
tu n’es plus refermé sur toi
et ceux qui parlent ton patois
ne le font que pour le partage.
Les noms de tes bourgades chantent
dans ma tête un joyeux refrain
comme au temps où j’étais gamin
et j’avoue que cela m’enchante !
A Etretat ou ailleurs ! Le poème du jour : " La loi des tas " de ... Rotpier
Remarque :
Photos des dernières vacances mais poème déjà publié !
La loi des tas
ou
Avec la complicité de Newton
ou
L’art d’occire Constance,
f
Chute de meuf
et je suis veuf !
J’étais sa chose
et ça repose !
f
Tout au début
ben … moi j’ai bu !
Oh ! Quelles cuites
j’ai pris de suite !
f
Un peu plus tard
même un pétard !
Quelle bombance
quand j’y repense !
f
Le tout discret,
tout en secret !
Loin de la ville :
j’ suis pas débile !
f
Au quotidien,
le mec très bien :
deuil de Constance
de circonstance !
f
« Pour moi c’est dur
soyez-en sûr,
j’ai de la peine,
ma vie se traîne.
f
Je prie les cieux
mon bon monsieur ,
paix à son âme
ma bonne dame. »
f
C’était un soir,
il faisait noir,
j’étais à l’aise
sur la falaise.
f
Mes yeux de chat
voyaient en bas
une marée
fort déchaînée.
f
J’ai profité
en vérité
de la vue basse
de la bécasse !
f
Un croche-pied
très bien placé
et une chute
sans parachute !
f
De haut en bas :
bon débarras !
Newton oblige
quelle voltige !
f
Un être tas
à Etretat
chose normale
je le signale !
f
Bien éclaté
sur les rochers,
son corps en loques
qui se disloque !
f
Pas de témoin
sauf un vieux chien
hochant la tête
la brave bête !
f
Un scénario
bien comme il faut :
joli montage
et … l’héritage !
f
Nota : Tout ceci n'est pas moral bien sûr et je dégage toute responsabilité si quelqu'un venait à copier mon scénario !
Le poème déjanté du jour : " Délire de Sardine, " ... de Rotpier bien sûr !
Premier devoir de vacances et ... je vous assure que je ne me suis pas cogné sur une falaise !
Image du net;
Délire de Sardine,
On m’a tassé dans une boite
en tête à queue avec mes sœurs,
je trempe dans de l’huile moite
comme un pauvre vibromasseur.
Si j’avais été plus maligne
je n’aurais pas suivi le banc,
j’aurais profité de ma ligne
pour prendre cinq ou six amants !
Un beau maquereau de passage
m’aurait servi de souteneur,
je sais que ce n’est pas très sage
mais j’aime les entrepreneurs !
Avec des raies et des morues
j’aurais monté un syndicat
qui aurait eu pignon sur rue
à Fécamp ou à Etretat.
Aidées par les belles sirènes,
ces piègeuses de matelots,
de lieutenants, de capitaines,
bref de tous ceux qui vont sur l’eau !
Nous aurions créé des franchises
pour les filles dans tous les ports,
un bol d’air en ces temps de crise :
c’est métier de bon rapport !
De quoi damner le pion aux dames
( Celles de Brel à Amsterdam ! )
tout un travail, tout un programme
à graver dans le macadam !
Hommes et femmes politiques
dans leur quête effrénée aux voix,
dans des discours acrobatiques
auraient vanté le plein emploi !
Ils ratissent tout ce qu’ils peuvent,
c’est du travail au grand filet,
ils n’ont pas beaucoup d’idées neuves
et il faut charger le mulet !
Avec en tête la Marine
se prenant un très gros râteau,
elle me sort par les narines,
elle et ses apprentis fachos !
Pas de DSK dans la course
plus grillé qu’un vieil hareng saur,
plus du tout coté à la bourse
et … je n’en dirais pas plus je sors !
Je ne dresserais pas la liste
de tous les autres candidats,
sûr que ce ne serait pas triste :
que de coups bas pour un mandat !
Je ne citerais plus personne
bien que mon cerveau soit fécond
surtout un qui, quand on le sonne
balance des « cass’ toi pauv’ con ! » !
C’est une triste destinée
que de finir dans un gosier,
toute une vie ratatinée,
vraiment pas de quoi pavoiser !
On m’a tassé dans une boite
en tête à queue avec mes sœurs,
je trempe dans de l’huile moite
comme un pauvre vibromasseur.
Si j’avais eu plus de cervelle
j’aurais évité le chalut,
ma vie aurait été plus belle
mais c’est plié … alors salut !
La sardine
Péroraison :
« Quand une sardine délire
il faut en prendre et en laisser,
il faut entre les lignes lire
sans penser à la rabaisser !
Qui dira un jour la détresse
de la sardine hors de la mer
obligée d’exposer ses fesses
dans une étroite boite en fer ? »
Remarque :
Un abus de Bénédictine
a du me dicter ce fatras,
mieux vaut ça que la scarlatine
ou que de devenir castrat !
Ou que d’entrer en politique
et de devenir un Brutus
ou de parler de sémantique
assis à poil sur un cactus !
Je finirais bien sûr en boite,
pas en métal mais en sapin
que j’espère un peu moins étroite
que les réflexions de certains !
Hors de question que l’on m’expose
là dans mon plus simple appareil,
cela rendrait les gens moroses
de voir un spectacle pareil !
Rotpier
Premier devoir de vacances et ... je vous assure que je ne me suis pas cogné sur une falaise !
Image du net;
Délire de Sardine,
On m’a tassé dans une boite
en tête à queue avec mes sœurs,
je trempe dans de l’huile moite
comme un pauvre vibromasseur.
Si j’avais été plus maligne
je n’aurais pas suivi le banc,
j’aurais profité de ma ligne
pour prendre cinq ou six amants !
Un beau maquereau de passage
m’aurait servi de souteneur,
je sais que ce n’est pas très sage
mais j’aime les entrepreneurs !
Avec des raies et des morues
j’aurais monté un syndicat
qui aurait eu pignon sur rue
à Fécamp ou à Etretat.
Aidées par les belles sirènes,
ces piègeuses de matelots,
de lieutenants, de capitaines,
bref de tous ceux qui vont sur l’eau !
Nous aurions créé des franchises
pour les filles dans tous les ports,
un bol d’air en ces temps de crise :
c’est métier de bon rapport !
De quoi damner le pion aux dames
( Celles de Brel à Amsterdam ! )
tout un travail, tout un programme
à graver dans le macadam !
Hommes et femmes politiques
dans leur quête effrénée aux voix,
dans des discours acrobatiques
auraient vanté le plein emploi !
Ils ratissent tout ce qu’ils peuvent,
c’est du travail au grand filet,
ils n’ont pas beaucoup d’idées neuves
et il faut charger le mulet !
Avec en tête la Marine
se prenant un très gros râteau,
elle me sort par les narines,
elle et ses apprentis fachos !
Pas de DSK dans la course
plus grillé qu’un vieil hareng saur,
plus du tout coté à la bourse
et … je n’en dirais pas plus je sors !
Je ne dresserais pas la liste
de tous les autres candidats,
sûr que ce ne serait pas triste :
que de coups bas pour un mandat !
Je ne citerais plus personne
bien que mon cerveau soit fécond
surtout un qui, quand on le sonne
balance des « cass’ toi pauv’ con ! » !
C’est une triste destinée
que de finir dans un gosier,
toute une vie ratatinée,
vraiment pas de quoi pavoiser !
On m’a tassé dans une boite
en tête à queue avec mes sœurs,
je trempe dans de l’huile moite
comme un pauvre vibromasseur.
Si j’avais eu plus de cervelle
j’aurais évité le chalut,
ma vie aurait été plus belle
mais c’est plié … alors salut !
La sardine
Péroraison :
« Quand une sardine délire
il faut en prendre et en laisser,
il faut entre les lignes lire
sans penser à la rabaisser !
Qui dira un jour la détresse
de la sardine hors de la mer
obligée d’exposer ses fesses
dans une étroite boite en fer ? »
Remarque :
Un abus de Bénédictine
a du me dicter ce fatras,
mieux vaut ça que la scarlatine
ou que de devenir castrat !
Ou que d’entrer en politique
et de devenir un Brutus
ou de parler de sémantique
assis à poil sur un cactus !
Je finirais bien sûr en boite,
pas en métal mais en sapin
que j’espère un peu moins étroite
que les réflexions de certains !
Hors de question que l’on m’expose
là dans mon plus simple appareil,
cela rendrait les gens morose
de voir un spectacle pareil !
Rotpier
" Le haut du bas " : un poème de ... Pierre ! ... une suite logique au rébus de dimanche !
.
Si, en écho ( comme disait Umberto ) à mon rébus de dimanche,
je vous remets ce chaud poème (du vécu bien entendu !)
... vous ne me trouverez pas trop collant ?
.
Des hauts et des bas, des bas et des hauts,
des bas en haut, des bas en bas : vaste débat ...
Le haut du bas,
Première fois (oh ! quel délice !)
Qu'il m'est permis, depuis le bas,
De remonter ( elle est complice ? )
Ma main si haut le long du bas.
J'entre en tournoi : je suis en lice !
Preux chevalier, prompt au combat !
Mais... Doucement ! Tout en malice !
Ne gâche pas de doux ébats.
Deux bas en haut , pour commencer,
Deux bas en bas : c’est pas gagné !
Faut-il ou pas tout dévoiler ?
Débat sans fin
Et fin débat !
Plus que deux doigts (je me débats)
Pour parvenir, exquis supplice,
A la frontière (oh ! Mon cœur bat)
Entre couture et cuisse lisse.
Et c'est gagné ! J’en suis baba !
Un doux froufrou : les bas coulissent.
Joli travail et chapeau bas !
Pas de voyeurs ! (Le rideau glisse).
Deux bas en haut , pour commencer,
Deux bas en bas : oui ! J’ai gagné !
Fallait-il ou pas dévoiler ?
Débat sans fin
Et fin débat !
Mais…
Pour le moment, j’en reste là,
Elle est en bas, mais n’en a plus !
Je suis en haut ? Je ne sais plus !
J’ai faim du haut et puis du bas !
Et… j’en profit’ puisqu' elle est là !
Le poème du jour : "Relativise et positive !" ... un leçon de vie de ... Pierre
Image du net
Adage :
Sur le grand échiquier de la vie la meilleure alliée de la fatalité est la passivité.
Pierre Dupuis
Relativise et positive !
La vie n’est pas tous les jours rose,
les embêtements sont courants,
voir même les emmerdements,
prends le temps de faire une pause !
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Tes collègues te font la gueule
à cause de tes résultats
meilleurs qu’eux et ces gros bêtas
tous les jours que dieu fait t’en veulent !
Ce sont des ramollis notoires,
des pisse-froid et des jaloux,
ils n’ont qu’à en mettre un bon coup
pour t’égaler et pas d’histoire !
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Ta progéniture à l’école
décroche et a des résultats
très mauvais et en plus de ça
ils s’en fichent et en rigole !
Tu leur en a fait la remarque,
ils t’ont envoyé balader,
laisse-les donc se démerder :
à vingt ans qu’ils trouvent leurs marques !
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Ton chien ne te fait plus la fête
quand tu le caresses le soir,
on dirait bien qu’il broie du noir :
laisse-le donc faire la tête !
Il se pourrait qu’il soit de mèche
avec quelqu’un que je connais
je n'est rien dit ... je suis discret
mais j’en connais d’assez revêches !
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Hier ta femme s’est fait la malle,
pense à celui qu’elle a choisi,
le pauvre a beaucoup de soucis :
se la faire c’est pas l’ la balle !
Si elle refrappe à ta porte
ne te laisse pas enjôler,
ne la laisse pas te frôler
dis-lui : « Que le diable t’emporte !
Dégage et passe ton chemin,
pour ma part moi je vais très bien
… ne reste pas dubitative :
Relativise et positive ! »
Moralité :
On a toujours dans l’entourage
des gens beaucoup plus malheureux
que soi alors allons vers eux
pour leur redonner du courage.
Apprenons-leur cette devise :
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Et …
Si un jour ton moral s’enraye
il se pourrait qu’un de ceux-là
en posant sa main sur ton bras
… vienne te rendre la pareille !
Il te dira alors :
« Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative ! »
Image du net
Adage :
Sur le grand échiquier de la vie la meilleure alliée de la fatalité est la passivité.
Pierre Dupuis
Relativise et positive !
La vie n’est pas tous les jours rose,
les embêtements sont courants,
voir même les emmerdements,
prends le temps de faire une pause !
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Tes collègues te font la gueule
à cause de tes résultats
meilleurs qu’eux et ces gros bêtas
tous les jours que dieu fait t’en veulent !
Ce sont des ramollis notoires,
des pisse-froid et des jaloux,
ils n’ont qu’à en mettre un bon coup
pour t’égaler et pas d’histoire !
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Ta progéniture à l’école
décroche et a des résultats
très mauvais et en plus de ça
ils s’en fichent et en rigole !
Tu leur en a fait la remarque,
ils t’ont envoyé balader,
laisse-les donc se démerder :
à vingt ans qu’ils trouvent leurs marques !
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Ton chien ne te fait plus la fête
quand tu le caresses le soir,
on dirait bien qu’il broie du noir :
laisse-le donc faire la tête !
Il se pourrait qu’il soit de mèche
avec quelqu’un que je connais
je n'est rien dit ... je suis discret
mais j’en connais d’assez revêches !
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Hier ta femme s’est fait la malle,
pense à celui qu’elle a choisi,
le pauvre a beaucoup de soucis :
se la faire c’est pas l’ la balle !
Si elle refrappe à ta porte
ne te laisse pas enjôler,
ne la laisse pas te frôler
dis-lui : « Que le diable t’emporte !
Dégage et passe ton chemin,
pour ma part moi je vais très bien
… ne reste pas dubitative :
Relativise et positive ! »
Moralité :
On a toujours dans l’entourage
des gens beaucoup plus malheureux
que soi alors allons vers eux
pour leur redonner du courage.
Apprenons-leur cette devise :
Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative !
Et …
Si un jour ton moral s’enraye
il se pourrait qu’un de ceux-là
en posant sa main sur ton bras
… vienne te rendre la pareille !
Il te dira alors :
« Relativise et positive,
laisse aux autres l’expectative ! »
Le poème du jour: "Fantaisie intermezzo sur jalousies bleues," de ... Pierre
Photo de Marie
Fantaisie intermezzo sur jalousies bleues,
Crevant de jalousie,
du genre un peu zozo,
mâtiné d’hérésie
et macho jusqu’aux os :
… il enfermait sa belle !
Mais belle hypocrisie,
ce drolatique oiseau
se payait fantaisie
du genre intermezzo :
… il cocufiait sa belle !
Mais la belle Isabelle,
pas dupe pour un sou,
croquait la mirabelle
avec le gars du d’ sous :
… tout cocu le zozo !
Moralité :
Les belles jalousies,
même peintes en bleu,
n’empêchent pas la vie
de s’amuser un peu
… sur le dos des … zozos !
Pierre Dupuis
Photo de Marie
Fantaisie intermezzo sur jalousies bleues,
Crevant de jalousie,
du genre un peu zozo,
mâtiné d’hérésie
et macho jusqu’aux os :
… il enfermait sa belle !
Mais belle hypocrisie,
ce drolatique oiseau
se payait fantaisie
du genre intermezzo :
… il cocufiait sa belle !
Mais la belle Isabelle,
pas dupe pour un sou,
croquait la mirabelle
avec le gars du d’ sous :
… tout cocu le zozo !
Moralité :
Les belles jalousies,
même peintes en bleu,
n’empêchent pas la vie
de s’amuser un peu
… sur le dos des … zozos !
Pierre Dupuis
"Le gîte du Grand Villars," ... un petit devoir de vacances de ... Pierre
Un petit clin d’œil à notre gîte de vacances du mois de juin, c'est la bâtisse qui abrite mon vieil ami l'escalier !
Il se situe dans l'extrême sud de la Vienne à 6 Km d'Availles-Limouzine sur la commune de Pressac.
Le gîte du Grand Villars,
Une maison chargée d’histoire
Rénovée de belle façon
Où se côtoient à l’unisson
Le temps présent et la mémoire.
Vielles poutres, vieilles armoires
Sachant de charmantes chansons
Entendues selon les saisons
Et aux thèmes évocatoires.
Des prés, des moutons et des bois,
Un grand étang, voilà l’endroit
Où se situe le très beau gîte
De Bernadette et de Gérard
Où l’on se sent bien tout de suite :
Tout est à prendre au Grand Villars !
Pierre Dupuis
Un petit clin d’œil à notre gîte de vacances du mois de juin, c'est la bâtisse qui abrite mon vieil ami l'escalier !
Il se situe dans l'extrême sud de la Vienne à 6 Km d'Availles-Limouzine sur la commune de Pressac.
Le gîte du Grand Villars,
Une maison chargée d’histoire
Rénovée de belle façon
Où se côtoient à l’unisson
Le temps présent et la mémoire.
Vielles poutres, vieilles armoires
Sachant de charmantes chansons
Entendues selon les saisons
Et aux thèmes évocatoires.
Des prés, des moutons et des bois,
Un grand étang, voilà l’endroit
Où se situe le très beau gîte
De Bernadette et de Gérard
Où l’on se sent bien tout de suite :
Tout est à prendre au Grand Villars !
Pierre Dupuis