poesie
" Le jeune abbé et Lucie, la succube, " un poème traitant du célibat des prêtes, de ... Rotpier le réformiste !
Le poème infernal du jour
tout chaud sorti de chez le satanique Rotpier !
Image du net: une succube bien ronde ... c'est carré !
Prologue :
Je m’en vais vous conter l’histoire
de la tentation d’un abbé
où le diable cria « victoire ! »
et dieu « il m’a bien entubé ! »
Il connaissait bien la diablesse :
elle venait se confesser
chaque dimanche avant la messe,
il en était embarrassé !
C’était des histoires de fesses
qu’elle déballait à dessein,
comptant bien sur une faiblesse
de l’abbé un jour pour ses seins !
Poitrine pleine de promesses
qu’elle lui mettait sous le nez
et ses yeux remplis de détresse
en étaient tout congestionnés !
Il essayait avec mollesse
d’arriver à se dégager
de cette Lucie chasseresse
qui voulait voir l’abbé céder !
La succube avec allégresse
arriva un jour à ses fins
et elle devint sa maîtresse
à la grande joie du malin !
Et c’est ainsi qu’il succomba
mais sans quitter son ministère :
seule la soutane tomba
sur les pavés du presbytère !
Tout ce que l’abbé regretta
c’est d’avoir retardé l’affaire
et il chanta l’alléluia,
laissant la belle Lucie faire !
Epilogue :
Le bon dieu étant bon joueur
se dit « J’ai perdu la partie,
Lucifer a été meilleur :
c’est un canon cette Lucie ! »
S’il continue à l’employer
je vais devoir fermer boutique,
tous mes prêtes vont y passer,
il me faut changer de tactique !
Je vais devoir sans restriction
autoriser le mariage,
valider la fornication
si je veux rester à la page !
Mes curés ne sont pas de bois
et comme ils ne sont pas eunuques,
je me dois de changer mes lois
qui sont devenues bien caduques !
Pareil pour les sœurs des couvents,
elles seront en minijupes
et je ferais souffler le vent
pour que mes curés s’en occupent !
Je m’en vais ouvrir sur Facebook
une agence matrimoniale,
quelque chose de très new-look,
pour les curés et les moniales !
Il faut à tout prix évoluer
si l’on veut rester dans la course,
il ne faut pas sous-évaluer
les problèmes liés aux bourses !
Le Rotpier
La fable un peu cavalière du jour: " Le cordonnier en reconversion, " ... de Rotpier !
Image du net bidouillée par le Rotpier
Fable :
Le cordonnier en reconversion,
Son grand-père était cordonnier
son père avait repris l’échoppe
mais même en étant philanthrope
lui dû poser son tablier.
N’ayant plus rien à réparer
plus de souliers plus de bottines
venant du Vietnam ou de Chine
à peine usés sitôt jetés.
Il lui fallut se recycler
mais le choix n’était pas facile
intelligent ou imbécile
ça relève du coup de dés.
Hors de question d’aller pointer
au bureau de l’ANPE
il avait en horreur les queues
il était sûr de s’en tirer.
Car il avait de gros atouts
s’il n’était pas un vrai colosse
par contre il était très beau gosse
et avait pas mal de bagout.
Un copain un mec rigolo
lui dit pour la plaisanterie
essaie donc la galanterie :
tu peux devenir gigolo !
Après avoir bien rigolé
il se dit qu’après tout l’affaire
promettait d’être argentifère
alors il se laissa tenter.
En peu de temps il assura
il se fit une clientèle
de dames et de demoiselles
et il se forgea une aura.
Plus de souliers à réparer
mais il maîtrisait les galoches
avec les belles et les moches
qui avaient de quoi le payer !
Elles se battaient pour l’avoir
surenchère sur surenchère
un jour la femme d’un notaire
vendit un splendide sautoir.
Cela fit beaucoup jaboter
chez les messieurs et chez les dames :
vendre un sautoir sans états d’âme
rien que pour se faire sauter !
Un jour il croisa un émir
qui était de façon patente
homo et pas que sous sa tente
et qui frétillait de désir !
Il lui proposa un pont d’or
qui mit fin à sa résilience :
balayé le cas de conscience
et il passa au corps à corps !
L’expérience le dégoûta
comme il avait fortune faite
il entassa dans sa musette
tout son pognon et se barra.
Sur les conseils d’un marabout
il s’installa dans une hutte
quelque part du coté des chutes
du Zambèze et devint gourou.
Comme il se sentait isolé
il rechercha une compagne
dans ce pays peu de cocagne
il trouva une chimpanzé.
Bon ce n’était pas le Pérou
mais elle était très amoureuse
même un peu trop accapareuse
car elle le suivait partout !
Leurs rapports étaient langoureux
sous leur hutte en paille tressée
loin de toute arrière pensée
l’ex-cordonnier était heureux !
Moralité ( un peu cavalière je l’avoue ) :
Après s’être frotté partout
le long d’une vie bien remplie
pourquoi pas la zoophilie :
chacun son choix épicétout !
Si les curés faisaient pareil
les enfants seraient plus tranquilles
plus d’attouchements pédophiles
tout serait beau sous le soleil !
Le Rotpier
Joyeux Noël à tous ! ... Par ... Pierre et Rotpier !
A toutes et à tous :
Joyeux Noël !
Je vous souhaite à tous un excellent Noël
Que vous soyez chrétien ou autre: peu importe !
Ce qui compte c’est de savoir ouvrir la porte
À toutes les idées qui ne sont pas de fiel !
Les religions ne sont souvent que des tremplins
Qu’utilisent certains, assoiffés de puissance,
Ils les détournent en prônant l’intolérance,
Exacerbant la haine et la peur du prochain !
Quand on fait le bilan des exterminations
Menées au nom des dieux on devient vite impie !
Croire à un changement est peut-être utopie
Mais le fait d’essayer n’est pas aberration !
Pierre Dupuis
Il parle bien le Pierre ! Moi, je ne sais pas faire mais je vous souhaite aussi un excellent Noël !
Allez quand même faire un petit tour à une messe de minuit, on y rencontre des vieilles bigotes qui sont des femmes folles de la messe. Ont-elles des prothèses qui s’affaissent ? Moi, je ne sais pas mais l’abbé le saura en confesse demain : c’est toujours lui qui a le choix dans la date !
Le Rotpier
Image du net !
A mardi prochain si vous le voulez bien !
A moins, à moins que vous soyez encore dans les brumes de l'alcool ou dans les suites d'une crise de foie ou de foi !
Ou que vous ne puissiez plus m'encadrer !
Le poème un peu d'anticipation du jour : " La trouée, " de ... Pierre
.
Image du net
Préambule :
C’était en 2054,
le 15 janvier pour être précis.
La trouée,
Il faisait sombre ce jour là.
Sombre, très sombre même.
Un brouillard visqueux, collant, gluant
enveloppait tout : le décor et les gens.
On ne voyait que des ombres
qui se déplaçaient lentement, très lentement.
On se serait cru à Londres
dans le fog, en bordure de Tamise
mais là, pas de Big Ben, juste la Seine
quelque part en contrebas.
Ce n’était pas la première fois que cela arrivait
mais là, c’était, de mémoire d’homme, le summum !
Des sectaires niaient encore
les effets du dérèglement climatique.
Parmi eux, des quasi psychopathes
niaient le réchauffement lui-même !
Tous les fous n’avaient toujours pas de fil à la patte !
Loin de là, bien loin de là !
Au milieu d’un silence angoissant,
l’espace d’un instant,
mon regard accrocha quelque chose,
un point lumineux presque invisible.
Cela ne dura qu’une fraction de seconde
puis, plus rien … et à nouveau il fut là.
Mon œil, le droit, le prit pour cible.
Il grossissait lentement, très lentement,
c’était à peine perceptible
pourtant il s’élargissait, c’était indéniable.
Puis, ce fut comme une trouée
oui, une trouée, c’est le nom le plus approprié.
Déjà plusieurs mains la pointaient du doigt.
Un long murmure s’éleva,
pas encore une clameur jusqu’à ce que,
juste en son milieu, jaillisse un rayon de soleil.
Il était bien là l’astre disparu,
derrière, tout simplement derrière.
Un illuminé, pas par le rayon, se jeta à genoux
et s’écria : « Ô miracle ! »
Il y eu peu d’écho pour reprendre le mot,
les temps n’étaient plus aux tabernacles,
pour l’église c’était la grande débâcle,
elle avait traversé trop de scandales
et elle avait chuté à la verticale
cul par-dessus tête et le clergé aussi.
Terminé, plié, balayé :
l’apocalypse méritée.
A défaut de miracle,
c’était le vent qui faisait son travail,
on peut toujours compter sur le vent.
Il balayait maintenant avec vigueur
les nappes de brouillard
qui s’étaient accumulées là, on ne savait pourquoi.
Il y aurait des explications.
Des explications, il y en a toujours
mais elles viennent plus tard,
parfois trop tard.
Elles sont plus ou moins bonnes,
plus ou moins scientifiques,
assez souvent hasardeuses
voir totalement fantaisistes !
C’est de préférence, ces dernières
qui allaient être relayées sur les réseaux sociaux.
Pour l’instant, et par petits groupes,
les gens discutaient, les banalités pleuvaient.
Bientôt, la routine reprenant,
chacun retournerait à son écran
dans un grand élan de compulsion maladive.
Y échapperaient quelques vieux, très peu,
des épargnés de cette pandémie
de l’écran à tout prix.
Il en restait encore,
peut-être leurs organismes avaient-ils
fabriqué des anticorps ?
Pierre Dupuis
La fable du jour : " Festival des " t " en automne, " une fable pas très éthique du Rotpier !
Image du net
Fable pas très éthique
et toc et tac et tic !
Festival des " t " en automne,
C'était sous un arbre étêté
que le teuton têtu tatoué
tâta à tâtons la teutonne
il en resta tétanisé !
Il la tutoya aussitôt :
" Quand tes tétons sont titillés
Et puis qu'ensuite ils sont tétés
Peut-on plus bas te tripoter ?
La teutonne tout excitée
Lui dit : " Tu peux tâter le bas
Et patati et patata ... "
C'est ce qu'il fit et patatras !
La teutonne était un teuton
Avec de gros et faux tétons
Pour résumer une tata
Il s'écria " Taratata ! "
Il se tailla à toute allure
Car l'autre baissait son tutu
Drôle de titi le toto
Très loin d'être une sinécure !
1ère moralité :
Il y a teutonne et teutonne
Il faut toujours être aux aguets
Un travelo peut se glisser
Dans les habits d'une mistonne
2ème moralité :
On peut tout tâter à tâtons
En été ou bien en automne
Mais attention aux autochtones
Arborant de très gros tétons !
Précepte saisonnier :
Mieux vaut attendre le printemps
Tant pis pour la petite attente
C’est une saison très tentante
Pour les contacts concupiscents !
Le Rotpier
J’ai deux mots à vous dire … enfin … un peu plus ! Le poème du jour : ” Jeux de mots sur mots dits et mots mis ! ” de … Pierre !
Allez, je redémarre doucement.
Ce ne sont que des mots mis un mardi, sans sarcophage ni bandelette, mais qui peuvent quand même bien se conserver dans le temps... enfin, je le pense.
Image du net
Jeux de mots
sur mots dits et mots mis !
Je m’en vais vous parler de mots :
j’ai quelques mots, tôt à vous dire !
Les mots tard seront pour tantôt,
pour les mots laids, je crains le pire !
J’ai des mots mis bien de coté
et j’ai aussi des mots dits « fiables »,
qui servent bien pour papoter,
en pyramide et permutables !
Quand, d’un seul coup, un bon mot naît,
on se réjouit de sa naissance,
le nain fait « ah ! » et c’est parfait
quand c’est un mot de bonne essence !
Des mots d’Elle qui vont chantant,
même jaloux - pas de délire ! -
ne brisez pas des mots charmants :
n’allez pas casser des mots « lyre » !
Il y a aussi les mots « cas »
qui ne sont pas tous de la crème !
Méfions nous aussi des mots las
qui tendent parfois à l’extrême !
" Allah akbar " il a bon dos
quand des mots dits sont des menaces,
pour ces gars-là pas de cadeaux :
il faudra bien qu'on les terrasse !
J’ai en réserve d’exquis mots
avec date de garantie !
Je les garde dans mon frigo
pour une fraîche poésie !
Je possède de maxi mots,
des longs comme un jour de tristesse,
d’autres que certains disent gros
et qui riment bien avec fesses !
Si un mot erre presqu'à poil
il risque une très grosse fièvre,
la caresse à rebrousse-poil
tend toujours à le rendre chèvre !
Surveillons de près les mots dits :
ne déversons pas de mots « bile »,
ceux qui attisent les conflits
sans qu’il y ait de vrais mobiles !
Evitons la recrudescence
des mots tirés par les cheveux :
les mots « tifs » sont la quintessence
de deux fois rien coupé en deux !
N’allez pas railler ces mots mis,
les jeter dans un sarcophage :
vous ne seriez plus mes amis
car ce serait un bizutage !
Si vous jetiez mes mots lestés
de grosses pierres à la flotte,
j’en viendrais à vous molester
à coups de pieds et de calottes !
Menacés d’être excommuniés
mes mots hurleraient dans les rues
en criant comme poissonniers :
car malmenés bien des mots ruent !
Ne me balancez pas vos mots
en plein nez ce serait dommage,
je ne veux pas de bris de mots :
je pourrais en faire un fromage !
Ne déclenchez pas de big-bang
en me balançant des injures
car souvent façon boomerang
on les reprend dans la figure !
Je ne vais pas vous embarquer
plus en avant dans ma spirale,
quand vous allez m’apostropher :
je ne veux pas que vos mots râlent !
Pierre Dupuis
Nota: Mots déjà égrenés !
" Cortège ": le poème du jour de ... Pierre
Ceux qui me suivent sur les blog ( depuis 2006 ) ont lu souvent ce poème. J'y ajoute chaque fois quelque chose mais il reste là ...
Aujourd'hui derrière ... demain devant ... ce n'est pas toujours le premier qui décroche le billet gagnant ...
Parce que ...
.Parce que, petit à petit,
inexorablement,
l’étau se ressert
quoi que tu penses
quoi que tu dises
quoi que tu fasses.
Le chemin de ta vie
rétrécit comme peau de chagrin
et Balzac n’y est pour rien.
Tu n’es qu’un infime rouage
de la mécanique - ô combien compliquée ! -
que le maître a dépeint
comme : « La Comédie humaine ».
Tu es là et elle tourne la mécanique.
Tu pars et elle tourne encore,
bien huilée : impitoyable et broyeuse.
.
Au suivant ...
Cortège,
En cortège derrière
le dernier qui s’en va,
que tu sois Paul ou Pierre
tu y penses déjà :
… « Le prochain … c’est moi ? »
Doucement tu chemines
et l’ombre des cyprès,
voyant que tu rumines
t’enveloppe de près
murmurant : « C’est possible mon gars ! »
Et soudain tu frissonnes,
tu presses un peu le pas,
tu rejoins la colonne
évitant le faux-pas
et tu te dis :
« J’ai encore le temps
… le temps de ne pas être devant. »
Pourtant … pourtant
... tu sens... tu sens
que l’ombre des cyprès t’enveloppe déjà !
Pierre Dupuis
A mardi prochain ...
La fable du jour: " Le vieux crocodile, " de ... Rotpier
Image du net !
Fable-sonnet immuable :
Le vieux crocodile,
C'était un très vieux crocodile
Qui autrefois régnait en roi
Il dictait seul sa propre loi
Sur le marigot et sur l'île.
Tous les mâles étaient serviles
Connaissant sa force au combat
Les femelles passant par là
Cherchaient à nouer une idylle.
Quand un blanc-bec se permettait
La moindre faute de respect
Il se prenait un coup de queue
Qui le mettait net au tapis
C'était à ce moment là que
Ton son harem était ravi !
Mais ...
Le temps étant impitoyable
Ses forces avaient décliné
Les jeunes s'étaient mutinés:
Il ne régnait plus sur le sable.
Moralité :
Il ne faut pas oublier que
Tous les règnes ont une fin
Et même en restant très malin
On n'est plus si fort de la queue.
Aphorisme :
Dans le marigot politique
Cela se passe caïman
Pareil et même en plus saignant:
Le milieu n'est pas romantique.
Le Rotpier
Le poème du jour : " Le turlupin, " de ... Pierre !
Image du net
Le turlupin,
Je suis trivial de temps en temps
mais dans le fond modérément
un turlupin disons modeste
à ne pas fuir comme la peste !
Je dois ça à mes jeux de mots
que certains trouvent immoraux
moi je les trouve raisonnables
pouvant être servis à table !
Et quand j’évoque les zizis
les galipettes et les frifris
j’emploie des expressions courantes
légères mais pas impudentes !
Sauf…
Sauf pour la classe des imbus
qui pètent plus haut que leur cul
en société et en famille
mais qui matent les bas des filles !
Leurs écrits sont très ampoulés
ils abhorrent le familier
chastes dans leur vocabulaire
mais aux regards patibulaires !
Et foin de tous ces gens chafouins
je les emmerdent de près de loin
même si j’ai des écrits lestes
je reste un turlupin modeste !
Je pourrais les traiter de cons
de coincés et de vieux barbons
juste un instant pour voir leurs mine
m’en abstenir me turlupine !
Mais je leur donnerais raison
de ça il n’en est pas question
je m’emploie à fermer la page
pour éviter tout dérapage !
Ils vont me dire : « C’est déjà fait ! »
bien sûr ils seront dans le vrai
alors tant pis là je me lâche :
aux chiottes les vieilles ganaches !
Péroraison :
Du coup …
Ils vont pouvoir ça c’est certain
me classer dans les turlupins
les histrions ou bien les pitres
et pour finir dans les bélitres !
Si je m’en vais sur ce chemin
me suivrez-vous encor demain ?
Vous avez votre libre arbitre
et vous avez droit au chapitre !
Le poème du jour : " Le roi des crétins et le tamanoir, " de ... Rotpier
.
Le roi des crétins et le tamanoir,
J’ai connu un gars pas très futé
qui avait des fourmis dans les pieds
il était parti idée toxique
chasser le tamanoir au Mexique.
Je l’avais quasiment oublié
quand un beau jour il a débarqué
dans un état fort catastrophique
d’un vieux coucou venu d’Amérique.
Il était dans un fauteuil roulant
il m’a tout raconté en chialant
il s’était fait bouloter les pattes
par un gigantesque tamanoir.
Il était devenu cul-de-jatte
dans un fauteuil du matin au soir !
Épilogue :
Il pleurnichait comme un marmouset
alors qu’il était le seul coupable
d’un fort abrutissement palpable
propre à être anathématisé !
Moralité :
Quand on a des fourmis dans les pieds
il faut être un abruti notoire
avoir les neurones en branloire
pour aller chasser le fourmilier !
.
C’est bien pitoyable de chialer
de rechercher des échappatoires
il faut trancher sans faire d’histoire :
deux ou trois balles dans le buffet !
La roulette russe c’est certain
est une solution radicale
surtout quand on met toutes les balles
et que le barillet est fin plein !
Le Rotpier