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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

pastiche de chanson

"Elles courrent, elles courent les valises" ... la petite contine du jour de ... Rotpier

23 Septembre 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

 

Allez, une petite contine qui vous

rapellera votre jeunesse !

 
 

 

 

xxxxxxxx

 

Maintenant … une autre d’actualité !

 



Petit pastiche sur l’air de :

 

« Il court, il court le furet »

 

 

 

 

 

Elles courent, elles courent les valises !

 

 

 

Elles courent, elles courent les valises 

 

les valises Oh ! quel ramdam !

 

Elles courent, elles courent les valises 

 

les valises avec Bourgi !

 

 

 

Elles sont passées par ici

 

les valises Oh ! quel ramdam !

 

Elles sont passées par ici

 

pour arriver à Paris !

 

  

 

 

Elles courent, elles courent les valises 

 

les valises dans Paname

 

Elles courent, elles courent les valises 

 

les valises pour Chichi !

 

 

 

Elles repasseront par là

 

les valises on les réclame

 

Elles repasseront par là

 

par Bazire Nicolas !

 

 

 

Elles courent, elles courent les valises 

 

les valises Oh ! Miam miam miam

 

Elles courent, elles courent les valises 

 

Takéddine sait le cuircuit !

 

 

 

Elles sont remplies de billets

 

pour Edouard c’est un sésame

 

il pourra se présenter

 

faut du fric pour les biscuits !

 

 

 

Elles courent, elles courent les valises 

 

les valises Oh ! quel ramdam !

 

Elles courent, elles courent les valises 

 

l’Elysée a démenti !

 

 

 

Nous on ne sait rien ici

 

on le jure on le proclame

 

Nous on ne sait rien ici

 

c’est Nicolas qui l’a dit !

 

 

 

Elles courent, elles courent les valises

 

les valises messieurs mesdames 

 

Elles courent, elles courent les valises

 

et ça sent le « Tous pourris !» !

 

 

 

et ça sent le « Tous pourris ! » !

 

 

 

                           

 

                                          Rotpier

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le pastiche du jour: "Padam ... Padam" d'Edith Piaf qui devient "Pas MAM ... Pas MAM ..." de ... Rotpier !

18 Février 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

Allez !

Je vous offre un petit … pastiche !

A la vôtre !

 

Cette foi-ci :

 

«  Padam … Padam …  »

d’Edith Piaf

 

qui devient :

 

          « Pas MAM… Pas MAM…»

De … Rotpier

 

Recette pour bien le déguster :

 

1)   Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

 

2) On écoute religieusement l’artiste !

 

3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !

Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !

Donc : on écoute !

 

 
 
 
 
 

Maintenant on y va !

 

 

Pas MAM ...  Pas MAM ...


Cet air qui l'obsède jour et nuit
C’est clair qu’il sent le Ben Ali
Il vient d’un micmac tunisien
Couplé d’un voyage aérien
Un jour cet air la rendra folle
Elle a juré sa bonne foi
On lui a coupé la parole
Cet air est repris à chaqu’ fois
Et sa voix couvre sa voix

Pas MAM … Pas MAM … Pas MAM …
Elle a trop magouillé cette fois
Pas MAM … Pas MAM … Pas MAM …
Elle a trop fait de cinéma
Pas MAM … Pas MAM … Pas MAM …
Ell’ nous a entubé et voila
Elle traîne après ell’  tout un tas de cass’ roles
Comment croire en sa parole

Il dit: "Rappelle-toi toujours
Rappelle-toi puisque c'est ton tour
Y a pas d' raison pour qu' tu ne chial’  pas
Nous on pass’ pour des cons là-bas ...
Compte bien le peu qu’il te reste
Pour te défendre au jour le jour
Finit le temps des grands amours
Cet air te coll’ ra toujours »


Pas MAM … Pas MAM … Pas MAM …

Ça commence à sentir le grillé
Pas MAM … Pas MAM … Pas MAM …
Ell’  va être à coup sûr débarquée
Pas MAM … Pas MAM … Pas MAM …
Ell’  va devoir faire ses paquets
Et tout ça pour tomber juste au coin d' la rue
Sur cet air qui l'a reconnue
...
Écoutez le chahut qu'il lui fait
...
Comme si tout son passé défilait
...
Elle aura du chagrin pour après
Ell’  n’en finira pas de se mordre les doigts...
De maudire sa langu’  de bois...

 

Pas MAM … Pas MAM … Pas MAM …

La la la la la la la la la …

 

Pas MAM … Pas MAM … Pas MAM …

La la la la la la la la la

 

 

Rotpier

 

 

 

Et pis c’est tout !

 

A la vôtre !

 

 

 

Avec modération SVP !

 

Rotpier

 

 

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Crise en Belgique : " Le plat pays " de Jacques Brel " ... revisité par ... Pierre. Un pastiche sérieux .

18 Janvier 2011 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

 

A nos voisins et amis belges.

 

 


 

 

Comme j’avais déjà écrit un couplet samedi dernier, il m’a semblé naturel d’écrire les trois autres.

 

    Pierre Dupuis

 

 

La-mer-du-Nord.jpg

 

Image du net

 

 

Pastiche de la chanson

« Le plat pays de Jacques Brel »

pour nos amis belges.

 

 

A toi, ami du plat pays,

 

Face à la mer du Nord les voila sous les vagues

Les flamands les wallons se battent et divaguent

Ils tiennent des propos qui même les dépassent

Qui les noient un peu plus et les mènent à l’impasse

Avec infiniment de malheurs à venir

Aura-t-il le sursaut qui le fera tenir

Le plat pays qui est le tien

 

Avec le BHV la discorde est montagne

Les drapeaux sont plantés comme mats de cocagne

Avec pour objectif la quête des suffrages

Plutôt que de céder préférant le naufrage

Oubliant les bonjours oubliant les bonsoirs

Avec ce vent de haine écoute-le déchoir

Le plat pays qui est le tien

 

Avec un fiel si lourd que tout semble perdu

Avec le fiel gluant de l’animosité

Avec ce fiel lâché dans les malentendus

Avec ce fiel craché comment se pardonner

Ils ont perdu le nord et vont l’écarteler

Le conduire au chaos et le désintégrer

Le plat pays qui est le tien

 

Finie la litanie des actes et des mots

Remettez tout à plat étalez tous vos maux

Oubliez les rancoeurs oubliez les jamais

Mettez-les entre deux solides guillemets

pour que revienne enfin quelque sérénité

et qu’un autre grand Jacques revienne le chanter

Le plat pays qui est le tien

 

                                          Pierre Dupuis

 

 

 

 

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Pastiche de la chanson « Les filles du bord de mer » de Salvatore Adamo qui deveint : "Tu t’en souviens mémère," de ... Rotpier !

31 Décembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

Pour fêter cette fin d’année

Je vous offre un petit … pastiche !

A la vôtre !

 

Cette fois-ci :

 

" Les filles du bord de mer " 

de Salvatore Adamo

 

qui devient :

 

         "Tu t’en souviens mémère" 

De … Rotpier

 

Recette pour bien le déguster :

 

1)   Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

 

2) On écoute religieusement l’artiste !

 

3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !

Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !

Donc : on écoute !

 

 

 

Maintenant on y va !

 

Les-filles-du-bord-de-mer 

 

Tu t’en souviens mémère,

 

Ah ! Oui tu t’en souviens mémère

Du temps de la cuisse légère

Quand un beau gars dans les fougères

Te faisait voir tout à l’envers !

Naïve autant que t’étais belle

Tu balançais ton port’ jarretelles

Aimant pour fair’  ce genr’  de sport

Être aussi nue qu’un doryphore !

 

Et encore et encore … des fois t’oubliais tes bas !

 

Z’étaient chouett’  tes guiboles mémère, soin soin soin

Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin

 

Ton préféré c’était Estève

Il en avait une de rêve

Mais il avait un gros défaut

Il s’endormait sur le boulot !

Tu t’y mettais avec ta sœur

Pour réveiller le gros dormeur

En le patrouillant d’  bon cœur en douceur en douceur

En douceur avec ta sœur !

 

 Z’étaient chouett’  tes guiboles mémère, soin soin soin

Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin

 

Lui pardonnant cette manie

Tu partag’  avec lui ta vie

Mais comme il ne fait que ronfler

Tu n’es pas du tout contentée !

Comme tu ne perds pas le nord

Tous les soirs tu rejoins l’Hector

Un gars complètement sourdingue

Mais très balèze pour la tringle !

 

Puis un beau jour t’en as en marre

T’as mis l’ Estèv’  dans un placard

T’as pris l’Hector et son oiseau

Et t’as nagé vers d’autres eaux

En douceur en douceur

 

Z’étaient chouett’  tes guiboles mémère, soin soin soin

Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin

 

La la la la la la la la la la la !

La la la la la la la la la la la !

 

 

                                Rotpier

 

 

 

 

Et pis c’est tout !

 

A la vôtre !

 

verre pour trinquer

 

Avec modération SVP !

 

Rotpier

 

 

 

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Le pastiche du jour: " Il suffirait de presque rien de Serge Reggianni " transformé par le Rotpier !

2 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

Je vous ressers ce petit … pastiche !

A la votre !

 

 

«  Il suffirait de presque rien »

de Serge Reggiani

 

qui devient :

 

«  Le gigolo de Saint-Germain »

de Rotpier

 

  

Image du net

  

Recette pour bien le déguster :

 

1)   Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

 

2) On écoute religieusement l’artiste !

 

3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !

Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !

 

 

 

Donc : on écoute !

 
 
 
 

Maintenant on y va !

 

 

Il suffisait de presque rien

D’un peu plus de forc’ dans les mains

Pour te balancer du sixième

J’en rêvais depuis le matin

Dans l’appart’ de Saint-Germain

Où tu me poses des problèmes

 

Et ce n’est pas du cinéma

Boucle-là et regarde-moi

Vois les rides qui nous séparent

A quoi bon jouer la comédie

De la vieille qui rajeunit

Ça fait rigoler ton miroir

 

Un jour je vais te foutre en l’air

Et tant pis pour les commentaires

« C’est son ami elle avait finit de lui plaire

Son compte était à découvert »

 

Il suffisait de presque rien

Du pognon planqué dans un coin

Pour qu’encore une année je reste

Tu es bête mais tu comprends

Qu’en frôlant tes soixant’ cinq ans

Tu es bien loin de ta jeunesse

 

Tu ne sais même plus sourire

Quand je te vois mon cœur chavire

J’en vomis tellement c’est triste

Imagine ma vie demain

Tout à coté d’un tas en train

De se couvrir de mille kystes

 

Vraiment de quoi aurais-je l’air

J’entends déjà les commentaires

« Il est joli, comment peut-il encor’ s’ la faire

Ça doit relever de l’enfer »

 

Et ce sera bien moi demain

Qui t’emm’ ra à Saint-Germain

Dans un grand trou du cimetière

Il suffisait de presque rien

Que tu aies quarante ans de moins

Et des revenus de banquière …

 

Rotpier

 

Et pis c’est tout !

 

A la vôtre !

 

Avec modération SVP !

Sinon, cela donne ça!

 

 

Rotpier

 

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" Chanson pour l'auvergnat " ... pas de Brassens, mais de ... Rotpier !

19 Octobre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

 

  

  

  

C’est un pastiche qui n’en est pas tout à fait un, mais qui le frôle quand même !

 

Je vous mets le grand Georges !

 

 

 

 

A toi, le toubib auvergnat !

 

 

Chanson pour l’auvergnat,

 

Elle est à toi cette chanson

Toi l’auvergnat qui sans façon

M’a donné un très bon conseil

Quand ma vie manquait de soleil

 

J’avais choppé des champignons

D’accord c’était bien la saison

Des salop’ ries  microscopiques

qui te gattouill’ et qui te piquent

Je vous vois déjà rigoler

Vous éclater vous gondoler

En pensant que le Rotpier passe

Son temps dans les maisons de passe

Stop ou je vais vous détester

Non pas question de MST

Mon estomac et puis ma bouche

C’était le siège de la couche

 

Toi l’auvergnat quand tu mourras

Quand le Croqu’ mort t’emportera

Qu’il te conduise à travers ciel

Au père éternel

 

Ça virait à la corrida

Un champignon le Candida

Avait choisi d’être mon hôte

Je voulais pas c’est pas ma faute

Je n’étais candidat à rien

Il m’a mis dans un sal’ pétrin

Avec une bell’  candidose

J’avais pourtant déjà ma dose

Vous allez sûr me demander

Comment t’a su ça le Rotpier

Je vais vous le dire tout net

Je connais un gars sur le net

 

Toi l’auvergnat quand tu mourras

Quand le Croqu’ mort t’emportera

Qu’il te conduise à travers ciel

Au père éternel

 

Car ce  gars-là est auvergnat

C’est un toubib pas un bougnat

Il m’a dit « faut que tu consultes

Tu verras ce qui en résulte »

Après cette consultation

J’ai su qu’il avait bien raison

Mon toubib m’a dit « candidose »

Il avait bien cerné la chose

Merci à toi ô Glorfindel

car c’est comme ça qu’il s’appelle

Je peux enfin manger à l’aise

et pas le cul entre deux chaises

 

Elle est à toi cette chanson

Toi l’auvergnat qui sans façon

M’a donné un très bon conseil

Quand ma vie manquait de soleil

 

Toi l’auvergnat quand tu mourras

Quand le Croqu’ mort t’emportera

Qu’il te conduise à travers ciel

Au père éternel

 

                                    Rotpier

 

 

  

  

  

Définition de la candidose (digestive pour moi) :

Une candidose est une infection fongique causée par des levures du genre Candida. Le terme peut désigner tout une gamme de manifestations pathologiques ayant pour facteurs ces champignons.

Candida albicans, l'espèce la plus fréquente, fait partie de la flore habituelle de l'oro-pharynx ou du tube digestif.

  

Sources : Wikipédia

  

Cela provoque : perte du goût, maux d’estomac, diarrhées, perte de l’appétit pour ne pas dire blocage total et en conséquence directe : une perte de poids importante.

  

Nota : Il est à peu près certain que ma candidose digestive fasse partie des effets indésirables de mon traitement pour bloquer mes gros bobos !



 

 

 
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A monsieur le Président ... Sarkosy . Un petit pastiche de la chanson de Boris Vian par … Pierre : " Le déserteur " devient " L'accusateur "

13 Octobre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

 

 
 
 

Un petit  pastiche de la chanson de Boris Vian par … Pierre

 

Pour bien se mettre l'air en tête:

 

1)   Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

 

2) On écoute religieusement l’artiste !

 

3) On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre

 

Donc : on écoute !

 

 

 

Maintenant on y va !

 

L’accusateur,

 

Monsieur le Président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps

Je garde en ma mémoire

Tout’ vos façons de faire

Vous êtes un exemplaire

De charlatan notoire

Monsieur le Président

Dès le début d’ votre ère

Vos frasques légendaires

Nous ont plombé vraiment

Partout à l’étranger

On guettait vos bêtises

Même sur la banquise

Les ours ont rigolé.

 

Le Fouquet’s pour dîner

et ensuit’  la croisière

ça il fallait le faire :

« Je vous emmerd’ vraiment ! »

Pour le peuple c’est clair

Vous avez fait la bombe

De Gaulle dans sa tombe

Devait en être vert

A peine à l’Elysée

Vous avez changé d’ femme

La prochaine au programme

L’avez-vous repérée ?

Un jour sur un salon

Vous lancez très à l’aise

Belle langue française

« Eh bien ! Cass’ toi pauv’ con ! »

 

Vous placez votre fils

A la têt’ de l’ EPAD

Et c’est la reculade

 Le tout in extremis

 Vous traitez comme un chien

Votre Premier Ministre

Comme un pauvre lampiste

Et lui il ne dit rien

Vous nommez vos amis

Sous le seul fait du prince

Même si cela grince

Jusqu’à votre parti

La chancelièr’  Merkel

Que vous trouviez molasse

Vous léchez ses godasses

Comme un petit teckel

 

Vous êtes un voyou

Pour le journal Marianne

Sous la plume de Kahn

C’est mérité c’est tout

Maintenant le matin

Vous délogez les ROM

Même le pape à Rome

Nous taxe d’inhumains.

Vous êtes un Président

Prit en flagrant mensonge

Quand à cela l’on songe

On en frémit vraiment.

Dans les autres pays

Vous faites les gros titres

On s’en prend plein la frite

Vous nous avez trahi

 

Pour gagner quelques voix

Vous jouez populiste

Vous vous feriez trappiste

Ou bien n’importe quoi

Entouré de vassaux

De traîtres et de sbires

Qui entre eux se déchirent

Pour avoir un morceau

Mais quand viendra le jour

De solder tous les comptes

Ce serait une honte

D’oublier cette cour

Je m’en vais publier

dans toutes les chaumières

Grâce à la blogosphère

Ce caustique billet.

 

Monsieur le Président

Si je suis socialiste

Je ne suis pas gauchiste

Et je suis tolérant

J’ai toujours respecté

Les Présidents de droite

Ma vue n’est pas étroite

Je ne suis pas borné

Mais vous vous faites trop

De mal à notre France

Par toutes vos outrances

Vous êtes un fardeau

Vous avez verrouillé

Le parti qui vous porte

Mais pourtant quelques portes

Commencent à bouger.

 

Les vrais républicains

Ont bien pris la mesure

De votre démesure

A part quelques requins

Il y aura aussi

Beaucoup d’opportunistes

Qui rejoindront la liste

Quand viendra l’hallali

Changer de Président

Voila la grande urgence

L’avenir de la France

Grandement en dépend

Si vous me poursuivez

Prévenez vos gendarmes

que je n’aurais pour arme

Que ma plume acérée

 

… que ma plume acérée.

 

 

                           Pierre Dupuis

 

 

Parce que cet homme ridiculise et déshonore la France

et qu'il serait capable de n’importe quoi pour être réélu.

 

 

 
Image du net
 
 
 
 
 
 

 

 

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" Le métèque " de Moustaki ... qui devient : " Avec ma gueule de pauv’ mec, " par ... Rotpier

24 Août 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

 

 
 
L'autodérision ne me pose aucun problème !



Quoi !
 
Qu'est-ce qu'elle a ma gueule ?
 
 
 
 
 
Le Rotpier par lui-même !
 
 
 
 

Pastiche de la chanson de Moustaki :

« Le métèque »

 

 

 

 

Avec ma gueule de pauv’ mec,

 

Avec ma gueule de pauv’ mec

mon pif énorme et jamais sec

et mes cheveux qui vont tombant.

Avec mes pieds très mal lavés

qui empestent tout le quartier

où je ne vais plus si souvent.

Avec mes mains de débardeur

qui font très peur aux bonnes sœurs

qui se pointent dans mon jardin.

Avec ma bouche qui a bu

qui a croqué qui a mordu

des andouilles et des boudins.

 

Avec ma gueule de pauv’ mec

mon pif énorme et jamais sec

ma vue bien basse et mon air con.

Avec ma peau qui s’est frottée

au point d’en être déchirée

quand je fuyais par les balcons.

Avec mon foie qui a souffert

de plus en plus avec les verres

avalés du matin au soir.

Avec mon âme vermoulue

amassant les pensées tordues

et qui traîne son désespoir.

 

Avec ma gueule de pauv’ mec

mon pif énorme et jamais sec

et mes cheveux qui vont tombant.

Je viendrai ma vieille poussive

mon haut-le-cœur ma dépressive

je viendrai te péter les dents.

 

 

Et je serais vraiment content

de t’entendre tout zozotant

me dénigrer et me maudire.

 

Et ce sera mon plus beau jour

le point final de notre amour

et je n’ai fini d’en rire.

 

Et ce sera mon plus beau jour

le point final de notre amour

et je n’ai fini d’en rire.

 

 

                                 Rotpier

 
   
Allez, je vous mets quand même la version originale !
 
  
  
 
 
 
 
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" Le pauv' mec " : Un petit pastiche de la chanson de Georges Moustaki par … Rotpier

27 Avril 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

 

 
 

Je vous offre un petit … pastiche !

A la vôtre !

 

Cette fois-ci :

 

«  Le métèque  »

de Georges Moustaki

 

 

qui devient :

 

          « Le pauv’ mec »

 

de Rotpier

 

Recette pour bien le déguster :

 

1)   Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

 

2) On écoute religieusement l’artiste !

 

3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !

Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !

Donc : on écoute !

 

 

 

Maintenant on y va !

 

 

Avec ma gueule de pauv’ mec,

 

Avec ma gueule de pauv’ mec

mon pif énorme et jamais sec

et mes cheveux qui vont tombant.

Avec mes pieds très mal lavés

qui empestent tout le quartier

où je ne vais plus si souvent.

Avec mes mains de débardeur

qui font très peur aux bonnes sœurs

qui se pointent dans mon jardin.

Avec ma bouche qui a bu

qui a croqué qui a mordu

des andouilles et des boudins.

 

Avec ma gueule de pauv’ mec

mon pif énorme et jamais sec

ma vue bien basse et mon air con.

Avec ma peau qui s’est frottée

au point d’en être déchirée

quand je fuyais par les balcons.

Avec mon foie qui a souffert

de plus en plus avec les verres

avalés du matin au soir.

Avec mon âme vermoulue

amassant les pensées tordues

et qui traîne son désespoir.

 

Avec ma gueule de pauv’ mec

mon pif énorme et jamais sec

et mes cheveux qui vont tombant.

Je viendrai ma vieille poussive

mon haut-le-cœur ma dépressive

je viendrai te péter les dents.

 

 

Et je serais vraiment content

de t’entendre tout zozotant

me dénigrer et me maudire.

 

Et ce sera mon plus beau jour

le point final de notre amour

et je n’ai fini d’en rire.

 

Et ce sera mon plus beau jour

le point final de notre amour

et je n’ai fini d’en rire.

 

 

                                 Rotpier

 

 

 

La véritable photo de Rotpier !

 

Et pis c’est tout !

 

A la vôtre !

 

 

 

Avec modération SVP !

 

Rotpier

 

 

Déja présenté au concours de l'Eurovision !

Mais pas sélectionné: c'est dégoutant !

 

 

 

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« Milord »: parodie de la chanson de Georges Moustaki, chantée par Edith Piaf ..... de Rotpier

5 Février 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson




 
 

Je vous offre un petit … pastiche !

A la vôtre !

 

Cette fois-ci :

 

«  Milord  »

de Georges Moustaki

et chanté par Edith Piaf

 

qui devient :

 

« La Mort »

 

de Rotpier

 

Recette pour bien le déguster :

 

1)   Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

 

2) On écoute religieusement l’artiste !

 

3)  On descend et l’on chante sur les paroles de  Rotpier !

Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !

Donc : on écoute !

 

 

 

 

Maintenant on y va !

 

 
 
 

 

La Mort,

 

Allez vient donc la Mort

je t’invite à ma table

j’ai si froid dans mon corps

ce n’est pas supportable

laisse toi fair’ la Mort

tu seras à ton aise

je te don’rais mon cœur

sans qu’il y ait d’ malaise

je te connais la Mort

tu ne m’a jamais vu

j’ suis un clodo du port

moi je vis dans la rue.

 

Je t’ai déjà frôlé

quand tu passais hier

tu n’étais pas peu fière

là le ciel te comblait

avec ta rob’ de soie

ta faux sur ton épaule

tu tenais le beau rôle

tu avais pris un roi

tu étais son vainqueur

la gagnante du duel

quand ta faux si cruelle

l’avait atteint au cœur.

 

Allez viens donc la Mort

je t’invite à ma table

j’ai si froid dans mon corps

ce n’est pas supportable

laisse toi fair’ la Mort

tu seras à ton aise

je te don’rais mon cœur

sans qu’il y ait d’ malaise

je te connais la Mort

tu ne m’a jamais vu

j’ suis un clodo du port

moi je vis dans la rue.

 

Je pleure à chaque fois

que je vois un navire

et mon cœur se déchire

avant j’étais le roi

je partais avec lui

du bonheur à revendre

essaie de me comprendre

c’était toute ma vie

je n’en peux plus d’ pleurer

c’est plus une existence

j’ai perdu toute chance

et je suis déjà prêt.

 

Allez viens donc la Mort

je ne suis plus un môme

laisse-toi fair’ la Mort

je viens dans ton royaume

je n’ai pas de remords

pour moi tu es la chance

je te chante la Mort

allez viens dans ma danse

regarde-moi la Mort

maintenant tu m’as vu

je ne pleur’ pas la Mort

tu es la bienvenue.

 

Parlé :

 

Eh ! bien voyons, la Mort

souris-moi la Mort

mieux qu’ ça, un p’ tit effort

prends donc mon bras

allez souris la Mort

il faut chanter la Mort

ta ta ta ta ta ta

mais oui, on danse la Mort

ta ta ta ta ta ta

bravo la Mort

encore la Mort

ta ta ta ta ta ta

 

                             Rotpier

 

 

 

Et pis c’est tout !

 

A la vôtre quand même !

 

 

Avec modération SVP !

 

Rotpier

 

 


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