pastiche de chanson
Amis, il est temps de se secouer : "Le chant des partisans de la vérité" : un pastiche de ... Pierre
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"Le chant des partisans de la vérité" : un pastiche de ... Pierre
Mais … je ne pense pas que Joseph Kessel et Maurice Druon auraient renié ma version puisqu’il s’agit du même combat.
Marine Le Pen est une femme et une femme possède l’art du fard. Elle utilise, depuis qu’elle est à la tête du FN, celui de la respectabilité mais sous la couche, les idées sont toujours les mêmes et ce sont celles de son père et de son parti : entraîner la France vers le National-socialisme, plus connu sous le nom de nazisme ( tous les dictionnaires vous le confirmeront) un dérivé du fascisme.
Le National-socialisme a pour fondements le racisme et la xénophobie.
Une sirène peut avec aisance se transformer en murène et la voracité de la murène est légendaire : si on lui tend le petit doigt, elle dévore le bras !
La droite, en principe républicaine, joue à la pie crevée depuis que François Fillon s'est pris les pieds dans le tapis de la magouille. Une partie, non négligeable, de cette droite va aller grossir les rangs du Front National.
Un petit clic pour se mettre dans le bain !
Le chant des partisans de la vérité,
Ami, entends-tu le vol noir des fachos des Le Pen ?
Ami, entends-tu les hourras de tous ceux que l’on berne ?
Ohé, les français qui savez, qui pouvez, c'est l'alarme !
Il faut réagir à tout prix et l’histoire est une arme !
Prenez une plume, un stylo, un clavier, camarades,
il faut rafraîchir les mémoir’ avant les empoignades !
Ohé, les télés rappelez la montée du fascisme !
Ohé, journalist’ disséquez en gros plans le nazisme !
C'est nous qui serions responsabl’ vis-à-vis de nos frères !
Ils ont oublié les malheurs racontés par leurs pères !
Les jeux, la télé, les réseaux les aveugl’ c’est notoire !
Ils ont oublié le « Ce n’est qu’un détail de l’histoire ! »
Ça sent le Vichy, le Pétain, le Vél’ d'Hiv’ quand ça passe !
Dénonc’ ton voisin, ton cousin s’il n’est pas de ta race !
En bon collabo tu tendras ton oreill’ pour l’écoute !
Il faut dénoncer l’étranger sans remords coût’ que coûte !
Ami, écrivons, publions, avant qu'on nous enchaîne
Ami, dénonçons le mirage étalé par Le Pen !
Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
Ami, entends-tu le bruit sourd de la droit’ qu’elle entraîne ?
Ami, entends-tu les appels de certains qu’elle gangrène ?
Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
Pierre Dupuis
Je vous fais un petit cadeau
et vous pouvez l'utiliser comme il vous plait !
Vous faites un copié-collé et le tour est joué !
Idées génératrices :
1) Le sigle " Agissons Contre le FN " donne " AC le FN " ou phonétiquement : "Assez le FN "
2) Idée de cible : prendre le FN pour cible afin de démystifier ses mensonges prometteurs ou pour simplifier, son populisme.
3) Sous forme de cocarde car être cocardier pour la bonne cause est une position honorable.
4) Le "C" encercle le FN pour diminuer sa capacité de nuisance.
Pierre Dupuis
Déjà publié mais les piqûres de rappel sont toujours nécessaires
et de plus en plus : la peste brune s'étend !
J'ai ajouté le logo.
Je vous offre un petit … pastiche ! « Les mots bleus » de Christophe qui deviennent « Les gros bleus » par la magie de la plume acerbe du Rotpier
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette foi-ci :
« Les mots bleus »
de Christophe
qui deviennent :
« Les gros bleus »
de Rotpier
Recette pour bien le déguster :
1) Un petit clic sur le triangle pour démarrer !
2) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que les voisins commencent à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
Les gros bleus,
Ça fait six heures que je la brutalise
Dans la chambre et pour des bêtises
Cette fille je l’ai conduite à la mairie
Je voudrais lui péter les dents
Elle me sourit
Il faudrait que je parte
À tout prix
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui marquent bien les yeux
Elle sera très ridicule
Je m’élance et je la bouscule
Pas un coup qui soit inutile
J’ai le coup de poing très habile
Et pas de contre
Et pas de contre
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui rendent malheureux
Je la cogn’rais sans la nommer
Je suis peut-être démodé
Le bruit des coups s’entend en ville
Mais je m’en fous c’est ça mon style
Et pas de contre
Et pas de contre
Il n’y a plus d’horloge elle est cassée
Comme les chevets de la chambre à coucher
En lambeaux sa chemise de nuit
Sur le cul je la revois
Qui me maudit
Il faudra bien qu’elle comprenne
À tout prix
Je lui ferais des gros bleus
On ne pourra plus voir ses yeux
Toutes les claques que je donne
Sont de grande classe et de haut vol,
Il me reste une rancœur de bile
Mon estomac est très fragile
Et vaille que vaille
Et vaille que vaille
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui sont très douloureux
Fin de l’histoire et des paroles
J’ai pas besoin de protocole
Et de très longs discours futiles
Ce ne serait pas dans mon style
Et vaille que vaille
Et vaille que vaille
Je lui ferais des gros bleus
De préférence sur les yeux
Je lui ferais de très gros bleus
De ceux qui sont très douloureux
De très gros bleus
De très gros bleus
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Rotpier
Pastiche de chanson : " Le métèque " de Moustaki ... qui devient " Avec ma gueule de pauv’ mec, " par ... Rotpier
Pastiche de la chanson de Moustaki :
« Le métèque »
Recette pour bien le déguster :
1) Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
2) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Avec ma gueule de pauv’ mec,
Avec ma gueule de pauv’ mec
mon pif énorme et jamais sec
et mes cheveux qui vont tombant.
Avec mes pieds très mal lavés
qui empestent tout le quartier
où je ne vais plus si souvent.
Avec mes mains de débardeur
qui font très peur aux bonnes sœurs
qui se pointent dans mon jardin.
Avec ma bouche qui a bu
qui a croqué qui a mordu
des andouilles et des boudins.
Avec ma gueule de pauv’ mec
mon pif énorme et jamais sec
ma vue bien basse et mon air con.
Avec ma peau qui s’est frottée
au point d’en être déchirée
quand je fuyais par les balcons.
Avec mon foie qui a souffert
de plus en plus avec les verres
avalés du matin au soir.
Avec mon âme vermoulue
amassant les pensées tordues
et qui traîne son désespoir.
Avec ma gueule de pauv’ mec
mon pif énorme et jamais sec
et mes cheveux qui vont tombant.
Je viendrai ma vieille poussive
mon haut-le-cœur ma dépressive
je viendrai te péter les dents.
Et je serais vraiment content
de t’entendre tout zozotant
me dénigrer et me maudire.
Et ce sera mon plus beau jour
le point final de notre amour
et je n’ai pas fini d’en rire.
Et ce sera mon plus beau jour
le point final de notre amour
et je n’ai pas fini d’en rire.
Rotpier
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Rotpier
Le pastiche du jour: " Il suffirait de presque rien de Serge Reggianni " transformé par le Rotpier !
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Comme il y avait bien longtemps ...
Allez, je vous ressers ce petit … pastiche !
A la vôtre !
Image du net
Recette pour bien le déguster :
1) Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
2) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
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Le gigolo de Saint-Germain
Il suffisait de presque rien
D’un peu plus de forc’ dans les mains
Pour te balancer du sixième
J’en rêvais depuis le matin
Dans l’appart’ de Saint-Germain
Où tu me poses des problèmes
Et ce n’est pas du cinéma
Boucle-là et regarde-moi
Vois les rides qui nous séparent
A quoi bon jouer la comédie
De la vieille qui rajeunit
Ça fait rigoler ton miroir
Un jour je vais te foutre en l’air
Et tant pis pour les commentaires
« C’est son ami elle avait finit de lui plaire
Son compte était à découvert »
Il suffisait de presque rien
Du pognon planqué dans un coin
Pour qu’encore une année je reste
Tu es bête mais tu comprends
Qu’en frôlant tes soixant’ cinq ans
Tu es bien loin de ta jeunesse
Tu ne sais même plus sourire
Quand je te vois mon cœur chavire
J’en vomis tellement c’est triste
Imagine ma vie demain
Tout à coté d’un tas en train
De se couvrir de mille kystes
Vraiment de quoi aurais-je l’air
J’entends déjà les commentaires
« Il est joli, comment peut-il encor’ s’ la faire
Ça doit relever de l’enfer »
Et ce sera bien moi demain
Qui t’emm’ ra à Saint-Germain
Dans un grand trou du cimetière
Il suffisait de presque rien
Que tu aies quarante ans de moins
Et des revenus de banquière …
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Rotpier
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Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Rotpier
Pastiche de la chanson « Les filles du bord de mer » de Salvatore Adamo qui devient : "Tu t’en souviens mémère," de ... Rotpier
Je vous offre un petit … pastiche ! A la vôtre !
Cette fois-ci :
« Les filles du bord de mer »
de Salvatore Adamo
qui devient :
« Tu t’en souviens mémère »
De … Rotpier
Recette pour bien le déguster :
1) Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
2) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
Image du netTu t’en souviens mémère,
Ah ! Oui tu t’en souviens mémère
Du temps de la cuisse légère
Quand un beau gars dans les fougères
Te faisait voir tout à l’envers !
Naïve autant que t’étais belle
Tu balançais ton port’ jarretelles
Aimant pour fair’ ce genr’ de sport
Être aussi nue qu’un doryphore !
Et encore et encore ... des fois t'oubliais tes bas !
Z’étaient chouett’ tes guiboles mémère, soin soin soin
Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin
Ton préféré c’était Estève
Il en avait une de rêve
Mais il avait un gros défaut
Il s’endormait sur le boulot !
Tu t’y mettais avec ta sœur
Pour réveiller le gros dormeur
En le patrouillant d' bon cœur en douceur en douceur
En douceur avec ta sœur !
Z’étaient chouett’ tes guiboles mémère, soin soin soin
Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin
Lui pardonnant cette manie
Tu partag’ avec lui ta vie
Mais comme il ne fait que ronfler
Tu n’es pas du tout contentée !
Comme tu ne perds pas le nord
Tous les soirs tu rejoins l’Hector
Un gars complètement sourdingue
Mais très balèze pour la tringle !
Puis un beau jour t’en as en marre
T’as mis l’ Estèv’ dans un placard
T’as pris l’Hector et son oiseau
Et t’as nagé vers d’autres eaux
En douceur en douceur
Z’étaient chouett’ tes guiboles mémère, soin soin soin
Z’étaient chouett’ et t’en avais une paire, soin soin soin
La la la la la la la la la la la !
La la la la la la la la la la la !
Rotpier
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Rotpier
Bretagne ... "Vive les bretons !" Allez, on chante sur des paroles de ... Rotpier
Dernier devoir de vacance :
Vous prendrez bien un petit pastiche ?
Et … vous êtes priés de chanter !
Sinon, à quoi ça sert que le Rotpier de décarcasse !
Sur l'air de :
Image du net
Vive les bretons !
Les bretons du Morbihan
sont des gens très épatants
oui je les brocarde un peu
mais on est très bien chez eux !
Refrain :
Ils boiv’ comm’ des cochons
vive la Bretagne
Ils boiv’ comm’ des cochons
vive les bretons !
Le marché de Pluméliau
peut tenir dans un chapeau
mais il est partout connu :
il bouche toute la rue !
(Refrain)
Il parait qu’à Locminé
ils n’aiment pas les minets
et qu’à cinq lieues à la ronde
ils les passent au micro-onde !
(Refrain)
Il parait qu’à Remungol
les filles sont bénévoles
pour déniaiser les garçons
en soulevant leurs jupons !
(Refrain)
A Saint Nicolas des Eaux
j’en ai bouffé mon chapeau
on m’a dit que Sarkozy
n’est jamais venu ici !
(Refrain)
Au château de Pontivy
j’ai vu de très beaux habits
ceux que portaient les bretonnes
avant qu’on les déboutonne !
(Refrain)
Quand je suis passé à Baud
avec mon large chapeau
il m’ont dit : « T’es pas breton
mais tu es bel et bien rond ! »
(Refrain)
Pour aller à Vannes en train
ce n’est vraiment pas très loin
il n’y a et sans chicane
que six gares de là à Vannes !
(Refrain)
Il parait mêm’ qu’à Colpo
on a vu Fidel Castro
et aussi Che Guevara
qui trafiquaient du tabac !
(Refrain)
Le curé de Plouermel
aux filles roule des pelles
on ne compte plus les marmots
qu’il a dans tous les hameaux !
(Refrain)
Il parait qu’un Quistinic
dans le temps à l’arsenic
on supprimait les bell’ mères
les fouines et les notaires !
(Refrain)
Du coté de Landévent
quand il y a du grand vent
on voit le derrière des filles
les gars ça les émoustillent !
(Refrain)
Mon grand-père qui était maire
a fauté avec grand-mère
du coté de Pluvigner
c’est comm’ ça qu’ mon père est né !
(Refrain)
Je suis allé à Carnac
et j’ai croisé un cornac
qui cherchait son éléphant
en pleurant comme un enfant !
(Refrain)
J’ai vu à Belle-île-en-mer
une baston de grand-mères
ell’ se crêpaient le chignon
et se foutaient pleins de gnons !
(Refrain)
A Plumelin c’est certain
on compt’ sur les doigts d’ la main
les filles de plus de vingt ans
qui n’ont pas plusieurs amants !
(Refrain)
Un jour en passant à Crac’h
on m’a proposé du crack
je leur ai dis « Non les gars
moi je me choute au calva !
(Refrain)
Sur le pont de Hennebont
j’en ai blavet pour de bon
quand un trio de loubards
m’a fauché tout mon pinard !
(Refrain)
Je suis allé à Lorient
je n’ai pas vu de hareng
mais j’ai vu des maqueraux
mettre leurs fill’ au boulot !
(Refrain)
Un pêcheur sur le Blavet
m’a dit : « Ici un brochet
ayant bouffé des méduses
a bouché toute l’écluse ! »
(Refrain)
Les bretonnes sont très pieuses
mais aussi très malicieuses
le dimanche après la messe
ell’ ne parlent que de fesses !
(Refrain)
Il parait que l’ bon Merlin
était un très chaud lapin
quand Vivian’ tournait la tête
il changeait vit’ de baguette !
(Refrain)
Il parait qu’à Guéméné
les pépés et les mémés
forniquent à tour de bras
grâce au far et au Viagra
(Refrain)
Dans la forêt de Paimpont
quand ça boug’ dans les buissons
rien à voir avec Merlin
c’est les amoureux du coin !
(Refrain)
Si jamais roulant par deux
tu vois des Korrigans bleus
sur des motos dans tes phares
ralentis c’est des motards !
(Refrain)
Il parait qu’à Pluméliau
les gars ne boiv’ jamais d’eau
ils font tous glisser le far
au chouchen et au pinard !
(Refrain)
De l’autr’ coté du Couesnon
c’est pas mieux pour le gorgeon
ils se beurrent au calva
et en sorte flagada !
(Refrain)
Les bretons sont très jaloux
quand les normands sont fins soûls
ils reprennent des tournées
pour être encor’ plus bourrés !
(Refrain)
En cas de compétition
entre normands et bretons
il faudrait plein de barriques
pour remplir ces alcooliques !
(Refrain)
Au moulin de la Boulaye
un gars aimant la bouteille
a écrit cette chanson
pour brocarder les bretons !
(Refrain)
J’espèr’ qu’un jour un breton
saura sur le même ton
railler ses voisins normands
sans prendre le moindre gant !
Ils boiv’ comm’ des cochons
vive la Bretagne
Ils boiv’ comm’ des cochons
vive les bretons !
Rotpier
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"Le chant des partisans de la vérité" : un pastiche de ... Pierre
Parce qu’il y a eu cela :
Je remets ce billet.
Une sirène peut avec aisance se transformer en murène et la voracité de la murène est légendaire : si on lui tend le petit doigt, elle dévore le bras !
Ami, entends-tu le bruit sourd de la droit’ qu’elle entraîne ?
Ami, entends-tu les appels de certains qu’elle gangrène ?
Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
Le pastiche du jour: " Il suffirait de presque rien de Serge Reggianni " transformé par le Rotpier !
Je vous ressers ce petit … pastiche !
A la votre !
« Il suffirait de presque rien »
de Serge Reggiani
qui devient :
« Le gigolo de Saint-Germain »
de Rotpier
Image du net
Recette pour bien le déguster :
1) Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
2) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
Il suffisait de presque rien
D’un peu plus de forc’ dans les mains
Pour te balancer du sixième
J’en rêvais depuis le matin
Dans l’appart’ de Saint-Germain
Où tu me poses des problèmes
Et ce n’est pas du cinéma
Boucle-là et regarde-moi
Vois les rides qui nous séparent
A quoi bon jouer la comédie
De la vieille qui rajeunit
Ça fait rigoler ton miroir
Un jour je vais te foutre en l’air
Et tant pis pour les commentaires
« C’est son ami elle avait finit de lui plaire
Son compte était à découvert »
Il suffisait de presque rien
Du pognon planqué dans un coin
Pour qu’encore une année je reste
Tu es bête mais tu comprends
Qu’en frôlant tes soixant’ cinq ans
Tu es bien loin de ta jeunesse
Tu ne sais même plus sourire
Quand je te vois mon cœur chavire
J’en vomis tellement c’est triste
Imagine ma vie demain
Tout à coté d’un tas en train
De se couvrir de mille kystes
Vraiment de quoi aurais-je l’air
J’entends déjà les commentaires
« Il est joli, comment peut-il encor’ s’ la faire
Ça doit relever de l’enfer »
Et ce sera bien moi demain
Qui t’emm’ ra à Saint-Germain
Dans un grand trou du cimetière
Il suffisait de presque rien
Que tu aies quarante ans de moins
Et des revenus de banquière …
Rotpier
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Rotpier
"Le chant des partisans de la vérité" : un pastiche de ... Pierre
Une sirène peut avec aisance se transformer en murène et la voracité de la murène est légendaire : si on lui tend le petit doigt, elle dévore le bras !
Ami, entends-tu le bruit sourd de la droit’ qu’elle entraîne ?
Ami, entends-tu les appels de certains qu’elle gangrène ?
Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh ! Oh !
La Reine d'Angleterre à la sauce Dagobert ! ... Petit pastiche de ...Rotpier !
Allez, ça va bientôt être l’heure du pastiche !
N’oubliez pas les amuse-gueules !
Image du net
Petite comptine sur l’air du « Roi Dagobert »
mais ciblant la … Reine d’Angleterre, Mamie Chapeau !
C’est la reine d’Angleterre,
C’est la rein’ d’Angleterre
qu’a mis son chapeau à l’envers !
Sa bru Camilla
lui dit : oh ! ma foi !
Votre Majesté est mal chapeautée !
C’est bon lui dit la reine
ça va pas me fout’ la migraine !
C’est le Charles d’Angleterre
qu’a mis ses oreill’ à l’envers !
Sa femme Camilla
lui dit plein d’émoi :
chéri adoré
faut les replacer !
C’est bon lui dit Charlot
mais qui va freiner notre auto !
C’est le quinz’ d’Angleterre
qui nous fait toujours des misères !
Criez avec moi :
Ah ! On les aura !
Ces buveurs de thé :
la déculottée !
Il faut bien tôt ou tard
venger Jeanne et puis Trafalgar !
Rotpier
Et pis c’est tout pour aujourd’hui !
Je me sauve avant que le MI 5
ne me tombe sur le paletot !
Le Rotpier !