pastiche de chanson
Le pastiche du jour: " Que c'est triste Venise " transformé par le Rotpier en " Qu'elle est triste Denise " !
Allez, je vous ressers un petit … pastiche !
A la vôtre !
« Que c'est triste Venise »
de Charles Aznavour
qui devient :
« Qu'elle est triste Denise »
de Rotpier
Recette pour bien le déguster :
1) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Qu’elle est triste Denise,
Qu’elle est triste Denise
avec tout’ ses peaux mortes
qu’elle est triste Denise
et en plus elle pue.
Je lui dis des gros mots
en lui montrant la porte
elle en à rien à s’couer
et moi je n’en peux plus.
Qu’elle est triste Denise
ses bas qui dégringolent
ne font que souligner
ses genoux tout cagneux.
Et mes lèvres se serrent
quand elle se gondole
je pourrais ô malheur
gerber au moins pour deux.
Qu’elle est triste Denise
avec tout’ ses peaux mortes
qu’elle est triste Denise
et en plus elle pue.
Les musées les églises
lui ont fermé leurs portes
les tourist’ apeurés
s’enfuyaient dans les rues.
Qu’elle est triste Denise
c’est bien mon infortune
et je voudrais demain
aller à son trépas.
Et quand elle ironise
plus conne que la lune
je voudrais l’oublier
mais elle est toujours là.
Je suis bien un pigeon
un dindon un cloporte
je ne sais plus sourire
je suis plus que perdu.
Y en a marr’ de Denise
je la voudrais bien morte
y en a marr’ de Denise
c’est demain que j’ la tue.
La la la la la la
la la la la la la
la la la la la la
la la la la la la.
Rotpier
Le pastiche du jour: " Que c'est triste Venise " transformé par le Rotpier en " Qu'elle est triste Denise " !
Allez, je vous ressers un petit … pastiche !
A la vôtre !
« Que c'est triste Venise »
de Charles Aznavour
qui devient :
« Qu'elle est triste Denise »
de Rotpier
Recette pour bien le déguster :
1) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Qu’elle est triste Denise,
Qu’elle est triste Denise
avec tout’ ses peaux mortes
qu’elle est triste Denise
et en plus elle pue.
Je lui dis des gros mots
en lui montrant la porte
elle en à rien à s’couer
et moi je n’en peux plus.
Qu’elle est triste Denise
ses bas qui dégringolent
ne font que souligner
ses genoux tout cagneux.
Et mes lèvres se serrent
quand elle se gondole
je pourrais ô malheur
gerber au moins pour deux.
Qu’elle est triste Denise
avec tout’ ses peaux mortes
qu’elle est triste Denise
et en plus elle pue.
Les musées les églises
lui ont fermé leurs portes
les tourist’ apeurés
s’enfuyaient dans les rues.
Qu’elle est triste Denise
c’est bien mon infortune
et je voudrais demain
aller à son trépas.
Et quand elle ironise
plus conne que la lune
je voudrais l’oublier
mais elle est toujours là.
Je suis bien un pigeon
un dindon un cloporte
je ne sais plus sourire
je suis plus que perdu.
Y en a marr’ de Denise
je la voudrais bien morte
y en a marr’ de Denise
c’est demain que j’ la tue.
La la la la la la
la la la la la la
la la la la la la
la la la la la la.
Rotpier
Renaud : "Laisse béton " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier + le bonus: un pastiche + le cadeaux Bonux : le porte clé du Rotpier !
Attention: cette fois-ci, il y a du rab !
Renaud
« Laisse béton »
Laisse Béton
Accoudé au flipper
Le type est entré dans le bar
A commandé un jambon beurre
Et y s'est approché de moi
Et y m'a regardé comme ça
Elles me bottent
Je parie que c'est des santiags
Viens faire un tour dans le terrain vague
Je vais t'apprendre un jeu rigolo
A grands coups de chaînes de vélo
Je te fais tes bottes à la baston
Je lui ai filé une torgnole
Y m'a filé une châtaigne
Je lui ai filé mes grolles
Accoudé au comptoir
Le type est entré dans le bar
A commandé un café noir
Pis y m'a tapé sur l'épaule
Et m'a regardé d'un air drôle
T'as un blouson, mecton
L'est pas bidon
Moi je me les gèle sur mon scooter
Avec ça je serai un vrai rocker
Viens faire un tour dans la ruelle
Je te montrerai mon Opinel
Je te chouraverai ton blouson
Moi je lui dis, laisse béton
Y m'a filé une beigne
Je lui ai filé un marron
Y m'a filé une châtaigne
Je lui ai filé mon blouson
J'étais tranquille j'étais pénard
Je réparais ma mobylette
Le type a surgi sur le boulevard
Sur sa grosse moto super chouette
S'est arrêté le long du trottoir
Et m'a regardé d'un air bête
T'as le même blue jean que James Dean
T'arrêtes ta frime
Je parie que c'est un vrai Lévis Strauss
Il est carrément pas craignos
Viens faire un tour derrière l'église
Histoire que je te dévalise
A grands coups de ceinturon
Moi je lui dis, laisse béton
Y m'a filé une beigne
Je lui ai filé une mandale
Y m'a filé une châtaigne
Je lui ai filé mon futal
La morale de c'te pauvre histoire
C'est que quand t'es tranquille et peinard
Faut pas trop traîner dans les bars
A moins d'être fringuer en costard
Quand à la fin d'une chanson
Tu te retrouve à poil sans tes bottes
Faut avoir de l'imagination
Pour trouver une chute rigolote.
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Pastiche de la chanson de Renaud:
« Laisse béton »
Laisse béton,
J’étais tranquille j’étais pénard
je n’avais mêm’ plus mon calfouet
car j’essayais un chouett’ bénard
avec des revers en moquette
La fill’ s’est approchée de moi
elle m’a regardé comm’ ça :
« t’as un truc
mon pote
il me botte
je parie qu’il est à ma taille
viens faire un tour ça me travaille
j’ t’apprendrais un truc rigolo
le coup de la bête à deux dos
je vais t’ montrer petit mecton »
Moi j’y ai dis « laisse béton ! »
Ell’ m’a filé un’ beigne
j’ y ai filé un’ torgnole
m’a filé une châtaigne
et aussi la vérole !
J’étais tranquille j’étais pénard
le mec s’est approché de moi
il avait un’ tronch’ de loubard
et il schlinguait comm’ un putois
il m’a dit « tu te promèn’ tard
tu cherch’ rais pas un mec comme moi ?
T’as un p’tit derche
mon pote
il me botte
je vais m’ l’ faire sans te d’ mander
et te gène pas pour gueuler
y a pas un seul chat à la ronde
qui miaulerait pour te répondre
j’ai pas besoin d’ ta permission ! »
Moi j’y ai dis « laisse béton ! »
Il m’a filé un’ beigne
j’y ai filé un’ mandale
m’a filé une châtaigne
et pété le futal !
La moral’ de cett’ pauvre histoire
c’est qu’ quand t’es tranquille et pénard
faut jamais essayer d’ bénard
et faut pas se balader tard !
Quand t’as vécu ces aventures
et que de fièvre tu grelottes
tu te dis que la vie est dure
et pas tous les jours rigolote !
xxxxxxxxx
Quant à moi pour ce grand chef d’œuvre
je ne me fais pas d’illusion
je n’aurais pas le prix des Œuvres
mais je m’en tap’ le trait d’union !
Je suis tranquill’ je suis pénard
j’aurais pas la légion d’honneur
mais si vous prenez vot’ panard
en la lisant c’est mon bonheur !
La la la la la la la la
la la la la la la la la
la la la la la la la la !!!
Rotpier
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça !
Rotpier
Je vous ai gâtés aujourd'hui ... non ?
Retour de vacances et un petit pastiche de chanson !
Me voila de retour pour le pire et le meilleur, on commence par le pire :
Je f’ rai un dolmen
Où l’humour s’ ra roi, où l'humour s’ ra loi
Où vous serez zen ...
Tiens, cela me rappelle quelque chose ...
Allez !
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette fois-ci :
« Ne me quitte pas »
de Jacques Brel "
qui devient :
« Ne me quittez pas »
De … Rotpier
- Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
- On écoute religieusement l’artiste !
- On descend et l’on chante sur les paroles de Rotpier !
Ne me quittez pas,
Ne me quittez pas
Il faut rigoler
Toujours rigoler
se plier parfois
Oublier le temps
les malentendus et tous les tordus
Les enterrements
Oublier les sœurs
Et les bonnes-sœurs sans foi et sans loi
Et les vieux pasteurs
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Moi j’ vous offrirai
Des vers de la nuit
En catimini des tas et des tas
J’ me creus’ rai la tête encore et encore
Je f’ rai des efforts mêm’ des nuits entières
Je f’ rai un dolmen
Où l’humour s’ ra roi, où l'humour s’ ra loi
Où vous serez zen
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
J’ vous inventerai
Des mots insensés
Des trucs à la noix
Je vous parlerai
De ces deux chinois
Qui ont vu deux fois des mecs s'embrasser
J’ vous raconterai l'histoir’ de ce typ’ mort
De n'avoir pas pu se supporter
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
On a vu souvent
défaillir des vieux
Même au Vatican
Où ils sont nombreux
Il est paraît-il
Des sœurs délurées
qui pomp’ des curés
Pas qu’au mois d’ avril
Et quand vient le soir
Ils sont flagada
Pour récupérer il leur faut trois mois
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Je vais m’appliquer
Je vais continuer
Je ne chom’ rai pas
Je vous regard’ rai pour de bon sourire et
Peut-être même rire
Je vais devenir l'ombre de votre ombre
L'ombre de vos chiens
ou de vos pingouins
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Ne me quittez pas
Rotpier
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Rotpier
Milles excuses d'avoir commis cela sur cette superbe
chanson du Grand Jacques !!!
Pastiche de la chanson « Les Champs Elysées » de Joe Dassin par Pierre et en l'honneur des gilets jaunes !
Allez !
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette fois-ci :
« Les Champs Elysées »
de Joe Dassin "
qui devient :
« Les Champs Elysées »
De … Pierre
- Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
- On écoute religieusement l’artiste !
- On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre !
♪ Les Champs-Elysées ♪
En arrivant sur l'avenue
J’ai rencontré inconnus
Des gilets jaun’ m’ont dit bonjour
Et j’ai eu envie
J’ai eu envie j’ sais pas pourquoi
Un vieux réflex dormait en moi
d’aller aussi manifester
Pour l’égalité
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a des jaunes gilets
Aux Champs-Élysées
Ils m’ont dit viens avec nous
Certains nous prennent pour des fous
Qui n’auront aucun lendemain
ça on verra bien
Alors j’ les ai accompagnés
On a crié on à hurlé
Et l'on n'a même pas pensé
À se présenter
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a des jaunes gilets
Aux Champs-Élysées
Maintenant tous ces inconnus
je les reconnais dans les rues
ils sont devenus des amis
Et pas qu’à Paris
Pour nous c’est la grande concorde
Il importe que l’on s’accorde
Pour avoir le même discours
Et être un recours
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a des jaunes gilets
Aux Champs-Élysées
Et des amis de tous les coins
qui ont occupé les ronds-points
Viendront ici nous retrouver
Pour manifester
Il faudra bien qu’à l’Elysée
on commence à nous écouter
Qu’ils se débouchent les oreilles
et qu’ils se réveillent
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a des jaunes gilets
Aux Champs-Élysées
Comm’ mill’ sept cent quatre vingt neuf
Deux mill’ dix huit deux mill’ dix neuf
Seront des signets dans l’histoire
Comm’ grand exutoire
Ceux qui ne veulent pas comprendre
Devront bien se mettre à apprendre
Que quand le peuple se rebiffe
Il a de bonn’ griffes
Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Ils resteront jaun’ de gilets
Les Champs-Élysées
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Rotpier
Pastiche de chanson : " Le métèque " de Moustaki ... qui devient " Avec ma gueule de pauv’ mec, " par ... Rotpier
Pastiche de la chanson de Moustaki :
« Le métèque »
Recette pour bien le déguster :
1) On écoute religieusement l’artiste !
2) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
.
Avec ma gueule de pauv’ mec,
Avec ma gueule de pauv’ mec
mon pif énorme et jamais sec
et mes cheveux qui vont tombant.
Avec mes pieds très mal lavés
qui empestent tout le quartier
où je ne vais plus si souvent.
Avec mes mains de débardeur
qui font très peur aux bonnes sœurs
qui se pointent dans mon jardin.
Avec ma bouche qui a bu
qui a croqué qui a mordu
des andouilles et des boudins.
Avec ma gueule de pauv’ mec
mon pif énorme et jamais sec
ma vue bien basse et mon air con.
Avec ma peau qui s’est frottée
au point d’en être déchirée
quand je fuyais par les balcons.
Avec mon foie qui a souffert
de plus en plus avec les verres
avalés du matin au soir.
Avec mon âme vermoulue
amassant les pensées tordues
et qui traîne son désespoir.
Avec ma gueule de pauv’ mec
mon pif énorme et jamais sec
et mes cheveux qui vont tombant.
Je viendrai ma vieille poussive
mon haut-le-cœur ma dépressive
je viendrai te péter les dents.
Et je serais vraiment content
de t’entendre tout zozotant
me dénigrer et me maudire.
Et ce sera mon plus beau jour
le point final de notre amour
et je n’ai pas fini d’en rire.
Et ce sera mon plus beau jour
le point final de notre amour
et je n’ai pas fini d’en rire.
Rotpier
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Rotpier
Le poème-gage du jour : Chanson pour Benjamin, " de ... Rotpier
Lors d’un baptême, il y a quelques temps, j’ai, à l’occasion d’un jeu, « hérité » d’un gage. Je m’en acquitte maintenant… autant que vous en profitiez ! ( Avec l'aimable autorisation des parents ! )
Pierre
Image du net + petit bidouillage
« Un gage accepté doit être honoré,
versatile celui qui se défile ! »
Préambule :
Je devais faire une chanson (bis)
Pour un certain petit garçon (bis)
Elle est un peu sans queue ni tête
Je suis loin d’être un grand prophète
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !
Bien sûr il m’a fallu du temps (bis)
Sans vraiment être un débutant (bis)
Les rimes ne sont pas faciles
Même sans être un imbécile
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !
xxxxxxxxxxxxxx
Chanson pour Benjamin,
Benjamin est un bon garçon (bis)
Il rit pour un oui pour un non (bis)
Il est rarement en colère
Ou de façon très passagère
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin voudrait un lapin (bis)
Pour le caresser le matin (bis)
Un vrai de vrai pas en peluche
Un qui crotte et mange des pluches
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin n’est pas très content (bis)
De la réponse de maman (bis)
« Mais que va-t-on faire des crottes
Nous n’avons pas de motocrottes
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin a bien insisté (bis)
Finalement il a gagné (bis)
C’est lui qui ramasse les crottes
Et qui distribue les carottes
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin a un autre rêve (bis)
Il y pense vraiment sans trêve (bis)
il voudrait en plus une vache
Une rousse avec plein de taches
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin a persuadé (bis)
Son papa qui aime le lait (bis)
Ils vont acheter une ferme
Ils en ont l’intention très ferme
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Ils vont partir dans le Larzac (bis)
En bourrant valises et sacs (bis)
Ou à Notre-Dame des Landes
Là ou la nature commande
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin aura une ânesse (bis)
Moins têtue que les CRS (bis)
Car ceux-là il faut se les faire
En plus ils sont très durs à traire
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin aura des moutons (bis)
qui seront tout frisés en long (bis)
et puis aussi quelques biquettes
avec de grandes barbichettes
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin fera du fromage (bis)
Du vrai qui pue qui sent sauvage (bis)
Qu’on sent à dix lieues à la ronde
Et qui incommode le monde
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin deviendra fermier (bis)
Même si c’est moins bien payé (bis)
C’est plus honnête et sympathique
Que d’être dans la politique
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Benjamin n’est pas un idiot (bis)
Il ne produira que du bio (bis)
Terminé les cochonneries
Et vive l’herbe des prairies
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Quand Benjamin se mariera (bis)
Une bell’ fille il choisira (bis)
Ce sera une grande noce
Et ils auront tout plein de gosses
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
Mais tout cela prendra du temps (bis)
En attendant en attendant (bis)
C’est ses parents qui le chouchoutent
Qui sont toujours à son écoute
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Benjamin est un bon enfant !
xxxxxxxxxxxxxxxxxx
Epilogue :
Ainsi se finit la chanson (bis)
Promise à un petit garçon (bis)
Il faut toujours tenir parole
Pour ne pas traîner de cass’ roles
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !
Benjamin l’apprendra par cœur (bis)
Il deviendra peut-êtr’ chanteur (bis)
Alors adieu vaches et ferme
Mais il est temps que je la ferme
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !
Cette fois-ci c’est bien fini (bis)
J’en aurais bien encore écrit (bis)
Mais mon stylo a rendu l’âme
Et puis ma femme me réclame
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !
Je ne sais pas encor’ pourquoi (bis)
Mieux vaut que je me tienne coi (bis)
Je ne tiens pas à la fessée
Comme la semaine passée
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !
Ah! Ah! Ah! Oui vraiment,
Le Rotpier est un chenapan !
Le pastiche du jour: " Le déserteur "de Boris Vian qui devient : " L’objurgateur, " de ... Pierre Dupuis
.
Un petit pastiche de la chanson de Boris Vian par … Pierre
Allez !
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette fois-ci :
« Le déserteur »
de Boris Vian
qui devient :
« L'objurgateur … »
- Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
- On écoute religieusement l’artiste !
- On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre !
L’objurgateur,
Monsieur le Président
Je vous fais une lettre
Que vos scribes peut-être
Vous donnerons vraiment
Je viens de recevoir
Mon tout petit salaire
un salaire de misère
De quoi broyer du noir
Monsieur le Président
Je ne sais plus quoi faire
Mais surtout pas me taire
Je vais parler aux gens
C'est pas pour vous fâcher
Mais il faut que j’ vous dise
De façon très concise
Vous nous avez roulé
Moi j’aime travailler
Je tiens ça de mon père
Et aussi de mes frères
on n’aime pas glander
Nul besoin d’être expert
Pour observer qu’on tombe
que l’avenir nous plombe
vous faîtes du Thatcher
Quand vous étiez banquier
Vous fréquentiez les riches
Qui planquent et qui trichent
Pour mieux optimiser
Il n’y a pas de frein
Ils n’y vont pas d’ main morte
et vous en quelque sorte
Vous leur prêtez la main
Monsieur le Président
Vous préférez les riches
Qui reniflent et pleurnichent
Sur leur paquet d’argent
Ils en ont tant et tant
Que ce n’est pas croyable
Et les dessous de table
Sont des actes courants
S’il faut fair’ des efforts
Que tout le monde en fasse
C’est par trop dégueulasse
D’épargner les plus forts
Vous vous avez triché
Et viré trop à droite
Votre pied gauche boîte
Ce n’est pas un cliché
La mondialisation
Ce fabuleux prétexte
Pour promulguer des textes
Nuisibles aux nations
Quand je dis « aux nations »
Je parle des gens humbles
Ceux qui sont dans la jungle
À la merci des lions
Voraces sociétés
Aux cossus actionnaires
Méprisant la misère
Et se faisant du blé
Ils ont des bataillons
D’avocats de tout’ sortes
Qu’ils paient et qu’ils exhortent
À couvrir leur pognon
Ce n’est pas une vie
Et dans mon tour de France
De Bretagne en Provence
Je m’en vais dire aux gens:
Il vous faut réfléchir
Ne vous laissez plus faire
Révoltez-vous mes frères
Pour ne pas en rougir
Mais n’allez pas bon sang
Allez donner vos votes
A la blonde fachote
et son rassemblement
Vous voyez Président
Je ne perds pas la tête
Je ne suis pas si bête
Je suis un résistant
J’avais voté pour vous
Juste pour fair’ barrage
Aux vendeurs de mirages
Du FN et c’est tout
Vous nous avez roulé
Comme l’a fait Hollande
et ça nous fout les glandes
de se faire entuber
Du bon sens s’il vous plait
Pas besoin d’être énarque
Pour savoir qu’une barque
Mal chargée peut couler
Elle peut chavirer
Tout le monde à la flotte
Tout le monde barbotte
Certains peuv’ se noyer
Monsieur le Président
Vous êtes absolutiste
Genre bonapartiste
Hautain et méprisant
Pour vous le parlement
Doit être à votre botte
Hors de question qu’il vote
Parfois en reculant
Votre majorité
N’a pas son mot à dire
On la voit qui soupire
Quelquefois pour voter
Pas question d’étaler
Par trop ses états d’âme
sous le cou une lame :
votez ou dégagez
En tant que Jupiter
Vous maîtrisez la foudre
Le tonnerre et la poudre
en véritable expert
Mais il se peut qu’un jour
Vous fassiez comme Icare
Et que dans la bagarre
Vous tombiez à vot’ tour
Fini l’éternité
Les dieux sont éphémères
Et il est des chimères
Qu’il vaut mieux oublier
Monsieur le Président
J’avais beaucoup à dire
C’est bien mieux de l’écrire
Ça reste dans le temps
Mon titre « Objurgateur »
Est un néologisme
J’aime ce catéchisme
Que d’être novateur
Pas celui des curés
Que vous voulez séduire
Pour les réintroduire
… Le genre est menacé
Je voulais être court
Je n’ai pas su le faire
Je le savais naguère
J’en ai perdu le cours
Je n’aurais sûr’ ment pas
L’ombre d’une réponse
Ne serait-ce qu’une once
Bis) Mais ça ira comm’ ça
Pierre Dupuis
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Rotpier
Pastiche de la chanson « L'important c'est la rose » de Gilbert Bécaud qui devient : " L'important c'est la dose " de ... Rotpier ! Avec en prime un petit coucou des chouettes !
Je vous offre un petit … pastiche ! A la vôtre !
Cette fois-ci :
« L'important c'est la rose »
« L'important c'est la dose »
De … Rotpier
Recette pour bien le déguster :
1) Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
2) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
L’important c’est la dose,
Toi qui march’ en titubant
Tu n’as pas la vie facile
Tu n’as pas l’esprit tranquille, du passant
Toi qui as laissé tomber
L’espoir de gagner des thunes
De décrocher la fortune
L’important
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
Crois-moi
Toi qui cherches de l’argent
Pour picoler la semaine
Dans la vill’ tu te démènes, en braillant
Picoleur sans soif vraiment
Tu passes devant les banques
Pour qui tu n’es qu’un vieux branque
L’important
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
Crois-moi
Tu bois comme un trou béant
tu finiras sous la terre
D’une overdose de bière, au printemps
Ton teint vire sur le blanc
Et plus personne ne t’aime
Tes jours sont longs comm’ carême
Et pourtant
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
Crois-moi
Pour vous qui en rigolant
Écoutez ces quelques lignes
et avez les yeux qui clignent, en rotant
C’est à vot’ tour maintenant
de chanter tous en cadence
Avant de faire bombance
C’est maint’ nant :
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
Oui c’est ça
Allez, on reprend :
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
L'important c'est la dose
Oui c’est ça
xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
Le pastiche du jour: " Que c'est triste Venise " transformé par le Rotpier en " Qu'elle est triste Denise " !
Allez, je vous ressers un petit … pastiche !
A la vôtre !
« Que c'est triste Venise »
de Charles Aznavour
qui devient :
« Qu'elle est triste Denise »
de Rotpier
Recette pour bien le déguster :
1) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute d'abord !
Ensuite :
Qu’elle est triste Denise,
Qu’elle est triste Denise
avec tout’ ses peaux mortes
qu’elle est triste Denise
et en plus elle pue.
Je lui dis des gros mots
en lui montrant la porte
elle en à rien à s’couer
et moi je n’en peux plus.
Qu’elle est triste Denise
ses bas qui dégringolent
ne font que souligner
ses genoux tout cagneux.
Et mes lèvres se serrent
quand elle se gondole
je pourrais ô malheur
gerber au moins pour deux.
Qu’elle est triste Denise
avec tout’ ses peaux mortes
qu’elle est triste Denise
et en plus elle pue.
Les musées les églises
lui ont fermé leurs portes
les tourist’ apeurés
s’enfuyaient dans les rues.
Qu’elle est triste Denise
c’est bien mon infortune
et je voudrais demain
aller à son trépas.
Et quand elle ironise
plus conne que la lune
je voudrais l’oublier
mais elle est toujours là.
Je suis bien un pigeon
un dindon un cloporte
je ne sais plus sourire
je suis plus que perdu.
Y en a marr’ de Denise
je la voudrais bien morte
y en a marr’ de Denise
c’est demain que j’ la tue.
La la la la la la
la la la la la la
la la la la la la
la la la la la la.
Rotpier