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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

la mythologie selon rotpier

Castor et Pollux : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

2 Avril 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 

    Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 


Aujourd’hui :

 

 

Image du net:

Ah ! on savait vivre à cette époque !

      

Castor et Pollux

Castor ( dont on ne sut jamais s’il l’avait plate et avait de longues incisives ) et Pollux sont les fils de Léda, surnommés les Dioscures, comme fils de Zeus, et Tyndarides, comme fils de Tyndare roi de Sparte et époux de Léda qui roulait en Lada. Chez Homère Michel, ils sont fils de Tyndare fermement, frères d’Hélène (mais pas des garçons !) et de Clytemnestre; ils ont été transportés au ciel avant le siège de Troie, et se montrent quelquefois aux hommes. La légende se développa ensuite: Zeus, amoureux de Léda, s'était changé en cygne pour lui faire signe; la reine séduite avait conçu deux œufs à la coque, d'où sortirent Pollux (Polydeuces) et Hélène du premier puis Castor et Clythemnestre du second en pire. 
Devenus grands, les Dioscures prirent part à la chasse de Calydon (le fameux sanglier) aux chasses de Giscard, à la campagne de Nicolas 1er, à l'expédition des Argonautes, à qui veut des millions et fondèrent en Colchide dans les prés la ville de Dioscurias : le navire Argo étant battu par la tempête, Orphée fit un vœu aux divinités de Samothrace et elle obtint une victoire : on vit paraître alors des flammes au-dessus de la tête des Dioscures et l’on appela les pompiers. Ils combattirent les pirates de l'Archipel (les ancêtres des actuels Somaliens), allèrent en Attique et tac pour ramener leur sœur Hélène enlevée par Thésée vous que c’est moi qui cause. 

Enlèvement d'Hélène par Thésée : collection personnelle

 

 Castor fut tué par Lyncée (il fut pratiquement lynché) Pollux voulut partager avec Castor son immortalité: avec la permission de Zeus, les deux frères passèrent alternativement six mois sur terre dans un magasin Castorama et six mois aux Enfers dans une annexe des PFG. Finalement, transportés au ciel, ils devinrent la constellation Gémeaux et ils aimèrent bas.

Leur culte se répandit dans tous les pays grecs, surtout chez les Achéens, les Doriens, les Vauriens, les Giscardiens et chez les Acadiens nos cousins. Ils étaient les dieux de l'hospitalité, des jeux gymniques ta soeur tant qu’on peut, de la longévité, de la navigation (on les confondit souvent avec les Cabires). Ils combattirent pour les Romains à la bataille du lac Régille en bas résille et, le même jour, annoncèrent la victoire sur le Forum d’Internet, où on leur éleva un temple: des ruines en subsistent. On leur prêtait la forme de jeunes gens vêtus d'une tunique blanche qui était unique et d'un manteau de pourpre, avec un casque étoilé et une lance qui était chaude ce qui était normal vu qu’ils ne sortaient pas couverts à part leurs bas résille ! Leurs statues gigantesques se dressent à Rome devant le Quirinal. Ils sont à rapprocher des Acvins (bien qu’ils n’étaient que deux) de l'Inde.

 

Voici, voila ce que vous deviez savoir sur Castor et Pollux pour faire barrage à l’ignorance !

  

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

 

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Les Heures : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

26 Mars 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 


Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 


Aujourd’hui :

 

 

 

Image du net

  

 

Quand c’est l’heure, c’est l’heure : il faut parler des Heures ! Le Rotpier vous en parle de l’Eure et ce n’est pas un leurre supplémentaire même s’il travaille plus pour vous en donner … pas plus, mais pas moins non plus !

Et pis c’est tout mes loulous !

Les Heures

 

Divinités accompagnant les dieux ou certains héros. Les Heures (en grec: Orai) présidaient aux saisons et se perdaient souvent, d’où l’expression : « encore des Heures perdues ! »
Elles étaient filles de Zeus et de Thémis Tigri qui en avait un beau, paraît-il.

 On en comptait trois: 
Eunomia (législation), 
Dicé (justice), 
Eirénè (paix), 
noms qui indiquent leur rôle moral. 
Elles avaient élevé Héra, Dionysos, Dalida, Delanoë Aphrodite, le petit Nicolas, Hermès, Herpès (qui avait de gros boutons) et Aristée. Elles présidaient à la toilette d'Aphrodite et de Nadine Morano la parano. Elles étaient souvent associées, fifti-fifti, aux Charites et aux Nymphes de jardin. Elles gardaient les portes de l'Olympe et de l’Elysée (Carla en était très jalouse) elles étaient les régulatrices de la vie humaine. Les artistes donnaient aux Heures la physionomie de gracieuses jeunes filles, souvent de danseuses vêtues d'habits longs ou bien carrément à poil selon les saisons, tenant des raisins, des épis, des roses pour celle qui adhérait au PS et des rameaux fleuris à la main, mais aussi des Kalachnikovs quand elles étaient très en colère.

Dans la mythologie alexandrine et romaine, les Heures deviennent des allégories (allez les autres aussi !) qui personnifient nettement les saisons, désormais au nombre de quatre. On les considère comme filles du Soleil et de la Lune et elles en avaient d’ailleurs de fort jolies ma foi ! 
Puis on en compta douze, personnifications des douze heures du jour ou de la nuit, et alors filles de Chronos (le temps, celui des 24 H ).

Elles répondent aux noms de:


Augé (Pat de son prénom)
Anatolé (qui avait une très belle carrosserie)
Musica (qui jouait avec le  pipeau de Berlusconi)
Gymnastica (qui faisait un double salto avant de faire l’amour avec le même Berlusconi)
Nympha (qui était nympho)
Mesembria (pour laquelle Rotpier ne trouve rien)
Spondé (Corès de son prénom)
Eleté (et le « r » ! Alouette, alouette, alouette ! ah ah ah ah ! )
Acté (bêt’ mon pauv’ gars !)
Hesperis (ça ne coute rien !)
Dysis (toi aussi !)
Actos (la sœur de Portos et la maîtresse d’Aramis France)

Brassens, qui était toujours à l’heure grâce à la vaillance de son petit cheval blanc, avait célébré les allégories dans sa célèbre chanson : « Gare aux allégories ». Il les appelait « Les femelles du canton » et elles mataient un endroit très précis que ma mère m’a interdit de nommer ici !

 

Voila, il est l’heure que je vous quitte de l’Eure pour aujourd’hui en vous rappelant de ne pas oublier de remettre vos pendules à l’heure pour ne pas rater vos rendez-vous galants ou pas !

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

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Pluton : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

20 Mars 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 


Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 


Aujourd’hui :

 

 

 

Image du net : Pluton et Cerbère

 

 

 

 

PLUTON  

 

 

 

Pluton, fils de Saturne et de Rhéa, frère de Zeus, régnait sur le monde souterrain (l’enfer en quelque sorte) où se trouvait son royaume.

 

Il était le gardien des morts (des fois qu’ils auraient voulu se barrer !) et il était aidé par le célèbre Cerbère, son chien à trois têtes, dont on ne sait toujours pas s’il avait trois queues et s’il les remuait en même temps quand il était content.

 

Cerbère, Léonard de son vrai nom, chantait fort bien à trois voix ! Je vous dis cela juste pour le plaisir !

 

 

 

Les morts revivaient (si ! c’est écrit !) mais d’une vie plus terne (si terne qu’ils s’y noyaient dedans) dans la plaine des Asphodèles (actuelle Algérie ?)

 

C’est d’ailleurs de là que vient l’expression : « c’est un as Faudel ! » … si ! Vous retrouverez certainement cela en épluchant les accords d'Evian, les accords les plus détestés par Borloo !

 

 

 

Les plus chanceux (les favoris des dieux) accédaient aux Champs Elysées. Notre Nicolas a du donc être en cheville avec Pluton pour accéder à l’Elysée, sorte de paradis évanescent sans Vanessa mais avec d‘abord Cécilia et ensuite Carla … quoique, avec Vanessa, on ne sait pas : il parait que le petit Nico est un chaud du bigoudi … si ! Sera-t-il toujours sous la protection de Pluton pour l’échéance à venir : personne ne le sait.

 

 

 

Je ne peux passer sous silence aussi, le surnom de Claude Guéant : Cerbère, le gardien de l’Elysée. On ne sait toujours pas s’il possède trois queues et s’il les agite en même temps quand Nicolas les lui carresse ? Quand je dis Nicolas, il se peut aussi que se soit Carla vu qu’elle n’est pas la dernière à réagir quand elle se frotte à ce genre de truc là.

 

 

 

Pluton était un type plutôt (non …  pas le chien qui était Cerbère, vous allez suivre à la fin !) renfrogné et vu le royaume où il régnait, aucune femme ne le voulait comme époux bien qu’il n’eut point de puce. Il décida donc d’enlever Proserpine dont il aimait bien la fin du nom … un peu ma cousine !

 

 

Pluton enlevant Proserpine

 

Ils ne furent pas (surtout elle) très heureux et n’eurent pas d’enfant.

 

 

 

Je suis désolé pour cette triste fin, mais c’est la stricte vérité … mon cousin !

 

 

 

Voila ce que vous devez savoir de Pluton pour ne pas passer pour des débiles profonds en discutant avec des collègues devant la machine à café !

 

 

 

Vous remarquerez aussi (comme Félicie) et parce que je vous mets le doigt dessus, que je traite de Pluton en Mars, ce qui est un signe alors que certains affirment que le Rotpier est souvent dans la Lune et qu’il n’a pas toujours les deux pieds sur Terre !

 

 

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !

 

 

 

 

 

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Oreste : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

27 Février 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 


Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas : suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 


Aujourd’hui :

 

Oreste poursuivi par les Erinnyes d'après BOUGUEREAU

 

 

 

Oreste

 

Oreste est le dernier des enfants d’Agamemnon que l’autre, roi de Mycénes (Yonne) et de Clytemnestre.
Déjà tout jeune, il servit d'otage à Télèphe One venu à chercher auprès d'Achille, le médicament pour soigner ses blessures.
Oreste n'était qu'un adolescent lorsque son père Agamemnon, de retour de la guerre de Troie, fut tué par Clytemnestre et par Egisthe, son amant. Il put, avec l'aide de sa sœur Electre Trie, citée ici, se réfugier chez son oncle Strophios, en Phocide et en fausse Chimène aussi. Il se lia d'une solide amitié avec son cousin, Pylade qui demeura le fidèle compagnon de ses infortunes. Sa confiance en Pylade ne fit que monter de Chine et de Ceylan.
Parvenu à l'âge adulte, il décida, sur les conseils d'Apollon, de venger la mort de son père. Accompagné de Pylade, il se rendit en secret à Mycènes et tua, avec la complicité de sa sœur Electre, sa mère Clytemnestre et son amant Egisthe, qui tenait un gros registre. Son meurtre, qui semblait une juste vengeance, frappa les dieux d'horreur et d’eau de Cologne et, en tant que matricide, ils lui dépêchèrent les Erinnyes qui n’avouaient jamais comme Guy Martel, pour le tourmenter et qui le poursuivirent jusqu'à Delphes.



 

Oreste massacrant Egisthe et Clytemnestre (1654) d'après Bernardino Mei ( collection personnelle )

 

 

Cependant, Apollon n'abandonna pas l'infortuné. Il lui conseilla de se réfugier à Athènes chez Zorba qui vivait à la colle avec Mélina Mercouri et Irène Papas mais presque où l'Aréopage 126, grâce à l'intervention décisive d'Athéna et le plaidoyer d'Apollon étayé par la dithyrambique tirade de maître Collard fumé, l'acquitta de son meurtre. Puis le dieu le purifia à Delphes et, par la bouche de la Pythie circulaire, lui fit savoir qu'il serait définitivement guéri de sa démence en allant chercher la statue d'Artémis en Tauride du sud : pays ou il faisait très chaud et où les filles se baladaient à poil.
En Tauride, Oreste et Pylade, sur le point d'être sacrifiés comme étrangers, furent reconnus par Iphigénie sans bouillir, prêtresse d'Artémis France qui s'enfuit avec eux en leur livrant la statue et en laissant tomber comme une vieille chaussette, Geneviève qui, dans le fond, tenait peu à les suivre, fatiguée qu’elle était de tout ce cirque.
En passant par Mégalopolis secrète, il abandonna symboliquement un doigt aux Erinnyes pour ne plus être tourmenté à la menthe et au citron.

 

Il eut d'autres aventures selon l'Andromaque d'Euripide l’insipide. En effet, il enleva Hermione à Néoptolème, roi d'Epire que l’autre et tua son rival à Delphes. Hermione la morpione était la fille de Ménélas à pas grand-chose et d'Hélène qui était toujours entourée des garçons, Hélène à qui il avait été fiancé alors qu'il était tout jeune mais que Ménélas avait par la suite marié à Pyrrhos à moelle, le fils d'Achille Talon pour faire plaisir au héros lors du siège de Troie et au grand dam de Chabal Ovale qui se vit plaqué par la belle Hélène, ce qui était une performance non négligeable vu du bestiau.

 

De retour dans le Péloponnèse où il fait toujours très froid ( car c’est bien connu qu’il pèle au Ponnèse ! ) à Mycènes, le héros prit possession du trône de son père Agamemnon, dont il avait été injustement spolié, puis épousa Hermione. Oreste régna dès lors sur Argos, Argus, Mycènes et Spartes mais pas sur Monaco ni Monica.
La peste s'abattit sur son royaume et l'oracle consulté indiqua que l'épidémie de pain cesserait si les cités et les temples détruits pendant la guerre de Troie étaient reconstruits. C'est pourquoi il envoya des colons (dont Christophe) en Asie Mineure avec casque, lampes et rivelaines.

 

 Après un long règne, il mourut en Arcadie moi tout à un âge avancé ( un peu moins quand même que Jeanne car il avait abusé de calmants)  Plus tard ses ossements furent transportés à Spartes et assurèrent la victoire de cette ville sur Tégée V, mais les romains affirmaient de leur côté que sa dépouille avait été ensevelie dans le forum, sous le temple de Saturne.

 

D’autres prétendent qu’il avait été enterré au fond du jardin par Jean qui était un grand artiste reconnu par un certain Oscar à Hollywood et qui fut affranchi par César grâce au passage d’un rubis con sous le nez des douaniers de la frontière italienne et pour le compte de Sylvio Berlusconi.  

 

Je ne garantis pas cette dernière version mais elle n’est pas plus idiote que les autres.

 

 

 

Voici voila ce que je devais vous apprendre sur Oreste

 

… au reste, c’est déjà fini pour aujourd’hui braves gens !

 

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !

 

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

 

 

l

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Les Gorgones, Zola et autres : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

20 Février 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

Aujourd’hui,

 

Image du net mixée avec celle d'une de mes belles-soeurs

Les Gorgones

Nota : Pour cet article, certaines références viennent du plus grand écrivain ayant décrit les Gorgones : Zola ! ….Même si vous ne me croyez pas, vous n’allez quand même pas en faire un fromage ou une raclette !

Monstres fabuleux, enfants des divinités marines Phorcys et de Céto (donc pas tard) et soeurs des Grées.
On les représentait sous la forme de femmes à la chevelure faite de serpents entrelacés et parfois dotées d'ailes; elles vivaient près du pays des Hespérides, ce qui était désespérant, aux confins de la Libye et elle l'avait en béton avant la chute de Kadhafi

On distingue en général trois Gorgones :
- Euryale,
- Sthéno ( qui était dactylo )
- Méduse (la seule mortelle) qui avait un radeau ancré à Géricault ( comme nous le rappelait le grand Georges)…. Sans compter, ça va de soi, la Gorgone Zola !


Méduse avait la figure, parfois barbue ( un peu moins qu’Alice Sapritch sur le tard ) d'une laideur repoussante, de forme ronde, avec un nez camard laqué, une bouche immense, presque comme Béatrice Dalle, munie de dents longues comme des défenses de sanglier d'où sortait une langue sauce piquante.

Ses ailes puissantes étaient d'or, ses mains d'airain tout comme sa chevelure, où se dressaient des serpents qui pendaient aussi à sa ceinture. Mais ses armes les plus redoutables étaient ses yeux grands ouverts qui lançaient des éclairs et pétrifiaient ceux qu'ils fixaient directement, un peu comme Marine Le Pen.
Selon la légende, Méduse aurait été une belle jeune fille, un peu trop fière de sa chevelure. Pour la punir, Athéna qui n’était pas commode ni étagère non plus, l'aurait changée en un paquet de serpents. Aussi repoussante qu'elle fût, Méduse n'en eut pas moins pour amant Poseidon ton cul sur la commode: elle s'unit à lui «dans une molle prairie parmi les fleurs printanières» comme le raconte poétiquement Hésiode dans le huitième épisode de « Quand la Gorgone s’envoie en l’air »
C'est pourquoi lorsque Percée (qui était de la police ) lui trancha la tête d'un seul coup de serpe, à sa grande surprise, Pégasse, le cheval ailé, et le guerrier Chrysaor brandissant une épée d'or, jaillirent de son corps décapité. Comme quoi, les films dits fantastiques d’aujourd’hui ne sont que du pissat de belette au regard de ce qui ce passait dans la mythologie, c'est moi qui vous le dit !

D'après Pausanias, dans la Description de la Grèce, livre II, il s'agit d'une version romancée de l'histoire d'une reine qui, après la mort de son père, aurait repris elle-même le pouvoir pour gouverner ses sujets ( comme Marine Le Pen va le faire avant même que le vieux soit calanché ! ) Elle aurait vécu près du lac Tritonide, en Libye et elle aurait été tuée pendant la nuit au cours d'une campagne militaire menée par Persée venu du Péloponèse en vélo et plus dopé que Contador !

Athéna plaça sa tête sous son égide et sous son bras. Dans une autre tradition, elle aurait enterré cette tête sous la place du marché d'Athènes pour la protéger cette ville et aurait donné une mèche de "cheveux" à la ville de Tégée pour la protéger. (Méduse signifie "celle qui protège" en grec. Ce qui était une vaste connerie au vu de la situation actuelle là-bas)
Selon Apollodore et d’argent, Asclépios découvrit que le sang de la Méduse faisait mourir ou ressusciter selon de quelle veine il provenait.

Si vous rencontrez une Méduse cet été, ne la fixez pas dans les yeux et n’y touchez pas : ça pique en plus ces saletés-là !

Les Gorgones figurent sur de très nombreux monuments et leurs représentations est très diverses. On les imaginait sous la formes de belles jeunes filles mais le plus souvent elles apparaissent comme des femmes ayant une chevelure faite de serpents entrelacés, une croupe de jument avec des bas résille et des hauts talons donnés par Achille et très souvent elles tirent la langue comme l'image ci-contre le montre. Si DSK les avait connues il les aurait adorées et honorées et cela lui aurait évité de faire des conneries dans les Sofitel ou autres Carlton !

Image du net mixée aussi avec celle d'une autre de mes belle-soeur

Sur ce beau tirage de langue, je vous quitte sans haine et sans reproche et vous donne rendez-vous la semaine prochaine … si vous le voulez bien !

 

Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

 

 

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Glaucos: La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

6 Février 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 

Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 


Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 

 

 

 

 

Aujourd'hui :

Image du net

 

 

Glaucos

 

Il existe plusieurs personnages dans la mythologie classique qui portèrent le nom de Glaucos.

 

 Fils de Sisyphe  et de Mérope ne sont plus à la mode, il épousa Eurynome et engendra Déliadès, Phocos et Bellérophon. 
Foncièrement imbu de lui-même, il affirmait que la puissance de ses chevaux venait du fait qu'il les empêchait de s'accoupler. Ce qui est une vaste connerie et reviendrai à affirmer que DSK n’ est qu’une pauvre lavette ! 
Aphrodite, une connaisseuse, exaspérée par cette injure à la nature, rendit les bêtes cannibales un 14 juillet et elles montrèrent alors leur puissance en dévorant Glaucos (il ne faut pas confondre ces chevaux avec les cavales de Diomède et les cabales de Chabal).

 

 Arrière petit fils du précédent, il se distingua dans les combats lors de la guerre de Troie et rencontra Diomède, con, battant pavillon pour les grecs. Tout en croisant le fer à repasser, ils se rendirent compte qu'ils étaient unis par les liens sacrés de l'hospitalité (ce qui est moins difficile à rayer que ceux du mariage) : en effet, le grand-père de Diomède, Œnée, avait un jour accueilli Bellérophon, grand-père de Glaucos et de Darcos. Réitérant le geste de leurs aïeux, ils se congratulèrent, échangèrent leurs armes et se quittèrent bons amis ce qui n’est pas le cas en politique actuellement !
Glaucos fut tué par Ajax à Amsterdam devant des femmes infidèles qui sentaient la morue et qui avaient la frite mais, dit-on, fut ressuscité par Asclépios et fonda un nouveau royaume en Lycie avec Fernandel et Félicie aussi, si !

 

 Fils de Minos à moelle et de Pasiphaé que ça, il se noya dans une jarre de miel avec Jean-Michel en suivant une souris ce qui prouve à nouveau que les gonzesses sont très dangereuses quand on les suit.
Ses parents, ne le retrouvant pas, consultèrent l'Oracle, lequel répondit que celui qui parviendrait à dépeindre le prodige venant de s'accomplir dans le pays trouverait l'enfant et lui rendrait la vie. 
Or, venait de naître dans le cheptel de Minos une génisse changeant de couleur trois fois par jour : blanche au matin, rouge à midi et noire pendant la nuit. Polyidos, le devin de messe consulté, ayant dit : "Cet animal ressemble à une mûre venant à maturité ! ", Minos l'envoya à la recherche de Glaucos. 
Lorsque Polyidos ramena le corps de l'enfant, il fut sommé de lui rendre la vie et fut enfermé dans le tombeau avec le cadavre. 
Il s'attendait à une mort lente moche comme un poux quand il aperçut un serpent près du corps. Il le tua mais, un autre serpent surgit, tenant dans sa gueule un fromage, un corbeau et  une herbe (ce qui sera appelé plus tard le Boursin aux fines herbes et au corbeau) qu'il posa sur son congénère (ils faut savoir ce que les cons génèrent : c’est terrible !) lequel ressuscita. N'osant y croire, Polyidos s'empara de l'herbe, la déposa sur l'enfant et la même chose se produisit. Tous deux crièrent et ils furent extraits de la tombe. L’UMP à d’ailleurs l’intention d’étudier le phénomène pour ressusciter l’enthousiasme de l’élection de 2007.
Minos, n'eut pas la gratitude attitude de Ségolène de rendre la liberté au devin, mais exigea encore qu'il initie Glaucos à son art. Polyidos, à contrecœur, dut obéir mais ne désespérait pas d'avoir un jour la possibilité de se venger de l'intransigeance de Minos. 
Sa mission exécutée avec succès, Polyidos eut enfin droit à sa liberté. Il s'apprêtait à embarquer sur le navire qui le ramènerait chez lui quand il demanda à Glaucos de lui cracher dans la bouche ; le jeune garçon oublia tout ce qu'il avait appris. Comme quoi il ne faut jamais cracher dans la bouche de quelqu’un car c’est sale et contre-productif. A chacun sa salive sauf quand on roule une pelle bien entendu : restons pragmatique.

 

 Avant  de devenir immortel, Glaucos, fils de Poséidon  et de la Nymphe  Naïs qui était transgénique, n'était qu'un simple pêcheur. 
Ayant un jour déposé le produit d'une journée de pêche sur l'herbe du rivage, il eut la surprise de voir les poissons ressusciter et retourner à la mer en frétillant. Glaucos mangea quelques brins d'herbe et se sentit lui aussi irrésistiblement attiré par la mer et non par le père dans laquelle il plongea. 
Au fond de l'eau, les Néréides l'accueillirent et le débarrassèrent de son enveloppe mortelle : Glaucos eut désormais l'apparence d'un vieillard au torse recouvert d'algues et au corps se terminant par une queue de poisson.
Bienveillant, il conseillait les marins venant le consulter, ce que le capitaine du Concordia aurait du faire absolument.

 

 Le dernier Glaucos est celui qui fut l'instrument de la vengeance de Circé Pompes  et la cause du malheur de Scylla et ailleurs.  
Ces amours furent bien malheureuses car toutes les femmes repoussèrent ses avances à l'exception de Symé et Huijuin qu'il transporta dans une île voisine de Rhodes pour faire ménage à trois, ce qui est plus rapide pour tout astiquer.
Il tenta de réconforter Ariane mais survint Dionysos qui l'attacha avec des pampres et lui ravit, sur le fil, Ariane à Koirou en Guyane
Mais l'histoire la plus connue est liée à la métamorphose de Scylla en monstre en même temps que Guéant.

 

 Fils d'Anténor, il fut sauvé, ainsi que son frère Héliacon qui ne l’était pas tant que cela, par Ulysse lors du sac de Troie qu’il ne faut pas confondre avec un de chez Vuitton.

 

 

 

Voici, voila ce que vous deviez savoir sur Glaucos qu’il ne faut pas confondre avec « glauque os » sous peine d’avoir tous les chiens de votre quartier aux fesses ! Je vous aurais prévenu !

 

 

 

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 

Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !

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Les sirènes : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

30 Janvier 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 

Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 


Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 

 

 

 

 

Aujourd'hui :

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Les Sirènes

Dans le douzième chant de l’Audi C (stéréo ), alors qu'Ulysse (il se l’était rasé ) et ses compagnons s'apprêtent a quitter l'île de la magicienne Circé pompes, celle-ci les prévient que non loin, des monstres féminins charment les marins qui pissent comm’ je pleure sur les femmes de infidèles les attirants sanguinaires sur les récifs sur lesquels ils meurent dans le naufrage de leur navire, tout comme le capitaine du Concordia.  

COMMENT LES SIRENES SONT DEVENUES SIRENES :

 

Filles du fleuve Achéloos et de la Nymphe Melpomène à pied (ou filles du dieu marin Phorcys), les Sirènes auraient été transformées en monstres par Déméter , minée à cette époque, furieuse qu'elles aient laissé le dieu des Enfers Hadès enlever sa fille Perséphone  et ses cartes de crédit, alors que Zeus leur avait donné des ailes pour sauver Perséphone .

 Très fières de leurs voix, au 1er tour, de leurs talents de musiciennes, Les Sirènes osèrent, un jour, défier les Muses (celles qui avaient des cornes ) Celles-ci, les privèrent de certaines plumes (notamment celles qu’elles avaient de planté dans le c -  -, car elles faisaient aussi le Lido le soir ) ce qui les rendit inaptes au vol, contrairement à Madoff et à bien d’autres, et les exilèrent sur des rochers, au sud de l'Italie, aussitôt recueillies par Berlusconi qui s’en tapait trois par jour car à cette époque là, il était très en forme.

D’autres auteurs, surtout Rotpierros le Magnifique affirment qu’elles sont devenues sirènes à causse du fait qu’elles faisaient beaucoup de gâteries aux pompiers de l’époque qui avaient tous pompier bon œil et la lance toujours prête !

Leur nombre varie selon les récits et leurs noms évoquent le charme et la beauté : 
Thelxiépia (« Enchanteresse »), Himéropa (« Douce »), Leucosia (« Blanche »), Ligeia (« Mélodieuse »), Parthénope (« Visage de jeune fille »),            Peisinoé (« Persuasive »), Agtaopé (« Beau visage »), Aglaophonos (« Belle voix »), Molpé (« Mélopée »), Thelxiopé (« Persuasive »), Têtes (« Parfaite ») Carlaguitara (« Celle qui a de belles guitares ») Nadinamoranota («La belle cireuse de pompes ») 

 

LE CHARME DES SIRENES EST TROP FORT POUR ULYSSE :

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Image du net

 

Même pour un personnage de la trempe d'Ulysse , il est impossible de résister aux fascinantes mélopées. Le héros devient comme fou, tente de briser les chaînes qui le retiennent au mat et adresse des regards suppliants à ses marins qui mangeaient des frites et puis des moules et buvaient du vin de Moselle, pour qu'ils le laissent aller vers celles qui chantent si merveilleusement. Conscients du péril qui les guette, les compagnons d'Ulysse gardent leurs oreilles bouchées, serrent les fesses et ne font que resserrer ses chaînes en réponse à ses mouvements et à ses regards désespérés. Ils rament vigoureusement en chantant « La petite Huguette » à tue tête et le navire s'éloigne du danger.

 C’est exactement se que n’à pas réussi à faire l’entourage du petit Nicolas quand il s’est laissé séduire par la sirène Carlaguitara qui séduisait tous les mecs qui passaient à sa portée, marins ou pas.

Ulysse est sauf, mais épuisé. La prochaine étape de son voyage sera consacrée à la recherche de l'âme du devin mort Tirésias, afin qu’ il le conseille sur son retour aux affaires en 2012.

 

Voici, voila ce que vous deviez savoir sur les sirènes qui n’avaient pas toutes un roi selon moi.

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 

Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !

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Bellérophon : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

23 Janvier 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 

Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 


Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 

 

 

 

 

Aujourd'hui :

Bellérophon sur son cheval ailé Pégase attaquant la Chimère.

 

 

 

Bellérophon

 

Bellérophon des bois n’était pas un agneau, non !

 

Héros corinthien, Bellérophon, fils de Glaucos à moelle (ou de Poséidon ton cul sur l’étagère) répondait à l'origine au nom de Hipponoos; sa mère était la fille du roi de Mégare du nord Nisos, qui s'appelait soit Eurymédé soit Eurynome à tout va, une ancêtre de Nicolas le Petit.

 

Après le meurtre involontaire de son frère (Déliadès), ou suivant d'autres récits, d'un noble Corinthien tyran de son état, nommé Belléros de Ravel ( alors qu’il était moche et pleutre ! ) il dut s'expatrier ( donc en vrac ) et se retira à la cour de Praetos, roi de Corinthe en prenant le nom de Bellérophon.

 

Sténébée (ou Antéia), femme du prince, l'accusa faussement d'avoir tenté de la séduire parce qu'il avait refusé ses avances. Encore une vicieuse qui a du avoir une grande descendance puisqu’elle est toujours présente !

 

Praetos qui ne voulut pas s'attirer le courroux, même en Guyane, des Erinnyes tout en bloc, en le tuant lui-même, envoya le héros à Iobatès, son beau-frère, roi de Lycie ( avec Félicie aussi …si !) avec des tablettes de chocolat noir scellées disant de le faire périr.

 

Iobatès lui ordonna de combattre Chimère, persuadé qu'il succomberait dans cette lutte, car il y avait une dure lutte en vue et ce n’était pas dans un Sofitel ! Chimère était un monstre femelle, comme beaucoup de monstres encore, qui soufflait du feu, manipulait le Karcher, avait une tête de lion, une patte de lapin porte bonheur, un corps de chèvre, les yeux de Guéant, la langue fourchue de Marine Le Pen et une queue de dragon un peu moins agile que celle de DSK mais quand même très remuante.

Chimère

Protégé par Athéna, qui lui amena le cheval Pégase de France dont le cours montait en flèche, Bellérophon tua le monstre en volant au-dessus d'elle comme au-dessus d’un nid des coucous, grâce à son GPS, en la criblant de flèches, puis en lui plaçant un bloc de plomb dans la gueule. Le souffle ardent de Chimère fit fondre le plomb qui lui brûla les entrailles.

 

Iobatès, loin de le récompenser l'envoya combattre les belliqueux Solymes à bois et leurs alliés, les Amazones qui avaient un magasin sur le net, puis il mit en déroute une bande de pirates Cariens qui avaient les dents cariées. Mais comme Iobatès lui avait envoyé la garde royale, avec à sa tête Ségolène, Bellérophon mis pied à terre et demanda à Poséidon d'inonder la plaine à mesure qu'il avancerait.

 

Les hommes n'ayant pas réussi à l'arrêter, les femmes de la région relevèrent leur tunique par-dessus leur tête et marchèrent vers lui. Bellérophon était si timide qu'il fit demi-tour, entraînant les vagues à sa suite. Ce qui prouve que les femmes n’ont pas changé et que pour un oui ou pour un non, elles mettent jupe par-dessus tête afin d’arriver à leurs fins ! Et aussi que Bellérophon était quand même un peu con pour ne pas profiter du spectacle.

 

Mais après de tels exploits, le roi de Lycie circulaire, convaincu de son innocence et émerveillé par sa bravoure, en fit son successeur et son gendre en lui donnant sa fille, en mariage Philonoé. Philonoé, qui était la fille naturelle de Bertrand Delanoë, ce qui prouve aussi que le maire de Paris n’a pas toujours été gay.

 

Bellérophon voulut se venger de la reine Sténébée (ou Antéia) ; il revint à Argos grâce à sa balise et fit semblant de succomber à ses charmes. Il lui proposa un petit voyage aérien sur le dos de Pégase mais quand il fut assez haut il la précipita dans les flots. Si vous voulez en faire de même avec toutes les gonzesses qui vous ont fait du tord, je vous conseille de prendre des cours de pilotage et de louer un petit avion car Pégase de France n’est plus disponible pour les petites bourses, car il appartient désormais à Suez.

 

Au sommet de sa gloire et du Père Magloire, Bellérophon entreprit de voler vers l'Olympe sur son cheval ailé, mais Zeus envoya un taon qui piqua Pégase sous la queue, ce qui fait très mal et si vous en doutez: essayez donc! Tombé dans un buisson d'épines ( je ne sais pas s'il y a une relation avec la queue de Pégase? ) il devint de messe aveugle et erra sur terre jusqu'à sa mort.
Isandros, son fils, qui possédait une grosse entreprise de confiture, mourut à la guerre contre les Solymes à bois.

 

 

 

Voici, voila ce que vous deviez savoir sur Bellérophon du panier pour ne pas passer pour de sombres crétins devant une classe de CM 2 de ZEP !

 

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 

Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !

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Calypso : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

16 Janvier 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 

Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 


Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 

 

 

 

 

Aujourd'hui :

Bellérophon sur son cheval ailé Pégase attaquant la Chimère.

             

 

Bellérophon

Bellérophon des bois n’était pas un agneau, non !

Héros corinthien, Bellérophon, fils de Glaucos à moelle (ou de Poséidon ton cul sur l’étagère) répondait à l'origine au nom de Hipponoos; sa mère était la fille du roi de Mégare du nord Nisos, qui s'appelait soit Eurymédé soit  Eurynome à tout va, une ancêtre de Nicolas le Petit.

Après le meurtre involontaire de son frère (Déliadès), ou suivant d'autres récits, d'un noble Corinthien tyran de son état, nommé Belléros de Ravel ( alors qu’il était moche et pleutre ! ) il dut s'expatrier ( donc en vrac ) et se retira à la cour de Praetos, roi de Corinthe en prenant le nom de Bellérophon.

Sténébée (ou Antéia), femme du prince, l'accusa faussement d'avoir tenté de la séduire parce qu'il avait refusé ses avances. Encore une vicieuse qui a du avoir une grande descendance puisqu’elle est toujours présente !

Praetos qui ne voulut pas s'attirer le courroux, même en Guyane, des Erinnyes tout en bloc, en le tuant lui-même, envoya le héros à Iobatès, son beau-frère, roi de Lycie ( avec Félicie aussi …si !) avec des tablettes de chocolat noir scellées disant de le faire périr.

Iobatès lui ordonna de combattre Chimère, persuadé qu'il succomberait dans cette lutte, car il y avait une dure lutte en vue et ce n’était pas dans un Sofitel ! Chimère était un monstre femelle, comme beaucoup de monstres encore, qui soufflait du feu, manipulait le Karcher, avait une tête de lion, une patte de lapin porte bonheur, un corps de chèvre, les yeux de Guéant, la langue fourchue de Marine Le Pen et une queue de dragon un peu moins agile que celle de DSK mais quand même très remuante.

Chimère

Protégé par Athéna, qui lui amena le cheval Pégase de France dont le cours montait en flèche, Bellérophon tua le monstre en volant au-dessus d'elle comme au-dessus d’un nid des coucous, grâce à son GPS, en la criblant de flèches, puis en lui plaçant un bloc de plomb dans la gueule. Le souffle ardent de Chimère fit fondre le plomb qui lui brûla les entrailles.

Iobatès, loin de le récompenser l'envoya combattre les belliqueux Solymes à bois et leurs alliés, les Amazones qui avaient un magasin sur le net, puis il mit en déroute une bande de pirates Cariens qui avaient les dents cariées. Mais comme Iobatès lui avait envoyé la garde royale, avec à sa tête Ségolène, Bellérophon mis pied à terre et demanda à Poséidon d'inonder la plaine à mesure qu'il avancerait.

Les hommes n'ayant pas réussi à l'arrêter, les femmes de la région relevèrent leur tunique par- dessus leur tête et marchèrent vers lui. Bellérophon était si timide qu'il fit demi-tour, entraînant les vagues à sa suite. Ce qui prouve que les femmes n’ont pas changé et que pour un oui ou pour un non, elles mettent jupe par-dessus tête afin d’arriver à leurs fins ! Et aussi que Bellérophon était quand même un peu con pour ne pas profiter du spectacle.

Mais après de tels exploits, le roi de Lycie circulaire, convaincu de son innocence et émerveillé par sa bravoure, en fit son successeur et son gendre en lui donnant sa fille,  en mariage Philonoé. Philonoé, qui était la fille naturelle de Bertrand Delanoë, ce qui prouve aussi que le maire de Paris n’a pas toujours été gay.

Bellérophon voulut se venger de la reine Sténébée (ou Antéia) ; il revint à Argos grâce à sa balise et fit semblant de succomber à ses charmes. Il lui proposa un petit voyage aérien sur le dos de Pégase mais quand il fut assez haut il la précipita dans les flots. Si vous voulez en faire de même avec toutes les gonzesses qui vous ont fait du tord, je vous conseille de prendre des cours de pilotage et de louer un petit avion car Pégase de France n’est plus disponible pour les petites bourses, car il appartient désormais à Suez.

Au sommet de sa gloire et du Père Magloire, Bellérophon entreprit de voler vers l'Olympe sur son cheval ailé, mais Zeus envoya un taon qui piqua Pégase sous la queue, ce qui fait très mal et si vous en doutez: essayez donc! Tombé dans un buisson d'épines ( je ne sais pas s'il y a une relation avec la queue de Pégase? ) il devint de messe aveugle et erra sur terre jusqu'à sa mort. 
  
Isandros, son fils, qui possédait une grosse entreprise de confiture,  mourut à la guerre contre les Solymes à bois.

 

Voici, voila ce que vous deviez savoir sur Bellérophon du panier pour ne pas passer pour de sombres crétins devant une classe de CM 2 de ZEP !

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !

 

 

 

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Le (ou la) Sphinx : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

9 Janvier 2012 , Rédigé par Rotpier Publié dans #La mythologie selon Rotpier

 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 

Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et« Vénus »chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 


Si la mythologie est votre talon d’Achille en société, n’hésitez pas :suivez mes cours et vous deviendrez aussi brillant que le roi Midas qui changeait tout ce qu’il touchait en or et se grattait souvent les choses !

 

 

 

 

 

 Aujourd'hui :

 

  Image du net : le Sphinx et Oedipe

 

 

 

Le (ou la) Sphinx

 

Le (ou la) Sphinx ou la Sphinge que certains appelaient aussi Phix (Avorang) était un monstre femelle ( rien de pire qu’un monstre femelle … si !) qui avait  pour géniteurs Chimère Michelle et Orthos, le frère de Porthos, selon Hésiode ou Echidna et Thyphon  la  tempête, selon Apollodore Debout, le frère de Jean-Jacques.

 

Il  possédait toutes les caractéristiques de la race dont il était issu (de secours). Il avait le visage et la poitrine d'une femme comme Ségolène, les pattes et la queue d'un lion comme Dominique, et les ailes d'un oiseau comme Bernard et il adorait faire sa petite cuisine du coté de Saulieu.

 

 Ce monstre aurait été envoyé par Héra pour punir Laïos à moelle, roi de Thèbes, coupable d'avoir enlevé le jeune Chrysippe ou par Hadès (ou Apollon)  pour punir les thébains et douches de leur impiété.
Installé sur un rocher du mont Phicium, ( ou sur les remparts de Thèbes ou encore de Varsovie avec la dame qui promenait son cul selon le grand Jacques ! ), le monstre posait une énigme qu'il avait apprise des Muses Eulières aux voyageurs qui passaient à proximité. Ceux qui n'arrivaient pas à résoudre son énigme étaient immédiatement tués et dévorés. Le reste du temps, il ravageait les champs de Béotie avec Fernandel et Félicie aussi … si !
Lorsque Laïos fut assassiné et remplacé par son beau-frère, Créon de nom, un drôle de bof, qui venait de perdre son fils Haemon dévoré par le monstre,  il proclama, conformément à un oracle, qu’il donnerait le royaume et la main de sa sœur ( qui était encore dans la culotte du zouave ) Jocaste, veuve de Laïos, à quiconque viendrait à bout du Sphinx.

 

Nombreux furent les infortunés aventuriers appâtés, de campagne, par la récompense qui tentèrent vainement leur chance.
Un jour Œdipe, dont c’est t’y que je vous avais déjà causé, décida lui aussi d'affronter le Sphinx qui lui donna à résoudre l'énigme suivante :
"Quel être, pourvu d'une seule voix, a d'abord quatre jambes, puis deux jambes, et finalement trois jambes"
Sans hésiter Œdipe répondit : "L'homme", car dans sa prime enfance il se traîne sur ses pieds et ses mains, à l'âge adulte il se tient debout sur ces jambes, et dans sa vieillesse, il s'aide d'un bâton pour marcher."
Se voyant joué, le Sphinx se précipita du haut de son rocher avec Yves et se tua comme l’oracle l’avait prédit. Toutefois selon d'autres versions Oedipe le tua avec son épée fournie par Dame Oclès.
C’est ainsi qu’Œdipe devint roi de Thèbes et épousa sans le savoir sa mère, Jocaste … que je vous en avais causé aussi, si vous suivez bien mes cours ! D’où le fameux complexe d’ Œdipe. Sarko qui passait par là lui avait déjà dit à l’époque « Casse-toi pov’ con…plexe » , l’autre très perplexe lui avait répondu : « Sale mec ! » Comme quoi l’histoire n’est qu’un éternel recommencement !

 

Pausanias apporte une vision plus rationnelle (Périégèse; IX, 26, 2) de l'évènement. Pour lui le Sphinx n'est qu'un pirate relevant de l’HADOPI qui sévissait dans les parages d'Anthédon et qui fut tué par Oedipe et son armée venue de Corinthe, le pays du raisin.
Il rapporte aussi que le Sphinx était une fille naturelle de Laïos et de Claude Guéant, qui préservait ainsi l'accès au trône de la foire ou à la foire du trône, je ne sais plus très bien et aussi bien sûr l’accès à l’Elysée. Il parait que Nadine Morano, que certain nomme Radine Monano ( dans le nez ) lui ressemblerait aussi un peu et quelle défend bec et ongles le locataire de l’Elysée.

 

Il ne faut pas confondre le Sphinx de Thèbes avec son homonyme égyptien, le lion couché à tête humaine, symbole du dieu Hamarkhis  (le soleil éclairant le Monde) Cela serait une grave erreur et je tenais absolument à le préciser. Je vous mets les deux photos pour bien ancrer la différence dans vos petites têtes de moineaux !

 

Image du net

 

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !

Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 



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