billet d'humeur
La fable impertinente du jour : " Le géniteur improbable, " par ... Pierre
La naissance des Gilets Jaunes
Fable impertinente…
Le géniteur improbable,
Il était une fois au royaume de France
un monarque orgueilleux toisant les gens de haut
négligeant les petits et chouchoutant les gros
la colère montait devant tant d’arrogance.
N’ayant pas mesuré chez ces gens leur vaillance
il fit la grosse erreur de tenir des propos
méprisants au possible et lâchés tout de go
dévoilant au grand jour sa grande impertinence.
Il voulu corriger mais il était trop tard
ils étaient dans la rue tous les vilains canards
tout de jaune vêtus : une drôle de faune !
Un impudent lui dit « Vous n’aviez pas d’enfants,
voila c’est réparé, content ou pas content,
vous êtes le papa de tous les gilets jaunes !
Le souverain honteux et confus
jura « Par Balthazar !
On ne m’y reprendra plus ! »
… mais il était trop tard !
Son règne s’effilocha
et tomba en quenouille
un sans-gêne utilisa
une autre rime en « ouille »
avec bien sûr infiniment moins de grâce
mais toujours est-il qu’il tomba en disgrâce.
Morale :
Avant que de parler il faut bien mesurer,
peser et soupeser les mots que l’on va dire
après il est trop tard pour pouvoir se dédire
car le lien de confiance est par trop fracturé !
On peut très rarement recoller les morceaux
on a beau essayer de mettre des attelles
le crédit n’est plus là, il a du plomb dans l’aile
et tout peut recasser au moindre soubresaut !
Les français ne sont pas seulement des gaulois
ils ont su perpétuer leur instinct de révolte
tous les impudents qui les attaquent récoltent
leur volée de bois vert et même plus parfois !
Pierre Dupuis
Petit montage personnel à partir d'images du net !
Crédit photo: Stéphane Lagoutte.Myop pour Libération
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Et bien sûr pour vous tous:
Bien amicalement,
Pierre
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
.
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... Je vous chouette une bonne distraction
... et une bonne journée !
Et ...
.
Les chouettes, vous chouaitent de joyeuses fêtes
et vous disent à l'année prochaine !
Allez, je remets une petite couche de jaune ... Le poème du jour : " Impasse, gilets jaunes et colère noire, " ou " Jaune sparadrap, "
.
Nota: J'ai remis de la valeur ajoutée au précédent !
Les gilets jaunes à Gisors 27140
Image du net, crédit à l'Impartial, le journal local.
Impasse, gilets jaunes et colère noire,
ou
Jaune sparadrap,
Un président toisant de haut
Un gouvernement à sa botte
Avec un chef droit dans ses bottes
Cela mène droit au chaos.
Le petit peuple des ruraux
Qui se transforme sans pilote
En insoupçonnés sans-culottes
Avec dégâts collatéraux.
Majorité déboussolée
La belle confiance envolée
Prenant conscience bien trop tard
De la gravité de la chose.
Qui érigera des remparts
Avant que tout cela n’explose ?
Péroraison :
Situation exceptionnelle
Demandant beaucoup de doigté
Mais nos dirigeants sont bornés
Gare au retour de manivelle !
A jouer à la pie crevée
On ne gagne que la chienlit
Et l’histoire se réécrit :
À mêmes œufs même couvée !
Même De Gaulle à son époque
S’y est vraiment cassé les dents
Alors Monsieur le Président
On ne joue plus et on débloque !
Monsieur le président :
Vous n’avez lâché que des miettes
votre crédit est mal en point
pas seulement sur les ronds-points :
dans la France entière il s’émiette !
En favorisant les plus riches
au début de votre mandat
vous avez trahi ceux d’en bas
en les prenant pour des potiches !
Mais les caves ça se rebiffe
ça ne lâche pas le morceau
vous serez marqué de leur sceau
longtemps vous sentirez leurs griffes !
Les quelques mots de repentance
du bout des lèvres prononcés
avec un petit air pincé
n’obtiendront jamais de quittance !
Ils resteront en embuscade
si vous tentez des coups fourrés
et ils rebattront le pavé
remonteront des barricades !
Ils ne prendront pas la bastille
elle est tombée depuis longtemps
mais sachez mon cher Président
que cette pensée les titille !
Maintenant voila qu’ils s’exportent
tout comme la révolution
dans d’autres pays en tension
ainsi en vont les idées fortes !
Vous avez fait les gilets jaunes
ils vous colleront à la peau
ne vous laissant aucun repos
vous qui rêviez d’être une icône !
Un sparadrap indécollable
tel celui d’Archibald Haddock
je trouve cela très ad hoc :
beau décrochage de timbale !
Vous n’êtes pourtant pas béjaune
mais votre orgueil vous a piégé
vous aviez mal anticipé
et maintenant vous riez jaune !
Le poème d'actualité du jour : " Impasse, gilets jaunes et colère noire, " de ... Pierre
Impasse, gilets jaunes et colère noire,
Un président toisant de haut
Un gouvernement à sa botte
Avec un chef droit dans ses bottes
Cela mène droit au chaos.
Le petit peuple des ruraux
Qui se transforme sans pilote
En insoupçonnés sans-culottes
Avec dégâts collatéraux.
Majorité déboussolée
La belle confiance envolée
Prenant conscience bien trop tard
De la gravité de la chose.
Qui érigera des remparts
Avant que tout cela n’explose ?
Péroraison :
Situation exceptionnelle
Demandant beaucoup de doigté
Mais nos dirigeants sont bornés
Gare au retour de manivelle !
A jouer à la pie crevée
On ne gagne que la chienlit
Et l’histoire se réécrit :
À mêmes œufs même couvée !
Même De Gaulle à son époque
S’y est vraiment cassé les dents
Alors Monsieur le Président
On ne joue plus et on débloque !
Le pastiche du jour: " Le déserteur "de Boris Vian qui devient : " L’objurgateur, " de ... Pierre Dupuis
.
Un petit pastiche de la chanson de Boris Vian par … Pierre
Allez !
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette fois-ci :
« Le déserteur »
de Boris Vian
qui devient :
« L'objurgateur … »
- Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
- On écoute religieusement l’artiste !
- On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre !
L’objurgateur,
Monsieur le Président
Je vous fais une lettre
Que vos scribes peut-être
Vous donnerons vraiment
Je viens de recevoir
Mon tout petit salaire
un salaire de misère
De quoi broyer du noir
Monsieur le Président
Je ne sais plus quoi faire
Mais surtout pas me taire
Je vais parler aux gens
C'est pas pour vous fâcher
Mais il faut que j’ vous dise
De façon très concise
Vous nous avez roulé
Moi j’aime travailler
Je tiens ça de mon père
Et aussi de mes frères
on n’aime pas glander
Nul besoin d’être expert
Pour observer qu’on tombe
que l’avenir nous plombe
vous faîtes du Thatcher
Quand vous étiez banquier
Vous fréquentiez les riches
Qui planquent et qui trichent
Pour mieux optimiser
Il n’y a pas de frein
Ils n’y vont pas d’ main morte
et vous en quelque sorte
Vous leur prêtez la main
Monsieur le Président
Vous préférez les riches
Qui reniflent et pleurnichent
Sur leur paquet d’argent
Ils en ont tant et tant
Que ce n’est pas croyable
Et les dessous de table
Sont des actes courants
S’il faut fair’ des efforts
Que tout le monde en fasse
C’est par trop dégueulasse
D’épargner les plus forts
Vous vous avez triché
Et viré trop à droite
Votre pied gauche boîte
Ce n’est pas un cliché
La mondialisation
Ce fabuleux prétexte
Pour promulguer des textes
Nuisibles aux nations
Quand je dis « aux nations »
Je parle des gens humbles
Ceux qui sont dans la jungle
À la merci des lions
Voraces sociétés
Aux cossus actionnaires
Méprisant la misère
Et se faisant du blé
Ils ont des bataillons
D’avocats de tout’ sortes
Qu’ils paient et qu’ils exhortent
À couvrir leur pognon
Ce n’est pas une vie
Et dans mon tour de France
De Bretagne en Provence
Je m’en vais dire aux gens:
Il vous faut réfléchir
Ne vous laissez plus faire
Révoltez-vous mes frères
Pour ne pas en rougir
Mais n’allez pas bon sang
Allez donner vos votes
A la blonde fachote
et son rassemblement
Vous voyez Président
Je ne perds pas la tête
Je ne suis pas si bête
Je suis un résistant
J’avais voté pour vous
Juste pour fair’ barrage
Aux vendeurs de mirages
Du FN et c’est tout
Vous nous avez roulé
Comme l’a fait Hollande
et ça nous fout les glandes
de se faire entuber
Du bon sens s’il vous plait
Pas besoin d’être énarque
Pour savoir qu’une barque
Mal chargée peut couler
Elle peut chavirer
Tout le monde à la flotte
Tout le monde barbotte
Certains peuv’ se noyer
Monsieur le Président
Vous êtes absolutiste
Genre bonapartiste
Hautain et méprisant
Pour vous le parlement
Doit être à votre botte
Hors de question qu’il vote
Parfois en reculant
Votre majorité
N’a pas son mot à dire
On la voit qui soupire
Quelquefois pour voter
Pas question d’étaler
Par trop ses états d’âme
sous le cou une lame :
votez ou dégagez
En tant que Jupiter
Vous maîtrisez la foudre
Le tonnerre et la poudre
en véritable expert
Mais il se peut qu’un jour
Vous fassiez comme Icare
Et que dans la bagarre
Vous tombiez à vot’ tour
Fini l’éternité
Les dieux sont éphémères
Et il est des chimères
Qu’il vaut mieux oublier
Monsieur le Président
J’avais beaucoup à dire
C’est bien mieux de l’écrire
Ça reste dans le temps
Mon titre « Objurgateur »
Est un néologisme
J’aime ce catéchisme
Que d’être novateur
Pas celui des curés
Que vous voulez séduire
Pour les réintroduire
… Le genre est menacé
Je voulais être court
Je n’ai pas su le faire
Je le savais naguère
J’en ai perdu le cours
Je n’aurais sûr’ ment pas
L’ombre d’une réponse
Ne serait-ce qu’une once
Bis) Mais ça ira comm’ ça
Pierre Dupuis
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Sinon, cela donne ça!
Rotpier
" L’époque loup-phoque, " ... une fable à facettes de ... Pierre et de Rotpier !
Fable à facettes…
L’époque loup-phoque,
Elle n’est pas si loin l’époque
ou il fallait pour être chic,
à condition d’avoir du fric,
l’hiver porter vison ou phoque.
C’était le temps où la fourrure
classait haut dans la société
ceux qui mangeait à satiété
et roulaient en belles voitures.
Sauvages ou bien d’élevage,
sale temps pour les animaux
à fourrure ou à belle peau
martyrs de sombres abattages.
Renards, chinchillas ou hermines,
castors, loups ou ratons laveurs,
les ours quelque soit leur couleur,
qu’ils soient d’Amérique ou de Chine.
Et les lapins et les belettes,
les écureuils, les rats musqués,
les lynx, les renards argentés,
les coyotes et les moufflettes.
Pour un manteau ou une toque,
combien d’habits éparpillés ?
Combien de maris cocufiés ?
… Sans oublier la réciproque !
Pour enfiler une fourrure,
combien se sont mises à poil ?
Je sais mon propos très trivial
et fort gênant aux emmanchures !
S’il faut reconnaître une chose
à Bardot c’est d’avoir agi
- Une sorte de repenti ? -
… étonnante métamorphose !
Après avoir porté fourrure
elle a soudain changé d’avis
comme de mec sans préavis
pas trop gênée aux entournures !
L’égérie des années soixante
qui fricote avec les Le Pen,
qui madrague* avec le FN,
a eu cet éclair de conscience !
A l’heure du tout synthétique
laissons vivre les animaux
avec leur manteau sur le dos,
qu’ils soient d’Afrique ou d’Antarctique !
Laissons courir les antilopes,
laissons se baigner les castors,
laissons les boas constrictors,
les normaux et les nyctalopes !
Ayons la fibre synthétique
offrons du Du Pont De Nemours
c’est aussi chaud pour les mamours
et infiniment plus éthique !
Elles ne font plus de grimace,
c’est tout à fait dans l’air du temps,
le contraire serait navrant,
… sauf peut-être dans les palaces !
Et plus besoin de naphtaline,
plus de mites dans les placards :
la boule antimite au rencart,
courez sautez les zibelines !
* Utilisé comme verbe :
« madrague » est un néologisme
pour désigner la pêche au voix,
au lieu du thon le gogo roi
nourri de haine et de racisme !
Nota :
En vrai, une madrague est une enceinte de filets à compartiments, fixés en permanence près de la côte pour la capture du thon, surtout en Méditerranée
« La Madrague » est aussi la célèbre propriété acquise par Brigitte Bardot à St Tropez en 1958.
Aux dernières nouvelles, elle ne se serait pas encore laissée prendre dans les filets… je ne développerais pas plus en avant cette dernière réflexion, je vous en laisse le soin !
Petit bonus pour les connaisseurs :
Amis lecteurs je vous invite
à bien décortiquer ces vers,
en long, en large et en travers,
qu’un contrepet en douce habite !
Aucune obligation requise
et sauf à maîtriser cet art
vous pourriez vous coucher très tard
et vous détraquer l’hypophyse !
Et là ça me foutrait les glandes,
je m’en voudrais sans restriction
de perturber vos sécrétions
et ma honte serait très grande !
Je vais donc prendre la tangente,
n’ayant pas l’esprit trop obtus
je sors de ce cycle tordu
avant que d’être sur les jantes !
Pierre et Rotpier
Les poèmes pas très réguliers du jour : " L’éloge de l’athéisme, " ou " Le piège des religions, " de ... Pierre
Il ne faut pas blâmer ceux qui croient en un dieu sauf s’ils méprisent ceux qui croient en un autre ou ceux qui ne croient pas du tout.
Pirus Deprieu
I mage du net.
L’éloge de l’athéisme,
ou
Le piège des religions,
Je n’ai pas eu de rois penchés sur mon berceau
peut-être n’ont-ils pas trouvé la bonne adresse,
l’étoile du berger peut s’avérer traîtresse
comme de s’aligner sur un vol de corbeaux.
Un petit peu plus tard sur les fonts baptismaux,
un dimanche matin juste après la grand messe,
un homme tout en noir m’a fait une promesse :
son dieu me guiderait pour éviter les maux.
Mais en grandissant…
Je me suis aperçu très vite que la vie
suivait sans trop de mal la direction choisie
… Par soi !
tout le reste n’étant que sujet à caution !
Comme quoi…
Ayons confiance en nous, forçons la destinée,
évitons à tout prix les attrape-couillons :
restons ou devenons profondément athées !
Parce que…
L’athéisme est un lien, un adjuvant en somme,
comme l’isthme est un lien entre deux continents,
oublions tous les dieux, soyons impertinents
sachant qu’ils ont été inventés par les hommes !
Dans le but évident
d’accéder au pouvoir,
de tenir des comptoirs
pour recruter des gens.
C’est la course au bilan
comme en toute entreprise :
pour étendre l’emprise
il faut plus de clients.
Ils ont de bons lobbyistes
pour vendre leur produit :
ils vendraient du cambouis
à de faux garagistes !
Tous leurs prêchi-prêcha
sont préparés d’avance,
ils ont un goût de rance
ou de téléachat.
Il faut démystifier
ces marchands de promesses
qui à coup de grand messe
vous font pieds et poings liés.
Amis du monde entier
refusez de les croire
il n’y a pas de gloire
au bout de leurs sentiers !
"L’original abbé de Somme," un pamphlet contre l'église de Pierre et de Rotpier
Troisième devoir de vacances !
Il y en aura un quatrième, mais pas de poésie, ce sera un petit pamphlet en prose ... tout du moins, c'est ce que je vous propose !
De l'humour, mais aussi beaucoup de colère pour ce pamphlet contre une église qui se bouche les yeux au plus haut niveau !
Pierre
Préambule :
Je ne suis qu’un vilain canard
qui aime à brocarder l’église
mais elle est déjà dans la mouise
que c’en est un vrai cauchemar.
Cela a l’air d’un canular
mais sous couvert de gaillardises
je me livre à une analyse
sans renoncement et sans fard.
Bien à l’abri de ses remparts
Rome essaie de gérer la crise
mais les victimes s’organisent :
terminé le colin-maillard !
Le Vatican un lupanar ?
Le raccourci n’est pas de mise
mais les mensonges cristallisent
le doute et c’est le grand brouillard.
Il est cerné de toutes parts,
nul besoin de grande expertise
pour comprendre que des surprises
sont encore au fond des placards !
La curie fait le grand écart,
il serait temps qu’elle exorcise
de manière nette et précise
ses démons sans plus de retard !
Image du net
La fantasque épopée …
L’original abbé de Somme,
J’ai visité la baie de Somme,
j’ai vu s’envoler des canards,
j’ai croisé un curé picard
… un drôle de petit bonhomme !
Il venait de piquer un somme
dans un gabion et tout peinard
il reboutonnait son bénard
… la fille croquait une pomme !
Elle riait à pleines dents,
lui aussi était très content,
bien qu’ayant choisi la calotte
Son étique était élastique
comme les petites culottes,
tendues sur cintres, des boutiques !
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Pas gêné sur les entournures
il prit congé de la nana
en l’embrassant ici et là :
j’étais gêné, je vous le jure !
En riant devant ma figure,
il m’a dit : « Alors grand bêta
il n’y a rien de mal à ça
ce n’est jamais que la nature !
Je ne suis pas un défroqué
et surtout pas un détraqué !
Mieux vaut courir après les filles
qu’après de tout jeunes garçons,
surtout celles dont les yeux brillent
et qui rêvent de goupillon !
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Je ne suis pas un conformiste
et surtout pas un abbé froid,
je prie pour que l’on ait le droit
de prendre femme et je persiste !
Des cardinaux trop intégristes
imposent ce chemin de croix
qu’est le déprimant célibat :
acharnement obscurantiste !
Au bout de cet égarement
des curés violent des enfants,
beaucoup d’évêques minimisent
et l’église est montrée du doigt !
Pendant ce temps je m’organise :
je n’ai que l’embarras choix ! »
xxxxxxxxxxx
Voila ce que m’a dit l’abbé
- rien que la vérité en somme ! -
parole de petit bonhomme,
il restait fier d’être curé !
Et chacun de notre coté,
en longeant un bord de la Somme
nous avons fait toute la somme
de ces monceaux d’absurdité !
Pendant ce temps au Vatican,
subséquemment, subséquemment,
des effluves nauséabondes
remontaient en faisant du mal
sur les agissement immondes
d’un proche du cercle papal !
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Péroraison sans déraison :
Nul besoin d’être grand prophète
pour annoncer qu’un jour viendra,
le cercle se refermera
sur celui qui est à la tête !
On verra bien un jour ou l’autre
« papal » rimer avec « anal »
car qui d’autre qu’un cardinal
siège à la place des apôtres ?
Sachez bien pour votre chapelle
qu’au grand jeu des nominations,
au conclave pour l’élection
… le pape aurait pu être Pell ! *
Mais ne bougeons plus d’où nous sommes,
je vous le dis et le redis
je suis prêt à prendre pari
sur le crépuscule de Rome !
Dernier pied de nez :
Si ces strophes vous interpellent
c’est parfait ça roule pour moi,
roule roule roule les pelles :
vas-y l’abbé accroche-toi !
Magnifique illustration de Boligan, Mexique.
Lien :
Très pris en ce moment avec notre maire !
Je vous l'avais dit, en ce moment, je suis très occupé avec nos démêlées avec un maire totalement borné !
Je vous mets le lien du blog que j’ anime et vous comprendrez aisément !
Lien: https://lesamisdumesnilguilbert.wordpress.com/blog/
Après avoir géré tout cela, j' ai la presse à m'occuper : Paris-Normandie et l' Impartial, un hebdomadaire local. Il y a du travail ! ... Vivement la retraite !
Pierre
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C’est un rébus très sérieux et d'actualité brûlante mais il y a des jeux de mots comme d'habitude ! Certaines articulations ne sont pas faciles ... comme les miennes en ce moment: ça coince !
Réponse :
Les héritiers du général Boulanger se multiplient comme des petits pains, à nous de les arrêter avant qu’ils ne nous roulent dans la farine et nous mettent dans le pétrin !
Remarque :
Une manche est gagnée, il ne nous reste plus qu’à remporter le match ! Vive la France !