Le poème du jour : "Défaillance," de ... Pierre
Un poème ancien, écrit en 2007 ... je crois … à moins que ma mémoire ne défaille …
Sur une très jolie photo de Jean-François Simon, un poème que j'aime tout particulièrement...
Défaillance,
Il bruine dans mon cœur
comme il pleut sur la faille ;
pourquoi cette rancœur
qui fait qu’un cœur défaille.
Hier encore ici,
mais revers de médaille,
plus personne aujourd’hui
et mon cœur qui déraille.
Dans les yeux ce crachin
augmentant la grisaille
et le bout du chemin
et l’ultime broussaille.
La chute sans rappel
parallèle à l’entaille,
les rochers en scalpel
et mon cœur en tenailles.
Pour vivre maintenant
je ne suis plus de taille,
je plane en attendant
d’être au pied de la faille.
Pierre Dupuis
Le poème du jour : "L’ergoteur," de ... Rotpier !
Et ne me cherchez pas de poux sur la tête ... hein !
Image du net bidouillée par le Rotpier
L’ergoteur,
Un peu poète et ergoteur,
C’est ce qui me caractérise,
Un tout petit rien me défrise
Et je deviens très pinailleur !
Bien des gens le pensent d’ailleurs
Quand je m’arrête en temps de crise
Sur un détail, une bêtise
Et que je joue les emmerdeurs !
Je tiens à enfoncer le clou :
Ma plume serait chiffonnée
D’employer « entre chien et loups »
Pour un début de matinée !
Je souffle aux académiciens
D’employer « entre loups et chiens » !
Et je précise :
C’est une question de logique,
Juste une histoire de tempo,
Je suis sans peur et sans repos
A cheval sur la rhétorique !
Et si cela coupait la chique
A certains coincés du stylo
Et qu’ils me traitent de charlot
Et bien je leur ferais la nique !
.
Ou je leur jetterai mon gant :
Je déteste les arrogants,
Je les affronterai en joute !
C’est mon coté théoricien,
Je persiste signe et rajoute :
Au matin entre loups et chiens !
Rotpier
Image du net bidouillée par le Rotpier
Et ne me cherchez pas de poux sur la tête ... hein !
Image du net bidouillée par le Rotpier
L’ergoteur,
Un peu poète et ergoteur,
C’est ce qui me caractérise,
Un tout petit rien me défrise
Et je deviens très pinailleur !
Bien des gens le pensent d’ailleurs
Quand je m’arrête en temps de crise
Sur un détail, une bêtise
Et que je joue les emmerdeurs !
Je tiens à enfoncer le clou :
Ma plume serait chiffonnée
D’employer « entre chien et loups »
Pour un début de matinée !
Je souffle aux académiciens
D’employer « entre loups et chiens » !
Et je précise :
C’est une question de logique,
Juste une histoire de tempo,
Je suis sans peur et sans repos
A cheval sur la rhétorique !
Et si cela coupait la chique
A certains coincés du stylo
Et qu’ils me traitent de charlot
Et bien je leur ferais la nique !
.
Ou je leur jetterai mon gant :
Je déteste les arrogants,
Je les affronterai en joute !
C’est mon coté théoricien,
Je persiste signe et rajoute :
Au matin entre loups et chiens !
Rotpier
Image du net bidouillée par le Rotpier
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Ce qui me sortirait par les yeux ce serait de voir un pupille de l’état ne pas avoir un regard de reconnaissance envers la nation !
C’était bien vu … non ?
Biographie
Jean-Marie Le Pen est le fils de Jean Le Pen (1901-1942), patron pêcheur, président de l'association des anciens combattants et conseiller municipal de La Trinité-sur-Mer, et d'Anne-Marie Hervé (1904-1965), couturière et fille de paysans originaires de Locmariaquer et du Bono. Ses parents le surnomment « Jeanjean ». Sa famille est essentiellement originaire du département du Morbihan ; un de ses aïeux y fut le chef chouan de la paroisse d'Auray, un autre conventionnel. Jean-Marie Le Pen devient pupille de la nation par jugement du tribunal civil deLorient du 23 décembre 1942, son père ayant trouvé la mort à bord du chalutier La Persévérance dont il était le patron, quand le bateau de pêche qui péchait la sole en pleine nuit a sauté sur une mine remontée dans son chalut le 22 août 19421 (son nom figure d'ailleurs sur le monument aux morts de La Trinité-sur-Mer).
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Le_Pen
Qu'il dit l'animal !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Qu'il dit l'animal !
Jean Ferrat : « Les nomades » ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Jean Ferrat »
« Les nomades »
Allez, on part sur les routes !
Les Nomades
Ils sont nés près de Barcelone
Ils ont grandi en Australie
Ils se sont aimés à Paris
Mais ils s'en vont encore d'ici
Les Nomades
Ils ont habité la roulotte
Les quatre planches qui cahotent
De Saint-Ouen aux Saintes-Maries
Mais ils s'en vont encore d'ici
Les Nomades
Ni la couronne d'oranger
Ni la cheminée de faux marbre
Ne leur mettent racine au pied
Ils ne sont pas comme les arbres
Les Nomades
Ils vont toujours de ville en plaine
Il n'y a rien qui les retienne
Eux c'est la route qui les mène
En dimanche comme en semaine
Les Nomades
Ils ont eu froid comme personne
Ils ont chanté mieux que nous tous
Mais c'est la route qui les pousse
Avec des fifres à leurs trousses
Les Nomades
Qu'ils soient venus du fond des âges
Tous les gitans, tous les tziganes
Un violon leur a brisé l'âme
Ils en gardent parfois des larmes
Les Nomades
Ni la peur de mourir un jour
Dans quelque ville frontalière
Sans tenir la main d'un amour
Ne les arrête sur la terre
Les Nomades
Et quand on voit sous les platanes
Passer les mulets et les ânes
On a beau être des profanes
On voudrait suivre la caravane
Des Nomades
Bon partage
Rotpier
Les Nomades
Ils sont nés près de Barcelone
Ils ont grandi en Australie
Ils se sont aimés à Paris
Mais ils s'en vont encore d'ici
Les Nomades
Ils ont habité la roulotte
Les quatre planches qui cahotent
De Saint-Ouen aux Saintes-Maries
Mais ils s'en vont encore d'ici
Les Nomades
Ni la couronne d'oranger
Ni la cheminée de faux marbre
Ne leur mettent racine au pied
Ils ne sont pas comme les arbres
Les Nomades
Ils vont toujours de ville en plaine
Il n'y a rien qui les retienne
Eux c'est la route qui les mène
En dimanche comme en semaine
Les Nomades
Ils ont eu froid comme personne
Ils ont chanté mieux que nous tous
Mais c'est la route qui les pousse
Avec des fifres à leurs trousses
Les Nomades
Qu'ils soient venus du fond des âges
Tous les gitans, tous les tziganes
Un violon leur a brisé l'âme
Ils en gardent parfois des larmes
Les Nomades
Ni la peur de mourir un jour
Dans quelque ville frontalière
Sans tenir la main d'un amour
Ne les arrête sur la terre
Les Nomades
Et quand on voit sous les platanes
Passer les mulets et les ânes
On a beau être des profanes
On voudrait suivre la caravane
Des Nomades
Bon partage
Rotpier
Spécial Cuba ! L’actualité vue par le Rotpier ! ... En bonus, un poème déjanté : "La cubaine bien roulée," de ... Rotpier !
Visite de Barak Obama à Raúl Castro !
( Petit montage à partir d'images du net !)
Le Rotpier
La cubaine bien roulée,
Elle était en nuisette
et en petits chaussons.
Moi, j’étais en disette
d’amour et de suçons !
Ma copine Louisette
avait pris sans façon
la poudre d’escampette
avec un franc-maçon !
Le vent, joyeux complice,
prenait aussi son pied :
c’était feu d’artifice
… à part les doigts de pieds !
Le tulle - Oh ! Quel délice ! -
volant comme papier,
montrait du cou aux cuisses
ses trésors au quartier !
Une pareille aubaine
n’étant pas à rater,
j’ai rejoins la sirène
avec vélocité !
« Bonjour, je suis cubaine,
viens on va s’éclater,
dans mon lit je t’emmène
et je vais t’épater ! »
Cubaine et bien roulée,
la peau couleur tabac,
sachant dans la foulée
s’enflammer par le bas !
Technique bien rôdée
- de la maestria ! -
la grande chevauchée,
la grande fantasia !
Et le clou du programme,
le truc qu’on n’oublie pas,
qu’à deux mains on acclame :
le salto sans les bras !
Mais le lit rendit l’âme
sous nos furieux ébats
et nous nous retrouvâmes
tous les deux le cul bas !
Après cette gamelle,
la fin du numéro :
le mec de la donzelle
arrivant tout de go !
« Mais tu n’es pas fidèle !
Là, tu me casses trop :
dégage à tire d’aile
avec ce rigolo !
Pour ce pécher de fesses,
implore le pardon
et va donc à confesse
chez l’abée Décochon !
Dégage nymphomane !
Prends donc le premier train :
six gares de là à Vannes,
je te voudrais plus loin ! »
La cubaine est partie
me laissant sur ma faim,
espérance engloutie
et le moral atteint !
Dégoûté des gonzesses,
j’ai viré ma cuti,
me rasant en vitesse
sur conseil d’un ami :
Pour aller chez les tantes,
rase-toi jusqu’en bas,
met ta veste flottante
et chez les gays, va ras !
xxxxxxxx
Cette histoire fumante
n’ayant ni haut ni bas,
n’est que la résultante
d’un abus de tabac !
Je rigole sous cape
et je reste serein :
des conneries du pape
je suis encore loin !
Rotpier
Image du net
Comme pour les cubaines:
à consommer avec modération !!!
Visite de Barak Obama à Raúl Castro !
( Petit montage à partir d'images du net !)
Le Rotpier
La cubaine bien roulée,
Elle était en nuisette
et en petits chaussons.
Moi, j’étais en disette
d’amour et de suçons !
Ma copine Louisette
avait pris sans façon
la poudre d’escampette
avec un franc-maçon !
Le vent, joyeux complice,
prenait aussi son pied :
c’était feu d’artifice
… à part les doigts de pieds !
Le tulle - Oh ! Quel délice ! -
volant comme papier,
montrait du cou aux cuisses
ses trésors au quartier !
Une pareille aubaine
n’étant pas à rater,
j’ai rejoins la sirène
avec vélocité !
« Bonjour, je suis cubaine,
viens on va s’éclater,
dans mon lit je t’emmène
et je vais t’épater ! »
Cubaine et bien roulée,
la peau couleur tabac,
sachant dans la foulée
s’enflammer par le bas !
Technique bien rôdée
- de la maestria ! -
la grande chevauchée,
la grande fantasia !
Et le clou du programme,
le truc qu’on n’oublie pas,
qu’à deux mains on acclame :
le salto sans les bras !
Mais le lit rendit l’âme
sous nos furieux ébats
et nous nous retrouvâmes
tous les deux le cul bas !
Après cette gamelle,
la fin du numéro :
le mec de la donzelle
arrivant tout de go !
« Mais tu n’es pas fidèle !
Là, tu me casses trop :
dégage à tire d’aile
avec ce rigolo !
Pour ce pécher de fesses,
implore le pardon
et va donc à confesse
chez l’abée Décochon !
Dégage nymphomane !
Prends donc le premier train :
six gares de là à Vannes,
je te voudrais plus loin ! »
La cubaine est partie
me laissant sur ma faim,
espérance engloutie
et le moral atteint !
Dégoûté des gonzesses,
j’ai viré ma cuti,
me rasant en vitesse
sur conseil d’un ami :
Pour aller chez les tantes,
rase-toi jusqu’en bas,
met ta veste flottante
et chez les gays, va ras !
xxxxxxxx
Cette histoire fumante
n’ayant ni haut ni bas,
n’est que la résultante
d’un abus de tabac !
Je rigole sous cape
et je reste serein :
des conneries du pape
je suis encore loin !
Rotpier
Image du net
Comme pour les cubaines:
à consommer avec modération !!!
Ça chauffe encore plus au FN : la fin de le Pen père ? ... L’actualité vue par le Rotpier !
Ça chauffe encore plus au FN : la fin de le Pen père ?
Et pis c'est tout pour aujourd'hui !
( Petit montage à partir d'images du net !)
Le Rotpier
Cours de géométrie appliquée ... très appliquée : "Géométrie … variable," ... un poème de Pierre
Et si après cela vous ne devenez
par champions en géométrie,
c’est à ne rien y comprendre !
Géométrie … variable,
Je suis resté jusqu’à quinze ans
- je vous le dis sans tricherie ! -
tout aussi nul qu’un bout de zan
en devoir de géométrie.
Et puis un jour chemin faisant,
j’ai découvert la griserie
d’un moyen des plus séduisant
pour éclairer la théorie !
Bien maîtriser du bout des doigts
- une façon mnémotechnique ! -
tous les contours, envers endroit,
d’une certaine Véronique !
Pour commencer ( de haut en bas ! ) :
joli minois tout en ovale,
des cils en arcs, des yeux appâts
qui font de l’œil … c’est de la balle !
Dans un rayon très approché,
un nez mutin qui dévergonde
et pour finir de m’accrocher :
une bouche aux lèvres bien rondes !
En descendant encore un peu,
jolis volumes en demies sphères,
cercle marron juste au milieu :
- ell’ souriait et laissait faire ! -
Je m’attardais pour m’assurer
que les courb’ étaient symétriques
et qu’après avoir mesuré,
les cercles étaient concentriques !
A jouer à ce petit jeu
on s’instruit de façon ludique,
on s’aperçoit - c’est fabuleux ! -
que l’on devient très méthodique !
Je mis le doigt un peu plus bas
sur un triangl’ bien isocèle,
dont le sommet - oh ! la la la !-
conduisait à des parallèles!
Parallèles sur le moment,
mais à géométrie variable :
formant un angle - houlà maman ! -
s’ouvrant de manière appréciable !
Je suis resté approfondir
mon étude sur le système,
allant jusqu’à me dégourdir
en ajoutant mon apothème !
Je vous conseille, jeunes gens,
cette méthod’ mnémotechnique,
pas obligé absolument
que ce soit une « Véronique » !
Mais ce prénom est un cadeau
pour ce qui est de la technique :
diminutif égal « Véro »
pour ce qui reste … et bien t’appliques !
Pierre Dupuis
Cours de géométrie appliquée déjà dispensé
mais il faut toujours se remettre à niveau !
Et si après cela vous ne devenez
par champions en géométrie,
c’est à ne rien y comprendre !
Géométrie … variable,
Je suis resté jusqu’à quinze ans
- je vous le dis sans tricherie ! -
tout aussi nul qu’un bout de zan
en devoir de géométrie.
Et puis un jour chemin faisant,
j’ai découvert la griserie
d’un moyen des plus séduisant
pour éclairer la théorie !
Bien maîtriser du bout des doigts
- une façon mnémotechnique ! -
tous les contours, envers endroit,
d’une certaine Véronique !
Pour commencer ( de haut en bas ! ) :
joli minois tout en ovale,
des cils en arcs, des yeux appâts
qui font de l’œil … c’est de la balle !
Dans un rayon très approché,
un nez mutin qui dévergonde
et pour finir de m’accrocher :
une bouche aux lèvres bien rondes !
En descendant encore un peu,
jolis volumes en demies sphères,
cercle marron juste au milieu :
- ell’ souriait et laissait faire ! -
Je m’attardais pour m’assurer
que les courb’ étaient symétriques
et qu’après avoir mesuré,
les cercles étaient concentriques !
A jouer à ce petit jeu
on s’instruit de façon ludique,
on s’aperçoit - c’est fabuleux ! -
que l’on devient très méthodique !
Je mis le doigt un peu plus bas
sur un triangl’ bien isocèle,
dont le sommet - oh ! la la la !-
conduisait à des parallèles!
Parallèles sur le moment,
mais à géométrie variable :
formant un angle - houlà maman ! -
s’ouvrant de manière appréciable !
Je suis resté approfondir
mon étude sur le système,
allant jusqu’à me dégourdir
en ajoutant mon apothème !
Je vous conseille, jeunes gens,
cette méthod’ mnémotechnique,
pas obligé absolument
que ce soit une « Véronique » !
Mais ce prénom est un cadeau
pour ce qui est de la technique :
diminutif égal « Véro »
pour ce qui reste … et bien t’appliques !
Pierre Dupuis
Humour : les petites (ou les grosses !) conneries du jour de Rotpier
Je vous rappelle cette citation :
Chamfort (Maximes et pensées)
Rotpier (valeur ajoutée à la citation)
Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries ! N’ayant pas de voisine à portée de langue …………………… !
Si tout n’est pas bon,
ne m’en veuillez pas : je me rôde, hein !
Deux petites conneries et un petite énigme pour vous amuser un peu en ce lundi de Pâques !
1ère Connerie :
Ce n'est pas un lundi de Pâques que l'église catholique va pouvoir commencer à endiguer la crise de foi alors que la veille tout le monde s'est goinfré de chocolats !
2ème Connerie :
Après ce qui vient de se passer à l'Education Nationale, il ne va plus être facile d'organiser des semaines du goût dans les cantines scolaires !
La petite énigme du jour :
C’est une petite énigme façon eunuque décapité ( … tiens ! ça fait ça de plus à trouver ! ).
J’aspire ( rien à voir avec la semaine du goût bande de malhonnêtes ! ) à ce que cela ne reste pas un voeu pieux !
Nota: il faut prendre le nom du groupe !
Je vous laisse méditer à défaut de m’éditer !
Et pis c’est tout !
Bonne méditation !
Réponse :
Pour ceux qui ont séché sur cette petite énigme sans queue ni tête … d’où : « façon eunuque décapité ! » (déjà une réponse !)
-
Le groupe, c’est Abba
-
Le dessin représente des bocaux à rames
D’où, mes doudous, : « A bas Boko Haram ! »
Et pis c’est tout !
Assez tordu quand même … non ?
Le Rotpier
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !