Les pensées très éclectiques, sérieuses, moins sérieuses et carrément déjantées de … Pierre et du Rotpier

Il y a pensées et pensées:

Celles-là :  

Et celles-là :

Ces dernières sont très variées :

il y a de l'éclecticité dans l'air !   

Quand elles sont signées " Pierre " ou Pierre Dupuis " ,

elles sont généralement sérieuses . 

Quand elles sont signées " Rotpier " , elles le sont beaucoup moins ... en général ! 

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Première pensée : vous prendrez bien une petite tranche d'histoire ?

Tout cela n’est pas une sinécure mais il faut bien que quelqu’un se dévoue pour éclairer vos lanternes.

Ces quelques lignes sont un petit résumé d’un récit écrit par l’un des protagonistes de cette anecdote, un de ceux qui était venu en quête de spiritualité et qui était reparti avec une bonne-sœur défroquée dont il eu six enfants.

 Toute cette histoire tourne autour d’un monastère austère du centre de la France et d’un couvent se trouvant à quelques encablures. Cela se passait au milieu du 17ème.

L’abbé Nard, le dirigeant du monastère, un curé très grand et très culotté pour sa fonction, devait décider d’entreprendre ou non le gigantesque travail de curage de l’étang du monastère qui était le garde-manger de ses occupants. Il hésitait et se posait la question : « Le cure-t-on ou ne le cure-t-on pas ? »

Il savait qu’il ne pourrait pas compter sur les moinillons qui étaient pour la plupart chétifs et que les vieux moines étaient bien âgés et remplis de courbatures.

Après une longue réflexion, l’abbé Nard eu une idée géniale : ouvrir le monastère à des hommes voulant faire une cure de spiritualité. Cure gratuite pour les participants à condition qu’ils se mettent à l’ouvrage pour curer l’étang. Il va de soit qu’il sélectionna des candidats robustes et volontaires et qu’il prit contact avec la Mère Supérieure du couvent voisin ( qui du haut de ses 1,45 m mais avec une poigne peu commune dirigeait son établissement et menait à la baguette les sœurs et les nones ! ) . Mère Supérieure avec qui il avait des relations débordant largement du cadre de la religion ( en sachant que sur une paillasse, la taille des protagonistes importe peu ! ) pour qu’elle permette la venue de quelques bonne-sœurs peu regardantes au niveau de dessous des robes et des bures ! Bref, des touche-à-tout jusqu’au bout, surtout les bouts, et faisant fi de leur vœu de chasteté bien que très croyantes ! On peut croire en Dieu et s’envoyer en l’air, lui étant déjà là-haut ! Pour résumer, de ce vœu, elles n’en avaient cure !

Et le curage se fit dans la joie, la bonne humeur et les parties de cache-cache crapuleuses entre les cureteurs et les bonnes-sœurs !

Dans la foulée, l’abbé Nard fit curer les écuries des bœufs et des mules et des litières toutes fraîches accueillirent les ébats des protagonistes !

A ce petit jeu, deux des bonnes-sœurs se retrouvèrent enceintes obligeant la Mère Supérieure d’ordonner des avortements par curetage. Elle ordonna aussi à ses ouailles de fabriquer des capotes en intestins de porc ( genre peau de boudin ) et de repousser les hommes qui refuseraient de les enfiler, les capotes, pas elles, restons pragmatiques ! Cela s’avéra très efficace avec le seul petit inconvénient de sentir un peu le cochon grillé lors des ébats amoureux un peu trop fougueux !

Je suis désolé de finir avec cette touche peu réjouissante mais je me devais de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, je mets toujours un point d’honneur à le faire quoi qu’il m’en coûte parfois. Mon intégrité morale m’y oblige.

Le Rotpier

Image du net !

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Seconde pensée :

Étant très pragmatique, et au vu du niveau des politiques ( femmes et hommes confondus ) que nous avons actuellement, je préconiserais la grande rafle des politicards de tous poils et de toutes couleurs politiques confondues.
Nous les métrions sur une île déserte avec tout ce qu’il faut pour survivre ( avec bien sûr tous les moyens de contraception existants: hors de question qu’ils fassent des petits ! ) mais sans aucune communication possible avec l’extérieur.
Au bout de cinq ou six ans, nous reprendrions contact avec eux pour voir ce qu’ils sont devenus. Est-ce qu’ils se seront dévoré entre eux ou est-ce qu’ils auront trouvé des compromis pour survivre ? En fonction des résultats, ils reviendraient sur le continent où ils resteraient sur l’île que nous pourrions appeler « L’Île des serpents » à continuer de se dévorer entre eux.

Épicétout !
 

Image du net !

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Troisième pensée :

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Quatrième pensée :

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Une petite dernière pour la route et pas piquée des vers ! 

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Pierre ou Le Rotpier, c'est à vous de choisir !   

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😉😊😃

Voila, c’est terminé !

... mes p' tits clous !