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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

poesie

Blog en pause ... oui j'ose ! ... par Pierre et le Rotpier

29 Août 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Divers, #Humour, #Poésie

Du 31 août à 5H 33  au 18 septembre à 8H 57 environ : 

 

Je pars,  je pars quelque part

du coté de …

Résultat de recherche d'images pour "lamotte beuvron"

Lamotte-Beuvron

Les sœurs Tatin

Les images proviennent du net !

 

Je vous ai écrit un petit poème vite fait :

.

Au pays de Raboliot,

Je vais rejoindre la Sologne

pas loin de Lamotte-Beuvron

où je vais pêcher sans vergogne

des petits et des gros poissons !

Je ne vais pas défier les cognes

comme le faisait Raboliot

ce serait par trop de besogne

et moi j’y vais pour le repos !

Je vais sacrifier à la tarte

des fameuses sœurs Tatin

si ça fait trop chauffer ma carte

je me passerais du festin !

Je reviendrai dans trois semaines

sauf si des loubards solognots

me kidnappent et me malmènent

en me vidant de mes boyaux !

                                         Rotpier

 

A la prochaine brav' gens ! 

 

 

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Le poème du jour: " Morues, marins et capitaines, " de ... Pierre

27 Août 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Fable, #Pensées, #Poésie

Préambule :

Je ne pars pas bientôt en vacances au bord de la mer mais cela n’empêche pas de parler un peu de marine ! ( Avec ou sans majuscule ! )

 

 

Images du net

( la première est un peu bidouillée ... je n'ai pas voulu que l'on me reconnaisse ...)

Exorde :

Filles, marins et capitaines

se retrouvent dans tous les ports,

leurs aventures incertaines

forgent les légendes du bord.

Au sein de la pêche hauturière

et sachant manier le filet,

se glissent des aventurières

au scénario très bien rôdé !

       Fable,

Morues, marins et capitaines …

Il avait fait sa connaissance

à Terre-Neuve au Canada,

partageant sa concupiscence

il était tombé dans ses bras.

Après trois semaines de pêche

à bord d’un très gros morutier

quand on débarque on se dépêche

pour oublier le chalutier.

Exit l’odeur de la morue,

du chalut et de ses filins,

au revoir le port et les grues,

vive la fête et les câlins !

Et quoi de mieux que cette fille

pour oublier ce dur labeur,

toujours prête et toujours gentille :

que de la joie et du bonheur !

Jusqu’à ce que la sauterelle

ne soit plus au creux de son lit,

la belle s’était fait la belle

avec son larfeuil bien garni !

Passer de morue à morue

voila les risques du métier,

laisser les grues pour une grue :

vraiment pas de quoi pavoiser !

Il regagna la tête basse

son poste sur le grand bateau,

il était tombé dans la nasse

d’une fille et d’un maquereau !

Une aventure bien amère

ne manquant pas du tout de sel,

une liaison éphémère

orchestrée par un demi-sel !

Il apprit que le capitaine

avait subit le même sort

avec une demi-mondaine :

il n’était plus le seul à bord !

Il en retrouva le sourire

quelque soit le statut social,

les hommes se laissent séduire :

le procédé est bien trivial !

            Moralité :

Les marins et les capitaines

se font piéger pareillement,

les morues ne sont pas les mêmes

mais c’est les mêmes arguments !

Souvent la facture est salée,

ils en gardent un mauvais goût :

une morue bien dessalée

peut vous rouler de bout en bout !

Rien de nouveau en ce bas monde

le piège à toujours fonctionné,

n’importe où sur la mappemonde

des gogos se font pigeonner !

.

Même de très grands se font prendre,

ils redeviennent des gamins,

ils ne savent pas se reprendre

quand passe un joli popotin !

            Péroraison :

 

Élargissons l’horizon…

Ne croyez pas que la marine

soit le seul milieu concerné,

partout c’est la même combine :

c’est bonnet blanc et blanc bonnet !

Allusion à la politique,

décidément on tourne en rond,

en ce moment plutôt critique

mieux vaut éviter les ronrons !

Je connais une autre Marine

( majuscule en début de mot ! )

qui a roulé dans la farine

toute une flopée de gogos !

Sans la classer dans les morues,

( bien sûr chacun fait ce qu’il veut ! )

elle sait arpenter les rues

en bavant des discours visqueux !

Mine de rien elle racole

et pas seulement des marins,

monde ouvrier et agricole

sont prêts à lui suivre le train !

C’est une femme et elle en joue,

pour une tranche d’électeurs

ça compte beaucoup, ils l’avouent :

« Vive Marine et son valseur ! »

Ce sera pire avec la nièce

le jour où elle reviendra

car du coté minois et fesses

y a pas photo avec tata !

Combien tomberons sous le charme

ne regardant que le vernis ?

Comme aurait pu dire Épicharme :

« L’intérieur n’est pas très joli ! »

 

                                                                 

  Pierre Dupuis

 

 

 

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Chat alors ! "Qui aime bien ..." Un petit poème animalier qui glisse vers une fable qui glisse elle-même vers ... vous verrez bien ! Signé: Rotpier !

22 Août 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Poésie - humour, #Poésie

Préambule du préambule :
J'espère que vous n’avez pas fait le pied de grue en attendant mon billet de mardi : je n’ai pas eu le temps car j’étais moi-même sur une grue … à moteur … en tout bien tout honneur ! Arrachage de souches de thuyas : gros travail !
La preuve :

 

Photos prises par mon épouse !

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

La mi-août travaille chattes et matous !

 

Préambule :

Ces vers, articulés autour du chat, vont choquer quelques âmes puritaines qui sont, fort heureusement, de moins en moins nombreuses !
Pourtant, mêler des chats pelés et des grenouilles de bénitier me semble un assemblage fort judicieux … non ?

Introduction (… tiens teins ! Déjà ?)

Il y a matou et matou,

les pelés et les magnifiques,

ceux qui possède vraiment tout

y compris le talent phallique !

Image du net
Le poème initial :

Qui aime bien …

Sa réputation était faite,

toutes les chattes du quartier,

dont celle de la sous-préfète,

en convenait bien volontiers !

Sa longue paire de moustaches

avait le don d’émoustiller,

tout comme sa queue en panache

qu’il savait si bien tortiller !

Pas besoin de grand clair de lune

pour entendre les miaulements,

les appels à bonne fortune

des chattes sur les toits brûlants !

Forte montée d’adrénaline

quand après l’heure de minuit,

il offrait à une féline

un voyage au bout de la nuit !

Il y avait file d’attente

pour profiter de ses faveurs,

une prestation éclatante :

c’était un merveilleux trousseur !

Maintenant, une question se pose …

Comment étoffer ce poème

limité à l’animalier,

sans trop de risque d’anathème

ni de : « Mais il est fou à lier ! » ?

Pourrait-on faire un parallèle

entre le félin et l’humain ?

Il faudrait que je m’y atèle

… et je n’attendrais pas demain !

Car …

Ce récit est fort transposable

à l’homme et dans le fond j’y tiens,

je pourrais en faire une fable,

je le confirme et le maintiens !

 Il me faut donc une morale,

quelque chose qui sonne bien,

une maxime peu banale

… tiens … « Qui aime bien chatte y vient ! »

Mais … Oh ! … d’ici …

J’entends les cris de quelques prudes,

bien qu’elles ne soit plus beaucoup

à qualifier de turpitudes

le fait de céder aux matous !

L’espèce est devenue très rare

et je le dis sans un bémol :

« Piquons la dernière au curare

et plongeons-là dans le formol ! »

Sur l’étiquette et sur la souche

sera écrit « Dans ce bocal

se trouve une sainte-nitouche

en très bon état général !

C’est une espèce disparue

qui vivait au siècle dernier,

elle avait la langue fourchue

et vivait près des bénitiers ! »

Je … oh ! Excusez-moi !  Un appel …

Allô ! … oui … la sous-préfecture ?

L’auteur de ce poème ? C’est bien moi

… Oh !... Elle aime mon écriture ?

… Me parler … oui … j’en reste pantois !

Allô … oui … comment ?... En tête à tête ?

… Je dois passer par le jardin ?

… Bien sûr Madame la sous-préfète

mes hommages et à demain !

 

Image du net tronquée !

 

Et, n’oublions pas que quand la sous-préfète,

Il faut la servir avant qu'elle ne refroidisse !

xxxxxxxxxxx

Bon, ce n’est pas tout ça,

mais il va falloir que je m’entraîne moi !

Miaou … Miaouuuuuuuuuuuuu !

Vous saurez un jour, c’est notoire,

comment tout cela se passa :

vous le lirez dans mes mémoires

mais foin de tout prêchi-prêcha !

                                                          

                                                          Rotpier

 

 

 

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" Quel cirque la vie ! " ... Un poème de ... Rotpier

12 Août 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Poésie, #Poésie, Humour

La vie nous fait plus souvent clown que dompteur !

 
  
               
 
Images prises sur le net
   

.

Quel cirque  … la vie !

 

 

De face, elle avait un coté chatte

… vraiment !

De dos, elle avait un coté chienne

… assurément !

… Chienne de classe … s’entend !

Oh ! oui ! Mazette !

Chienne de classe … genre levrette !

Un coté félin, un coté canin :

joli mélange pour les câlins !

Et moi, cela me plaisait bien !

Mais, cette insatiable tigresse

avait vraiment … le feu aux fesses !

Elle miaulait sur tous les toits

et elle hurlait en tous les bois !

Matous et clebs, en ribambelle,

menaient cortège en sa ruelle !

Et moi, avec des cornes pis que cerf

j’avais l’air plus con qu’un singe en pull-over !

Je lui ai dit alors : « ça suffit ma chère !

Avec la moitié de la terre

je ne veux plus partager ton lit et ta chair !

Va miauler sur d’autres toits,

va hurler en d’autres bois ! »

J’ai repris mon fouet et mes bottes 

et j’ai regagné ma roulotte !

Je suis parti le nez en l’air :

j’avais besoin d’un bon bol d’air !

Mais …

La poisse restant à mes trousses

j’ai croisé une grande rousse

qui avait des airs de panthère !

Elle mit vite sa robe à terre

pour me prouver sans commentaires

que la couleur de ses cheveux

allait avec le bas au mieux !

Cela choquera les bigotes

mais je n’ai pas ôté mes bottes

pour consommer l’acte de chair

et … j’ai ressigné chez Pinder !

.

                                                                Rotpier

 

Image du net

 

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Le poème du jour (un petit sonnet branché !) : "La vibrante nonne," de ... Rotpier

8 Août 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Poésie, #Poésie, Humour

.
   Pas trop de temps ce matin, alors je vous mets un petit sonnet déjà publié !
Vous me direz s'il vous a branché et s'il vous a fait vibrer !

. 

Nonne (2)

Image du net modifiée par mes soins !

.

La vibrante nonne,

Toute jeune elle était entrée

Au couvent sans grande passion,

Elle avait subi des pressions

Et son âme était sinistrée.

Elle devait rester cloîtrée

Alors que la grande éclosion

De son corps en ébullition

Lui laissait les joues empourprées !

Un jour de la fin février

Elle alla voir le jardinier :

« Je t’en supplie, viens-moi en aide

J’ai vraiment le feu au valseur ! »

Il lui dit pendant le remède :

« Bon dieu ! Que tu vibres ô ma sœur ! »

   Moralité … si ! Il y en a une !

Une nonne n’est qu’une femme,

il suffit de bien la brancher

pour qu’elle soit tout feu tout flamme

et qu’elle se mette à vibrer !

.

                                                        Rotpier

 

Image du net

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C'est presque la mi-août, alors : la fable du jour : " La petite chatte imprudente, " de ... Rotpier

6 Août 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Fable, #Morale, #Poésie, #Poésie, Humour

        Puisque nous sommes presque à la mi-août, je vous propose une histoire de chatte... en tout bien tout honneur, vous me connaissez !

Chatte.jpg Image du net

Fable à l’intention des jeunes chattes

ou … des jeunes filles !

 

La petite chatte imprudente,

Trois matous en goguette,

un tantinet voyous,

se rinçaient les mirettes

en matant les ébats fous

d’une jeune minette.

La jeune chatte,

un joli petit lot super bath,

jouait avec ses pattes,

les enroulant autour de son cou.

Du coup,

la belle, pourtant tout à fait innocente,

prenait des positions indécentes

qui émoustillaient

les matous voyous !

Trop occupée à ses galipettes,

notre jeune minette

vit trop tard le trio de fripons

qui la coinça dans un buisson !

Et, ce qui devait arriver arriva :

ils lui firent trois fois … le coup du chat !

Trois à l’envers, trois à l’endroit !

              Moralité :

Une petite chatte

- encore plus si elle est bath ! -

doit bien surveiller ses gestes

pour ne pas finir

sous les reins lestes

des joyeux matous !

A retenir,

un point c’est tout ! 

                                        Rotpier
En bonus l'adage du jour du Rotpier :

" Qui aime bien chatte y vient ! " 

 

 

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Souvenirs de vacances, poésie : " Le Dolmen des Erves, " ... un poème de Pierre

29 Juillet 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

Souvenirs de vacances du coté de Sainte-Suzanne en Mayenne :  https://www.ste-suzanne.fr/

 

 

Photo personnelle

 

Le Dolmen des Erves,

Il y a plus de six mille ans

des hommes de la préhistoire

avec des moyens dérisoires

ont érigé ce monument.

Pour un chef ou bien pour un dieu ?

Pour un druide ou une druidesse ?

Un grand prêtre ou une prêtresse

ou un souverain prestigieux ?

Qui les a poussés à cela ?

Quelles étaient donc leurs croyances

pour avoir autant de vaillance ?

Il en fallait et au-delà !

Extraire et transporter ces blocs

était déjà une prouesse

qui demandait beaucoup d’adresse

et des gestes vraiment ad hoc !

Arrivés à destination

une des tâches délicates,

le dressage des orthostates,

demandait de l’application.

Ils n’avaient rien à nous envier

avec des moyens empiriques

anticipant la mécanique

ils utilisaient les leviers.

Reste une question à poser :

comment faisaient-ils pour les dalles

d’une masse monumentale

et qu’il fallait surélever ?

Surélever et translater

un travail vraiment titanesque

pour le montrer aucune fresque

on ne peut que le constater.

.

Grâce aux leviers et aux rouleaux

chaque problème a son remède

en avance sur Archimède

ils faisaient marcher leurs cerveaux !

Il fallait chercher à tâtons

comment équilibrer les forces

les solutions étaient retorses :

il fallait avoir de l’aplomb !

Il reste beaucoup de questions

qui n’auront jamais de réponse

sauf quelques théories absconses

basées sur des suppositions.

Toujours est-il qu’il est bien là

et qu’il n’y est pas par miracle

qu’on le porte ou non au pinacle

des hommes ont réussit cela !

La France en compte de nombreux

mais elle n’en a pas l’apanage

d’autres pays ont ces ouvrages

bâtis par des gens valeureux !

                                                                       Pierre Dupuis

 

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" L'effet papillon " de Bénabar : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier + un bonus de Pierre

27 Juillet 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Chansons que j'aime, #Poésie

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Bénabar

« L’effet papillon »

 

 

L'effet papillon
Si le battement d'ailes d'un papillon quelque part au Cambodge
Déclenche, sur un autre continent, le plus violent des orages
Le choix de quelques-uns dans un bureau occidental
Bouleverse des millions de destins, surtout si le bureau est ovale


Il n'y a que l'ours blanc qui s'étonne que sa banquise fonde
Ça ne surprend plus personne, de notre côté du monde
Quand le financier s'enrhume, ce sont les ouvriers qui toussent
C'est très loin la couche d'ozone mais c'est d'ici qu'on la perce


C'est l'effet papillon : petite cause, grande conséquence
Pourtant jolie comme expression, petite chose, dégât immense


Qu'on l'appelle "retour de flamme" ou "théorie des dominos"
"Un murmure devient vacarme" comme dit le proverbe à propos
Si au soleil tu t'endors, de Biafine tu t'enduiras
Si tu mets une claque au videur, courir très vite tu devras
Si on se gave au resto, c'est un fait, nous grossirons
Mais ça c'est l'effet cachalot, revenons à nos moutons (à nos papillons)
Un hôtel un après-midi "aventure extra-conjugale"
Puis, le coup de boule de son mari, alors si ton nez te fait mal


C'est l'effet papillon, c'est normal fallait pas te faire chopper
Si par contre t'as mal au front, ça veut dire que c'est toi l'mari trompé


Avec les baleines on fabrique du rouge à lèvres, des crèmes pour filles
Quand on achète ces cosmétiques, c'est au harpon qu'on se maquille
Si tu fais la tournée des bars, demain, tu sais qu't'auras du mal
Pour récupérer, à huit heures, ton permis au tribunal


C'est l'effet papillon petite cause, grande conséquence
Pourtant jolie comme expression, petite chose, dégât immense


Le papillon s'envole, le papillon s'envole
Tout bat de l'aile
Le papillon s'envole, le papillon s'envole
Tout bat de l'aile

Bon partage !

Rotpier

 

Un petit bonus  de Pierre :

 

 

Petite cause, grands effets

ou

L’effet papillon,

Le battement de cils à peine perceptible

avait fait bel effet sur son cœur au repos.

Quand l’œil lui fit de l’œil, ce fut irrésistible,

logique enchaînement : changement de tempo !

Pour faire l’inventaire : exploration lancée !

De haut en bas la chère avait de quoi troubler !

Un très joli minois, une belle avancée

et l’étage du bas était très bien meublé !

Deux ou trois rendez-vous : repas en tête à tête

et déjà les genoux qui cherchent les accords :

prémices d’ouragan menant au corps à corps !

Du souffle du désir à la grande tempête !

Un battement de cils menant au tourbillon :

parfaite illustration de l’effet papillon !

                                                Pierre Dupuis
 
 
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Canicule : " Hécatombe, " un poème de Pierre écrit en 2003 ! + " Quand la canne ou la cane va, tout va! " de ... Rotpier ... juste pour rigoler !

22 Juillet 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Pensées, #Poésie, #Politique

.

Nom de Zeus : qué calor !

 

Un petit rappel !

Un poème écrit en 2003 

 

Image travaillée par moi-même

 

 

Hécatombe,

Il faisait chaud … très chaud !

La nature avait certainement une dent

- ce n’était pas possible autrement ! -

contre les hommes !

Un vieux compte à régler avec les fils d’Adam !

Et … sûrement pas une histoire de pomme !

Plutôt une histoire d’accroc.

Ce fameux accroc

dans la vaporeuse parure d’ozone

de notre bonne vieille Terre !

Le soleil avait bien vu la brèche

qui avait envoyé ses rayons

-  gigantesques bataillons d’Amazones ! -

décocher leurs traits brûlants !

En dessous, tout grillait :

l’herbe, les plantes, les arbres,

les animaux et les hommes !

Et, comme toujours, les plus faibles trinquaient.

Animal intelligent, l’homme réagissait.

On s’occupait activement des plus jeunes,

mais des vieux, on n’avait pas toujours le temps,

ou ils ne se plaignaient pas trop,

ou bien… on les avait tout simplement oubliés !

Alors, ils tombaient comme des mouches,

desséchés, pareils aux vieilles souches

dont l’écorce se fendille avant de se détacher.

La nature - en représailles peut-être ? -

avait décidé cette naturelle,

 implacable et brûlante euthanasie.

Toute guillerette, la mort faisait sa moisson :

il est vrai que c’était de saison !

Mais… tout à son souci de bien faire

- remarquait-on dans les hautes sphères ! -

elle y mettait quand même une indécente frénésie !

Il faisait chaud … très chaud

… dans les ministères !

Les responsables, qui n’avaient rien vu venir,

ne savaient plus comment s’en sortir !

L’opinion publique attendait des explications,

on lui disait : « nous avons pris toutes les dispositions ! »

Bref, on tentait de l’emberlificoter !

Il faisait chaud … très chaud

… dans les ministères :

les fusibles commençaient à sauter !

                                                                   Pierre Dupuis

 

Nota :

Bien sûr, les politiques ont retenu la leçon et cela se passe mieux maintenant.

 

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

 

Mais, ne nous laissons pas abattre et rions un peu !

 

 

 

Images du net ! 

 

 

Quand la canne ou la cane va, tout va !

ou

Le fermier facétieux,

On peut très bien être un fermier

et être adepte des boutades,

« la boutade me monte au nez ! »

était une de ses tirades !

Il adorait les calembours,

surtout ceux avec le mot « cane »,

ce volatile de basse-cour

à qui il ordonnait : « ris cane ! »

Comme il lui fallait s’appuyer,

il aimait bien aussi sa canne,

cadeau de monsieur le curé

avant que le pauvre abbé cane !

Je m’en vais vous énumérer

quelques jeux de mots de son cru,

ils ne sont pas tous éthérés

mais ne parlent jamais de c - - !

La cane marche à petits pas,

elle avance et elle tournaille,

c’est ainsi que la cane va

où voulez-vous que la cane aille !

Elle prend de l’eau dans son bec,

s’envole et la largue pépère,

recommençant tout aussi sec :

quand ça lui plait le cane adhère !

Un jour d’orage et de grand vent,

dans la rivière très gonflée,

il y eu un puissant courant

et l’on y vit la cane happée !

.

C’est alors que passait Zoé

qui l’attrapa à l’épuisette

« Elle a sauvé la cane … ohé ! »

s’écria en dansant Suzette !

Un jour de très vilains bandits

l’enlevèrent dans une cage

contre rançon pour le jour dit :

elle fut une cane otage !

Quand on chantait - toujours gratis ! -

elle préférait les romances,

on l’appelait la cane à bis :

elle voulait qu’on recommence !

Il avait un âge certain

et marchait avec une canne :

peut-être bien que ce mâtin,

de tout là-haut il en ricane !

Car le bougre s’en est allé

en exigeant d’avoir sa canne

dans son cercueil pour lui parler :

avec elle pas de chicane !

Il lui portait grande attention,

il l’avait surnommée « Icule »,

il est mort d’une insolation

emporté par la canicule !

Moi j’adorais cet homme sage

qui aurait pu me conseiller

pour épargner mon entourage :

on ne sait jamais quand caner !

                                       Rotpier

 

 

 

 

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Il y a mousse et mousse : petite explication de mon absence sur les blogs !

10 Juin 2019 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Divers, #Poésie, #humour

Et oui ! J'ai des excuses !

                                                            Il y a :

 

Mousse

 

Et mousse !

 

Il y a mousse et mousse,

Bien sûr il y a mousse et mousse

la toute fraîche que l’on boit

au troquet ou alors chez soi

tranquillement ou sur le pouce !

Mais il y a aussi la mousse

qui s’accumule sur les toits

qu’il faut bien enlever ma foi

et qui à chaque fois repousse !

Et pour le faire on se retrousse

les manches et une deux trois

on y va et pas de guingois

pas à la va comm’  je te pousse !

Et l’on nettoie et l’on démousse

c’est dur mais on n’a pas le choix

et entre deux bien sûr on boit

une petite et fraîche mousse !

                                        Rotpier

 

 

Photo personnelle

 

Photo de Dame Ginette ... et oui, c'est moi !

 

Toujours de Dame Ginette !

Alors, j'ai des excuses ou pas ?

Et je n'ai pas fini !

 

Mais ... dans une semaine et demi : nous partons en vacances ! Ouf !

 

Pierre ou le Rotpier: c'est au choix !

 

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