poesie - humour
Auvergne ... allez, un petit tour en Auvergne : le poème du jour de Rotpier " Aventure auvergnate, "
C'était il y a 6 ou 7 ans, les auvergnats et ceux qui ont visité l’Auvergne devraient y retrouver leurs moutons !
Aventure auvergnate,
Là-bas au pays des Arvernes,
j’ai pas vu Vercingétorix,
ce n’est pas une baliverne :
même pas croisé Astérix !
Je suis donc parti en balade,
par monts, par vaux et sur les puys :
les gambettes en marmelade,
foi de Rotpier, foi de Dupuis !
Un cratère rempli de flotte :
voila le Gour de Tazenat !
Trempette avec ou sans culotte,
ça ne soigne pas le zona !
Au tout premier puy de la chaîne,
j’ai voulu faire le guignol,
j’ai pris sans que cela ne traîne
une bûche au Puy Montcognol !
En bas du Puy de Louchadière,
j’ai rencontré, pauvre de moi,
une louche contrebandière
qui trafiquait dans le Viagra !
J’ai négocié deux ou trois doses :
ma femme approuvait des deux mains !
Nous n’avons pas gagné grand-chose :
trois minutes sur deux heur’ vingt !
J’ai visité le Puy Chopine :
il faisait chaud , j’ai picolé !
Un pandore a vu ma trombine,
aussitôt il m’a fait souffler !
Le ballon a viré de suite,
ça lui a fait ni chaud ni froid :
il a rigolé de ma cuite
… il était plus bourré que moi !
La grande gendarmette à nattes
l’était aussi bien entendu,
la bourrée était auvergnate :
une fille venant du cru !
Je suis monté au Puy de Dôme
par le chemin des muletiers,
il y avait même des mômes,
mais eux n’avaient pas mal au pieds !
J’ai voulu me servir d’eMule
mais quand j’ai ouvert mon ordi,
il a fait sa tête de mule :
il n’y avait pas de wi-fi !
J’ai bien vu le Puy de la vache,
mais je n’ai pas pu voir le veau :
il était au Puy de la Tache
histoire de monter plus haut !
J’ai mis les pieds dans une grotte :
j’ai eu peur car il faisait noir !
En plus j’ai glissé sur la crotte
d’une saleté de clébard !
Je suis passé près de l’usine
Michelin de Clermont-Ferrand,
je n’y ai pas vu Mélusine
mais Bibendum assurément !
Il avait l’air plutôt patraque :
il était gonflé de partout !
Peut-être des coups de matraques
d’ouvriers pas contents du tout !
J’ai trouvé qu’il riait bien jaune,
un peu comme un ara qui rit,
pourvu qu’il garde ses neurones
pour éviter l’hara-kiri !
Un auvergnat très sympathique
m’a donné quatre bouts de pain
mais quand j’ai quitté sa boutique
il m’a fait : « C’est trois euros vingt !
Fini le temps du bon vieux Georges,
il faut casquer pour un quignon,
sinon on te prend par la gorge
pour que tu craches ton pognon !
A Vichy j’ai pris la pastille
sans être au quatorze juillet,
ma femme qui est très gentille
a applaudi sans sourciller !
J’ai tout vu mais pas le régime,
j’ai vu l’amont mais pas Laval,
pas vu Reynaud, pas vu Régine
et même pas le Maréchal !
Je suis passé par La Bourboule
mais Zidane n’était pas là,
du coup j’en ai perdu la boule
et j’ai chanté a capella !
A Thiers j’ai croisé ma banquière
au bras d’un mec pas très futé,
j’ai évité cette rombière :
nous sommes à couteaux tirés !
Le gars fabriquait des viroles
et des manches pour les couteaux,
ell’ va lui filer la vérole :
c’est toujours son petit cadeau !
Je suis allé à Chamalières
sans y rencontrer le d’Estaing.
Valery s’était fait la paire,
Anémone avait mauvais teint !
Mourir idiot c’est imbécile,
j’ai donc visité Vulcania :
ce n’est ni super ni débile
… y compris la cafétéria !
Les auvergnats font triste mine :
l’endroit leur a coûté bonbon !
Une facture qui culmine
plus haut que les puys et les monts !
Aimant bien la mythologie,
j’espérais rencontrer Vulcain :
il devait être de sortie
ou alors planqué dans un coin !
Mis à part ces espiègleries,
visitez la chaîne des puys,
l’Auvergne est vraiment très jolie,
foi de Rotpier, foi de Dupuis !
Rotpier ou Pierre DUPUIS
et non DUPUY !
C'était il y a 6 ou 7 ans, les auvergnats et ceux qui ont visité l’Auvergne devraient y retrouver leurs moutons !
Aventure auvergnate,
Là-bas au pays des Arvernes,
j’ai pas vu Vercingétorix,
ce n’est pas une baliverne :
même pas croisé Astérix !
Je suis donc parti en balade,
par monts, par vaux et sur les puys :
les gambettes en marmelade,
foi de Rotpier, foi de Dupuis !
Un cratère rempli de flotte :
voila le Gour de Tazenat !
Trempette avec ou sans culotte,
ça ne soigne pas le zona !
Au tout premier puy de la chaîne,
j’ai voulu faire le guignol,
j’ai pris sans que cela ne traîne
une bûche au Puy Montcognol !
En bas du Puy de Louchadière,
j’ai rencontré, pauvre de moi,
une louche contrebandière
qui trafiquait dans le Viagra !
J’ai négocié deux ou trois doses :
ma femme approuvait des deux mains !
Nous n’avons pas gagné grand-chose :
trois minutes sur deux heur’ vingt !
J’ai visité le Puy Chopine :
il faisait chaud , j’ai picolé !
Un pandore a vu ma trombine,
aussitôt il m’a fait souffler !
Le ballon a viré de suite,
ça lui a fait ni chaud ni froid :
il a rigolé de ma cuite
… il était plus bourré que moi !
La grande gendarmette à nattes
l’était aussi bien entendu,
la bourrée était auvergnate :
une fille venant du cru !
Je suis monté au Puy de Dôme
par le chemin des muletiers,
il y avait même des mômes,
mais eux n’avaient pas mal au pieds !
J’ai voulu me servir d’eMule
mais quand j’ai ouvert mon ordi,
il a fait sa tête de mule :
il n’y avait pas de wi-fi !
J’ai bien vu le Puy de la vache,
mais je n’ai pas pu voir le veau :
il était au Puy de la Tache
histoire de monter plus haut !
J’ai mis les pieds dans une grotte :
j’ai eu peur car il faisait noir !
En plus j’ai glissé sur la crotte
d’une saleté de clébard !
Je suis passé près de l’usine
Michelin de Clermont-Ferrand,
je n’y ai pas vu Mélusine
mais Bibendum assurément !
Il avait l’air plutôt patraque :
il était gonflé de partout !
Peut-être des coups de matraques
d’ouvriers pas contents du tout !
J’ai trouvé qu’il riait bien jaune,
un peu comme un ara qui rit,
pourvu qu’il garde ses neurones
pour éviter l’hara-kiri !
Un auvergnat très sympathique
m’a donné quatre bouts de pain
mais quand j’ai quitté sa boutique
il m’a fait : « C’est trois euros vingt !
Fini le temps du bon vieux Georges,
il faut casquer pour un quignon,
sinon on te prend par la gorge
pour que tu craches ton pognon !
A Vichy j’ai pris la pastille
sans être au quatorze juillet,
ma femme qui est très gentille
a applaudi sans sourciller !
J’ai tout vu mais pas le régime,
j’ai vu l’amont mais pas Laval,
pas vu Reynaud, pas vu Régine
et même pas le Maréchal !
Je suis passé par La Bourboule
mais Zidane n’était pas là,
du coup j’en ai perdu la boule
et j’ai chanté a capella !
A Thiers j’ai croisé ma banquière
au bras d’un mec pas très futé,
j’ai évité cette rombière :
nous sommes à couteaux tirés !
Le gars fabriquait des viroles
et des manches pour les couteaux,
ell’ va lui filer la vérole :
c’est toujours son petit cadeau !
Je suis allé à Chamalières
sans y rencontrer le d’Estaing.
Valery s’était fait la paire,
Anémone avait mauvais teint !
Mourir idiot c’est imbécile,
j’ai donc visité Vulcania :
ce n’est ni super ni débile
… y compris la cafétéria !
Les auvergnats font triste mine :
l’endroit leur a coûté bonbon !
Une facture qui culmine
plus haut que les puys et les monts !
Aimant bien la mythologie,
j’espérais rencontrer Vulcain :
il devait être de sortie
ou alors planqué dans un coin !
Mis à part ces espiègleries,
visitez la chaîne des puys,
l’Auvergne est vraiment très jolie,
foi de Rotpier, foi de Dupuis !
Rotpier ou Pierre DUPUIS
et non DUPUY !
"L’épatant charcutier," : le poème bien gras du jour de ... Rotpier
Image du net
L’épatant charcutier,
Natif de Saint-Jean-Pied-de-Port,
il avait mis le nez dehors
juste le jour du mardi gras
et son visage était ingrat !
Ses copains se moquaient de lui
– ce qui n’était pas très gentil ! –
ils lui disaient en aparté :
« ton pif il est tout épaté ! »
Il s’en plaignit à ses parents,
des gens pas très intelligents !
Après deux jours de réflexion,
son père lui dit : «Mon garçon :
J’y voit un signe du destin :
ton nez épaté c’est très bien !
Tu vas apprendre le métier,
tu feras un bon charcutier ! »
Comme il était un enfant sage
il entra en apprentissage
chez un charcutier dont l’épouse
ne portait rien dessous sa blouse !
Très loin d’être un tas de saindoux,
elle avait de jolis sein doux
et des jambonneaux comme il faut,
très vite il ne fut plus puceau !
Le patron ne se fâcha pas,
chaque fois c’était comme ça,
lui avait la main baladeuse
et s’occupait de ses vendeuses !
C’est dans ces bonnes conditions
qu’il aborda la profession,
il apprit vite le métier :
au C.A.P. il fut premier !
Il entama un tour de France
pour parfaire ses connaissances,
de l’est à l’ouest, du sud au nord
il devint vraiment un cador !
Il se lança dans les concours
du boudin aux topinambours,
des tripes à la tequila,
de l’andouillette au ratafia !
Du saucisson en médaillon
et de la saucisse aux graillons,
du pâté aux macaronis
et des paupiettes aux radis !
Sans compter ses spécialités :
la merguez au vin de curé,
le chorizo de ragondin
et les rognons de marcassin !
C’est lors de l’un de ces concours
qu’il rencontra le grand amour,
son prénom c’était Henriette,
elle était plutôt grassouillette !
Mais bon poids fait bonne mesure,
même avec sa drôle de hure
il la trouva fort à son goût
et tomba vite à ses genoux !
Dès lors il aima follement
sa grasse Henriette du Mans,
une fille de charcutier
dont le père était trépassé.
La maman avait disjoncté,
passant son temps à picoler,
la boutique battait de l’aile
malgré un très grand potentiel !
Il prit l’affaire à bras le corps,
l’Henriette du Mans d’abord !
Si bien qu’il lui fit un enfant
au bout de deux mois seulement !
Ils s’épousèrent sans cantique
et ils reprirent la boutique
qui grâce à sa grande expérience
devint une vraie référence !
Ils connurent le grand bonheur :
l’enfant eut un frère et trois sœurs !
Les clients étaient épatés :
tous avaient le nez épaté !
Sauf la maman… c’était marrant !
Epilogue :
Ainsi se termine l’histoire,
elle est vraie vous pouvez me croire !
J’ai cédé mes droits à Pathé :
ils ont été fort épatés !
L’adaptation a commencé,
dans le rôle du charcutier
ils voudraient avoir Depardieu :
pour le gras on ne fait pas mieux !
Et dans le rôle d’Henriette
ils voudraient une grassouillette
dépassant les cent dix kilos
avec d’énormes jambonneaux !
Si vous connaissez alentour
une vraie bête de concours,
téléphonez donc chez Pathé :
il y a un lot à gagner !
Cinquante kilos de rillettes,
une nuit avec Henriette,
une biture avec Gérard
et cent bouteilles de pinard !
Dépêchez-vous, ça vaut le coup,
c’est beau lot :qu’en pensez-vous ?
Mais évitez votre belle-mère
… après il faudrait vous la faire !
Rotpier
Image du net
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L’épatant charcutier,
Natif de Saint-Jean-Pied-de-Porc,
il avait mis le nez dehors
juste le jour du mardi gras
et son visage était ingrat !
Ses copains se moquaient de lui
– ce qui n’était pas très gentil ! –
ils lui disaient en aparté :
« ton pif il est tout épaté ! »
Il s’en plaignit à ses parents,
des gens pas très intelligents !
Après deux jours de réflexion,
son père lui dit : «Mon garçon :
J’y voit un signe du destin :
ton nez épaté c’est très bien !
Tu vas apprendre le métier,
tu feras un bon charcutier ! »
Comme il était un enfant sage
il entra en apprentissage
chez un charcutier dont l’épouse
ne portait rien dessous sa blouse !
Très loin d’être un tas de saindoux,
elle avait de jolis sein doux
et des jambonneaux comme il faut,
très vite il ne fut plus puceau !
Le patron ne se fâcha pas,
chaque fois c’était comme ça,
lui avait la main baladeuse
et s’occupait de ses vendeuses !
C’est dans ces bonnes conditions
qu’il aborda la profession,
il apprit vite le métier :
au C.A.P. il fut premier !
Il entama un tour de France
pour parfaire ses connaissances,
de l’est à l’ouest, du sud au nord
il devint vraiment un cador !
Il se lança dans les concours
du boudin aux topinambours,
des tripes à la tequila,
de l’andouillette au ratafia !
Du saucisson en médaillon
et de la saucisse aux graillons,
du pâté aux macaronis
et des paupiettes aux radis !
Sans compter ses spécialités :
la merguez au vin de curé,
le chorizo de ragondin
et les rognons de marcassin !
C’est lors de l’un de ces concours
qu’il rencontra le grand amour,
son prénom c’était Henriette,
elle était plutôt grassouillette !
Mais bon poids fait bonne mesure,
même avec sa drôle de hure
il la trouva fort à son goût
et tomba vite à ses genoux !
Dès lors il aima follement
sa grasse Henriette du Mans,
une fille de charcutier
dont le père était trépassé.
La maman avait disjoncté,
passant son temps à picoler,
la boutique battait de l’aile
malgré un très grand potentiel !
Il prit l’affaire à bras le corps,
l’Henriette du Mans d’abord !
Si bien qu’il lui fit un enfant
au bout de deux mois seulement !
Ils s’épousèrent sans cantique
et ils reprirent la boutique
qui grâce à sa grande expérience
devint une vraie référence !
Ils connurent le grand bonheur :
l’enfant eut un frère et trois sœurs !
Les clients étaient épatés :
tous avaient le nez épaté !
Sauf la maman… c’était marrant !
Epilogue :
Ainsi se termine l’histoire,
elle est vraie vous pouvez me croire !
J’ai cédé mes droits à Pathé :
ils ont été fort épatés !
L’adaptation a commencé,
dans le rôle du charcutier
ils voudraient avoir Depardieu :
pour le gras on ne fait pas mieux !
Et dans le rôle d’Henriette
ils voudraient une grassouillette
dépassant les cent dix kilos
avec d’énormes jambonneaux !
Si vous connaissez alentour
une vraie bête de concours,
téléphonez donc chez Pathé :
il y a un lot à gagner !
Cinquante kilos de rillettes,
une nuit avec Henriette,
une biture avec Gérard
et cent bouteilles de pinard !
Dépêchez-vous, ça vaut le coup,
c’est beau lot :qu’en pensez-vous ?
Mais évitez votre belle-mère
… après il faudrait vous la faire !
Rotpier
Image du net
Un poème tout frais tout chaud : "Des lolos mais pas de Margot," ... de ... Rotpier !
Tout frais tout chaud ... comme le lait des lolos de Margot !
Image du net un peu malaxée par le Rotpier
Des lolos mais pas de Margot,
Elle avait dessous son corsage
Des lolos qui ne l’étaient pas,
Qui s’agitaient au moindre pas :
Grosses tensions sur son passage !
Pour les hommes, même les sages,
Cela confinait à l’appât
Et donnait sans mea culpa
Des réflexes de malaxage !
Mais pas de gougoutte à son chat
Comme l’ingénue du grand Georges :
Margot elle ne l’était pas
Même en défaut de soutien-gorge !
Elle avait son propre matou
A lui elle permettait tout !
Tout frais tout chaud ... comme le lait des lolos de Margot !
Image du net un peu malaxée par le Rotpier
Des lolos mais pas de Margot,
Elle avait dessous son corsage
Des lolos qui ne l’étaient pas,
Qui s’agitaient au moindre pas :
Grosses tensions sur son passage !
Pour les hommes, même les sages,
Cela confinait à l’appât
Et donnait sans mea culpa
Des réflexes de malaxage !
Mais pas de gougoutte à son chat
Comme l’ingénue du grand Georges :
Margot elle ne l’était pas
Même en défaut de soutien-gorge !
Elle avait son propre matou
A lui elle permettait tout !
" Ali, Ali : il faut te faire soigner le Rotpier ! " Le poème déjanté du jour de ... Rotpier
J'espère que cette histoire vous rendra, comme Ali, baba !
.
Ali, Ali : il faut te faire soigner le Rotpier !
Ali est un gentil garçon
qui travaille chez un libraire,
ne le traitez pas d’âne … non !
on n’a jamais vu Ali braire !
Ali mange souvent des figues,
il bosse Porte des Lilas,
il ne ressent pas la fatigue :
on n’a jamais vu Ali las !
Ali a une de ces frites :
il n’est pas du tout limaçon !
Je vois bien Ali aux marmites
mais ne vois pas Ali maçon !
L’ami Ali n’est pas sorcier :
ce n’est vraiment pas son image !
Si c’était vrai je serais scié :
je ne vois pas mon Ali mage !
Ali est un garçon croyant
et il met sa belle liquette
pour la grand messe de Royan :
c’est beau à voir quand Ali quête !
Ali a été étonné
de voir passer dans la casbah,
quarante voleurs sous son nez
et là j’ai vu Ali baba !
Aline a épousé Ali
qui a un truc de belle taille !
Aline prie au pied du lit :
« Il faut à tout prix qu’Ali maille ! »
J’en ai fini avec Ali
car je ne trouve plus de rime !
Je laiss’ tomber en somme Ali :
pas la peine que je m’escrime !
Mais …
Mais là, je vois blanchir Ali
… et je sens pousser un plumage !
Il me transforme en bengali :
c’est le grand retour d’Ali mage !
Rotpier
Image à peine trafiquée du Rotpier
J'espère que cette histoire vous rendra, comme Ali, baba !
.
Ali, Ali : il faut te faire soigner le Rotpier !
Ali est un gentil garçon
qui travaille chez un libraire,
ne le traitez pas d’âne … non !
on n’a jamais vu Ali braire !
Ali mange souvent des figues,
il bosse Porte des Lilas,
il ne ressent pas la fatigue :
on n’a jamais vu Ali las !
Ali a une de ces frites :
il n’est pas du tout limaçon !
Je vois bien Ali aux marmites
mais ne vois pas Ali maçon !
L’ami Ali n’est pas sorcier :
ce n’est vraiment pas son image !
Si c’était vrai je serais scié :
je ne vois pas mon Ali mage !
Ali est un garçon croyant
et il met sa belle liquette
pour la grand messe de Royan :
c’est beau à voir quand Ali quête !
Ali a été étonné
de voir passer dans la casbah,
quarante voleurs sous son nez
et là j’ai vu Ali baba !
Aline a épousé Ali
qui a un truc de belle taille !
Aline prie au pied du lit :
« Il faut à tout prix qu’Ali maille ! »
J’en ai fini avec Ali
car je ne trouve plus de rime !
Je laiss’ tomber en somme Ali :
pas la peine que je m’escrime !
Mais …
Mais là, je vois blanchir Ali
… et je sens pousser un plumage !
Il me transforme en bengali :
c’est le grand retour d’Ali mage !
Rotpier
Image à peine trafiquée du Rotpier
Déjà publié !
Le poème du jour : "Les grands amours ne sont pas légion," ... un sonnet de Rotpier qui est un peu ... sonné !
Préambule :
;
Les grands amours ne sont pas légion,
Elle avait de grands yeux marron
pailletés d’éclats couleur sable,
un regard indéfinissable
et elle avait un beau giron !
Lui abhorrait les laiderons
et les trouvait insupportables,
son charme était incontestable
avec ou sans son ceinturon !
Il en avait fait sa compagne
alors qu’il était en campagne
dans les alentours de Calvi.
Leurs rencontres étaient très brèves
mais leur désir bien assouvit :
le légionnaire aimait sa chèvre !
.
Rotpier
Image du net
Remarque :
Préambule :
;
Les grands amours ne sont pas légion,
Elle avait de grands yeux marron
pailletés d’éclats couleur sable,
un regard indéfinissable
et elle avait un beau giron !
Lui abhorrait les laiderons
et les trouvait insupportables,
son charme était incontestable
avec ou sans son ceinturon !
Il en avait fait sa compagne
alors qu’il était en campagne
dans les alentours de Calvi.
Leurs rencontres étaient très brèves
mais leur désir bien assouvit :
le légionnaire aimait sa chèvre !
.
Rotpier
;
Image du net
Remarque :
Les poèmes du jour un peu sonnets de ... Rotpier : " Marguerite " et "Effeuillage " !
Chose promise, chose due : voila la suite de Marguerite !
Pour vous éviter de retourner au billet précédant ( j’ai soin de votre petit confort ! ) je vous le remets directement, la suite étant de couleur verte !
Aimerez-vous … un peu … beaucoup … passionnément … à la folie … ou pas du tout ?
image du net
Marguerite,
Elle avait un prénom charmant,
Un de ceux qui ont le mérite
D’aller à quelqu’un comme un gant :
Joli prénom que Marguerite !
Son sourire était désarmant
Quand un homme même émérite
Dans l’art de se faire galant
Prenait des airs de chattemite !
Eu égard à son gagne-pain,
Bien qu’un tantinet polissonne,
Elle n’appartenait à personne .
Sauf pour exercer son turbin
Elle n’était pas pointilleuse:
Marguerite était effeuilleuse !
.
Image du net un peu bidouillée par le Rotpier !
.
L’art de l’effeuillage,
Nul besoin de chauffer la salle
Pour allumer le populo,
alors que son premier pétale
N’était qu’un tout petit chapeau !
.
L’excitation était totale
A la fin de son numéro
Les hommes perdaient les pédales,
Chauffés par son corps brasero !
C’était la queue devant sa loge
Et il fallait qu’on les déloge
au beau milieu des coups de poing !
Ils auraient donné sans limite
Tout leur fric pour un petit coin
Où effeuiller, seul, Marguerite !
Voici donc la suite :
Hécatombe,
Les vieux tombaient comme des mouches
Victimes de lourds infarctus,
Les yeux révulsés et la bouche
Figée dans un dernier rictus !
Et n’étant point sainte nitouche
Elle soutenait mordicus
Qu’il aurait fallu qu’elle touche
Une prime pour chaque gus !
Tous les régimes de retraite
Auraient du lui signer des traites
Pour l’équilibre des bilans !
En exhibant son pédoncule
Elle régulait les croulants
Mieux qu’une bonne canicule !
xxxxxxxxxxxxx
.
Moralité des trois sonnets :
Des bataillons de Marguerite
envoyés partout chez les vieux,
voila qui aurait le mérite
de réguler les choses au mieux !
Le paradis avant la lettre,
le nirvana sans avatar,
l’éden avant de disparaître,
le Brama-Loke sans pétard !
… Hormis celui de Marguerite
plus concret qu’une religion,
à toucher dans un dernier rite
avant l’ultime convulsion !
Dans un souci égalitaire
moult bataillons d’effeuilleurs :
hors de question que les mémères
partent sans toucher au bonheur !
Avez-vous aimé … un peu … beaucoup … passionnément … à la folie … ou pas du tout ?
A vous de le dire … et pis c’est tout !
Rotpier …( de nez à la morale ! )
Chose promise, chose due : voila la suite de Marguerite !
Pour vous éviter de retourner au billet précédant ( j’ai soin de votre petit confort ! ) je vous le remets directement, la suite étant de couleur verte !
Aimerez-vous … un peu … beaucoup … passionnément … à la folie … ou pas du tout ?
image du net
Marguerite,
Elle avait un prénom charmant,
Un de ceux qui ont le mérite
D’aller à quelqu’un comme un gant :
Joli prénom que Marguerite !
Son sourire était désarmant
Quand un homme même émérite
Dans l’art de se faire galant
Prenait des airs de chattemite !
Eu égard à son gagne-pain,
Bien qu’un tantinet polissonne,
Elle n’appartenait à personne .
Sauf pour exercer son turbin
Elle n’était pas pointilleuse:
Marguerite était effeuilleuse !
.
Image du net un peu bidouillée par le Rotpier !
.
L’art de l’effeuillage,
Nul besoin de chauffer la salle
Pour allumer le populo,
alors que son premier pétale
N’était qu’un tout petit chapeau !
.
L’excitation était totale
A la fin de son numéro
Les hommes perdaient les pédales,
Chauffés par son corps brasero !
C’était la queue devant sa loge
Et il fallait qu’on les déloge
au beau milieu des coups de poing !
Ils auraient donné sans limite
Tout leur fric pour un petit coin
Où effeuiller, seul, Marguerite !
Voici donc la suite :
Hécatombe,
Les vieux tombaient comme des mouches
Victimes de lourds infarctus,
Les yeux révulsés et la bouche
Figée dans un dernier rictus !
Et n’étant point sainte nitouche
Elle soutenait mordicus
Qu’il aurait fallu qu’elle touche
Une prime pour chaque gus !
Tous les régimes de retraite
Auraient du lui signer des traites
Pour l’équilibre des bilans !
En exhibant son pédoncule
Elle régulait les croulants
Mieux qu’une bonne canicule !
xxxxxxxxxxxxx
.
Moralité des trois sonnets :
Des bataillons de Marguerite
envoyés partout chez les vieux,
voila qui aurait le mérite
de réguler les choses au mieux !
Le paradis avant la lettre,
le nirvana sans avatar,
l’éden avant de disparaître,
le Brama-Loke sans pétard !
… Hormis celui de Marguerite
plus concret qu’une religion,
à toucher dans un dernier rite
avant l’ultime convulsion !
Dans un souci égalitaire
moult bataillons d’effeuilleurs :
hors de question que les mémères
partent sans toucher au bonheur !
Avez-vous aimé … un peu … beaucoup … passionnément … à la folie … ou pas du tout ?
A vous de le dire … et pis c’est tout !
Rotpier …( de nez à la morale ! )
Les poèmes du jour un peu sonnets de ... Rotpier : " Marguerite " et "Effeuillage " !
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Marguerite,
Elle avait un prénom charmant,
Un de ceux qui ont le mérite
D’aller à quelqu’un comme un gant :
Joli prénom que Marguerite !
Son sourire était désarmant
Quand un homme même émérite
Dans l’art de se faire galant
Prenait des airs de chattemite !
Eu égard à son gagne-pain,
Bien qu’un tantinet polissonne,
Elle n’appartenait à personne .
Sauf pour exercer son turbin
Elle n’était pas pointilleuse :
Marguerite était effeuilleuse !
Image du net un peu bidouillée par le Rotpier !
L’art de l’effeuillage,
Nul besoin de chauffer la salle
Pour allumer le populo,
alors que son premier pétale
N’était qu’un tout petit chapeau !
L’excitation était totale
A la fin de son numéro
Les hommes perdaient les pédales,
Chauffés par son corps brasero !
C’était la queue devant sa loge
Et il fallait qu’on les déloge
au beau milieu des coups de poing !
Ils auraient donné sans limite
Tout leur fric pour un petit coin
Où effeuiller, seul, Marguerite !
Si cela vous donne la frite
Revenez donc jeudi matin
J’aurais alors écrit la suite :
il faut que je gagne mon pain !
Rotpier
Festival de Cannes, le poème du jour : "Le festival de cannes de Zézette," un poème haut en couleur de ... Rotpier
Allez, vous reprendrez bien un petit coup de Zézette sur la Croisette ?
En plus, certains ne la connaissent pas !
Je vous offre, mes petits canards, la pensée du jour avec en prime une Zézette très délurée !
La pensée du jour :
Mieux vaut, avec ou sans canne, cancaner à Cannes que d’y canner !
Le poème sur la drôle de Zézette :
.
J’espère bien, avec ce poème haut en couleur
(du rouge et de l’or) décrocher une palme !
Au minimum, la palme-raie !
Toutes les images proviennent du net !
Le festival de cannes de Zézette,
Un jour sur la croisette
j’ai rencontré Zézette,
entièrement à poil :
c’était très convivial !
Pas du tout complexée,
tout à fait relaxée,
elle exposait son corps
sans le moindre remord !
Elle’ n’était pas bronzée
mais elle était frisée :
son système pileux
frôlait le fabuleux !
Il faut savoir qu’à Lille
rarement on s’épile :
ça flottait de partout
des cheveux aux genoux !
Je connaissais la fille,
une môme gentille,
mais tous les gens d’ici
en étaient ébahis !
Elle entama à Cannes
un festival de cannes :
elle n’en avait que deux
mais s’en servait au mieux !
Une foule en délire
décida de l’élire,
loin de tout le gotha,
la reine des nanas !
Arrachant une palme
à un palmier très calme,
ils lui remirent le prix
du plus velu fri-fri !
De sa belle démarche
elle monta les marches
d’un très grand escabeau :
ce fut vraiment très beau !
Elle en fut très émue
et promit à la rue
de revenir souvent
fêter l’évènement !
Depuis ce jour Zézette
revient sur la croisette
montrer tous ses trésors
et son fri-fri en or !
Car en plus elle est blonde
et vachement gironde,
qu’ils soient flics ou pompiers,
les gars sont à ses pieds !
Rotpier
Allez, vous reprendrez bien un petit coup de Zézette sur la Croisette ?
En plus, certains ne la connaissent pas !
Je vous offre, mes petits canards, la pensée du jour avec en prime une Zézette très délurée !
La pensée du jour :
Mieux vaut, avec ou sans canne, cancaner à Cannes que d’y canner !
Le poème sur la drôle de Zézette :
.
J’espère bien, avec ce poème haut en couleur
(du rouge et de l’or) décrocher une palme !
Au minimum, la palme-raie !
Toutes les images proviennent du net !
Le festival de cannes de Zézette,
Un jour sur la croisette
j’ai rencontré Zézette,
entièrement à poil :
c’était très convivial !
Pas du tout complexée,
tout à fait relaxée,
elle exposait son corps
sans le moindre remord !
Elle’ n’était pas bronzée
mais elle était frisée :
son système pileux
frôlait le fabuleux !
Il faut savoir qu’à Lille
rarement on s’épile :
ça flottait de partout
des cheveux aux genoux !
Je connaissais la fille,
une môme gentille,
mais tous les gens d’ici
en étaient ébahis !
Elle entama à Cannes
un festival de cannes :
elle n’en avait que deux
mais s’en servait au mieux !
Une foule en délire
décida de l’élire,
loin de tout le gotha,
la reine des nanas !
Arrachant une palme
à un palmier très calme,
ils lui remirent le prix
du plus velu fri-fri !
De sa belle démarche
elle monta les marches
d’un très grand escabeau :
ce fut vraiment très beau !
Elle en fut très émue
et promit à la rue
de revenir souvent
fêter l’évènement !
Depuis ce jour Zézette
revient sur la croisette
montrer tous ses trésors
et son fri-fri en or !
Car en plus elle est blonde
et vachement gironde,
qu’ils soient flics ou pompiers,
les gars sont à ses pieds !
Rotpier
Vendredi 13: jour de chance ! Le poème un peu sonnet de ... Rotpier !
Image du net !
La double chance du vendredi 13,
Il avait joué au loto
et venait de voir le tirage :
à la télé ses numéros
étaient tous sortis de la cage !
C’était à coup sûr le magot
pour lui qui était au chômage,
plus de recherche de boulot :
il rêvait déjà d’une plage !
Il faisait des plans sur tout ça
quand le téléphone sonna
pour lui apprendre avec prudence
que sa femme abhorrée, Marion,
était passée sous un camion !
Vendredi treize : Oh ! Quelle chance !
Moralité :
Ça peut rapporter bonbon !
Le poème du jour : " Portrait pas très Coran d'un gars appelé Durdan, " de ... Rotpier
Image de l'avatar de Durdan qui donne déjà
une petite idée du bonhomme !
Portrait pas très Coran d'un gars appelé Durdan,
Je connais un certain Durdan
qui a bien souvent la dent dure
pour tout ce qui touche au Coran
et aux semblables écritures !
Il met en garde tous les gens
consultant le Coran en ligne :
" Attention aux coups de Coran,
l'intensité n'est pas bénigne !"
Sur le Coran il est versé
et il frôle le satanique,
capable de billevesées
dans une atmosphère électrique !
" Le Coran est alternatif :
il souffle le chaud et le froid ! "
dit-il en se grattant les tifs
ou bien autre chose ma foi !
Jamais en panne de Coran:
il en garde un à sa portée
et navigue à contre-Coran
sur des réflexions pimentées !
Je précise qu'il est athée *
et que les autres religions,
il les a aussi dans le nez :
c'est un chasseur de goupillons !
Il ne ménage pas le pape,
ses saints en prennent un bon coup,
il ne leur lâche pas la grappe
en les fustigeant jusqu'au bout !
Il a le crayon très agile,
son verbe est plus que dérangeant
pour les personnages qu'il cible,
qu'ils soient tout morts ou bien vivants !
C'est un pourfendeur de chapelle,
printemps, été, automne, hiver,
qu'il fasse chaud ou bien qu'il pèle
le Durdan carbure au super !
Etant aussi athée que lui
je partage et communie
avec les billets qu'il produit
mouillés d'acide et d'ironie !
PS :
Ce portrait est-il bien brossé ?
Lui siéra-t-il ? Ça je l'ignore!
Mais il me plait de l'endosser
... c'est par ceci que je vais clore !
Dernière strophe-information :
J'ajoute qu'il a validé
ce portrait sans aucun oukase,
sans du tout me vilipender :
nous sommes donc vraiment en phase !
Alors, je lui dis :
Va, sur le coran continue !
Isole les plus et les moins :
que la vérité toute nue
nous apparaisse par tes soins !
Pour aller chez Durdan : link