" Conversation entre pochards à Etretat … " ... une fadaise d'Etretat de ... Rotpier !
En souvenir d'un séjour fort agréable ( et presque totalement sobre ! ) sur la cote d’Albâtre, je vous livre une fadaise d'Etretat !
Image du net car les miennes sont moins nettes !
Conversation entre pochards
à Etretat …
Conversation de fil en Aiguille
au pied de la Porte,
- Être clochard à Etretat
est un cauchemar qui me hante :
sur un trottoir tout comme un tas
sans même une toile de tente.
- A Etretat ? … Pourquoi mon gars ?
Ce n’est pas une idée géante,
viens au pays du pastaga,
là-bas les nuits sont moins glaçantes !
- Si je deviens un jour clochard
autant que ce soit sur ma terre !
Et le calva, pour un pochard,
vaut bien l’anis : faut pas le taire !
Allez buvons près de la porte
et tant pis si dans notre état,
nous ne bafouillons de la sorte
que des fadaises d’êtres tas !
Nous graverons dans le calcaire
des souvenirs de pochetrons,
après nous casserons nos verres
pour ne plus boire qu’au litron !
Les touristes devant nos fresques
en resteront tout interdits,
trouvant cela très pittoresque,
bien supérieur aux graffitis !
Ils chercherons nos signatures
mais nous ne les graverons pas,
pour les générations futures
une belle étude de cas !
Nous resterons des anonymes,
des bienfaiteurs pour d’Etretat,
nous ne seront pas éponymes
et garderons nos galetas !
Et si du haut de la falaise
un jour on fait le grand plongeon,
il n’y aura pas de malaise
au sein de la population.
De nos pauvres vieilles carcasses
les crabes feront un banquet,
leur chair sera un peu plus grasse
au moment de les déguster !
Dans ce pays de grandes tables
où tous les crustacés sont rois
les péquins comme les notables
ravis se lécheront les doigts !
Et les palais fins en alerte
se demanderons bien pourquoi
au fond de leurs bouches expertes
reste comme un goût de calva !
Allez l’ami, allez confrère,
trinquons à ce bel avenir
après tout nos sommes des frères
et nous devons nous soutenir !
Allons gravons sur la falaise
nos états d’âme de buveurs,
le cœur vaillant et l’âme à l’aise
attaquons-nous vite au labeur !
Rotpier
Image bidouillée par le Rotpier !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
… Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C’est du sérieux mais présenté avec humour !
2ème ligne, 2ème image: la sale bête suce le sang et apporte une maladie ! 3ème image : à 3H 52 du mat, il est très " - - - " ! ( l'autre aussi ! ) Dernière image: de sable ou d'autre chose !
3ème ligne, 2ème image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " !
4ème ligne, 2ème image : produit fabriqué par un ver aimant le mûrier !
5ème ligne, 3ème image : pour le P, il faut le dissocier phonétiquement !
7ème ligne, 2ème image : en direct " Grrrrrrrrrrrr " !
8ème ligne, 3ème image: le cri du mouton !
9ème ligne, 1ère image : en direct : " ti "
Réponse :
Un homme politique totalement honnête, ne soyons pas dupes,
est aussi courant qu’une grenouille de bénitier en minijupe !
Nota : Je vous l’avais bien dit que ça rimait !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus assez court, pas trop difficile et non commercial !
Allez, au boulot brav' gens ! ... Sans faire de révérence et en sachant que j'ai tiré la mienne la semaine passée ! 😊
Réponse :
J’ai ouï dire que le marquis de La Fayette était un sacré déconneur et qu’il excellait dans l’art d’amuser les galeries et de faire grimacer le Printemps !
Pas beaucoup de billets, trop de boulot !
Chers ami(e)s: bonjour !
Comme le dit le titre: Pas beaucoup de billets, trop de boulot ... bien que ce soit du thuyas !
Elagage à la nacelle et maintien du tronc par engin de levage
Elagage et abattage du frère jumeau
Il reste à faire :
- Découpe des billes, enlèvement des branches, nettoyage.
- Jongler avec les assurances
- Voir devis couverture pour la maison de notre voisine (peu de dégâts heureusement !)
- Et après, plein de boulot pour ressemer le gazon et refaire une partie des chemins !
Peut-être à dimanche pour les rébus ?
Je tâcherais de passer un peu vous voir sur les blogs ! 😉
Pierre
" Fabliau sur corde raide, " : le poème du jour de ... Pierre
Image du net
De Griveaux à grivois, il n’y a qu’un pas,
à vous de le franchir ou pas !
Fabliau sur corde raide,
Ce n’est qu’un petit fabliau
pour ceux qui veulent monter haut
dans le cénacle politique
et ne pas perdre leur boutique.
Aujourd’hui on n’est plus hier
on est défait en un éclair
par une photo dérobée
et sur les réseaux étalée.
Vous qui êtes …
A gauche à droite ou au milieu
à la base ou auprès de Dieu
méditez ce petit adage
pour éviter le grand naufrage :
« Méfiez-vous des réseaux sociaux
où nichent de drôles d’oiseaux
qui viennent faire leurs emplettes
même une petite branlette
qui vous met la tête sous l’eau
… n’est-ce pas Benjamin Griveaux ! »
Moralité :
Il faut se méfier des selfies
qui frôlent la pornographie
à Paris ou bien au Creusot :
on cache son petit oiseau !
Péroraison :
Je vais être très critiqué
pour le vers seize c’est OK
j’ai l’habitude c’est classique
de trop tirer sur l’élastique !
Pour le dix-huit également
il ne faut pas nommer les gens
il parait que ça les ébranle
mais moi je m’en tape et -‘ - - - - - - - !
Terminaison :
Je vous avais bien prévenu
et pourtant vous avez tout lu
adeptes qu’à cela ne tienne
des chroniques rabelaisiennes !
De La fontaine à Rabelais
soyons fiers de l’esprit français
qui rayonne à travers le monde
par son génie et sa faconde !
Foin de quelques débordements
dans une fable ou un roman
un entrechat de paillardise
c’est sur le gâteau la cerise !
Rabelais, image du net
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Pour un simple maroquin certains hommes politiques deviendraient chèvre quitte à se faire avoir par le premier bouc qui passe !
PS : Je vous prie de ne faire aucune relation avec des personnages existants ... je n’ai pas pour habitude de m’immiscer dans les sphères glauques de la politique !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C’est un rébus où tout se joue sur une consonne pour changer totalement le sens de cette réflexion . Le Rotpier a bien sûr choisi le coté scabreux ( pour ne pas dire obscur ! ) de la chose, mais le Rotpier, c'est le Rotpier ... et pis c'est tout !
Allez, au boulot brav' gens, ne restez pas là, plantés comme des - - - - - ! ... Ce qui n'était pas du tout le cas de Madame sans chêne !
Réponse :
On nous a longtemps rebattu les oreilles avec le gland des siciliens, mais nom d’une pipe en avaient-ils un vraiment plus gros que les autres ?
Michel Polnareff : "Le bal des Laze" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Michel Polnareff
« Le bal de Laze »
Le bal des Laze
Ma vie n´était pas faite
Pour les châteaux.
Tout est arrivé ce soir de juin
On donnait une fête
Dans le château.
Le plus grand bal de Londres
Lord et Lady de Laze
Recevaient le grand monde
Diamants, rubis, topazes
Et blanches robes longues
Caché dans le jardin
Moi je serrais les poings
Je regardais danser
Jane et son fiancé.
Dommage pour la fille
De ce château.
Car je crois qu´elle aimait bien l´amour
Que l´on faisait tranquille
Loin du château.
Pour les vingt ans de Jane
Lord et Lady de Laze
Avaient reçu la Reine
Moi le fou que l´on toise
Moi je crevais de haine
Caché dans le jardin
Moi je serrais les poings
Je regardais danser
Jane et son fiancé.
Ça fera quatre lignes
Dans les journaux.
Je ne suis qu´un vulgaire assassin
Un vagabond indigne
De ce château.
Peut-être bien que Jane
A l´heure où l´on m´écrase
Aura un peu de peine
Mais ma dernière phrase
Sera pour qu´on me plaigne
Puisqu´on va lui donner
Un autre fiancé
Et que je n´ pourrai pas
Supprimer celui-là
Bon partage !
Rotpier
Publié depuis Overblog et X (Twitter)
Je vous rappelle cette citation :
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
Chamfort (Maximes et pensées)La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
Rotpier (valeur ajoutée à la citation)« Le rire est le propre de l'Homme »
Rabelais ( Pantagruel )Seulement de l’homme ?
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Si l'on me dit que mes Rotpierreries ne sont que pacotilles, je rétorquerai que je n’ai pas non plus d’atelier, Place de Vendôme, pour les confectionner !
Quelques Rotpierreries en vrac :
Toute femme frileuse en amour n’est pas forcément frigide : il suffit souvent, pour la dégeler, de prononcer une formule tournant autour du terme « hostas » (famille de plantes que je cultive ) pour qu’elle se réchauffe rapidement et qu’elle s’ouvre comme une fleur !
Les femmes sont comme les cols de 1ère catégorie : on commence l’escalade à fond et on a les jambes coupées avant d’avoir atteint le sommet !
Ce passager venant du Larzac et qui sentait fort la chèvre, faisait régulièrement le bonheur de bon nombre de voyageuses : c’était un infatigable broute-en-train !
.
Je me suis laissé dire qu’Ulk, qui est baraqué comme une montagne, avait un faible pour le Vercors.
Une personne prend une claque et ne la rend pas.
Deux hypothèses s’offrent à nous pour analyser la situation :
1ère hypothèse : la personne est lâche.
2ème hypothèse : la personne est adepte de la non-violence dans la lignée de Martin Luther King ou du Mahatma Gandhi.
Une 3ème hypothèse, bien quelle soit rarissime, peut-être retenue : cette personne est manchote !
Bon, allez, je vous lâche les baskets parce que vous en avez peut-être votre claque du Rotpier !
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Épicétou !
Sur ce, le Rotpier vous salue bien !
.Le poème du jour : "Défaillance," de ... Pierre
Un poème ancien, écrit en 2007 ... je crois … à moins que ma mémoire ne défaille …
Sur une très jolie photo de Jean-François Simon, un poème que j'aime tout particulièrement...
Défaillance,
Il bruine dans mon cœur
comme il pleut sur la faille ;
pourquoi cette rancœur
qui fait qu’un cœur défaille.
Hier encore ici,
mais revers de médaille,
plus personne aujourd’hui
et mon cœur qui déraille.
Dans les yeux ce crachin
augmentant la grisaille
et le bout du chemin
et l’ultime broussaille.
La chute sans rappel
parallèle à l’entaille,
les rochers en scalpel
et mon cœur en tenailles.
Pour vivre maintenant
je ne suis plus de taille,
je plane en attendant
d’être au pied de la faille.
Pierre Dupuis