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Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
Le premier est recyclé, le second est tout frais ! Date de fraîcheur garantie : c'est un engagement du Rotpier 😉😊😄
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
C'est un rébus très court, vous allez le déchiffrer les doigts dans le nez, ce qui n'est pas très beau d'ailleurs !
1ère ligne, 1ère image : " - - - " est ce personnage ? 3ème image : produit du vers du mûrier ! 4ème image : ce n'est pas la nuit ! ( l'autre aussi ! ) Dernière image : la moitié de la marque ... si vous ne trouvez pas, ça va saigner !
2ème ligne, 1ère image : une fleur symbole de la royauté !
4ème ligne, 3ème image : le verbe " aller " à l'impératif !
5ème ligne, 2ème image : le mec a une sacrée " - - - - - " !
Dernière ligne, dernière image : c'est l'arme qu'il faut retenir !
Et pis c'est tout mes loulous !
Réponse :
Qu’il soit journaliste ou pas, un gigolo travaille toujours en free-lance !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus de chaude actualité !
😂
Le début est tout à fait véridique, le reste moins !
Bon déchiffrage et vous n'êtes pas obligé de courir ! 😄
Réponse :
Quand j’étais jeune, j’ai été six ans enfant de cœur sous trois curés différents sans me faire violer. Je ne sais pas si c’est parce que je n’étais pas beau du tout ou si c’est parce que je courais très vite !
Qu'il dit l'animal !
Françoise Hardy : "L'amitié " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
« Françoise Hardy »
« L’amitié »
Puisque de nos jours elle est devenue une denrée assez rare
… pas Françoise Hardy mais l'amitié ...
L’amitié
Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
Avec soleil et pluie comme simple bagage
Ils ont fait la saison des amitiés sincères
La plus belle saison des quatre de la Terre
Ils ont cette douceur des plus beaux paysages
Et la fidélité des oiseaux de passage
Dans leurs cœurs est gravée une infinie tendresse
Mais parfois, dans leurs yeux, se glisse la tristesse
Alors, ils viennent se chauffer chez moi
Et toi aussi, tu viendras
Tu pourras repartir au fin fond des nuages
Et de nouveau sourire à bien d'autres visages
Donner autour de toi un peu de ta tendresse
Lorsqu'un autre voudra te cacher sa tristesse
Comme l'on ne sait pas ce que la vie nous donne
Il se peut qu'à mon tour je ne sois plus personne
S'il me reste un ami qui vraiment me comprenne
J'oublierai à la fois mes larmes et mes peines
Alors, peut-être, je viendrai chez toi
Chauffer mon cœur à ton bois
Bon partage !
Rotpier
Les petites ou les grosses conneries ou pensées du jour de ... Rotpier
Je vous rappelle cette citation :
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
Chamfort (Maximes et pensées)
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
Rotpier (valeur ajoutée à la citation)
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« Le rire est le propre de l'Homme »
Rabelais ( Pantagruel )
Image du net
" Le rire est le propre de l'Homme, ce qui n'empêche pas de se laver un peu de temps en temps. "
Rotpier (valeur ajoutée à la citation)
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Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries !
N’ ayant pas de voisine à portée de langue .................................
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1ère connerie
La vie n’est pas simple quand même…
Ah ! Si seulement j’avais des talents d’écriture ! Des idées, j’en ai et même un peu trop, elles mènent joyeuse sarabande dans ma pauvre tête. Il faut que je me pose pour les calmer un peu et éviter de vilaines céphalées.
Vous le voyez la vie n’est pas simple tous les jours pour moi et je ne parle même pas des nuits.
Tenez, il y a quelques jours, je devrais dire quelques nuits, deux récits se télescopaient dans mon crâne : le roman fleuve en sept tomes de Marcel Proust « A la recherche du temps perdu » et « Le vieil homme et la mer » d’Ernest Hemingway.
Deux sujets et deux univers aux antipodes l’un de l’autre, vous en conviendrez aisément.
Et bien, chez moi, tout se mélangeait ! Les madeleines, Swan, Guermantes, les jeunes filles en fleurs, Albertine, les bottines d’Albertine, les vilains Sarrazins, Santiago, Manolin, Cuba, Castro, le Gulf Stream, l’énorme marlin, le petit thon en appât, la barque, les canes à pêche … Bref, l’imbroglio total, l’amphigouri garanti, l’embrouillamini maxi !
Au matin, j’avais la calebasse à marée basse ! Je ne savais plus où mon esprit avait dérivé toute la nuit entraîné par un courant marin sans fin et sans marlin !
Après un grand bol de café noir et deux aspirines, j’avais décidé d’écrire un roman synthétisant les deux histoires et les deux univers que j’intitulerais : « A la recherche du thon perdu » ;
Cela fait déjà plusieurs mois de cela et je n’ai toujours que le titre en tête en tout et pour tout !
Tous les matins, je rêvasse devant mon bol de café en trempant machinalement des madeleines dedans mais cela ne va pas plus loin.
Ma vie est quand même compliquée pour un simple profane, je l’avoue. Si seulement j’avais le don de bien écrire car, j’en suis persuadé : je suis digne d’un don … complètement.
Bon, d’autre part, est-ce que je ne ferais pas d’ombre aux jeunes filles en fleurs au point qu'elles aillent se faire déflorer par les premiers marins qui passent, qu'ils soient de Hambourg ou d'ailleurs, qu'ils pissent ou pas sur les femmes sans cervelle, le nez au ciel et la tête dans les étoiles ...
Ah! Comme tout cela est compliqué quand même ... Je sens déjà une céphalée qui monte, qui monte ... vite, deux aspirines ma cousine !
Le Rotpier
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2ème connerie :
J'ai lu que pour être certifié ISO 9001, il fallait passer des audits internes.
Ayant eu, quand j'étais petit, plusieurs otites internes, je ne dois pas être loin d'être certifié ISO 9001... qu'en pensez-vous ?
Ce serait une reconnaissance de qualité qui rendrait mes détracteurs fous de rage !
Ils n'auraient plus qu'à la mettre en sourdine en maugréant !
Ah ! Que cela me plairait bien ! Je vois d'ici leurs têtes déconfites !
Le Rotpier
Nota pour ceux qui ne connaissent pas la norme ISO 9001 : https://fr.wikipedia.org/wiki/ISO_9001
Ne suis-je pas un grand vulgarisateur ?
Èpicétout pour aujourd’hui !
Voila, c’est terminé !
Et comme on dit à Amsterdam :
Un café, un joint mais pas d'addiction SVP !
Pour faire écho au rapport Sauvé : " Tu le diras un jour " ... un poème encore et toujours de circonstance de Pierre
Ce poème a 18 ans et je l’ai déjà mis plusieurs fois. Il n’a - hélas ! - pas pris une ride.
Aujourd'hui, c'est la publication du rapport Sauvé qui me fais le remettre :
Pierre
Image du net modifiée par moi-même
.
Tu le diras un jour …
Neuf ans,
tu avais neuf ans.
Lui ? Quarante… à peu près.
Il t’en imposait
…il en imposait à tout le monde !
Il était l’autorité reconnue.
Reconnu de tous.
Ne pas lui obéir ? Personne n’osait !
Toi, plus que tout autre.
Toi le timide, le respectueux, le presque soumis.
Oh ! il avait soigneusement choisi !
Il avait de l’expérience: la science de l’infamie !
Des bruits avaient bien circulé …
mais il en circule tant… des bruits !
Et puis … si gentil, si près des enfants !
Lui, l’organisateur des veillées,
des ballades, des feux de camp,
des sorties, des colos,
des voyages en bateau
et toujours le bon mot !
Si serviable, si près des enfants …
Trop près !
Beaucoup trop près !
Avec ta naïveté et ta timidité,
tu n’avais rien vu venir.
Tu n’avais pas vu l’étau se resserrer,
l’étau dégoûtant de ses bras se resserrer !
Et … c’était arrivé.
Après … des promesses ! … des menaces !
Trois fois il a recommencé !
Puis il a vu - il a su ! - que tu allais craquer.
Alors, doucement, perfidement, il a battu en retraite.
Il a continué les promesses … les menaces
… beaucoup plus les menaces !
Mentalement, il t’a bâillonné,
il t’a mis dans sa nasse !
Comme d’autres … comme beaucoup d’autres !
Puis, le temps a passé mais … rien ne s’est effacé !
Image claire et nette dans ta mémoire
qui remonte certains soirs
… certains soirs un peu plus noirs.
Tout est près à resurgir ! Il suffirait d’un déclic,
d’un fait plus fort que les autres
… un procès ?
Une lecture sur le sujet ?
Une émission de télé ?
ou bien tout simplement … l’amour !
L’amour et toute la confiance en une femme,
pour qu’enfin tu parles, que tu dises,
que tu accuses le maudit, l’infâme !
Le calculateur !
Le manipulateur !
Le maître chanteur !
Le persécuteur !
L’abject prédateur !
Et d’autres suivront !
Oui ! D’autres suivront !
Et vous éviterez que nuise encore le scélérat
… l’ignoble ordure qui t’a fait ça !
Pierre Dupuis
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Trois pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
Le premier est recyclé, le second et le troisième sont tout frais ! Date de fraîcheur garantie : c'est un engagement du Rotpier 😉😊😄
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Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Il est un peu tordu ... comme le Rotpier ! ( 2 jeux de mots ! )
1ère ligne, 2ème image : elle tombe ! Dernière image : quand on meurt, elle s'envole parait-il ?
2ème ligne : l'articulation entre le " M " et le " L " n'est pas très facile ... j'ai aimé vous le signaler !
3ème ligne, 2ème image et en direct : " bi " !
4ème ligne, 2ème image : objet servant un tromper, ici c'est un poisson carnassier qui le sera !
6ème ligne, 1ère image : attention, passage de " - - - - - " ( pas comme dans mes rébus hein ! ) 2ème image : synonyme de "reluquer" conjugué au présent de l'indicatif !
7ème ligne, 1ère image et en direct : " ti " ! 4ème image : le mec a une sacrée " - - - - " ... et pis c'est tout !
8ème ligne, 1ère image :le mec a une sacrée " - - - - " ... et pis c'est tout !
9ème ligne, 2ème image : " - - - " est ce personnage ?
10ème ligne, 2ème image : des poches de " - - - - " pour sauver des vies !
11ème ligne, 2ème image: le petit ramoneur est tout " - - - - " !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer ! Après, vous pourrez aller à la messe voir si vous en voyez, encore qu'elles se font de plus en plus rares ! N'oubliez pas d'aller à confesse, vous en avez certainement nécessité ! Je termine et j'y vais directement !
Réponse :
Je n’ai jamais aimé les bigotes et leurs chapelets. Mon vieux matou, un brave minou pas pelé du tout, acquiesce mais je sens bien que ça lui fout les boules !
Nota: Les jeux de mots : " chapelet " et " chat pelé" + "acquiesce " et " boules " ... vous m'avez bien entendu ou vous avez oublié de les enlever ?
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus court et pas trop cochon !
😂
Bon déchiffrage ! 😄
Réponse :
Qui vivra verra : c’est la devise des petits cochons pour en devenir des gros !
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Comme ils sont très courts, je vous en offre un troisième en bonus-bis et toujours sans aide pour les accros !
C'est un rébus que certains trouveront débile et d'autres poétique : à chacun sa tasse de thé !
😂
Juste une indication : 3èmeligne, 3ème image : Cupidon est le dieu de l' - - - - - ! ( J'ai entendu dire que des femmes se faisaient siliconer pour avoir des fesses rebondies et que leur surnom étaient: " Les culs bidons " ! Je ne sais pas si c'est vrai mais il s'agit d'une toute autre histoire ! )
Bon déchiffrage et buvez ce qu'il vous plait ! 😄
Réponse :
Je m’interroge : est-ce qu’une vache amoureuse d’un pivert donne du lait-menthe ?
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Qu'il dit l'animal !
Léo Ferré "Est-ce ainsi que les hommes vivent ?" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Léo Ferré :
« Est-ce ainsi que les hommes vivent ? »
Tout est affaire de décor
Changer de lit changer de corps
A quoi bon puisque c'est encore
Moi qui moi-même me trahis
Moi qui me traîne et m'éparpille
Et mon ombre se déshabille
Dans les bras semblables des filles
Où j'ai cru trouver un pays.
Cœur léger cœur changeant cœur lourd
Le temps de rêver est bien court
Que faut-il faire de mes jours
Que faut-il faire de mes nuits
Je n'avais amour ni demeure
Nulle part où je vive ou meure
Je passais comme la rumeur
Je m'endormais comme le bruit.
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.
C'était un temps déraisonnable
On avait mis les morts à table
On faisait des châteaux de sable
On prenait les loups pour des chiens
Tout changeait de pôle et d'épaule
La pièce était-elle ou non drôle
Moi si j'y tenais mal mon rôle
C'était de n'y comprendre rien
Dans le quartier Hohenzollern
Entre la Sarre et les casernes
Comme les fleurs de la luzerne
Fleurissaient les seins de Lola
Elle avait un cœur d'hirondelle
Sur le canapé du bordel
Je venais m'allonger près d'elle
Dans les hoquets du pianola.
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.
Le ciel était gris de nuages
Il y volait des oies sauvages
Qui criaient la mort au passage
Au-dessus des maisons des quais
Je les voyais par la fenêtre
Leur chant triste entrait dans mon être
Et je croyais y reconnaître
Du Rainer Maria Rilke.
Elle était brune elle était blanche
Ses cheveux tombaient sur ses hanches
Et la semaine et le dimanche
Elle ouvrait à tous ses bras nus
Elle avait des yeux de faïence
Elle travaillait avec vaillance
Pour un artilleur de Mayence
Qui n'en est jamais revenu.
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.
Il est d'autres soldats en ville
Et la nuit montent les civils
Remets du rimmel à tes cils
Lola qui t'en iras bientôt
Encore un verre de liqueur
Ce fut en avril à cinq heures
Au petit jour que dans ton cœur
Un dragon plongea son couteau
Est-ce ainsi que les hommes vivent
Et leurs baisers au loin les suivent.
Bon partage !
Rotpier
Les scoops du jour : l'actualité vue par le Rotpier
Avertissement :
Même si n’est pas tout à fait sûr, c’est quand même fortement probable.
Et si c’était tout à fait le contraire, j’aurais au moins eu le mérite de mettre le doigt dessus afin que vous y jetiez un œil !
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1er scoop : Affaire de l'oeuf lancé sur Macron
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2ème scoop : Marine Le Pen, Marion Maréchal Le Pen et Zemmour
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Remarque :
Si quelqu’un m’interpelle au sujet de mon humour un tantinet déplacé, je lui dirais que l'ouverture d'esprit c'est comme l'ouverture des jambes ça se cultive !
Et pis c'est tout pour aujourd'hui !
Le Rotpier
Le poème du jour pas fait pour les véganes : "Mieux veau en rire," de ... Rotpier
Je ne vais pas me faire des amis chez les véganes mais tant pis !
Rotpier ... de veau, bien entendu !
Photo de Pierre, merci à lui !
Nota: les trois autres sont prises sur le net
Mieux veau en rire,
ou
Coup vache pour le veau,
Veau qui rit
veau qui pleure,
un qui vit
un qui meurt :
litanie
du malheur !
Veau des champs
qui finit
veau de ville
en bouch’rie
en passant,
c’est notoire,
par la case
« abattoir » !
Pas marrant
ce jeu d’oie :
cause aux gens
qui festoient !
Côtelette
dans l’assiette,
et le veau
Marengo !
Têt’ de veau :
que c’est beau !
Le ragoût
quel bon goût,
le rôti
c’est exquis
et le ris
ça nourrit !
Pied de veau :
c’est le pied !
Mais mes pieds
perdent pied,
c’est la faute
à Rotpier !
Ça se barre
au vau-l’eau,
c’est un drôle
d’écheveau !
Un cheval
des chevaux
à cheval
ou à pied
claudiquant :
ils sont bots !
Mon cerveau
a bobo !
Stop !
Il est temps
- j’en conviens ! -
de r’ lever
le niveau :
j’en reviens
à mon veau !
Je ne peux
fair’ d’impair
sur le sort
de sa mère :
C’est très vache
pour la vache :
son petit
en frichtis !
« Mon petit,
tu es beau,
tu seras
un taureau ! »
Patati
patatras
et le v’ la
dans le plat !
Le taureau,
il s’en fout !
Au boulot
pis c’est tout !
Nouveau veau
il le faut,
un travail
des travaux :
« Y en a trois
aujourd’hui
quel boulot
les amis !
Je ne suis
pas Hercule,
mais jamais
je n’ recule,
pas question
de flancher :
si plus bon,
au boucher ! »
Veau qui rit
veau qui pleure,
un qui vit
un qui meurt !
Veau des champs
veau de ville
un méchant
vaudeville
… en les champs !
Pas marrant ?
C’est débile ?
Si c’est ça
pas de bile :
vous léchez
tout tomber !
Oui, mes vers
sont idiots,
de travers
très triviaux !
Je m’amuse
mais ma muse
est confuse
et s’excuse :
« Pardonnez
au Rotpier
son Q.I.
est tout p’tit :
pas plus haut
au bas mot
qu’un demi
cani … veau !
Veau des champs
veau de ville,
tout fumant
sur le gril !
Il est beau
le morceau
allez-y
de facto :
reprenez
un morceau
de p’ tit … veau !
Bon appétit !
Rotpier
Salut les amis !