La fable du jour : " Festival des " t " en automne, " une fable pas très éthique du Rotpier !
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Fable pas très éthique
et toc et tac et tic !
Festival des " t " en automne,
C'était sous un arbre étêté
que le teuton têtu tatoué
tâta à tâtons la teutonne
il en resta tétanisé !
Il la tutoya aussitôt :
" Quand tes tétons sont titillés
Et puis qu'ensuite ils sont tétés
Peut-on plus bas te tripoter ?
La teutonne tout excitée
Lui dit : " Tu peux tâter le bas
Et patati et patata ... "
C'est ce qu'il fit et patatras !
La teutonne était un teuton
Avec de gros et faux tétons
Pour résumer une tata
Il s'écria " Taratata ! "
Il se tailla à toute allure
Car l'autre baissait son tutu
Drôle de titi le toto
Très loin d'être une sinécure !
1ère moralité :
Il y a teutonne et teutonne
Il faut toujours être aux aguets
Un travelo peut se glisser
Dans les habits d'une mistonne
2ème moralité :
On peut tout tâter à tâtons
En été ou bien en automne
Mais attention aux autochtones
Arborant de très gros tétons !
Précepte saisonnier :
Mieux vaut attendre le printemps
Tant pis pour la petite attente
C’est une saison très tentante
Pour les contacts concupiscents !
Le Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
Les deux sont tout frais ! 😉😊😄
C'est un rébus très court qui ne me conduira pas, je l'espère, à la maison poulagat !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Et pis c'est tout mes loulous !
PS : Je ne sais pas si Darmanin le confirmerait, mais Pasqua l’aurait dit… avé l’accent !
Réponse :
Certaines personnes bien informées disent que c’est place Beauvau que l’on trouve les plus belles vaches qui soient parmi les poulets !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus très court mais pas si facile qu'il y parait... na !
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Juste une petite aide : avant dernière ligne, avant-dernière image : il ne faut pas prendre le cuit ! cuicui !
😂
Allez, au boulot ! Si vous mollissez, c'est le goulag assuré ! 😄
Réponse :
Du temps des soviets, l’hygiène n’était pas trop de mise. On trouvait les soviets pas très hygiéniques et manquants cruellement de nanas !
Qu'il dit l'animal !
Françoise Hardy : " Mon amie la rose " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Cette fois-ci :
Françoise Hardy :
« Mon amie la rose »
Une rose de notre jardin !
Celle de Françoise Hardy:
Mon Amie La Rose
On est bien peu de choses
Et mon amie la rose me l'a dit ce matin
A l'aurore je suis née, baptisée de rosée
Je me suis épanouie heureuse et amoureuse
Au rayon du soleil
Me suis fermée la nuit
Me suis réveillée vieillie
Pourtant j'étais très belle
Oui j'étais la plus belle
Des fleurs de ton jardin
On est bien peu de choses
Et mon amie la rose me l'a dit ce matin
Vois le dieu qui m'a faite
M'a fait courber la tête
Et je sens que je tombe
Et je sens que je tombe mon cœur
Est presque nu j'ai le pied dans la tombe
Déjà je ne suis plus
Tu m'admirais que hier et je serais poussière
Pour toujours demain
On est bien peu de choses
Et mon amie la rose est morte ce matin
La lune cette nuit, a veillé mon amie
Moi en rêve j'ai vu, éblouissante et nu
Son âme qui dansait
Bien-au delà des nues
Et qui me souriait
Croit celui qui peut croire
Moi j'ai besoin d'espoir
Sinon je ne suis rien
On est bien peu de choses
Et mon amie la rose me l'a dit ce matin
Vois le dieu qui m'a faite
M'a fait courber la tête
Et je sens que je tombe
Et je sens que je tombe
Mon cœur est presque nu
J'ai le pied dans la tombe
Déjà je ne suis plus
Tu m'admirais que hier
Et je serais poussière
Pour toujours demain
Bon partage !
Rotpier
La ou les pensées du jour de Pierre ou de Rotpier !
La pensée-diatribe du jour de Pierre !
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La pensée du jour sur : l' usage et la limite de la psychologie ...
Usage et limite de la psychologie
La limite de la psychologie, c'est la psychologie elle-même.
On coupe les cheveux en quatre, on recommence parce qu'on croit qu'on est passé à côté de quelque chose et ainsi de suite jusqu'à atteindre une échelle exponentielle . . . Ciel ! Où cela peut-il conduire excepté à un désordre mental plus ou moins prononcé.
Il est à noter que la psychologie s'épanouit en temps de paix et qu'elle n'est pas étrangère à un intérêt financier très substantiel et réservée à des classes par conséquent aisées ou relativement aisées. Pour les plus pauvres, c'est la société qui finance par le biais de toutes sortes d’actions. Dans ces milieux-là, la psychologie se résume à : que vais-je manger ce soir ou que vais-je donner à manger à mes enfants ce soir.
En temps de guerre, toutes autres conditions, on n'a pas trop le temps de s'occuper des âmes ( encore que je n'aime pas beaucoup ce mot à connotation religieuse ! ) il faut s'occuper des corps des blessés pour en faire des vivants au lieu de morts et c'est là toute la différence !
Freud, je l'aime bien, mais quand même ! Il a été très utile, je le reconnais, mais beaucoup de ceux qui lui ont emboîté le pas ont poussé le bouchon un peu loin, certains devenant de moins en moins psychologues et de plus en plus gourous.
Bon, vous allez dire : " Qu'est-ce qu'il raconte celui-là ? " Bof, pas grand-chose, je ne suis pas un spécialiste très pointu de la question, je ne suis qu'un simple petit prof qui a suivi quand même des cours de psychologie pendant trois ans à raison de trois heures par semaine. J'ai appris à cette occasion pas mal de chose quand même et notamment que les parents d'élèves étaient des " géniteurs d'apprenants " ! Il eut été quand même dommage de rater ça ! J’ai aussi suivi des cours de psychologie pour former des apprentis dans l’industrie et l’artisanat.
J'ai travaillé dans l'industrie et j'ai terminé comme chef d'atelier avec une trentaine d'ouvriers sous mes ordres et j'ai formé des centaines d'élèves en lycée professionnel : la psychologie de terrain, je pense la connaître un peu !
Voilà ce que je voulais vous dire, mais je vais devoir vous quitter, car j'ai rendez-vous avec mon psy.
À plus tard donc et si vous le voulez bien nous parlerons, autour d'une tasse de thé, de Sigmund et de sa théorie de l'inconscient et du transfert.
Ayant décortiqué cela et se l’étant approprié, nous essaierons d'analyser l'étendue du traumatisme mental du Petit Poucet ( celui de Charles Perrault ) au moment où il ne retrouva pas son chemin balisé par des miettes de pain que les oiseaux avaient picoré. Et, de l’autre coté de la barrière, de mettre le doigt sur les raisons qui ont poussé l’Ogre à devenir ogre, donc amateur de chair fraîche, alors qu’il ne travaillait même pas dans un abattoir ni dans un Buffalo-Grill !
Mais là, c'est une tout autre histoire et si nous en avons le temps nous essaierons aussi de nous approprier les raisons qui ont poussé Charles Perrault à écrire une pareille histoire qui a, soyons-en persuadés, traumatisé des générations d'enfants.
Je vous laisserais en débattre en toute liberté : je ne suis ni un ogre, ni un dictateur !
Et comme disait Françoise Dolto à son fils Jean-Chrysostome ( alias Carlos ) en l'envoyant à l'âge de cinq ans prendre seul le Métro * : " Bonne chance mon petit JC et si quelqu’un s’approche trop de toi avec un vilain regard sardonique, n’oublie pas de crier très fort « Au secours ! » avant de faire une dernière prière ! Bon vent mon petit ! "
Post-Scriptum : Je profite de cette petite diatribe pour vous soumettre une ébauche de slogan publicitaire que je proposerais très prochainement aux podologues :
" Soigner les âmes sans s’occuper des cors, c’est générer des légions de boiteux. Boiteux heureux, il est vrai, mais boiteux quand même !"
Je vous souhaite, tout en méditant cela, une très bonne journée sans trop de petits cailloux blancs dans vos chaussures !
Pierre Dupuis
* Tout à fait exact !
J’ai deux mots à vous dire … enfin … un peu plus ! Le poème du jour : ” Jeux de mots sur mots dits et mots mis ! ” de … Pierre !
Allez, je redémarre doucement.
Ce ne sont que des mots mis un mardi, sans sarcophage ni bandelette, mais qui peuvent quand même bien se conserver dans le temps... enfin, je le pense.
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Jeux de mots
sur mots dits et mots mis !
Je m’en vais vous parler de mots :
j’ai quelques mots, tôt à vous dire !
Les mots tard seront pour tantôt,
pour les mots laids, je crains le pire !
J’ai des mots mis bien de coté
et j’ai aussi des mots dits « fiables »,
qui servent bien pour papoter,
en pyramide et permutables !
Quand, d’un seul coup, un bon mot naît,
on se réjouit de sa naissance,
le nain fait « ah ! » et c’est parfait
quand c’est un mot de bonne essence !
Des mots d’Elle qui vont chantant,
même jaloux - pas de délire ! -
ne brisez pas des mots charmants :
n’allez pas casser des mots « lyre » !
Il y a aussi les mots « cas »
qui ne sont pas tous de la crème !
Méfions nous aussi des mots las
qui tendent parfois à l’extrême !
" Allah akbar " il a bon dos
quand des mots dits sont des menaces,
pour ces gars-là pas de cadeaux :
il faudra bien qu'on les terrasse !
J’ai en réserve d’exquis mots
avec date de garantie !
Je les garde dans mon frigo
pour une fraîche poésie !
Je possède de maxi mots,
des longs comme un jour de tristesse,
d’autres que certains disent gros
et qui riment bien avec fesses !
Si un mot erre presqu'à poil
il risque une très grosse fièvre,
la caresse à rebrousse-poil
tend toujours à le rendre chèvre !
Surveillons de près les mots dits :
ne déversons pas de mots « bile »,
ceux qui attisent les conflits
sans qu’il y ait de vrais mobiles !
Evitons la recrudescence
des mots tirés par les cheveux :
les mots « tifs » sont la quintessence
de deux fois rien coupé en deux !
N’allez pas railler ces mots mis,
les jeter dans un sarcophage :
vous ne seriez plus mes amis
car ce serait un bizutage !
Si vous jetiez mes mots lestés
de grosses pierres à la flotte,
j’en viendrais à vous molester
à coups de pieds et de calottes !
Menacés d’être excommuniés
mes mots hurleraient dans les rues
en criant comme poissonniers :
car malmenés bien des mots ruent !
Ne me balancez pas vos mots
en plein nez ce serait dommage,
je ne veux pas de bris de mots :
je pourrais en faire un fromage !
Ne déclenchez pas de big-bang
en me balançant des injures
car souvent façon boomerang
on les reprend dans la figure !
Je ne vais pas vous embarquer
plus en avant dans ma spirale,
quand vous allez m’apostropher :
je ne veux pas que vos mots râlent !
Pierre Dupuis
Nota: Mots déjà égrenés !
" Cortège ": le poème du jour de ... Pierre
Ceux qui me suivent sur les blog ( depuis 2006 ) ont lu souvent ce poème. J'y ajoute chaque fois quelque chose mais il reste là ...
Aujourd'hui derrière ... demain devant ... ce n'est pas toujours le premier qui décroche le billet gagnant ...
Parce que ...
.Parce que, petit à petit,
inexorablement,
l’étau se ressert
quoi que tu penses
quoi que tu dises
quoi que tu fasses.
Le chemin de ta vie
rétrécit comme peau de chagrin
et Balzac n’y est pour rien.
Tu n’es qu’un infime rouage
de la mécanique - ô combien compliquée ! -
que le maître a dépeint
comme : « La Comédie humaine ».
Tu es là et elle tourne la mécanique.
Tu pars et elle tourne encore,
bien huilée : impitoyable et broyeuse.
.
Au suivant ...
Cortège,
En cortège derrière
le dernier qui s’en va,
que tu sois Paul ou Pierre
tu y penses déjà :
… « Le prochain … c’est moi ? »
Doucement tu chemines
et l’ombre des cyprès,
voyant que tu rumines
t’enveloppe de près
murmurant : « C’est possible mon gars ! »
Et soudain tu frissonnes,
tu presses un peu le pas,
tu rejoins la colonne
évitant le faux-pas
et tu te dis :
« J’ai encore le temps
… le temps de ne pas être devant. »
Pourtant … pourtant
... tu sens... tu sens
que l’ombre des cyprès t’enveloppe déjà !
Pierre Dupuis
A mardi prochain ...
La fable du jour: " Le vieux crocodile, " de ... Rotpier
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Fable-sonnet immuable :
Le vieux crocodile,
C'était un très vieux crocodile
Qui autrefois régnait en roi
Il dictait seul sa propre loi
Sur le marigot et sur l'île.
Tous les mâles étaient serviles
Connaissant sa force au combat
Les femelles passant par là
Cherchaient à nouer une idylle.
Quand un blanc-bec se permettait
La moindre faute de respect
Il se prenait un coup de queue
Qui le mettait net au tapis
C'était à ce moment là que
Ton son harem était ravi !
Mais ...
Le temps étant impitoyable
Ses forces avaient décliné
Les jeunes s'étaient mutinés:
Il ne régnait plus sur le sable.
Moralité :
Il ne faut pas oublier que
Tous les règnes ont une fin
Et même en restant très malin
On n'est plus si fort de la queue.
Aphorisme :
Dans le marigot politique
Cela se passe caïman
Pareil et même en plus saignant:
Le milieu n'est pas romantique.
Le Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
Les deux sont tout frais ! 😉😊😄
C'est un rébus très court et pas suisse !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Et pis c'est tout mes loulous !
Voila, j'ai fait flèche de tout bois pour vous concocter ce rébus, alors : aquicondimerci ?
Réponse :
Si Guillaume Tell avait vécu de nos jours, il aurait été certainement approché par Apple pour faire de la pub !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus très court mais pas si facile qu'il y parait et qui va sélectionner les meilleurs ! En piste les artistes !
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Allez, au boulot et ne rêvez pas trop aux rhinocéros chauves ! 😄
Réponse :
Ceux qui croient que l’eugénisme a été mis en lumière par Ionesco se mettent sévèrement le doigt dans l’œil !
Nota:
Pour cela " ne rêvez pas trop aux rhinocéros chauves "
C'était bien sûr pour deux œuvres d'Eugène Ionesco : " Rhinoceros " et " La cantatrice chauve " !
Qu'il dit l'animal !