Pensées et conseil du jour de Rotpier !
Pensées tournant autour des impôts : nos déclarations ne sont pas encore bien loin !
1) Le seul impôt juste est celui que paie notre voisin.
( celle-là n’est pas de moi ! )
2) Le seul moment de l’année où l’on trouve que l’on gagne trop, est celui où l’on inscrit le montant de nos gains sur notre feuille de déclaration de revenu !
( même si c’est sur Internet : ça fait le même effet ! )
Le conseil du jour :
Si par parole ou par écrit, vous avez l’intention d’écorcher quelque peu une personne, dites à la fin de votre discours ou mettez en post-scriptum à votre écrit :
« Je sais qu’elle a beaucoup d’humour, et comme l’intelligence est proportionnelle à ce dernier, je suis certain qu’il me sera vite pardonné »
Même si vous n’en pensez pas un mot, il sera très difficile pour la personne de vous demander réparation !
Nota :
Et ça marche ! J’ai expérimenté la chose avec une lettre destinée à mes inspecteurs de l’Education Nationale qui n’était pas piquée des vers et que je mettrais peut-être un jour sur cet espace.
Et pis c’est tout
Rotpier!
Le poème du jour : « Jai la tignasse qui m gratte ! »
Le poème du jour :
« J’ai la tignasse qui m’ gratte ! » un chef d’œuvre de versification…heu … de diversification …heu … j’ sais plus !
A Jean-François qui m’autorise à utiliser ses photos comme catalyseur poétique.
Jean-François : http://jfsj7483.spaces.live.com/ de superbes photos et toutes les semaines, un atelier d’écriture !
Atelier d’écriture N° 38
J’ai la tignasse qui m’ gratte !
« Gelati » ou « Gélati » ?
Là est toute la question !
Parce que, mon titi,
ça ne sonne pas pareil
… à l’oreille !
Si c’est « Gelati » … on pourrait faire :
Heu …
Gela-t-y ?
Gela-t-y pas ?
J’ sais pas,
mais, ça caillait en tous cas !
Bon … ça va pas être le pied ça !
Pour « Gélati » …
Heu …
J’ai la tignasse qui m’ gratte !
C’est ce « Gélati » qui m’ scie les pattes !
… Si c’est un gélatineux
… au mieux …
- C’est peut-être de la vaseline
ma cousine !
- J’ sais pas mon cousin,
j’ai la timidité qui m’ revient !
- Ça n’ fait rien,
amène toi !
J’ai les clés du « Gélati »
c’est le bungalow d’un copain à bibi !
Viens dans ce coin,
y a un canapé en rotin !
- J’ veux bien,
mais j’ peux pas ôter ma robe :
j’ai la tirette qui coince !
- Mince !
Et …
Et …
Zut ! … J’ai la tirade qui bloque !
C’est ma muse qui me convoque :
«- Dis donc toi !
C’est quoi ce truc total baroque,
pour ne pas dire total loufoque
… voir pire !
Tu ne serais pas devenu sinoque
… des fois ? »
Hou là là ! Pas contente du tout !
Du bout des pieds, je mets les bouts,
je me carapate !
Non, ne vous dérangez pas :
j’ai la tire en bas !
Aïe ! C’était l’ dernier !
Promis juré, ma muse,
… je sais, je t’use !
J’ ai la ti …
Aïe ! aïe , aïe ! Non, non, c’est fini !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Les pensées politiques du jour selon Rotpier :
Les pensées politiques du jour … selon Rotpier :
1ère pensée :
Entre être cocu(e) ou non réélu(e), la plupart des politiques préfèrent la première situation : la traversée du désert est moins longue ou si vous préférez, le trou est moins dur à boucher … enfin, si je peux m’exprimer ainsi !
2ème pensée (d’actualité brûlante):
L’hémicycle sera comme la bicyclette de Régine Deforges.
Deforges … tiens tiens …
Deforges … espèrons que le maître ne pilonnera pas trop les basses classes, ce qui les minerait et qui ferait que les pauvres qui ont voté bleu se retrouveraient coincé entre marteau et enc - - - !
Je vous laisse le soin de compléter en sachant que je n’ai mis que trois tirets !
Et pis c’est tout !
Bon, j’ai peut-être fait une faute quelque part, mais pour le simple serrurier- forgeron que j’ai à mes débuts professionnels , ce n’est déjà pas si mal que cela !
Rotpier
Le poème du jour : « Mornes eaux » atelier décriture N° 37
A Jean-François qui m’autorise à utiliser ses photos comme catalyseur poétique.
Jean-François : http://jfsj7483.spaces.live.com/ de superbes photos et toute les semaines, un atelier d’écriture !
Mornes eaux,
Sac à dos sur le dos,
staccato dans le cœur,
le regard sur les eaux
mais l’esprit bien ailleurs.
Le vieux rêve brisé
de l’amour éternel
jamais atomisé :
songe sempiternel.
Résultat négatif
et le vide absolu.
Puis l’espoir palliatif
à jamais révolu.
Vivre encore et pourquoi ?
Qu’adviendra-t-il demain ?
Du mieux, du pire ou quoi,
où conduit le chemin ?
Sac à dos sur le dos,
staccato dans le cœur,
le regard rempli d’eau
du trop plein de rancœur.
Mornes eaux, mornes heures,
en silence elle pleure.
Elections obligent : Lart politique et vive les journalistes !
Allez, pour ceux qui l’aurait raté la dernière fois !
Ceux qui connaissent P.V.,
sauront de quel poème, de lui,
je me suis inspiré… pour la forme !
L’art politique,
Du baratin avant toute chose !
Et puis surtout évite l’impair
moins vague et moins soluble dans l’air,
qui laisse traces et indispose !
Il faut aussi que tu n’ailles point
choisir des mots où rode traîtrise :
demande donc à tes âmes grises
de vérifier dans tous les recoins !
Choses promises mettent les voiles
après bon apéro du midi :
tu pourras, auditoire attiédi,
les emmener tout près des étoiles !
Car tout est dans la nuance encor !
Promesses voilées : tout en cadence !
Rien de précis, c’est comme danse :
il faut maîtriser le corps à corps !
Fuis de plus loin la phrase assassine,
sauf pour tes ennemis les plus purs !
Pour tes amis, prépare du sûr :
dans le genre… couteau de cuisine !
La concurrence ? Tords lui son cou !
Tu fera bien en train d’énergie,
de mater la journalisterie !
si l’on n’ y veille, elle ira jusqu’où ?
Ô qui dira les tords des régies !
Ces journalistes racontent tout,
ils forgent des histoires d’un sou
et les juges les privilégient !
Du baratin encore et toujours !
Que ta verve soit chose envolée
qui sonne dans toutes les allées :
tu finiras par gagner un jour !
Levons le verre à ton aventure
et qu’on se lève chaque matin,
sûrs d’avoir choisi le bon coquin
qui nous trouvera des places sûres !
La pensée du jour : excommunication assurée pour le Rotpier !
La pensée du jour … à ne pas suivre religieusement !
Tout bien pesé, si j’avais été curé, j’aurais été un curé déconneur … si,si ( impératif ! ) .
Dans le genre à :
- mettre du Viagra en poudre dans les hosties et à m’installer confortablement le lendemain dans le confessionnal à attendre les résultats auprès de mes ouailles en confesse (rien que le mot m’amuse ! ) !
- ou bien mettre une grenouille dans le bénitier pour surprendre les vieilles bigotes !
Ah ! Je me serais bien marré quand même !
Et pis c’est tout !
L’A.B. Rotpier ( ça en jette hein ! )
Dans le port dAmsterdam, de Hambourg ou dailleurs ...
Dans le port d’Amsterdam, de Hambourg ou d’ailleurs ...
Coup de filet sur la morue ou marée basse sur le bitume : le poème à déclamer dans tous les ports !

Photo pêchée sur la toile !
Coup de filet,
Comme filet tendu,
elle attendait ses proies,
plutôt marins perdus
que poissons ou lamproies !
Tous charmes en avant
et réserve en arrière,
un mélange savant
et quasi sans barrière !
Maîtrisant son travail
de superbe façon
comme avec un tramail
on rafle tout poisson !
Client au bout du quai,
tentative d’approche :
- alors chéri … OK ?
mais … c’est quoi dans ta poche ?
- C’est mon filet à moi,
présente tes menottes !
Cette fois-ci, c’est toi,
qui va payer la note !
Code opération : « Marée basse sur le bitume »
Vrai flic et pas marin
en mission dans la rue,
un travail sous- marin
pour pêcher la morue !
Le dicton météorologique du jour et de la semaine aïe, aïe, aïe ! de Rotpier !
Un petit jeu de mot, une petite bêtise ou …. une grosse,
un personnage caché ou bien toute autre chose : juste pour vous faire sourire ! Enfin, je l’espère !
Le dicton météorologique du jour et de la semaine … aïe, aïe, aïe ! de … Rotpier !
Si Gilbert Médard à Diane - mon Dieu ! – ce sera pour Barnabé, la danse de St Guy assurée et sur un air Padoue du tout ! A moins … à moins qu’ Elisée ne lui coupe l’envie de prendre son pied !
Note importante :
Toute interprétation dans le sens politique serait le pur fruit de l’imagination la plus débridée du lecteur.
« Elysée » prenant un nid grec et non un nid, et les locataires actuels ne se prénommant ni Gilbert, ni Diane !
Rotpier décline toute responsabilité en cas de transgression de cette note !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Les souvenirs débarquent de Rotpier
Chanson d'automne
Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur
Monotone.
Tout suffocant
Et blême, quand
Sonne l'heure,
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure,
Et je m'en vais
Au vent mauvais
Qui m'emporte
Deçà, delà,
Pareil à la
Feuille morte.
Le souvenir
des souvenirs
qui débarquent,
et ce six juin
est un matin
qui me marque.
Pierre Du puis ……………… pour un tout petit bout !!!!!!!
Le poème du jour: " La démesure "
Là, vous avez de la chance, je n'ai pas de trou ... de mémoire !
La démesure,
J’ai, vous n’allez pas me croire,
une formidable mémoire !
Quelque chose de colossal :
un puits de souvenirs abyssal !
C’est une mémoire énorme,
une mémoire hors normes !
Bref, quelque chose d’ébouriffant :
une mémoire d’éléphant !
Mais hélas, tout étant à la mesure
- pour ne pas dire à la démesure ! -
il m’arrive, comme tout à chacun,
au moment le plus inopportun,
d’avoir une panne dantesque :
un trou de mémoire gigantesque !
Et là, mon pauvre auditoire
Attend trois bons jours que ma mémoire
… revienne !