Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 1ère image: la moitié de Coco !
2ème ligne, 2ème image: la moitié du personnage ! ... pour les deux images suivantes: ne pas prendre le triste !
3ème ligne, 3ème image: interrogation ! ... Dernière image: saison !
5ème ligne, 1ère image: le serpent fait " s " ! .............. 3ème image: le vers produit de la " - - - - " !
Dernière ligne, 2ème image: petite étendue d'eau ! ... dernière image: 3 H 52 du mat: il est " - - - " !
Réponse :
Comme disait un gay du PC qui était rapide à rire : ce soir je mets mes faux cils et je me marre tôt !
Ça, c’est juste la signature !
Réponse:
Et pis c'est tout
Rotpier !
Serge Lama : les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
De temps en temps, je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Sur le mur y avait des glycines
Toi, tu portais un tablier bleu
Toi, tu portais un tablier
Toujours le nez dans tes bassines
Toujours le nez dans tes bassines
En ce temps-là, on se parlait peu
En ce temps-là, on se taisait.
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra
Paraît que cousin et cousine
Paraît que cousin et cousine
Ça ne doit pas s'aimer d'amour, non
Ça ne doit pas parler d'amour
Alors on parlait du beau temps
De la pluie et des fleurs des champs
De la vendange et du labour, mais
On ne parlait jamais d'amour
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra
Puis je suis parti en usine
Puis je suis parti en usine
Je n'voulais pas être fermier, moi
Je voulais être le premier
Merci beaucoup, petit Jésus
J'ai bien mangé et j'ai bien bu
Je suis aimé ou respecté, moi
On me dit "vous" pour me parler
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra
Pourtant quand je vois des glycines
Pourtant quand je vois des glycines
J'ai envie de les arracher, moi
J'ai envie de les arracher
Paraît que t'aurais eu deux filles
Qui font partie de ma famille
Mais comme l'amour ne me dit plus rien
Elles n'auront jamais de cousins
C'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'la haine, mais ça viendra.
Bon partage !
Rotpier
La mort en face ? Fasse qu'elle soit accorte ! Le poème du jour : " Crépuscule inéluctable, " de ... Pierre
Crépuscule inéluctable,
Le crépuscule était à sa porte.
Il l’avait vu venir doucement
avec cette douleur à l’aorte
qui revenait régulièrement.
Elle était à présent sa compagne
fidèle. Pas comme celle-là
qui avait fait de sa vie un bagne
en le tenant par le matelas.
Grande razzia sur son compte en banque
et quelques bien prestement vendus !
Et comme si elle était en manque
elle le cocufiait tant et plus !
Trois ans et demi de vrai supplice,
des désirs de meurtre au quotidien
sans que cela jamais n’aboutisse
… pourquoi ? Il n’en savait vraiment rien.
Un soir de très violente dispute
il s’en était fallu d’un cheveu :
il serrait déjà comme une brute
son cou et … son teint virait au bleu.
Elle avait mesuré tout de suite,
en sentant la mort passer très près,
que l’avenir était dans la fuite
… ce qu’elle fit peu de temps après !
Des mois, des mois et des mois d’errance
et un long séjour à l’hôpital.
Il n’avait plus aucune espérance
et attendait le moment fatal.
Le bricolage de ses artères
… stop ! Terminé ! Il n’en voulait plus.
Rester encore sur cette terre
… pourquoi faire ? Tout était fichu !
La mort allait frapper à sa porte,
il l’attendait très tranquillement,
pensant à une faucheuse accorte :
il souriait … bien tardivement.
Trop tardivement mais … peu importe :
il souriait … indéniablement !
Pierre Dupuis
Image du net un peu modifiée
La puce, le chien et le chat,............ tiens, ça m' gratte ! Une fable du Rotpier !
Fable :
La puce, le chien et le chat,
Sur le cul d’un chien,
une puce, bien dans sa peau,
faisait consciencieusement son boulot :
piquer, piquer et repiquer encore
sur le milieu et sur les bords !
Ce qui énervait au plus haut point
… le chien !
Il l’interpella de vive façon :
« - Oh ! Eh ! Toi !
Tu vas me le lâcher le croupion
… ou quoi ? »
Stupéfaite, la petite bête
mit un certain temps à réaliser
que c’était bien elle … l’interpellée !
Ne se démontant pas,
repiquant sauvagement encore une fois,
elle répondit tout de go
à son garde-manger de cabot :
« -Tu es chien et je suis puce,
nous avons été créés
pour que je te suce !
Le monde est ainsi fait :
ne prends pas cet air abruti et stupéfait ! »
Le cabot, penaud,
ne pipa plus mot !
Un chat qui passait par là,
un chat de bon aloi, ma foi,
réfléchit et se dit :
« - C’est pourtant vrai
ce qu’elle dit … l’emmerdeuse !
Si le bon dieu existe,
c’est lui qui a tout conçu !
Et la puce et le chien et son cul !
Il a tout organisé,
tout sorti de sa liste :
ce ne doit pas être un type triste !
Avoir créé un chien, son cul
mit une puce dessus
et lui avoir refilé comme mission
… de lui bouffer le croupion !
Ce n’est pas, ma foi,
de l’improvisation !
Je ne connais pas ce type là,
mais quand on voit ça,
on peut dire sans trop de risque d’erreur
que le bonhomme doit être
… un sacré déconneur !
Rotpier
Rébus : réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus … sur le billet « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
C'est une pensée de Chanfort détournée par le Rotpier !
1ère ligne, 1ère image :c'est le logo de la compagnie !
6ème ligne, 4ème image: le personnage " - - - - " ! ........... mille excuses !
PS: Pour ceux-là, je ne sais pas ... bien que je constate que M. A. grossit beaucoup !
Réponse :
Chez les éléphants l'amour n'est que le contact avec frénésie de deux pachydermes !
Ça, c’est juste la signature !
Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
De temps en temps, je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Bientôt le 14 juillet !
C'est la fête à Pantin
C'est la fête à Paname
C'est la fête aux Lilas
La fête ici et là
C'est la fête à mon âme
Il y a du défilé
Du bal dans les quartiers
Des moufflets que l'on gronde
C'est la fête aux barbus
C'est la fête aux cocus
C'est la fête à tout le monde
Quatorze, c'est fou c'que t'es triste
Quand sur un édifice
T'es suivi de dix-huit
Quatorze, c'est fou c'que t'es gai
Quand au calendrier
T'es suivi de Juillet
C'est la fête aux copains
C'est la fête aux trottins
Qui suivent la musique
C'est la fête aux marins
Qui montrent dans un coin
Comme on danse en Afrique
C'est la fête à Taupin
Le vieux Républicain
Qui règle les sous-tasses
C'est la fête aux tambours
C'est la fête à l'amour
Où tout le monde s'embrasse
Allez, allez, allez, viens...
C'est la fête à Meudon
C'est la fête aux lampions
C'est la fête aux étoiles
C'est la fête en plein air
Il y a d'la joie dans l'air
Et du vent dans les voiles
C'est la fête à la rue
Où tous ces inconnus
Vont ranimer leur flamme
C'est la fête où l'on rit
En voyant que Paris
Sera toujours Paname
Allez, allez, allez, viens...
C'est la fête à nous deux
Si tu me pousses un peu
Je t'ai dit Je t'adore
Quand tu m'as répondu
Ma parole t'as foutu
Mon c?ur en tricolore
Et c'est la fête à toi
Et c'est la fête à moi
C'est la fête aux bêtises
Dans une rue perdue
Quand je te dis " veux-tu ? "
Je vois tes yeux qui disent...
Ah, ça ira, ça ira, ça ira...
Ah, ça ira, ça ira, ça ira...
Ah, ça ira, ça ira, ça ira...
Bon partage !
Rotpier
Poésie sur la ... poésie ! Le poème du jour: " L’art sans fard, " de ... Pierre
Petit clin d’œil appuyé à P.V.
L’art sans fard,
Quant à la rime …
la rime riche à tout prix,
la pauvre a bien le droit d’être,
dans le vers et dans l’esprit !
Mieux vaut parfois l’assonance
qui coule comme l’airain
et donne la résonance
d’un clair et juste refrain !
J’entends déjà la sentence
d’un tenant du vers parfait,
qui me critique et me tance :
honte à lui, c’est un forfait !
Faut-il passer des nuits blanches
à vouloir changer la fin
d’ un vers dont la nonchalance
est elle-même l’écrin ?
la rime riche à tout prix,
la pauvre a bien le droit d’être,
dans le vers et dans l’esprit !
Mais …point de chasse aux sorcières !
quand elle vient à propos,
la belle est toujours princière :
pas de murs, pas de vopos !
Quant à la ponctuation …
Si parfois une virgule
un point ou bien un tiret
te transforme en noctambule
tu les laisses de coté
L’important c’est la chanson
qui parvient à nos oreilles
tout le reste est charançon
qu’on sulfate et qu’on balaye
Prends bien garde à ces vieux cons,
tout coincés - avec œillères ! -
à ces donneurs de leçons,
qu’ils s’appellent Paul ou Pierre !
à ponctuer à tout prix,
ton vers a bien le droit d’être,
sans entrave et sans soucis !
Mais …point de chasse aux sorcières !
quand elle vient à propos,
la pose est toujours princière :
pas de murs, pas de vopos !
Que ton vers soit aventure
au vent crispé du matin
tout le reste est baratin :
prétexte à littérature !
Pierre Dupuis
Les murs ont des oreilles et aussi une grande âme ... Le poème du jour: "Mon ami le mur, " de ... Pierre
Mon ami le mur,
En lui faisant la courte échelle,
je n’étais pas très innocent !
J’avais vu que la demoiselle
avait un beau tempérament !
Le tissu de sa minijupe
était vraiment très riquiqui,
elle n’en était - pour sûr ! - pas dupe
et en dessous c’était exquis !
J’ai cultivé la maladresse :
j’ai fait semblant de la lâcher !
Ma main a glissé sous sa fesse
et c’était clair : sans la fâcher !
Poussant plus loin mon avantage,
j’ai découvert qu’elles étaient deux !
Quant à leur ligne de partage :
j’ai failli me crever les yeux !
Nous avons perdu l’équilibre,
le mur que nous voulions franchir
nous a glissé : « Vous êtes libres,
il vous reste à vous affranchir ! »
C’était un mur plein de sagesse
qui connaissait les amoureux
et à son pied la mousse épaisse
formait un lit des plus moelleux !
Nous cultivions l’obéissance
- il fallait bien obtempérer ! -
nous avons fait mieux connaissance,
j’ai même enlevé mon béret !
J’ai fait beaucoup de courte échelle
et le mur m’a toujours aidé,
quand je changeais de demoiselle
il ne semblait pas offusqué !
Mon vieux mur est toujours solide,
je viens le voir de temps en temps,
moi je ne suis plus si valide :
ma courte échelle a fait son temps !
A chacune de mes visites
il me dit invariablement :
« Tu n’amènes plus de petite,
ça me plaisait énormément ! »
Il est vraiment resté robuste
mais sa tête part à vau-l’eau :
Alzheimer ! Ce n’est pas juste !
Même les murs ont leurs fardeaux !
Un jour je viendrais le rejoindre
ne sachant plus très bien pourquoi,
en observant la lune poindre
nous n’auront plus le moindre émoi !
Il sera temps que je trépasse,
je ne veux pas de ces fauteuils
où l’on dépose, où l’on entasse
des corps déjà en demi-deuil !
J’aimerais bien que l’on m’enterre
au pied de mon fidèle ami,
un peu de mousse, un peu de terre :
qu’irais-je faire au paradis ?
Pierre Dupuis
Déjà publié
Les tribulations du Rotpier au Sri Lanka : le poème du jour: " La sri lankaise à l’aise, " de ... Rotpier
Préambule :
Ayant été, tour à tour, mobilisé, engagé, désengagé, mercenaire, barbouze, aventurier,dans la crotte et dans la bouse, le Rotpier a écumé le monde entier et a laissé partout des traces de ses passages.
Celui-ci, c’était au Sri Lanka !
Pierre
Images du net . La seconde a été bidouillée par le Rotpier !
La sri lankaise à l’aise,
Alors que j’étais en mission au Sri Lanka,
une mission secrète au but très délicat,
j’ai fait la connaissance, une nuit de fournaise,
d’une superbe et très active sri lanquaise.
Pas besoin de discours dans ces rencontres-là !
Les langues ont pour sûr un autre apostolat,
ce qui évite en plus les stupides fadaises
dans le genre : « Madame, êtes-vous bien à l’aise ? »
Pour être bien à l’aise, elle l’était vraiment
utilisant son corps comme un puissant aimant,
en équilibre instable, à deux doigts du trapèze :
je n’avais jamais fait l’amour sur une chaise !
L’assise était très large : heureusement pour nous !
Nous pouvions en serrant y tenir à genoux !
Quand elle à réussit à se rouler en boule,
je lui ai dit : «bon sang, c’est un tigre ta moule ! »
Le cirque s’arrêta quand craqua le dossier :
un fémur à l’équerre et en plus le dos scié !
Sans compter tous les bleus, je l’avais très mauvaise
surtout quand elle a ri en filant à l’anglaise !
Se rendre à l’Hospital, au Sri Lanka, c’est lent
et les soins sont, là-bas, très loin d’être excellents !
J’ai crié « Au secours ! » quand pour me mettre à l’aise
une infirmière en chef m’a tendu une chaise !
J’ai choppé un avion, de suite, à Colombo
sans y voir l’inspecteur ni même son cabot !
Je suis rentré chez moi sans passer par Manille :
il parait que là-bas c’est … trois chaises par fille !
Moralité :
L’amour sur une chaise est un art difficile
et il faut avant tout beaucoup d’entraînement !
Y aller tout de go est vraiment imbécile :
pour bien prendre son pied, il faut prendre son temps !
Rotpier