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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Le droit d'ingérence devient parfois une priorité absolue : le poème du jour " Droit d'ingérence " de ... Pierre

12 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie




" Je serais lâche - et même pire ! -

de vous laisser à vos soupirs "




Image du net bidouillée par Rotpier


Droit d’ingérence,

 

Je suis en droit

je le réclame ! -

après deux mois de chasteté,

de vous priez

ô ma chère âme

de me laisser vous chahuter !

 

Je suis en droit

oui ! je le pense ! -

d’user de mon droit d’ingérence !

 

Je m’en vais bousculer de suite

vos doux froufrous et puis ensuite

je vais tendrement m’immiscer

en votre chaude intimité !

Vous laissez faire en bredouillant

quelques propos peu convaincants!

 Pourquoi cacher avec des mots

votre désir coulant à flots :

je vois en cette résurgence

l’obligation d’agir d’urgence !

 

Je serais lâche - et même pire ! -

de vous laisser à vos soupirs :

je vais agir - je dois le faire ! -

c’est un devoir humanitaire !

 

Je vous sens prête, à l’évidence,

à jouir de mon droit d’ingérence !



  Pierre Dupuis

 

 

 

 

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" A Verdun " le poème du jour de ... Pierre

11 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie


11 novembre oblige ...

 
Guerre de 14 (2)  
Image prises sur le net



A Verdun,

 

Et la boue et les rats

et les gaz scélérats,

tous les jours la tuerie

tous les jours l’incurie.

 

De boyaux en boyaux

encombrés de boyaux,

de tranchées en tranchées

les jambes arrachées.

 

Et tous ces trous d’obus

et tous ces tirs au but

ces crêtes qui s’écrêtent

et ces corps sans leur tête.

 

Et ces grands officiers

aux orgueils outranciers,

aux visages tout glabres

et agitant leur sabres.

 

Et l’alcool avalé

et les  assauts zélés,

les discours, les harangues,

les cadavres exsangues.

 

La raison n’a plus cours

on attaque on y court

on tire on coupe on tranche

baïonnette à la hanche.

 

Projectile cuivré

et enfin délivré

c’est mon ultime attaque

j’ai mon nom sur la plaque …

 

 

                               Pierre Dupuis

 

 

 

Ecrit ce matin ...


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Minerve chez les romains ou athéna chez les grecs: La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

10 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour



La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

 

1)   La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2)   Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3)   Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

4)   Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août, un billet sur le sujet !

 

 


 

Aujourd’hui :  

 

 

 

"Minerve et le centaure" par Sandro Botticelli

Image du net



Athéna  pour les grecs

 

Minerve  pour les romains

 

 


Minerve, fille de Jupiter, était la déesse de la sagesse, de la guerre, des sciences et des arts, mais pas de la patience ! Elle disait à tout bout de champ : « ça m’inerve un max ! », mais on ne sais pas si c’était de Ménier ou de Gallo qu’elle parlait !

Jupiter, après avoir dévoré Métis et avoir raté de peu Yannick Noah, se sentant un grand mal de tête, eut recours à Vulcain qui, d'un coup de hache, lui fendit la tête ( on savait se fendre la gueule à l’époque ! )

 De son cerveau sortit Minerve tout armée, et dans un âge qui lui permit de secourir son père dans la guerre des géants où elle se distingua par sa vaillance.

 

Un des traits les plus fameux de l'histoire de Minerve est son différend avec Neptune pour donner son nom à la ville d'Athènes. Les douze grands dieux, choisis pour arbitres, décidèrent que celui des deux qui produirait la chose la plus utile à la ville lui donnerait son nom. Neptune, d'un coup de trident, fit sortir de terre un cheval, une poule, un tapis, Bernard Tapis, Léon Zitrone à cause du cheval et Alain Prost pour gagner la course,  Minerve en fit sortir un olivier, De Kersauson et Giscard d’Estaing (Valérie n’étant pas libre !) ce qui lui assura la victoire.

La chaste Minerve resta vierge ( sans « s » ça marche aussi ! ) cependant, elle ne craignit pas de disputer le prix de la beauté à Junon et à Vénus. Afin de l'emporter sur ses rivales, elle offrit à leur juge, Pâris, le savoir, la vertu, la tour Eiffel, Bertrand Delanoë et son ami, mais pas Jean Sarkozy ( lequel ne voulait pas prendre sa défense, mais l’autre ! ) Ses offres furent vaines, et elle en conçut un grand dépit.

Cette déesse était la fille privilégiée du maître de l'Olympe ; il lui avait accordé plusieurs de ses prérogatives suprêmes. Elle donnait l'esprit de prophétie, prolongeait à son gré les jours des mortels, procurait le bonheur après la mort ; tout ce qu'elle autorisait d'un signe de tête était irrévocable ; tout ce qu'elle promettait arrivait infailliblement.

 Tantôt elle conduit Ulysse ( un mec très heureux ! ) dans ses voyages, tantôt elle daigne enseigner aux filles de Pandare l'art d'exceller dans les travaux qui conviennent aux femmes : tout faire pour les redresser !

 

 C'est elle encore qui embellit de ses mains le manteau de Junon et celui de Carla Bruni-Sarkozy à qui elle avait enseigné en cours privés, l’art développé ci-dessus.


Beaucoup de villes se mirent sous la protection de Minerve, mais la ville entre toutes favorisée par la déesse fut Athènes au grand dépit de Marseille et de Jean-Claude Gaudin et aussi de l’O.M. !
Aux Panathénées, fêtes solennelles de Minerve, tous les peuples de l'Attique accouraient à Athènes. Ces fêtes, à l'origine, ne duraient qu'un jour, mais ensuite leur durée se prolongea. On distinguait les grandes et les petites Panathénées ; les grandes se célébraient tous les cinq ans, et les petites tous les ans. À ces fêtes, se disputaient trois sortes de prix, ceux de la course, de la lutte et de la poésie ( très souvent gagnés par J.C. ! ) ou de la musique.

 Aux grandes Panathénées, on promenait dans Athènes un navire orné du péplum, ou voile de Minerve, chef-d'œuvre de broderie exécuté par les dames athéniennes.

Dans ses statues et ses images, on lui donne une beauté simple, négligée, modeste, un air grave, empreint de noblesse, de force et de majesté : tout à le contraire de Ségolène Royal.
Les animaux consacrés à Minerve étaient la chouette et le dragon, les objets étaient : la couette et le drap con.

 

Voici, voilà ce qu’il faut retenir de Minerve, sous peine de passer pour un nul dans les longues discutions de vos soirées d’hiver.
 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !

 

 

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Rébus : réponse pour le rébus de … Rotpier

9 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus


 

Réponse pour le rébus …  sur le billet « rébus » !

 

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

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Franchissement du mur : j’ai souvent franchi le mur … enfin, le mien ! Le poème du jour de Pierre : « Mon ami le mur »

9 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie



Tous les murs n’ont pas de vopos,

 

Il est des murs où la mort guette

quand il s’agit de les franchir.

Il est des murs où c’est la fête

quand il s’agit de s’affranchir.

 

Ni mirador, ni échauguette :

pour les seconds que du plaisir !

Pour les premiers, les mitraillettes :

heureux ceux qui peuvent choisir !

 

                                                Pierre

 





Mon ami le mur,

 

En lui faisant la courte échelle,

je n’étais pas très innocent,

j’avais vu que la demoiselle

avait un beau tempérament !

 

Le tissu de sa minijupe

était vraiment très riquiqui,

elle n’en était - pour sûr ! - pas dupe

et en dessous c’était exquis !

 

J’ai cultivé la maladresse

faisant semblant de la lâcher,

ma main a glissé sous ses fesses

et a rampé sans la fâcher !

 

Poussant plus loin mon avantage,

j’ai vérifié qu’elles étaient deux !

Quant à leur ligne de partage :

j’ai failli me crever les yeux !

 

Nous avons perdu l’équilibre,

le mur que nous voulions franchir

nous a glissé : « Vous êtes libres,

il vous reste à vous affranchir ! »

 

C’était un mur plein de sagesse

qui connaissait les amoureux

et à son pied la mousse épaisse

formait un lit des plus moelleux !

Nous cultivions l’obéissance

- il fallait bien obtempérer ! -

nous avons fait mieux connaissance,

j’ai même enlevé mon béret !

 

J’ai fait beaucoup de courte échelle

et le mur m’a toujours aidé,

quand je changeais de demoiselle

il ne semblait pas offusqué !

 

Mon vieux mur est toujours solide,

je viens le voir de temps en temps,

moi je ne suis plus si valide :

ma courte échelle a fait son temps !

 

A chacune de mes visites

il me dit invariablement :

« Tu n’amènes  plus de petite,

ça me plaisait énormément ! »

 

Il est vraiment resté robuste

mais sa tête part à vau-l’eau :

Alzheimer ! Ce n’est pas juste !

Même les murs ont leurs fardeaux !

 

Un jour je viendrais le rejoindre

ne sachant plus très bien pourquoi,

en observant la lune poindre

nous n’auront plus le moindre émoi !

 

Il sera temps que je trépasse,

je ne veux pas de ces fauteuils

où l’on dépose, où l’on entasse

des corps déjà en demi-deuil !

 

J’aimerais bien que l’on m’enterre

au pied de mon fidèle ami,

un peu de mousse, un peu de terre :

qu’irais-je faire au paradis ?

 

                                   Pierre Dupuis

 

 

 

Déjà publié, modifié et de circonstance ... même si celui-ci

est infiniment plus sympathique !

 


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Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !

7 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus



 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

 

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

C'est une pensée bien carrée de Rotpier !

 

2ème ligne, 1ère image: celui-ci est de montagne ! .... 2ème image: en direct: "U" .... 3ème image: en direct, le poisson est une " lotte " !

2ème ligne, 1ère image: le marin est en haut du " - - - " ... comme Alexandre !

 

 

Réponse :

 

Quand la femme porte la culotte même à poil elle la porte encore ! 


Ça, c’est juste la signature !


 

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Boris Vian: " Le déserteur" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

6 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime



Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Boris Vian :
« Le déserteur »









Monsieur le président
Je vous fais une lettre
Que vous lirez peut-être
Si vous avez le temps.
Je viens de recevoir
Mes papiers militaires
Pour partir à la guerre
Avant mercredi soir.
Monsieur le président
Je ne veux pas la faire
Je ne suis pas sur terre
Pour tuer des pauvres gens.
C'est pas pour vous fâcher,
Il faut que je vous dise,
Ma décision est prise,
Je m'en vais déserter.

Depuis que je suis né,
J'ai vu mourir mon père,
J'ai vu partir mes frères
Et pleurer mes enfants.
Ma mère a tant souffert
Qu'elle est dedans sa tombe
Et se moque des bombes
Et se moque des vers.
Quand j'étais prisonnier,
On m'a volé ma femme,
On m'a volé mon âme,
Et tout mon cher passé.
Demain de bon matin
Je fermerai ma porte
Au nez des années mortes,
J'irai sur les chemins.

Je mendierai ma vie
Sur les routes de France,
De Bretagne en Provence
Et je crierai aux gens:
«Refusez d'obéir,
Refusez de la faire,
N'allez pas à la guerre,
Refusez de partir.»
S'il faut donner son sang,
Allez donner le vôtre,
Vous êtes bon apôtre
Monsieur le président.
Si vous me poursuivez,
  Prévenez vos gendarmes
Que je n'aurai pas d'armes
Et qu'ils pourront tirer.




Bon partage !

 

Rotpier

 

 

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Horoscope et couple: les grandes interrogations de Rotpier : " Les douze signes et le vilain petit canard, " ... et pis c'est tout !

6 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie - humour



Choisir une compagne

en fonction de son signe astral,

n’est pas chose facile !

 

Rotpier

 

 

 

Image du net 

 


Les douze signes et le vilain petit canard,

 

Vous vous posez maintes questions

quand il vous faut choisir un signe

pour construire une relation

 qui ne vire pas à la guigne !

 

Je vous propose une excursion

mais sans vous donner de consigne ! -

au pays de mes réflexions

que dans ces quelques vers j’aligne !

 

xxxxxxx

 


Si je m’entiche d’un Bélier

dont le papa est capricorne,

finirais-je tout humilié

affublé de très longues cornes ?

 

Si je craque pour un Taureau,

tomberais-je sur une vache ?

Comme le dit l’ami Roro :

certaines sont vraiment des taches !

 

Si je tombe sur un Gémeaux

qui, parait-il, n’est pas facile,

aurais-je avec elle des mots ?

Ce serait vraiment imbécile !

 

Si je brulais pour un Cancer,

combien de temps aurais-je à vivre ?

Combien de temps avant les vers ?

Ce n’est pas écrit dans les livres !

 

Si je fais l’amour à un Lion,

la tiendrais-je par la crinière

pour éviter sa rébellion

quand je ferais un tour derrière ?

 

Si par un miracle accompli,

je tombais sur une vraie Vierge,

cela ne ferait pas un pli,

mais aurais-je besoin d’un cierge ?

 

Pourtant le summum des fléaux

ce serait bien qu’une Balance

m’offre son amour sur plateau

et me colle une chaude … offense !

 

Si je me piquais d’un Scorpion :

combien de jours avant la tombe ?

Rien à voir avec les morpions :

sitôt piqué, sitôt tu tombes !

 

Si je tombais, tout par hasard,

sur une femme Sagittaire,

pourrais-je sans trop de bazar

arriver à la faire taire ?

 

Et si j’avais un coup de cœur

pour une jolie Capricorne,

aurais-je beaucoup de bonheur

ou bien une vie des plus mornes ?

 

 

Si je séduis une mignonne

qui soit du signe du Verseau,

voudra-t-elle en bonne amazone

sacrifier au recto verso ?

 

Et si je ferrais un Poisson,

à la messe ou bien dans la rue,

je sais que j’aurais des soupçons :

entre l’ange ou bien la morue !

 

xxxxxxxxxxx

 

Je ne sais pas si vous avez

choisi parmi ces douze strophes,

un signe qui pourrait coller

pour limiter la catastrophe !

 

Mais il faut bien un jour choisir

car même si l’on vire tante,

les signes restent et le désir

c’est de pouvoir planter sa … tente !

 

Voilà le grand panorama,

le tour complet de l’horoscope,

je rentre dans l’anonymat

avant que l’on me télescope !

 

 

                                         Rotpier

 

 

 

Image du net

 

 

 

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Le vin divinatoire ? Le poème du jour: " Le grand Devin du vin, " de ... Pierre

5 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie



Une autre approche de ... Bacchus !
 
 
 
 
Image du net
 
 
 

       Bacchus y est sûrement

       pour quelque chose !


 

Le grand Devin du vin,

 

Sa boule de cristal:

C'était une bouteille !

Effet transcendantal

Du vin qui fait merveille.

Le regard aimanté

Par l'élément liquide,

Mais son esprit hanté:

Toujours la peur du vide !

 

Pour le modique prix

D'une côte du Rhône,

Au badaud très surpris,

Il promettait un trône !

De son air sérieux

Il affirmait sans peine,

Qu'il voyait beaucoup mieux

Dans la bouteille pleine

 

J'ai cherché - mais en vain -

Cette âme originale,

Ce grand Devin du vin

Aux façons peu banales.

Lassé de le chercher

Je me suis mis à boire,

Et j'ai vite épanché

Le gros de mes déboires.

 

Et... Fait certain - qu'aucun

Raisonnement n'étaye -

J 'ai trouvé ce pasquin

Au fond de ma bouteille !

Le vin est un ami,

Doublé d'un très grand mage

Je me suis endormi

Et... J 'ai vu Mon image !

 

                                                 Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

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" La ballade des gens heureux " qui devient " La panade des proch' trons dégueux " : un pastiche de ... Rotpier

4 Novembre 2009 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson


Je vous offre un petit … pastiche !

A la vôtre !

 

Cette fois-ci :

 

«  La ballade des gens heureux  »

de Gérard Lenorman

 

qui devient :

 

    « La panad’  des poch’ trons dégueux »

de Rotpier

 

Recette pour bien le déguster :

 

1)   Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

 

2) On écoute religieusement l’artiste !

 

 

3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !

Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !

Donc : on écoute !

 

 

   

 

 

 Pour aujourd'hui, les âmes sensibles en reste là !

 

 Les autres peuvent continuer !

 

Maintenant on y va !

 

La panade  des poch’ trons dégueux,

 

Tu es sale et tout plein de poils

avec un nez complèt’ ment morveux

tu es bien dans la panade

la panad’  des poch’trons dégueux !

tu es bien dans la panade

la panad’  des poch’trons dégueux !

 

Tous les jours t’en prends pour ton grade

et tu l’engueul’ quand tu parl’ à dieu

tu es bien dans la panade

la panad’  des poch’trons dégueux !

tu es bien dans la panade

la panad’  des poch’trons dégueux !

 

C’est ta tronche en première page

tu peux dire tout ce que tu veux

tu es vraiment irrattrapable

tout foutu et bien trop miteux

tu es vraiment irrattrapable

tout foutu et bien trop miteux !

 

Toi qui n’a jamais planté d’arbre

et qui piss’  tout le temps sur eux

tu es pour sûr un déplorable

un crado et un gros dégueux

tu es pour sûr un déplorable

un crado et un gros dégueux !

 

Il s’endort et tu le regardes

c’est ton pot’  des bistros crasseux

il est aussi dans la panade

la panad’  des poch’trons dégueux

il est aussi dans la panade

la panad’  des poch’trons dégueux !

 

A la Valstar ou bien au pinard

vous vous bourrez à fond tout les deux

après viennent les engueulades

engueulad’  des poch’ trons teigneux

après viennent les engueulades

engueulad’  des poch’ trons teigneux !

 

Vous draguez les vieilles pochardes

dans des endroits très calamiteux

qu’elles soient maigr’  ou rondouillardes

elles y passent en moins de deux

qu’elles soient maigr’  ou rondouillardes

elles y passent en moins de deux !

 

Et en chœur dans les cathédrales

vous vomissez à qui mieux mieux

vous êt’  les rois d’ la dégueulade

des crados et des gros dégueux

vous êt’  les rois d’ la dégueulade

des crados et des gros dégueux !

 

 

                                          Rotpier

 

 

 

 

Et pis c’est tout !

 

 

 

A la vôtre !

 

Avec modération SVP !

 

Rotpier

 

 

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