Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
C'est une pensée du Rotpier que les dames vont voir d'un sale oeil !
1ère ligne, 2 ème image: la moitié de se que regarde Titeuf !
2ème ligne, 2ème image: la bébête est religieuse ! ............. Dernière image: quand on meurt: l' " - - - " s'envole .......... pour ceux qui y croient !
3ème ligne, 3ème image: paté de tête de sanglier comme çant par un "h" ! .... Dernière image : le gars en a une quinte ( sans jouer au poker ! )
4ème ligne: 2ème et 3ème images, en direct : " go " et
" che " !
Et pis c'est tout !
Réponse :
Les yeux de cette femme ne mentent jamais … surtout le gauche qui est en verre
Ça, c’est juste la signature !
Georges Moustaki et Barbara: " La longue dame brume " ... les chansons que j'aime ... Rotpier
Une fois par semaine, je vous propose de partager les chansons et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Georges Moustaki et Barbara:
La longue dame brune
Une chanson au clair de la lune, quelques couplets.
Si jamais elle l'entend un jour, elle saura
Que c'est une chanson d'amour pour elle et moi.
Je suis la longue dame brune que tu attends.
Je suis la longue dame brune et je t'entends.
Chante encore au clair de la lune, je viens vers toi.
Ta guitare, orgue de fortune, guide mes pas.
Pierrot m'avait prêté sa plume ce matin-là.
A ma guitare de fortune j'ai pris le la.
Je me suis pris pour un poète en écrivant
Les mots qui passaient par ma tête comme le vent.
Pierrot t'avait prêté sa plume cette nuit-là.
A ta guitare de fortune, tu pris le la,
Et je t'ai pris pour un poète en écoutant
Les mots qui passaient par ta tête comme le vent.
J'ai habillé la dame brune dans mes pensées
D'un morceau de voile de brume et de rosée.
J'ai fait son lit contre ma peau pour qu'elle soit bien,
Bien à l'abri et bien au chaud contre mes mains.
Habillée de voile de brume et de rosée
Je suis la longue dame brune de ta pensée.
Chante encore au clair de la lune, je viens vers toi.
A travers les monts et les dunes, j'entends ta voix.
Pour une longue dame brune, j'ai inventé
Une chanson au clair de la lune, quelques couplets.
Je sais qu'elle l'entendra un jour, qui sait demain,
Pour que cette chanson d'amour finisse bien.
Bonjour, je suis la dame brune, j'ai tant marché.
Bonjour, je suis la dame brune, je t'ai trouvé.
Fais-moi place au creux de ton lit, je serai bien,
Bien au chaud et bien à l'abri contre tes reins.
Bon partage !
Rotpier
" Con comme la lune " ... c'est à voir ! Le poème du jour de ... Pierre
Poème naïf ou … con comme la lune !
Il lui avait promis la lune,
de beaux bijoux et la fortune !
Un grand château entouré d’eau
et des milliers d’autres cadeaux !
Naïve au point d’en être bête,
le laissant faire à la bébête
qui monte et qui, guili-guili,
conduit sans faille au creux du lit !
Ell’ lui avait donné sa lune
et récolté comme fortune,
un joli ventre au look tonneau,
bien rond devant et pas dans l’dos !
Sur le frigo, un pense-bête :
« j’ai oublié mes cigarettes,
tu peux préparer l’apéro ! »
… Ils ont moisi, tous les gâteaux !
Elle ignorait le mot « rancune » !
« Mais tu es con comme la lune ! »
Lui disaient ses meilleurs amis
… tout en tentant : guili-guili !
Légère comme libellule,
elle acquiesçait mais la pilule
lui évitait le gros cadeau :
la bosse à l’opposé du dos !
Elle ne fit jamais fortune :
toujours gratis : jamais de tunes !
Petit servic’ , petit cadeau
à ses amis, à ses poteaux !
Elle aimait ça - il faut le dire ! -
C’était tout en éclats de rire !
Et tant pis si son infortune
la faisait con … comme la lune !
Pierre Dupuis
La femme caméléon : le poème du jour de ... Pierre
La femme caméléon,
La belle avait des yeux de biche
et un profil intéressant,
fringante comme une pouliche
qui désarçonne en meurtrissant !
Elle savait se faire chatte
pour attirer les beaux matous,
transformant en velours sa patte
mais en gardant griffes dessous !
Une oasis à elle seule
pour en amour soigner les maux,
une gazelle pas bégueule
sachant se faire aussi chameau !
Légère comme libellule
elle savait se déplacer,
même muer en tarentule
pour n’importe quel sang glacer !
Elle avait un coté vipère
capable de cracher venin
et de regagner son repaire :
un réflexe tout féminin !
Parfaitement insaisissable,
sachant se faire ange ou démon,
l’art et la manière haïssable
d’une femme caméléon !
Pierre DUPUIS
Belles fesses à Belfast : les étranges aventure du Rotpier !
Les étranges aventures du Rotpier !
Préambule :
Si ce n’est pas tout à fait vrai, cela aurait pu l’être !
Et de toute façon, l’imagination est
une aventure en elle-même … non ?
L’aventure du jour :
J’ai vu de belles fesses à Belfast et un jour particulièrement faste, le faste des fesses d’une belle à belle face !
C’était une rousse avec des taches de son partout… et sur la face et sur les fesses … et sur son … ! ……… Si !
J’ai fais l’âne pour avoir son son … si !
Et, je le confesse, elle m’a dit sans façon : « Oh ! Oui ! Fais moi pleins de suçons et j’aurais le feu aux fesses vilain garçon ! »
Mais son mari, une brute à vilaine face, eut vite des soupçons !
Je me suis barré en vitesse : pas envie de me faire démonter la face pour une histoire de fesses couvertes de son à Belfast … fussent-elles très belles de pile comme de face !
J’ai sauté dans l’avion, signant l’arrêt des fesses de la rousse et en me disant : « encore un rêve qui s’affaisse mais vaut mieux ça qu’une rouste, peste ! »
Et pis c’est tout !
Rotpier
" La main " : Un poème très ancien de ... Pierre
Poème très ancien ( 1999 ? )
" A force de discours et de maintes caresses
- Une main, comme un homme, a besoin de chaleur ! -
Je parvins à calmer sa profonde détresse :
Je partageais alors sa terrible pâleur."
La main,
Comme enfin je soufflais - bonheur compréhensible -
Assis sur une table enduite de couleurs,
Récupérant un peu d’une classe impossible,
Je vis le tableau noir partager ma douleur !
La craie courrait sans fin, par une main guidée,
Une main je vous dis ! Toute seule ! Sans bras !
D’une pâleur extrême, assurément vidée
Du sang dont une goutte échappait vers le bas.
S’égrainait sous mes yeux et très bizarrement
Je comprenais le sens des phrases contenues
Dans ce message étrange écrit si clairement.
Je m’en vais essayer de vous donner lecture
- Pas du message écrit : il n’était que pour moi ! -
De ce qui se passa, c’est vrai, je vous le jure !
Et je saurais comprendre ensuite votre émoi !
La main - d’autorité - me pris alors en charge
en pointant son index sur un ordinateur
Qui afficha de suite en écran extra large
Une image incroyable : un plan fascinateur !
Je reconnus, malgré la façade noircie,
Le profil évident du Lycée Aragon
Qui avait dû subir un très grave incendie,
une porte battait, pendant à un seul gond.
Un bruit de fond montait et je vis une bande
Déboucher en hurlant de derrière un muret,
Des propos venimeux rythmaient la sarabande :
« A mort ces cons de profs, il faut les capturer ! »
On pouvait reconnaître en tête de la horde,
Les clones de certains du fond de nos paniers
Qui nous posent problème en refusant tout ordre :
Ils étaient à coup sûr les fils de ces derniers !
Et d’un bûcher fumant, les pages calcinées
Des livres déchirés s’envolaient dans le soir,
Un vent ascensionnel, volutes déchaînées,
Entraînait vers le ciel ce vol de corbeaux noirs.
La main vint à placer - je ne vis pas de suite -
Son index tremblant à un endroit précis :
Tout en bas du brasier, une forme réduite
Agitait sous le feu cinq doigts tout rétrécis.
La main comme une folle agita ses phalanges,
Son cri désespéré me vrilla les tympans
Et je la vis pleurer, libérant un mélange
Composé pour moitié, de larmes et de sang !
Je la pris dans mes mains, ce ne fut pas facile,
De calmer sa douleur, d’éteindre ses sanglots :
La peur de formuler des propos imbéciles,
Quoi dire à une main qui hante les tableaux ?
A force de discours et de maintes caresses
- Une main, comme un homme, a besoin de chaleur ! -
Je parvins à calmer sa profonde détresse :
Je partageais alors sa terrible pâleur.
Le tableau s’effaça, supprimant le message.
L’ordinateur se tut, son écran devint noir.
Un tourbillon me prit : j’étais sur son passage
et je fus avalé par un grand entonnoir.
Pierre Dupuis
Rébus : réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus … sur le billet « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Les Sirènes : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août, un billet sur le sujet !
Aujourd’hui :
Les Sirènes et Ulysse
Les Sirènes
Dans le douzième chant de l’Audi C (stéréo ), alors qu'Ulysse ( il se l’était rasé ) et ses compagnons s'apprêtent a quitter l'île de la magicienne Circé (Pompes) celle-ci les prévient que non loin, des monstres féminins charment les marins qui pissent comm’ je pleure pour les femmes de Fidèle qui se casse trop souvent et qui les délaisse comme des chiennes, les attirants sur les récifs sur lesquels ils meurent dans le naufrage de leur navire. C’est d’ailleurs ce qui est arrivé au PS quand il a succombé au chant de la sirène Ségolaina royalos qui portait toujours un pull en cachemire offert par Lang de chèvre qui était dans les guignols et qui en reste toujours un.
COMMENT LES SIRENES SONT DEVENUES SIRENES :
Filles du fleuve Achéloos et de la Nymphe Melpomène (ou filles du dieu marin Phorcys qui avait déposé le bilan en Belgique), les Sirènes auraient été transformées en monstres par Déméter, minée à cette époque, furieuse qu'elles aient laissé le dieu des Enfers Hadès enlever sa fille Perséphone et ses cartes de crédit, alors que Zeus leur avait donné des ailes pour sauver Perséphone.
Très fières de leurs voix, au 2ème tour, de leurs talents de musiciennes, Les Sirènes osèrent, un jour, défier les Muses ( celles qui avaient des cornes )
Celles-ci, les privèrent de certaines plumes ( notamment celles qu’elles avaient de planté dans le c - -, car elles faisaient aussi le Lido le soir ) ce qui les rendit inaptes au vol, contrairement à Madoff et à bien d’autres, et les exilèrent sur des rochers, au sud de l'Italie, aussitôt recueillies par Berlusconi.
D’autres auteurs, surtout Rotpierros, affirment qu’elles sont devenues Sirènes à causse du fait qu’elles faisaient beaucoup de gâteries aux pompiers de l’époque qui avaient tous pompier bon œil !
Leucosia (« Blanche »), Ligeia (« Mélodieuse »),
Parthénope (« Visage de jeune fille »),
Peisinoé (« Persuasive »), Agtaopé (« Beau visage »), Aglaophonos (« Belle voix »), Molpé (« Mélopée »), Thelxiopé (« Persuasive »), Têtes (« Parfaite ») Carlaguitara (« Celle qui a de belles guitares ») Cristinalagardia («L’emberlificoteuse »)
LE CHARME DES SIRENES EST TROP FORT POUR ULYSSE:
Même pour un personnage de la trempe d'Ulysse, il est impossible de résister aux fascinantes mélopées. Le héros devient comme fou, tente de briser les chaînes qui le retiennent au mat et adresse des regards suppliants à ses marins qui mangeaient des frites et puis des moules et buvaient du vin de Moselle, pour qu'ils le laissent aller vers celles qui chantent si merveilleusement. Conscients du péril qui les guette, les compagnons d'Ulysse leurs oreilles bouchées, serrent les fesses et ne font que resserrer ses chaînes en réponse à ses mouvements et à ses regards désespérés. Ils rament vigoureusement et le navire s'éloigne du danger.
C’est exactement se que n’à pas réussi à faire l’entourage du petit Nicolas quand il s’est laissé séduire par la sirène Carlaguitara qui ne serrait jamais les fesses mais les montrait volontiers et que j'ai cité plus haut.
Ulysse est sauf, mais épuisé. La prochaine étape de son voyage sera consacrée à la recherche de l'âme du devin mort Tirésias, afin qu'elle le conseille sur son retour au royaume d'Ithaque en 2012.
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 3ème image: en direct : " chez les " car c'est tiré par le cheveux ! ... 4ème image: sa représentation par le bon vieux Léonard ( celui qui, en sciant, devint scie ... si ! )
5ème ligne, 1ère image: celle-là est une gentille ! ... 3ème image: en direct " ti " !
Et ... pis c'est tout !
Réponse :
Même chez l’homme la vieillesse mène aux poses cela fait partie des règles !
Ça, c’est juste la signature !
Serge Lama: " Une ile " : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Une île sans hommes ni bateaux
Inculte, un peu comme une insulte
Sauvage, sans espoir de voyage
Une île, une île, entre le ciel et l'eau
Ce serait là, face à la mer immense
Là, sans espoir d'espérance
Tout seul face à ma destinée
Plus seul qu'au cœur d'une forêt
Ce serait là, dans ma propre défaite
Tout seul sans espoir de conquête
Que je saurais enfin pourquoi
Je t'ai quittée, moi qui n'aime que toi
Une île, comme une cible d'or
Tranquille, comme un enfant qui dort
Fidèle, à en mourir pour elle
Cruelle, à force d'être belle
Une île, une île, comme un enfant qui dort
Ce serait là, face à la mer immense
Là, pour venger mes vengeances
Tout seul avec mes souvenirs
Plus seul qu'au moment de mourir
Ce serait là, au cœur de Sainte-Hélène
Sans joie, sans amour et sans haine
Que je saurais enfin pourquoi
Je t'ai quittée, moi qui n'aime que toi
Une île, entre le ciel et l'eau
Une île sans hommes ni bateaux
Inculte, un peu comme une insulte
Sauvage, sans espoir de voyage
Une île, cette île, mon île, c'est toi
Bon partage !
Rotpier