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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !

16 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

 
 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

 

 

 

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

 

Petit Rébus de Pierre pour la première partie et de Rotpier pour la seconde !

 

Nota:  Pour la première moitié, c'est la vérité ! Je connais bien le métier, plus particulièrement la ferronnerie d'art, pour l'avoir pratiquée et enseignée. Mais ce n’était qu’une petite partie d'un enseignement beaucoup plus vaste !

 

  

1ère ligne, 3ème image: le mec est balèze donc " - - - - " !  Dernière image: pour jouer !

2ème line, 2ème image: c'est le contenu  qu'il faut retenir! ... 5ème image : tous les objets sont " - - - - " c'est leur point commun !

4ème ligne, 2ème image: la moitié de la marque de cette protection ou la moitié d'un roman de Zola !

 

 

Réponse :

 

 C'est en forgeant que je devins forgeron et c'est en sciant que Léonard devint scie !

 

  

  

Ça, c’est juste la signature !

  

 

 

 

 

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" Les ballons rouges " de Serge Lama : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

15 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 

 

 

 
 

  

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Serge Lama
« Les ballons rouges »
 
 
 
 
(Serge Lama - Yves Gilbert)

Je n'ai pas eu de ballon rouge
Quand j'étais gosse dans mon quartier
Dans ces provinces où rien ne bouge
Tous mes ballons étaient crevés
Je n'ai pas eu de vrai vacances
Seul, face à face avec la mer
Quand le cœur rythme la cadence
Des mouettes qui nagent dans l'air

{Refrain:}
J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu
J'ai rien donné, j'ai rien reçu

Je n'ai jamais joué aux billes
Quand j'étais gosse dans mon quartier
J'étais cloué dans ma famille
Comme un martyr à son bûcher
Je n'ai pas eu de promenade
Seul, face à face avec le vent
Je lisais le Marquis de Sade
Et j'aimais déjà les divans
{au Refrain}

Les fées n'étaient pas du voyage
Quand j'étais gosse dans mon quartier
Elles vivaient de leurs avantages
Elles étaient toutes syndiquées
Je n'ai pas vu dans les étoiles
Le carrosse de Cendrillon
La mienne avait une robe sale
Mais elle n'avait pas de chaussons
{au Refrain}

Pourtant j'avais déjà la chance
Quand j'étais gosse dans mon quartier
De ne pas attacher d'importance
A ce que les autres pensaient
Et je n'ai pas vu dans l'Histoire
Quelque guerrier ou quelque roi
Assoiffé de règne ou de gloire
Qui soit plus orgueilleux que moi

J'ai rien d'mandé, je n'ai rien eu
Mais j'ai fait ... ce que j'ai voulu
 
 

Bon partage !

 

Rotpier

 

 

 

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Apéro sur fesses bouc ! Rendez-vous chez ... le Rotpier ! et pis c'est tout !

14 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie - humour

 

 

 
 
 

Un petit  apéro  pour ce midi ?

 

Sans vous inscrire sur Facebook :

 

Je vous l’offre !

Goûtez ce pur moment de poésie !

 

 
 
 

Sur l’air de : « La faute à Voltaire »

et sur des paroles de Rotpier… le misérable !

 

Et ... vous avez intérêt à chanter ... non mais !

 

Sinon, à quoi ça sert que le Rotpier se décarcasse !

 

 

 

 

image du net

 

 

 

Apéro,

 

J’ai des fess’  et un bouc

mais j’ suis pas sur Facebook,

 faut-il que je m’y mette

si je veux fair’ la fête ?

 

Moi j’ador’ l’apéro

avec ou sans gâteaux,

j’ m’en mets jusqu’aux oreilles

à même les bouteilles !

 

J’ai des fess’ et un bouc

mais pas besoin d’ Facebook,

quand je veux d’aventure

me prendre une biture !

 

Je vais voir mes copains,

qui sont tous dans le coin :

pas besoin de la toile

 pour pisser aux étoiles !

 

Quand on est fins bourrés

et qu’on s’est fait jeter

même par les morues

nous on chant’ dans la rue !

 

Vous les flics au boni

les sbir’ à sarkozy

rentrez donc vos matraques

on est déjà patraque !

 

On ne tient plus debout

on gerbe un peu partout,

planquez donc vos godasses

où gare à la vinasse !

 

J’ai des fess’  et un bouc

 je suis pas sur Facebook,

mais pour une biture

j’ tent’rais bien l’aventure !

 

 

 

 

 

Image du Rotpier ... pas très net !

 

 

 

 

Si je vais sur Facebook,

vous verrez bien mon bouc,

mais zobi pour mes fesses :

j’ les gard’ pour ma gonzesse !

 

… mais   zobi  pour  mes  fesses :

j’  les  gard’   pour   ma   gon  zesse !

 

 

Et pis c’est tout !

 

                                Le Rotpier

 

 

 

 

 

 

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Ascension ou non ? " Escale à tort, " ... Le poème du jour de ... Pierre

13 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 
 

Monter ou ne pas monter ?

Escalader ou ne pas escalader ?

 

Ascension ou pas ascension ?

 

En ce jour, telle est la question !

 

 

 

 

 

Photo de Marie Lecorre

 

 

Escale à tort,

 

Il n’osait plus monter

… pris d’un soudain vertige !

Lui qui avait dompté

des sommets de prestige !

 

Il avait escompté

doubler la mécanique 

gravir sans les compter

les marches électriques !

 

Débouler tout en haut

et puis dans la foulée

la saisir de facto,

prompt et à la volée !

 

L’embrasser tout de go

de façon naturelle,

bâillonner son ego

jusqu’à pleurer contre elle.

 

Mais …

Devant l’escalator,

c’était la reculade !

Le doute constrictor :

le cœur en marmelade !

 

A raison ou à tort

ses grandes certitudes,

toutes ailes dehors,

prenaient de l’altitude !

 

Il restait cloué là,

au bas de la machine,

flashant sur les éclats

de ce monstre androgyne,

en desiderata

d’une érection en chaîne

mais avalant en tas

ses marches par douzaines !

 

Et lui de ce coté

et elle dans le doute,

zone d’adversité :

passage qui déroute.

 

Amour déjà rouillé

contre l’inoxydable

acier de l’escalier :

un combat redoutable !

 

Le temps d’un demi tour

et la gomme qui passe

sur les rêves d’amour

qui brusquement trépassent.

 

Enterré pour toujours

l’espoir des retrouvailles,

repartir d’un pas lourd

et ce, vaille que vaille !

 

Machine ou bien broyeur ?

Une tension palpable !

Implacable froideur

de l’acier impeccable.

 

 

Escalier avaleur

d’avenirs improbables,

cimetière des cœurs

un temps soit peu friables.

 

Et …

 

Le couperet qui tombe,

verdict d’escalator :

un amour dans la tombe

pour une escale à tort.

 

 

                    Pierre Dupuis

 

 

 

 

 
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" Jeux de mots sur mots dits et mots mis ! : Le poème du jour de ... Pierre !

12 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

 
 

 

Allez, allez ! Ils sont tout chauds,

tout frais écrits et tapés de ce matin !

 

Qui en veut de mes mots ?

 

 
 
 
Image du net !
 
 

Jeux de mots

sur mots dits et mots mis !

 

Je m’en vais vous parler de mots :

j’ai quelques mots, tôt à vous dire !

Les mots tard seront pour tantôt,

pour les mots laids, je crains le pire !

 

J’ai des mots mis bien de coté

et j’ai aussi des mots dits « fiables »,

qui servent bien pour papoter,

en pyramide et permutables !

 

Quand, d’un seul coup, un bon mot naît,

on se réjouit de sa naissance,

le nain fait « ah ! » et c’est parfait

quand c’est un mot de bonne essence !

 

Des mots d’Elle qui vont chantant,

même jaloux - pas de délire ! -

ne brisez pas des mots charmants :

n’allez pas casser des mots « lyre » !

 

Il y a aussi les mots « cas »

qui ne sont pas tous de la crème !

Méfions nous aussi des mots las

qui tendent parfois à l’extrême !

 

Surveillons de près les mots dits :

ne déversons pas de mots  « bile »,

ceux qui attisent les conflits

sans qu’il y ait de vrais mobiles !

 

Evitons la recrudescence

des mots tirés par les cheveux :

les mots  « tifs » sont la quintessence

de deux fois rien coupé en deux !

 

Je ne vais pas vous embarquer

plus en avant dans la spirale,

quand vous allez m’apostropher :

je ne veux pas que vos mots râlent !

 

Ne me balancez pas vos mots

en plein nez ce serait dommage,

je ne veux pas de bris de mots :

le tout sans en faire un fromage !

 

 

                                           Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

 
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L'effet papillon appliqué à ... l'amour ! Le poème du jour: " L'effet papillon " de ... Rotpier

11 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

 
 

Histoire de rappeler au soleil

qu’il faudrait qu’il se montre un peu

pour que l’on puisse voir les papillons voleter !

 
 
Image du net
 
Si vous ne connaissez pas " l'effet papillon " ,
je joins un document d'explication à la fin !
 
  Pierre
 
 
 femme2    Photo pour Métamorphose    Merveilleux naufrage
 
Images du net bidouillées par Pierre
 
 
 

Petite cause, grands effets

ou

L’effet papillon,

 

Le battement de cils à peine perceptible

avait fait bel effet sur son cœur au repos.

Quand l’œil lui fit de l’œil, ce fut irrésistible,

logique enchaînement : changement de tempo !

 

Pour faire l’inventaire : exploration lancée !

De haut en bas la chère avait de quoi troubler !

Un très joli minois, une belle avancée

et l’étage du bas était très bien meublé !

 

Deux ou trois rendez-vous : repas en tête à tête

et déjà les genoux qui cherchent les accords :

prémices d’ouragan menant au corps à corps !

 

Du souffle du désir à la grande tempête !

Un battement de cils menant au tourbillon :

parfaite illustration de l’effet papillon !

 

                                                Pierre Dupuis

 
 
 
 
 Définition de " l'effet papillon " :
 
  La théorie du chaos, l'effet papillon... deux concepts avec lesquels le grand public s'est vaguement familiarisé. Leur "inventeur", le scientifique américain Edward Lorenz, est mort mercredi à l'âge de 90 ans, a annoncé le Massachusetts Institute of Technology (MIT) où il avait été professeur. Le météorologue s'est éteint à son domicile, à Cambridge (Massachusetts). Il souffrait d'un cancer.

Travaillant comme météorologue au MIT, il découvre en 1963 que l'on peut obtenir un comportement chaotique avec seulement trois variables, montrant ainsi qu'une dynamique très complexe peut apparaître dans un système formellement très simple, une idée dont le mathématicien français du 19e siècle Henri Poincaré avait eu l'intuition. C'est ainsi que de faibles différences dans la dynamique de l'atmosphère peuvent déclencher de vastes effets souvent insoupçonnés.

Ces observations l'on conduit à formuler ce qui est désormais connu comme l'effet du papillon. Il avait utilisé ce terme dans une étude présentée en 1972 et intitulée : "Prévisibilité : est-ce que le battement des ailes d'un papillon au Brésil peut déclencher une tornade au Texas ?". Ces découvertes d'Edward Lorenz ont marqué le début d'un nouveau champ de recherche qui a eu un grand impact non seulement sur les mathématiques mais aussi virtuellement dans toutes les spécialités, la biologie, la physique et les sciences sociales.

 

 Pris sur le net et tranmis par Pierre

  
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Ajax ... mais pas d'Amsterdam ! La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

10 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour

 

 

 
 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

 

1)   La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2)   Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3)   Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

4)   Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 
 

Aujourd’hui,

  

  

Image du net, celle que j'avais faite n'était pas nette !

  

Ajax

  

Ajax, natif d’Amsterdam, joua très tôt au foot sur les plages de la mer Egée. Il était un grand ami de Jacques Brel et il faisait reluire les marmites des p…….. du port tout en mangeant des poissons ruisselants.

Héros homérique, roi de Salamine Desel, fils de Télamon et demi-frère de Teucer. On l'appelle le grand pour le distinguer d'un autre Ajax, fils d'Oïlée, qui était beaucoup moins efficace pour le récurage.
Il compta parmi les prétendants d'Hélène et dans l'Iliade et l’Audi C, il est décrit comme le plus vaillant des Grecs après Achile, Zorba et enfin Zorbi, le frère de Nana Moukouri qui ne portait pas de lunettes, lui. 
Il faillit écraser Hector sous un rocher de chez Ferrero, mais la nuit arrêta leur combat et les deux combattants fraternisèrent et échangèrent des présents le jour même: Hector donna son épée et Ajax, sa ceinture pourpre comme les rivières.
Dans la bataille, il tua Polydamas à Damas, fils de Panthoos, et ami de bons conseils d'Hector bien que ce dernier ne les ait jamais suivis, l’abruti !

A la mort d'Achille, Ajax se disputa avec Ulysse qui était revenu de son long voyage en compagnie de Joachim qui bêlait, un ancien berger devenu poète des sançonnets, au sujet du partage des armes du héros : en effet, selon le code guerrier de l'époque, modifié par l’article 13 de la constitution sur proposition de Charles Pasqua et signé sur l’une des vedettes destinée à Taïwan, celles-ci ne pouvaient être données qu'à un homme aussi vaillant et brave qu'Achille. Or, dans le camp grec, il en existait deux : Ulysse et Ajax (encore que Vigor était en train de faire une brillante percée, peau lisse, car il se battait nu)

Pour désigner impartialement le vainqueur, on s'en remit au jugement de l'ennemi, lequel déclara craindre plus Ulysse qui leur avait fait subir de lourdes pertes grâce à son ingéniosité et ses ruses et aussi, il faut le dire, à ses conseils de placements pourris chez Madoff.

C'est ainsi que le plus habile l'emporta sur le plus brave, qui en cracha de la bile avant de devenir complètement débile … si ! Rendu fou par Athéna aussi (qui était la sœur de Félicie aussi) il égorgea alors un troupeau de moutons appartenant à José Bové, croyant immoler les Grecs. Ayant reconnu son erreur, il se tua en sautant du haut d’un McDo en criant : « vive l’O.M. ! » et il se retrouva sur le tapis … si !

Les chefs grecs refusèrent dans un premier temps une sépulture à son corps, mais Ulysse réussit à les convaincre et, un convaincu n'est plus vierge, tout le monde sait cela. 

Plus tard, les armes tombèrent à la mer qui les rejeta à proximité de la tombe d'Ajax rendant ainsi un hommage posthume au héros.

Il existe d'autres versions dans lesquelles Ajax aurait été tué par une flèche tirée par Pâris ou par Bertrand Delanoë de l’une des fentes d’une des tours de Notre-Dame, ou enterré vivant par les six Troyens, ce qui est quasimodo pareil, car il avait été rendu invulnérable par Héraclès. 
On dit aussi qu'il fut tué par Ulysse mais là, il s’agit d’une vaste connerie et je suis là pour rétablir la vérité.

Voilà ce que vous pouvez affirmer au sujet d’Ajax, en société, pour briller un maximum et reluire dans la nuit !

Et pis c’est tout ! 

 

 A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !

 

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

 

 

 

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Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier

10 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

Réponse pour le rébus …  sur le billet « rébus » !

 

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

 

 

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Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !

9 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

 
 
 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

 

 

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) : 

 

 C'est une pensée au long cours de Pierre !

  

  

1ère ligne, 1ère image : c'est la partie entourée de vert qu'il faut retenir ! ... 4ère image: la moitié du personnage!

2ème ligne, 1ère imge: il ne faut pas prendre le court !

3ème ligne, 1ère image: il ne faut pas prendre les lignes, mais les " - - - - " ! ... 2ème image: " - - - " est ce personnage ? ... Le serpent fait toujour " s " ! ... 5ème image: pâté de tête de sanglier ! ... dernière image: le personnage à une " - - - - " carabinée !

4ème ligne, 2ème image: allez, en direct parce que ce n'est pas net: " rue " !

 

 

Réponse :

 

 L'amour est un long fleuve tranquille surtout en Russie !

 

Ça, c’est juste la signature !

  

 

 

 

 

 

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" VOTRE FILLE A VINGT ANS " de Serge Reggiani : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

8 Mai 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 

 

 
 

  

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Serge Reggiani
« VOTRE FILLE A VINGT ANS »
 
 
 
 
Paroles et Musique: Georges Moustaki   1969
Votre fille a vingt ans, que le temps passe vite
Madame, hier encore elle était si petite
Et ses premiers tourments sont vos premières rides
Madame, et vos premiers soucis

Chacun de ses vingt ans pour vous a compté double
Vous connaissiez déjà tout ce qu'elle découvre
Vous avez oublié les choses qui la troublent
Madame, et vous troublaient aussi

On la trouvait jolie et voici qu'elle est belle
Pour un individu presque aussi jeune qu'elle
Un garçon qui ressemble à celui pour lequel
Madame, vous aviez embelli

Ils se font un jardin d'un coin de mauvaise herbe
Nouant la fleur de l'âge en un bouquet superbe
Il y a bien longtemps qu'on vous a mise en gerbes
Madame, le printemps vous oublie

Chaque nuit qui vous semble à chaque nuit semblable
Pendant que vous rêvez vos rêves raisonnables
De plaisir et d'amour ils se rendent coupables
Madame, au creux du même lit

Mais coupables jamais n'ont eu tant d'innocence
Aussi peu de regrets et tant d'insouciance
Qu'ils ne demandent même pas votre indulgence
Madame, pour leurs tendres délits

Jusqu'au jour où peut-être à la première larme
A la première peine d'amour et de femme
Il ne tiendra qu'à vous de sourire Madame
Madame, pour qu'elle vous sourie...

 

 

 

Bon partage ! 

 

Rotpier

 

Votre fille a vingt ans, que le temps passe vite
Madame, hier encore elle était si petite
Et ses premiers tourments sont vos premières rides
Madame, et vos premiers soucis

Chacun de ses vingt ans pour vous a compté double
Vous connaissiez déjà tout ce qu'elle découvre
Vous avez oublié les choses qui la troublent
Madame, et vous troublaient aussi

On la trouvait jolie et voici qu'elle est belle
Pour un individu presque aussi jeune qu'elle
Un garçon qui ressemble à celui pour lequel
Madame, vous aviez embelli

Ils se font un jardin d'un coin de mauvaise herbe
Nouant la fleur de l'âge en un bouquet superbe
Il y a bien longtemps qu'on vous a mise en gerbes
Madame, le printemps vous oublie

Chaque nuit qui vous semble à chaque nuit semblable
Pendant que vous rêvez vos rêves raisonnables
De plaisir et d'amour ils se rendent coupables
Madame, au creux du même lit

Mais coupables jamais n'ont eu tant d'innocence
Aussi peu de regrets et tant d'insouciance
Qu'ils ne demandent même pas votre indulgence
Madame, pour leurs tendres délits

Jusqu'au jour où peut-être à la première larme
A la première peine d'amour et de femme
Il ne tiendra qu'à vous de sourire Madame
Madame, pour qu'elle vous sourie...

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Votre fille a vingt ans, que le temps passe vite
Madame, hier encore elle était si petite
Et ses premiers tourments sont vos premières rides
Madame, et vos premiers soucis

Chacun de ses vingt ans pour vous a compté double
Vous connaissiez déjà tout ce qu'elle découvre
Vous avez oublié les choses qui la troublent
Madame, et vous troublaient aussi

On la trouvait jolie et voici qu'elle est belle
Pour un individu presque aussi jeune qu'elle
Un garçon qui ressemble à celui pour lequel
Madame, vous aviez embelli

Ils se font un jardin d'un coin de mauvaise herbe
Nouant la fleur de l'âge en un bouquet superbe
Il y a bien longtemps qu'on vous a mise en gerbes
Madame, le printemps vous oublie

Chaque nuit qui vous semble à chaque nuit semblable
Pendant que vous rêvez vos rêves raisonnables
De plaisir et d'amour ils se rendent coupables
Madame, au creux du même lit

Mais coupables jamais n'ont eu tant d'innocence
Aussi peu de regrets et tant d'insouciance
Qu'ils ne demandent même pas votre indulgence
Madame, pour leurs tendres délits

Jusqu'au jour où peut-être à la première larme
A la première peine d'amour et de femme
Il ne tiendra qu'à vous de sourire Madame
Madame, pour qu'elle vous sourie...

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