Les Cyclopes : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !
Aujourd’hui :
Image du net
Géant de la mythologie grecque, généralement forgeron ou bâtisseur, qui n'avait qu'un gros œil au milieu du front et des montures de lunettes de chez Afflelou.
Dans la mythologie grecque, ces géants pourvus d'un œil unique au milieu du front, apparaissent dans de nombreuses légendes, avec des généalogies et des caractéristiques diverses. Selon certains auteurs, notamment Hésiode, kuklôps signifierait d'ailleurs plutôt « qui a l'œil [parfaitement] rond » –, et le mot serait alors formé sur kuklos, « cercle » et ôps, « œil ». D’autres auteurs dont le grand mythologue à pieds plats Rotpier soutiennent que ces géants était capables de fumer six cigarettes en mène temps d’où le nom de « Six-clopes » qui serait devenu au fils du temps et des modes « Cyclopes »
À travers les légendes dans lesquelles ils apparaissent, on peut distinguer au moins trois sortes de cyclopes.
Dans la Théogonie d'Hésiode, les Cyclopes sont trois fils d'Ouranos (le Ciel) et de Gaia (la Terre). Ouranos, redoutant de les voir se liguer contre lui afin de le détrôner, les fit jeter dans le Tartare enrobés de fines herbes. Ce tyran récolta la haine qu'il avait semée: les cyclopes apportèrent leur aide à la révolte de leurs frères les Titans (Lamazou y compris) conduits par Cronos (celui des 24H00) Avec la bénédiction de Gaïa (et de Benoît 16) indignée du traitement que leur père réservait à ses enfants, Cronos détrôna Ouranos. Mais, devenu dieu suprême de l'Univers, Cronos, à son tour, commença à craindre que les enfants qu'il avait eu de sa soeur Gaïa (c’était une vraie famille tuyaux de poèles !) devinssent dangereux pour sa suprématie, et se résolut à les dévorer : ainsi disparurent Hestia, Demèter, Ségolène, Lionnel, Hadès, Poséïdon et d'autres, sauf Zeus à qui sa mère parvint à substituer une pierre enveloppée de langes aidée par Michael et que Cronos avala s'en s'apercevoir de la supercherie. Lorsque, devenu adulte, Zeus à son tour se révolta contre son père, il libéra les cyclopes qui, par gratitude, forgèrent la foudre,la bombe anatomique Vénus, l'éclair et le tonnerre qui lui permirent de triompher de Cronos, qu'il força à restituer ses frères et sœurs ainsi qu’un beauf avalé par erreur. Il les régurgita tout trempés mais vivants.Le beauf était tout sonné, mais pas pire qu’avant !
Pour commémorer leur rôle dans ce combat, les trois cyclopes prirent les noms d'Argês (« Lumière éclatante »), Herpês (« le Grattant ») et Stéropês (« Le Foudroyant »). À Hadès, ils offrirent un casque à Sarko et à Dray une Rollex et à Poséïdon le trident à l'aide duquel il soulèvait ou apaisait les ondes marines et aussi enfourchait la fille de le Pen et bientôt la petite fille ! Plus tard, ces trois cyclopes furent tués par Apollon qui ne leur pardonnait pas d'avoir fourni à Zeus la foudre à l'aide laquelle il avait frappé et tué son fils Asclépios (je vous en avais déjà parlé si vous me suivez bien !)
Chez Homère (Michel) les cyclopes sont un peuple de pasteurs sauvages qui se distinguent non seulement par leur taille gigantesque et leur œil unique, mais aussi par la férocité de leur mœurs. Polyphème, le seul dont on connaît le nom parce qu'il fait l'objet de l'un des plus célèbres épisodes de l'Odyssée, est le type de ces mangeurs de chair humaine, vivant solitaires dans des cavernes, sans crainte des dieux ni de Zeus, ni d’Eric Besson et de ses charters.
À l'époque alexandrine (sous le règne de Claude François) la poésie fit des cyclopes les forgerons d'Héphaïstos, vivant sous l'Etna et fabriquant, sous la direction de leur maître, les armes des dieux et des héros. Les mythographes et les mythomanes plaçaient les cyclopes avec les forges d'Héphaïstos, tantôt en Sicile, sous l'Etna et sous le contrôle de la Mafia, donc de Berlusconi, tantôt dans les îles volcaniques Lipari. Pyracmon (« l'Enclume ») et Acamas (« l'Infatigable »), sont deux de ces forgerons les plus souvent cités par les légendes. C'est encore à ces cyclopes qu'était attribuée la construction des cités aux murs « cyclopéens », de Beaubourg, de Mycènes (dans l’Yonne) ou de Tirynthe.
Certains mythographes tardifs voulurent voir dans les Cyclopes à œil unique, jetant des pierres, vomissant du feu, une personnification des volcans du bassin méditerranéen ainsi que celui de Béatrice Dalle (au bassin très volcanique nique nique nique!)
L'Antiquité nous a laissé de nombreuses représentations des Cyclopes, sur les vases peints et sur des pots de chambre. Un bas-relief antique ( sur le vase de Line Renaud ) et conservé au musée Capitolin à Rome représente Vulcain, Benoît 16 et 16 sous-papes, travaillant à leur forge assisté de trois Cyclopes : deux frappent le fer avec lui, tandis qu'un troisième attise le feu avec un soufflet. Parmi les peintres modernes que le mythe des Cyclopes a inspiré, citons Annibal Carrache ( au moins 70° !) et Poussin dont le fils Nicolas a commencé une belle carrière quand son aîné n’y était plus. En littérature, le Cyclope est le titre d'une idylle de Théocrite (qui était très hypocrite) (IIIe s. avant J.-C.) et d'un drame satyrique d'Euripide l’Insipide (Ve s. avant J.-C.). Il faut noter que ces J.C. là sont des imposteurs vu que le vrai, c’est nous qui l’avons ! Et pis c’est tout !
Que les Cyclopes vous protègent et ne vous fassent pas trop tousser !
Fumer nuit à la santé, même le jour !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
Image du net : un cyclope ou le Rotpier quand il est en colère !
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
C'est une grosse connerie du Rotpier:
il a du se prendre un coup de soleil sur la cafetière !
Il est trop facile celui-ci: pas d'aide ... sauf dernière ligne et dernière image : elle peut-être bonne ou mauvaise !
Ça, c’est juste la signature !
Réponse :
Le chien aboie le chat miaule et la cane icule : ça va chauffer !
Jacques Brel : " La Fanette " Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
La plage était déserte et dormait sous juillet
Si elles s'en souviennent les vagues vous diront
Combien pour la Fanette j'ai chanté de chansons
Faut dire
Faut dire qu'elle était belle
Comme une perle d'eau
Faut dire qu'elle était belle
Et je ne suis pas beau
Faut dire
Faut dire qu'elle était brune
Tant la dune était blonde
Et tenant l'autre et l'une
Moi je tenais le monde
Faut dire
Faut dire que j'étais fou
De croire à tout cela
Je le croyais à nous
Je la croyais à moi
Faut dire
Qu'on ne nous apprend pas
A se méfier de tout
Nous étions deux amis et Fanette m'aimait
La plage était déserte et mentait sous juillet
Si elles s'en souviennent les vagues vous diront
Comment pour la Fanette s'arrêta la chanson
Faut dire
Faut dire qu'en sortant
D'une vague mourante
Je les vis s'en allant
Comme amant et amante
Faut dire
Faut dire qu'ils ont ri
Quand ils m'ont vu pleurer
Faut dire qu'ils ont chanté
Quand je les ai maudits
Faut dire
Que c'est bien ce jour-là
Qu'ils ont nagé si loin
Qu'ils ont nagé si bien
Qu'on ne les revit pas
Faut dire
Qu'on ne nous apprend pas
Mais parlons d'autre chose
Nous étions deux amis et Fanette l'aimait
La plage est déserte et pleure sous juillet
Et le soir quelquefois
Quand les vagues s'arrêtent
J'entends comme une voix
J'entends... c'est la Fanette
Bon partage !
Rotpier
La lune ... quel bel astre ! Le poème du jour : " Poème naïf ou … con comme la lune ! " de Pierre ou de Rotpier ... je ne sais plus !
Image du net
Poème naïf ou … con comme la lune !
Il lui avait promis la lune,
de beaux bijoux et la fortune,
un grand château entouré d’eau
et des milliers d’autres cadeaux !
Naïve au point d’en être bête,
le laissant faire à la bébête
qui monte et qui, guili-guili,
conduit sans faille au creux du lit !
Ell’ lui avait donné sa lune
et récolté comme fortune,
un joli ventre au look tonneau,
bien rond devant et pas dans l’dos !
Sur le frigo, un pense-bête :
« j’ai oublié mes cigarettes,
tu peux préparer l’apéro ! »
… Ils ont moisi … tous les gâteaux !
Elle ignorait le mot « rancune » !
« Mais tu es con comme la lune ! »
Lui disaient ses meilleurs amis
en tentant le … guili-guili !
Légère comme libellule,
elle acquiesçait mais la pilule
lui évitait le gros cadeau :
la bosse à l’opposé du dos !
Elle ne fit jamais fortune :
toujours gratis : jamais de tunes !
Petit service et grand cadeau
à ses amis, à ses poteaux !
Elle aimait ça - il faut le dire ! -
C’était tout en éclats de rire !
Et tant pis si son infortune
la faisait con … comme la lune !
Pierre Dupuis
Image du net
La fable du jour : "La grenouille et la marmite" de ... Pierre
Fable inspirée par un texte du philosophe Olivier Clerc :
« Sommes nous déjà à moitié cuits ? »
Je le mets à la suite .... le texte !
Images prises sur le net
La grenouille et la marmite,
Une verte grenouille un beau jour s’installa
bien confortablement au fond d’une marmite ;
un vaste récipient en fonte de Talla,
de rare qualité, venant des Dolomites !
A l’ombre du vieux mur d’un jardin déserté,
une moitié d’eau fraîche et des mouches en masse :
pas besoin de bouger de cet endroit ouaté,
un milieu idéal, hôtel de grande classe !
Un habitat de rêve où bien des batraciens
auraient voulu passer d’agréables vacances :
le gîte et le couvert dans un décor ancien,
loin du monde agité et de ses conséquences !
Doucement balancé sous un trépied de fer,
le récipient berçait la grenouille indolente.
Tranquille et sans soucis - le paradis offert ! -
elle menait, passive, une vie somnolente !
Vint à passer par là un brave vagabond.
Découvrant la marmite, il se dit : « quelle aubaine ! »
je mange toujours froid, ce qui n’est pas très bon,
pour une fois je vais me chauffer la bedaine !
Rapide il ramassa quelques morceaux de bois
qu’il installa, croisés, sous la grande marmite,
craquant une allumette, il se montra adroit :
la flamme vint lécher le large cul très vite !
Tout progressivement, l’eau s’en vint à tiédir,
ce qui fit le bonheur de la verte grenouille,
nageant béatement jusqu’à s’en étourdir,
alors que son destin se barrait en quenouille !
Mais la température augmentant peu à peu,
commença par gêner la croassante bête,
elle en vint à suer un liquide adipeux
mais resta toute amorphe en traînant des gambettes !
Quelques degrés de plus : la pauvre s’affola !
Mais ses forces déjà s’étaient évaporées,
son corps était plus mou qu’un vieux gorgonzola :
une situation vraiment désespérée !
Elle se résigna et se laissa couler,
succombant doucement au fond de la marmite,
quelques bouillons plus tard - fort durs à avaler ! -
elle avait rendu l’âme et était fine cuite !
Mais …
Prenons la même bête et recommençons tout !
Je veux dire en cela : changeons les paramètres !
Supposons la bestiole à l’ombre d’un bambou
chassant tranquillement en son vert périmètre !
Attrapons-la d’un coup et d’une ferme main
balançons-là - direct ! – dans le liquide tiède :
réaction immédiate et en un tournemain,
d’un violent coup de reins elle évite le piège !
Moralité :
L’instinct de la grenouille ou bien celui de l’homme
s’émousse peu à peu quand les évènements
se passent en douceur et je dirais en somme
qu’ils ne voient rien venir et dorment bêtement !
Il faudrait un grand choc - quelque chose d’énorme ! -
pour frapper les esprits : un coup de pied au cul !
Un de ces coups de pieds d’une puissance hors norme,
car dans le cas contraire on sera cuits-foutus !
Pierre Dupuis
Le texte de Olivier Clerc :
Imaginez une marmite remplie d'eau froide dans laquelle nage tranquillement
une grenouille.
- Le feu est allumé sous la marmite, l'eau chauffe doucement.
Elle est bientôt tiède.
- La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue à nager.
- La température continue à grimper.
L'eau est maintenant chaude.
C'est un peu plus que n'apprécie la grenouille, ça la fatigue un peu, mais
elle ne s'affole pas pour autant.
- L'eau est cette fois vraiment chaude.
La grenouille commence à trouver cela désagréable, mais elle s'est affaiblie,
alors elle supporte et ne fait rien.
- La température continue à monter jusqu'au moment où la grenouille va tout
simplement finir par cuire et mourir.
- Si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle
aurait immédiatement donné le coup de patte adéquat qui l'aurait éjectée
aussitôt de la marmite.
Cette expérience montre que, lorsqu'un changement s'effectue d'une manière
suffisamment lente, il échappe à la conscience et ne suscite la plupart du
temps aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte .
- Si nous regardons ce qui se passe dans notre société depuis quelques
décennies, nous subissons une lente dérive à laquelle nous nous habituons.
Des tas de choses qui nous auraient horrifiés il y a 20, 30 ou 40 ans, ont
été peu à peu banalisées, édulcorées, et nous dérangent mollement à ce jour,
ou laissent carrément indifférents la plupart des gens.
AU NOM DU PROGRÈS et de la science, les pires atteintes aux libertés
individuelles, à la dignité du vivant, à l'intégrité de la nature, à la
beauté et au bonheur de vivre, s'effectuent lentement et inexorablement avec
la complicité constante des victimes, ignorantes ou démunies.
Les noirs tableaux annoncés pour l'avenir, au lieu de susciter des réactions
et des mesures préventives, ne font que préparer psychologiquement le peuple
à accepter des conditions de vie décadentes, voire DRAMATIQUES.
Le GAVAGE PERMANENT d'informations de la part des médias sature les cerveaux qui n'arrivent plus à faire la part des choses...
Lorsque j'ai annoncé ces choses pour la première fois, c'était pour demain.
Là, C'EST POUR AUJOURD'HUI.
Alors si vous n'êtes pas, comme la grenouille, déjà à moitié cuits, donnez
le coup de patte salutaire avant qu'il ne soit trop tard.
Pucelle et " Les Pucellières " un duo brûlant ! La fable de vacances: " Le poète, « Les Pucellières » et la brûlante Jeanne, " de ... Pierre et de Rotpier ( suite ! )
Avertissement :
Certain(e)s vont peut-être me reprocher le trivial langage de l’héroïne de cette brûlante fable. Je tiens à préciser que je n’ai rapporté ici, stricto sensu, que ses paroles, étant entendu que je ne me serais en aucun cas permis une quelconque édulcoration à la seule fin de ne pas écorcher quelques chastes oreilles.
Chastes oreilles qui sont, fort heureusement,
de moins en moins nombreuses ou
… beaucoup moins hypocrites !
L’auteur
Fable de vacances ...
Photo de Pierre et montage de Rotpier !
Le poète, « Les Pucellières » et la brûlante Jeanne,
Je m’en vais vous conter une étrange aventure.
Peut-être direz-vous : « Ce type est fou à lier ! »
Là, je m’inscris en faux, tout juste une biture :
une petite avec un pommeau de cellier.
Car il passe tout seul cet excellent breuvage :
et un et deux et trois, on ne se méfie pas !
Au bout d’un certain temps arrive le tangage :
on ne sais même plus où l’on est, où l’on va !
Mais là - juré craché ! - loin de moi cette dose :
la juste quantité permettant de marcher
assez normalement sans voir d’éléphants roses,
en tous cas pas au point de s’en effaroucher !
Je précise qu’alors, je passais des vacances
en bas de la Mayenne aux alentours de Craon,
dans un coin de verdure où avec abondance
la nature aurait pu rendre jaloux un paon !
Quand je dis la nature, il faut que je précise :
un ensemble de bois, d’étangs et de sentiers,
des arbres par milliers à la fraîcheur exquise,
le fruit du long travail des époux Métivier.
Une propriété des plus hospitalières
sise à Bouchamps-les-Craon, un village rural
au beau milieu des prés, lieu-dit « Les Pucellières »
un nom qui sonne bien et qui n’est pas banal !
Le cadre étant brossé, revenons à l’histoire
avec un petit « h » mais côtoyant le grand,
je vais vous la conter, elle est évocatoire
d’un passé révolu mais encore brûlant !
Quand même un peu sonné - cela, je le concède ! -
par l’abus du breuvage ci-dessus évoqué,
j’entrepris le grand tour, comme on prend un remède,
des étangs dans le but de bien me requinquer.
Alors que j’arrivais, ma foi sans trop de peine,
sur les bords du second, j’entendis une voix,
comme un chuchotement et malgré ma migraine,
j’eu vraiment l’impression qu’on s’adressait à moi.
M’arrêtant de marcher je prêtais mieux l’oreille,
la gauche évidemment car de l’autre un peu sourd,
j’ai toujours l’impression d’y avoir une abeille
qui bourdonne sans cesse : ce n’est pas du velours !
Mis à part un crapaud qui appelait sa belle,
ou celle du voisin … ça se fait bien chez nous !
Crapauds ou bien humains, c’est même ritournelle :
c’est le baratineur qui gagne à tous les coups !
Minuit n’était pas loin mais un grand clair de lune
faisait qu’on y voyait aussi bien qu’en plein jour,
un marchand de lampions n’aurait pas fait fortune,
mais c’était une nuit très propice à l’amour !
Le batracien se tut et ce fut le silence,
enfin pas tout à fait car me parvint un bruit,
un léger cliquetis qu’en d’autres circonstances
je n’aurais pas perçu car étant très réduit.
Quelque chose bougea et une silhouette
se détacha de l’ombre et s’approcha de moi,
le cliquetis enfla et une grande chouette
s’envola en criant, pleine de désarroi.
J’étais prêt, moi aussi, à filer à l’anglaise
mais la stupéfaction, sur place, me cloua
quand je vis arriver en frôlant le malaise
une femme en armure et qui m’apostropha !
Je sais que vous allez me demander de suite :
comment sous cette armure avez-vous pu savoir
que c’était une femme, supposition gratuite ?
Ou bien qu’avez-vous pu, voir ou apercevoir ?
Aussitôt que j’ai vu le plastron de l’armure
très fortement bombé au lieu d’être tout plat,
je me suis dit : mon gars, c’est du fait sur mesure,
du quatre vingt dix C ou tu t’y connais pas !
Mais il faut dire aussi pour être très honnête,
sinon vous n’allez plus croire en moi dès demain,
qu’elle avait enlevé, je voyais bien sa tête,
son heaume qui pendait au bout de ses deux mains !
Elle avait les cheveux coupés de façon franche :
ça s’arrêtait tout net juste au milieu du front.
Un peu comme Mireille, une sorte de frange,
mais son regard était franchement polisson !
Elle engagea la conversation…
« - Que faites-vous ici un soir de pleine lune ?
Vous me dévisagez ! Voulez-vous mon portrait ?
Si vous cherchez l’amour et la bonne fortune,
ne cherchez pas ailleurs : vous serez satisfait !
- Euh … c'est-à-dire que… où donc vous ai-je vue ?
Vos cheveux… votre armure et cette volonté !
Oh ! Je ne voudrais pas commettre une bévue,
mais n’êtes-vous pas celle au courage indompté ?
Bergère à Domrémy ! A Orléans pucelle !
Et le roi Charles VII à Reins bien couronné !
Combattant les anglais, les coupant en rondelles,
mais finissant à Rouen sur un fumant bûcher ?
- Vous ne vous trompez pas, je m’appelle bien Jeanne
et Jeanne d’Arc en plus : vous avez de bons yeux !
Ce cochon de Cauchon, ce bourricot, cet âne,
a tout manigancé pour me mettre le feu !
Mais j’étais une sainte et je m’en suis sortie,
Dieu a fait son boulot, ce qui est bien normal :
vie éternelle en poche et bien sûr dérôtie,
j’ai élu domicile en ce lieu idéal !
Je ne pouvais rêver mieux que « Les Pucellières » !
Pucelle, un épithète énervant et maudit,
il est certain que si, j’étais pucelle hier,
heureusement mon gars c’est fini aujourd’hui !
Là, je dois au bourreau une fière chandelle :
les hommes me laissaient froide habillés ou nus,
bien fini quand le gars m’a dit « Mademoiselle,
pour une fois tu vas… avoir le feu au cul !
Et depuis ce temps là je n’ai vraiment de cesse
que de toujours chercher à m’envoyer en l’air !
Hommes jeunes ou vieux, avec ou sans noblesse,
je consomme avec eux le grand péché de chair !
Veux-tu faire avec moi deux ou trois galipettes ?
Tu verras que je suis experte en bigoudi,
je sais, je l’ai bien vu, tu es un peu pompette,
mais en amour ce n’est pas du tout interdit !
Je vois ton œil qui brille et qui se fait canaille !
Mais doucement mon gars car il me faut avant
enlever mon armure et ma cote de mailles,
ce n’est pas mince affaire, il faut prendre son temps.
Quelqu’un d’un peu pressé a tenté l’aventure,
il a voulu jouer et il a tout perdu
se risquant à passer par une des jointures
qui en se refermant à cisaillé l’intrus !
Mais profitant de sa virilité caduque,
il a bien rebondi et trouvé un boulot
très bien rémunéré : une place d’eunuque,
recyclage intégral… il était gigolo !
Viens donc m’aider un peu car ce n’est pas facile,
c’est du lourd, du tranchant : fais bien gaffe à tes doigts !
Les doigts c’est moins gênant mais c’est quand même utile,
l’index en premier lieu car c’est vraiment le roi !
Que c’est bon de quitter cette lourde ferraille !
J’ai juré, c’est certain, de toujours la garder
mais l’affaire me pèse et parfois je déraille :
je la quitte et à poil, je vais me balader !
Tu sembles très surpris par mon trivial langage,
mais rappelle-toi bien mes pérégrinations,
j’ai beaucoup fréquenté, j’en garde l’héritage,
des gens de corps de garde et leurs conversations !
Vas-y très doucement pour ma cote de mailles,
mon système pileux s’y coince de partout,
un épilage en règle et là, moi je défaille :
je suis brave c’est vrai, mais j’aime mon pilou !
Et voila le travail, qu’en dis-tu gentilhomme ?
Exprime-toi tout net … ma plastique te sied ?
Tu serais le premier à cracher sur ma pomme,
viens plutôt la croquer, tu vas me remercier !
Et s’engagea une joute charnelle,
sans cliquetis aucun :
la mécanique étant très bien huilée !
Je ne peux que jeter un voile très pudique
sur nos multiples et très sulfureux ébats,
je serais censuré de façon méthodique
si je me permettais d’étaler tout cela !
Tout ce que je peux dire et vous comprendrez vite,
c’est qu’elle était en manque évident de câlins
et que dans ce cas-là il faut avoir la frite
pour être, tour à tour, au four et au moulin !
Elle avait, en amour, une revanche à prendre,
un retard conséquent qu’il lui fallait combler,
elle se rattrapait, comment ne pas comprendre
qu’il lui fallait du lourd, pas du travail bâclé !
L’aube qui se levait mit fin à l’aventure,
se redressant d’un coup, elle m’apostropha :
« Prête-moi donc la main, j’enfile mon armure :
il faut que je sois loin quand le coq chantera ! »
Après quelques efforts, elle fut enfin prête,
rabattant sa visière au détour d’un chemin,
elle s’évapora dans le décor champêtre,
me laissant ébaubi dans le petit matin.
Epilogue :
Je sais bien que certains ne voudront pas me croire
et bien moi je leur dis : « Essayez le pommeau
« La ferme du Pressoir », mettez-vous à en boire
une bouteille entière et relisez mes mots !
Vous verrez bien alors que les récits étranges
deviennent naturels et qu’au bout d’un moment,
on se sent tout léger, on voit voler des anges :
plus rien n’est impossible et tout est exaltant ! »
Mise en garde :
Mais n’allez surtout pas, après, prendre la route,
vous risqueriez très gros en tombant pas hasard,
sur des anges en moto avec casque d’écoute :
ces drôles d’anges bleus ne sont que des motards !
Vous voila prévenus, vous ne pourrez pas dire :
« Le poète nous a poussé à picoler ! »
Même en lisant l’histoire, ils n’iraient pas en rire :
n’est pas né celui qui les fera rigoler !
Pierre Dupuis
Mise en garde sur la mise en garde :
J’espère que vous avez enlevé vos chaussures avant de lire cette fable, car c’est bien connu : « Il ne faut jamais se marrer chaussé ! »
Je me sauve avant d’être repéré par leurs informaticiens ( à sa mémère ! ) sur le net !
Le Rotpier
Pucelle et " Les Pucellières " un duo brûlant ! La fable de vacances: " Le poète, « Les Pucellières » et la brûlante Jeanne, " de ... Pierre et de Rotpier
Avertissement :
Certain(e)s vont peut-être me reprocher le trivial langage de l’héroïne de cette brûlante fable. Je tiens à préciser que je n’ai rapporté ici, stricto sensu, que ses paroles, étant entendu que je ne me serais en aucun cas permis une quelconque édulcoration à la seule fin de ne pas écorcher quelques chastes oreilles.
L’auteur
Première partie :
Fable de vacances ...
Photo de Pierre et montage de Rotpier !
Le poète, « Les Pucellières » et la brûlante Jeanne,
Je m’en vais vous conter une étrange aventure.
Peut-être direz-vous : « Ce type est fou à lier ! »
Là, je m’inscris en faux, tout juste une biture :
une petite avec un pommeau de cellier.
Car il passe tout seul cet excellent breuvage :
et un et deux et trois, on ne se méfie pas !
Au bout d’un certain temps arrive le tangage :
on ne sais même plus où l’on est, où l’on va !
Mais là - juré craché ! - loin de moi cette dose :
la juste quantité permettant de marcher
assez normalement sans voir d’éléphants roses,
en tous cas pas au point de s’en effaroucher !
Je précise qu’alors, je passais des vacances
en bas de la Mayenne aux alentours de Craon,
dans un coin de verdure où avec abondance
la nature aurait pu rendre jaloux un paon !
Quand je dis la nature, il faut que je précise :
un ensemble de bois, d’étangs et de sentiers,
des arbres par milliers à la fraîcheur exquise,
le fruit du long travail des époux Métivier.
Une propriété des plus hospitalières
sise à Bouchamps-les-Craon, un village rural
au beau milieu des prés, lieu-dit « Les Pucellières »
un nom qui sonne bien et qui n’est pas banal !
Le cadre étant brossé, revenons à l’histoire
avec un petit « h » mais côtoyant le grand,
je vais vous la conter, elle est évocatoire
d’un passé révolu mais encore brûlant !
Quand même un peu sonné - cela, je le concède ! -
par l’abus du breuvage ci-dessus évoqué,
j’entrepris le grand tour, comme on prend un remède,
des étangs dans le but de bien me requinquer.
Alors que j’arrivais, ma foi sans trop de peine,
sur les bords du second, j’entendis une voix,
comme un chuchotement et malgré ma migraine,
j’eu vraiment l’impression qu’on s’adressait à moi.
M’arrêtant de marcher je prêtais mieux l’oreille,
la gauche évidemment car de l’autre un peu sourd,
j’ai toujours l’impression d’y avoir une abeille
qui bourdonne sans cesse : ce n’est pas du velours !
Mis à part un crapaud qui appelait sa belle,
ou celle du voisin … ça se fait bien chez nous !
Crapauds ou bien humains, c’est même ritournelle :
c’est le baratineur qui gagne à tous les coups !
Minuit n’était pas loin mais un grand clair de lune
faisait qu’on y voyait aussi bien qu’en plein jour,
un marchand de lampions n’aurait pas fait fortune,
mais c’était une nuit très propice à l’amour !
Le batracien se tut et ce fut le silence,
enfin pas tout à fait car me parvint un bruit,
un léger cliquetis qu’en d’autres circonstances
je n’aurais pas perçu car étant très réduit.
Quelque chose bougea et une silhouette
se détacha de l’ombre et s’approcha de moi,
le cliquetis enfla et une grande chouette
s’envola en criant, pleine de désarroi.
J’étais prêt, moi aussi, à filer à l’anglaise
mais la stupéfaction, sur place, me cloua
quand je vis arriver en frôlant le malaise
une femme en armure et qui m’apostropha !
Je sais que vous allez me demander de suite :
comment sous cette armure avez-vous pu savoir
que c’était une femme, supposition gratuite ?
Ou bien qu’avez-vous pu, voir ou apercevoir ?
Aussitôt que j’ai vu le plastron de l’armure
très fortement bombé au lieu d’être tout plat,
je me suis dit : mon gars, c’est du fait sur mesure,
du quatre vingt dix C ou tu t’y connais pas !
Mais il faut dire aussi pour être très honnête,
sinon vous n’allez plus croire en moi dès demain,
qu’elle avait enlevé, je voyais bien sa tête,
son heaume qui pendait au bout de ses deux mains !
Elle avait les cheveux coupés de façon franche :
ça s’arrêtait tout net juste au milieu du front.
Un peu comme Mireille, une sorte de frange,
mais son regard était franchement polisson !
Elle engagea la conversation…
« - Que faites-vous ici un soir de pleine lune ?
Vous me dévisagez ! Voulez-vous mon portrait ?
Si vous cherchez l’amour et la bonne fortune,
ne cherchez pas ailleurs : vous serez satisfait !
- Euh … c'est-à-dire que… où donc vous ai-je vue ?
Vos cheveux… votre armure et cette volonté !
Oh ! Je ne voudrais pas commettre une bévue,
mais n’êtes-vous pas celle au courage indompté ?
Bergère à Domrémy ! A Orléans pucelle !
Et le roi Charles VII à Reins bien couronné !
Combattant les anglais, les coupant en rondelles,
mais finissant à Rouen sur un fumant bûcher ?
- Vous ne vous trompez pas, je m’appelle bien Jeanne
et Jeanne d’Arc en plus : vous avez de bons yeux !
Ce cochon de Cauchon, ce bourricot, cet âne,
a tout manigancé pour me mettre le feu !
Mais j’étais une sainte et je m’en suis sortie,
Dieu a fait son boulot, ce qui est bien normal :
vie éternelle en poche et bien sûr dérôtie,
j’ai élu domicile en ce lieu idéal !
Je ne pouvais rêver mieux que « Les Pucellières » !
Pucelle, un épithète énervant et maudit,
il est certain que si, j’étais pucelle hier,
heureusement mon gars c’est fini aujourd’hui !
Là, je dois au bourreau une fière chandelle :
les hommes me laissaient froide habillés ou nus,
bien fini quand le gars m’a dit « Mademoiselle,
pour une fois tu vas… avoir le feu au cul !
.............................
Pierre Dupuis
Pour la suite ... à demain !!!
Le Minotaure : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Le Minotaure
Le Minotaure qui s'appelait Astérios Clérose était un homme à tête de taureau que Pasiphaé que ça, épouse de Minos le minus, le roi de Crète, avait engendré du taureau blanc prénommé Laurent. Lequel fut, beaucoup plus tard, chargé avec Hercule de remettre de l’ordre dans la maison France du foot qui ressemblait vraiment aux Ecuries d’Augias.
Minos avait reçu en présent un magnifique taureau blanc de la part de Poséidon ton cul sur l’étagère mais il négligea sa promesse de le sacrifier à Poséidon, aussi ce dernier inspira-t-il une passion coupable et contre-nature à Pasiphaé que se fit vache.
Aidée par l’architecte Dédale et des pavés, qui lui fabriqua une vache de bois (je vous l’avais bien dit : je ne raconte jamais de conneries !) Pasiphaé céda à cet amour incontrôlable et donna naissance à un monstre mi homme mi taureau qu’elle appela dans un premier temps Chabal.
Pour cacher cette honteuse progéniture, Minos demanda à l'ingénieux Dédale de construire un palais dont l'agencement des pièces et des couloirs serait si compliqué qu'il serait impossible d'en sortir. C'est ainsi que le Labyrinthe fut construit en même temps que Beaubourg.
De plus le Minotaure se nourrissait de chair humaine, fraîche ou pas.
Après l’assassinat de son fils Androgée de baptême, Minos, qui avait remporté la victoire sur les Athéniens, les Athéniennes, les Acadiens et les Acadiennes, demanda un tribut de guerre aux sioux qui consistait à livrer toutes les fins de Grande Année (tous les neuf ans) ou tous les ans selon les auteurs, sept jeunes hommes et sept jeunes filles (pas forcément vierges, ce qui aurait été impossible à l’époque vu que ça tringlait même avec des animaux !) destinés à servir de pâture au monstre ou à mourir de faim et de soif dans le dédale des couloirs.
Peu après l'arrivée à Athènes de Thésée vous y en a marre et suivez, le tribut vint à échéance pour la troisième fois et Thésée compatit si profondément à la douleur des parents, dont les enfants étaient susceptibles d'être tirés par le Minotaure (ce qui faisait très mal) au sort, qu'il s'offrit volontairement comme l'une des victimes en dépit de la pressante insistance d'Egée, son père, pour le dissuader.
Après quelques péripéties - si ! - lors de la traversée, Thésée débarqua en Crète et sut s'attirer l'amour d'Ariane, sur le fil, la fille de Minos et de Pasiphaé.
Contre la promesse d'un mariage, Ariane trahit son pays et son demi-frère. Après avoir pris des informations auprès de Dédale, elle fournit à Thésée une pelote de fil (il en profita d’ailleurs pour la peloter !) qu'il devrait dévider en entrant dans le labyrinthe et rembobiner après avoir tué le monstre.
Image du net
Après avoir tué le Minotaure endormi, il n'eut qu'à suivre le fil jusqu'à la sortie sans se perdre puis il délivra les jeunes gens et les jeunes filles, mais si vous me suivez depuis le début, vous l’avez déjà appris !
Il saborda la flotte crétoise et crétine et s'embarqua avec Ariane, qu'il devait "oublier" sur les rivages de Naxos à moelle après l’avoir souvent tirée à Kourou.
Plus tard, il s’ennuya beaucoup et revit sur le sable son doux visage et cria « Ariane, oh ! qu’elle revienne ! » parce qu’il avait trop de peine. Enfin, c’est ce que Christophe m’a raconté et là, je dois dire que ce n’est pas certifié, contrairement à tout le reste.
Voici, voilà ce que vous devez savoir sur le Minotaure pour ne pas passer pour des pommes lors des discussions entre poire et fromage !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien … et les dieux aussi !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !
Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier