Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
D'actualité !!!
1ère ligne, 3ème image: saison ! ......... 5ème image: c'est l'heure des " - - - - - " ! ..... 6ème image: ils sont à poil !
2ème ligne, 2ème image: en direct " che " ! ........ 6ème image: signe de l'alphabet grec !
3ème ligne, 1ère image: en haut du " - - - " d'un voilier ! ..........4ème image: un diagramme de " - - - " ! ....... dernière image: la moitié d'une protection périodique !
4ème ligne, 2ème image: la boisson préférée des anglais ! ....... 4ème image: idem à la 1ère ligne ! ... 5ème image: idem à la 1ère ligne !
5ème ligne, 3ème et 4ème image: l'ensemble = " su " ............. dernière image: la moitié de ce que regarde titeuf !
Réponse :
Sa peau était devenue blanche : affirmation. Son âme était devenue noire : supposition.
Ça, c’est juste la signature !
Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
De temps en temps, je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo
Cette fois-ci
Michael Jackson
Incontournable !
Bon partage !
Rotpier
Burka ou burka light : une prison de voiles, une prison tout court ! Le poème du jour : « Juste les yeux » de … Pierre
Préambule :
Dans ce poème j’explore surtout le cas des femmes voilées dans les pays laïcs ou non musulmans.
Je n’occulte pas pour autant le sort peu enviable des femmes des pays où règne en maître la loi des ayatollahs les plus durs.
Pierre Dupuis
Image prise sur le net
Juste des yeux,
Quelle est-elle celle-là qui,
derrière sa prison de voiles,
ne possède pour tout acquis
qu’un linceul noir et deux étoiles.
Une contrainte ou bien un choix ?
Résultat d’une servitude
dans une sphère ou l’homme est roi
ou bien un défit d’attitude ?
Et si vraiment choix il y a,
a-t-il été sans influence ?
Téléguidage et résultat
d’un grand lavage de conscience ?
Ce que je crois :
Pour la large majorité,
c’est la contrainte qui l’emporte,
habitude et passivité
… encore plus passé la porte !
Pour éviter les quolibets
de ceux que le Coran arrange
- commandements exacerbés ! -
elles se plient, elles se rangent.
Il y a dans le reliquat
bonne tranche d’adolescentes
qui se servent de ce biais là
pour bien se rendre intéressantes.
Il ne reste après soustraction
que vraiment une infime frange
de femmes dont la conviction
est bien réelle et sans mélange.
Encore que :
Il y a parmi celles-là
les immanquables ambitieuses :
de féminins ayatollahs
aux idées aussi pernicieuses !
Pierre Dupuis
Découvrez Ahmad Pirou & L'ensemble Gharnâtî De Rabat!
Allez, je reprends mon pied ! Le poème du jour: " Fantaisies sans lacet " de ... Rotpier !
Fantaisie sans lacet,
Regardez ces amoureux qui s’enlacent,
ils sont pauvres ! Mais, même sans lacet,
de leur amour, jamais ils ne s’en lassent :
ils n’auraient que faire de cent lacets !
D’aimer, jamais la fille ne s’en lasse,
le garçon le lui rend bien sans s’en lasser !
A les voir, ce que je sens là c’est :
le grand amour : dans leur jeu ça sent l’as !
Moralité :
S’enlacer sans s’en lasser,
sans lacet : c’est sûr le pied !
Mais ces souliers sans lacets,
sauront-ils sans vous lasser
vous seoir ? Ça c’est pas sûr Rotpier !
Bon, si c’est ça, salut, bonsoir !
Rotpier
Déjà publié
Petit souvenir de vacances, le poème en acrostiche du jour: " Le Bas Cadin " de ... Pierre
Préambule :
Petite célébration ( en acrostiche ) du gîte où nous avons passé de très bonnes vacances.
Ce gîte s’appelle « Le Bas Cadin » , du nom du ruisseau qui le traverse,en alimentant les deux étangs et qui se nomme « Le Cadin ».
Il est situé géographiquement à 12 Km à l’est de Bagnoles de l’Orne.
Photo de Pierre
Le Bas Cadin,
L ové dans le giron d’un écrin de verdure,
E ntre Mayenne et Orne aux confins emmêlés,
B as Cadin est un gîte où madame Nature
A ccueille avec chaleur des hôtes subjugués.
S es étangs, son ruisseau, sont des sources de vie,
C haînons très importants d’un cadre équilibré,
A joutez à cela un calme à faire envie,
D ès lors vous obtenez un lieu à célébrer !
I ncomparable îlot au charme ensorceleur,
N e cherchez pas plus loin la porte du bonheur !
Pierre Dupuis
Le Cadin ( Photo de Pierre )
Cadeau pour Papa et Maman, le poème du jour ( avec beaucoup de retard ! ) : " Regard " de ... Pierre
Cadeau,
Un cœur au bout des doigts
et mes yeux dans ce cœur,
c’est un cadeau pour toi
ô ma maman douceur !
Un cœur au bout des doigts
et mes yeux dans ce cœur,
c’est un cadeau pour toi
petit papa charmeur !
Ce cœur qui vous dit tout
et mon regard rêveur,
c’est mon cadeau pour vous
ô mes parents bonheur !
Pierre Dupuis
Déjà publié !
Les dictons ( à la c - - ! ) de la semaine de … Rotpier !
Les dictons à la c - - de la semaine !
Un petit jeu de mot, une petite bêtise ou …. une grosse,
un personnage caché ou bien toute autre chose : juste pour vous faire sourire ! Enfin, je l’espère !
Bonne fête à tous les saints de la semaine !
A la Saint Alban,
… tu le gardes mon J.C. !
Tu le rendras peut-être
à la Saint Fernand,
mais pas avant !
Qui se lève de bonne heure
à la Sainte Audrey,
aura, tôt, tout !
( C’est une nouvelle version de :
« Le monde appartient à ceux qui se lève tôt » )
Si tu es triste
à la Saint Jean-Baptiste,
tu le seras encore
à la Sainte Eléonore !
A la Saint Anthelme
le Rotpier ne trouve rien
et cela lui tape sur le système !
A la Saint Irénée,
naissance de Jésus*
… ne dit-on pas :
Irénée le divin enfant ?
Si !!!
*Je n’ai pas mis J.C. pour ne pas prêter à confusion
… lequel ne rend jamais rien d’ailleurs
… confusion hein !!!
Et pis c’est tout pour aujourd’hui … brav’ gens !
Bonne semaine !
Nota:
A peine revenu, je vais peut-être repartir:
je dois recevoir ma nouvelle AliceBox demain ou après demain,
il faut donc que je débranche la vieille d'avance pour échange !
Cela fait quand même plus de deux mois que cela dure !
Rotpier
Les poèmes du jour avant deux semaines de vacances ! De ... Pierre et de Rotpier !
De la Saint Norbert
à la Saint Alban,
le Rotpier et Pierre
pointerons absents !
Je vous laisse pendant 2 semaines (sans virgule après pendant !) le temps de quelques vacances !
Je vous laisse aussi avec deux poèmes, un de Pierre et un de Rotpier, ce qui vous permettra de comparer les deux styles !
Pour Pierre, ce sera : « Derrière la vielle porte » et pour le Rotpier : « La part des anges »
Bye Baye ! …….Comme le dit si bien Nathalie !
De Pierre:
Image du net
Derrière la vieille porte,
Un loquet bricolé
un peu à la va-vite,
pas du tout fignolé :
une invite à visite !
Un peu comme un voleur
j’entrebâille la porte :
une vague lueur
que des ombres déportent
descend de tout en haut,
de l’antique verrière
dont les étroits carreaux
sont mangés par le lierre.
Une odeur de copeaux
un peu moisis domine,
la poussière au repos
agace les narines !
Un oiseau prend son vol
… deux … trois ! Je les dérange !
J’entends aussi au sol
des petits bruits étranges.
Et dans le clair-obscur,
là-bas, quelques yeux brillent !
Les toiles sur les murs
et les poutres fourmillent !
C’est un vrai paradis
pour légions d’araignées
rejoignant leurs abris
dans de larges saignées.
Dans ce vaste local,
des ombres se détachent :
des squelettes bancals
jouant à cache-cache !
L’éclairage manquant,
je retourne à la porte
et tire en grand l’ouvrant
que trois vieux gonds supportent.
Leur grincement râleur
me perce les oreilles :
l’huile, pour leur malheur,
a cessé ses merveilles !
Et … je découvre alors
que la vieille bâtisse
recèle un vrai trésor :
une antre d’ébéniste !
Image du net
Tout est resté figé,
tout est resté en place !
Un buffet étagé,
juste au milieu, rêvasse.
Il se sent estropié
sans sa belle rosace
qui gît là, à ses pieds,
et n’a jamais prit place !
Les grands squelettes noirs
ne sont que les machines
qui du matin au soir
sentaient bon la résine.
Une scie à ruban
dont la lame rouillée
entoure ses volants
qui semblent verrouillés.
Un gros tas de copeaux
sur la dégauchisseuse,
lui fait comme une peau
épaisse et granuleuse.
Le profil compliqué
du fer de la toupie
attend pour fabriquer
des profils en copie.
La mèche à mortaiser
semble toujours vaillante,
prête à réaliser
son action pénétrante !
Dans le fond l’établi,
de construction solide,
est encombré d’outils
semblants des plus valides !
Des valets, des rabots,
une grande varlope,
des gouges, des ciseaux,
une équerre cyclope.
Un compas d’épaisseur
et puis un autre à verges,
des tampons polisseurs
et une ardoise vierge.
Un pot de brou de noix
et de la cire en boite,
du vernis, un chinois
et aussi de la ouate.
De nombreux gabarits
aux formes travaillées,
de la toile émeri
dans des bandes taillée.
Des chiffons de coton
et d’autres en longue laine,
des pinceaux à poils longs :
au moins une dizaine !
Tout est resté figé,
tout est resté en place.
J’entends un bruit léger
et je fais volte-face !
Des cheveux en chignon
d’une blancheur parfaite,
un corsage en crépon,
pas du tout stupéfaite :
la vielle dame est là
et son pâle sourire :
« - Mon mari n’est plus là,
je voulais vous le dire.
Voilà vingt ans déjà
qu’il dort au cimetière,
mais rien n’a bougé là,
même pas la poussière.
Le vieux buffet attend
sagement sa rosace,
il attendra le temps
que je cède la place.
Peut-être bien qu’après,
un tout jeune ébéniste
tirera un long trait
sur ce silence triste ?
En repartant, Monsieur,
refermez bien la porte,
le loquet est très vieux
… à mon image en sorte. »
Pierre Dupuis
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De Rotpier :
La part des anges,
Venez donc par ici, vous que l’on appelle anges !
J’ai deux mots à vous dire et je serais très franc,
j’ai appris l’autre jour un truc qui me dérange :
en douce vous sniffez, voilà qui est navrant !
Vous êtes offusqués ? Oh ! Les saintes- nitouches !
C’est bien vous et pas moi qui entrez dans les chaix
et qui, mine de rien - ça vaudrait des cartouches ! -
respirez les vapeurs d’alcools de grand cachet !
Un vieux bouilleur de cru m’a appris la nouvelle
au pied d’une barrique où je faisais station
afin de déguster une fine pucelle
de tout embouteillage et de toute addition !
Le brave homme m’a dit : « passe-moi les timbales,
on va se la goûter, on s’ra pas les premiers !
Y a des petits malins, faut voir ce qu’ils trimbalent,
quand ils sortent d’ici plus beurrés qu’un crémier !
Je te le dis mon gars, un sacré coup dans l’aile,
qu’ils ont les emplumés : ils sont soûls comm’ cochon,
Ils entonnent des chants qui causent de jar’ telle,
de cuisse très légère et même de nichons !
Leur patron, le barbu - faiseur de privilèges -
a décrété un jour qu’ils avaient le devoir
de goûter sans payer - c’est un vrai sacrilège ! -
à tous les casse-geule et du matin au soir ! »
Maintenant que je sais, tous les jours de biture,
je vous vois tournoyer : vous volez de travers !
Quand vous rentrez là-haut, c’est toute une aventure :
la part des anges c’est, parfois, un peu pervers !
Pour peu qu’en arrivant, vous ayez les paupières
plus lourdes que du plomb, le gardien de là-haut,
qui ne rigole pas, je parle de Saint Pierre,
doit vous enguirlander : je vois bien le tableau !
Quand l’alcootest monte à trois grammes cinquante,
voir encore un peu plus les grands jours de java,
vous devez avoir droit à la grande soufflante,
peu importe l’alcool : le marc ou le calva !
Moi ce qui me désole et vraiment me dérange,
c’est que pour picoler, il me faut du pognon,
jamais - au grand jamais ! - je ne serais un ange,
je casquerais toujours et ça me rend grognon !
Rotpier
A un de ces jours brav' gens !
Pierre et Rotpier
Arrêter de fumer ou, les effets conjugués du tabac par … Rotpier le … fumeur … un peu fumiste … quoique, là, il serait plutôt sérieux !
Petit dialogue autour de :
« Fumer tue »
« - Hier, fumais-tu ?
- Oui.
- Aujourd’hui, fumes-tu ?
- Oui.
- Demain, fumeras-tu ?
- Je ne sais pas.
- Bon, maintenant, conjugue-moi le verbe « fumer » au présent de l’indicatif.
- Heu … j’y vais :
je fume
tu fumes
il fume
nous fûmes … ( aïe ! ça sent le brûlé ! )
vous fûtes … ( et flûte ! )
ils furent … ( dur, dur ! )
- C’est bon ?
- Non ! Mais … le lapsus est révélateur ! »
Moralité :
Si tu fumes, ton temps est conjugué d’avance
car avant longtemps tu paieras la redevance !
Du présent au passé, il n’y a qu’un pas,
passeport à trépasser : voilà bien le tabac !
Rotpier *
· Qui, hélas est un fumeur !
Pierre veut qu’il arrête, mais lui ne veut pas ! C’est un borné !
Soleil revenu oblige : Le poème du jour " Caresses astrales " de ... Pierre
Caresses astrales,
Elle allait …
légère et décidée
au travers des genets.
Souvent elle déviait,
évitant de piétiner une plante
qui eut été insignifiante
aux yeux de bien des gens !
Elle allait, légère et ravie,
dans cette lande chérie.
Un moment, elle s’arrêta,
jeta à la ronde un regard inquisiteur
et, satisfaite, sourit.
Alors, lentement, elle se déshabilla
et offrit son corps aux rayons ébahis
de l’astre dominant.
Devant tant de beauté,
sa majesté versa une larme sitôt vaporisée :
le ciel en fut, un instant, tout irisé !
Puis, reprenant vite contenance,
il assura à nouveau sa dominance
avec - sembla-t-il alors - un peu plus de douceur.
Rêvait-il à la belle
que le bout de ses doigts rayonnant caressaient ?
Peut-être …
… sûrement !
Pierre Dupuis
Déjà publié .............. ça sent les vacances ! ( en fin de semaine ! )