Nicoletta : " Il est mort le soleil " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
De temps en temps, je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
by Nicoletta
Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Mais je suis la seule à porter le deuil
Et le jour ne franchit plus mon seuil.
Hier, on dormait sur le sable chaud
Hier pour nous il faisait beau
Il faisait beau même en hiver
C'était hier
Il est mort,
Il est mort, le soleil
L'ombre est sur ma vie,
Dans mon cœur, la pluie
Et mon âme s'habille de gris.
Hier, la couleur que j'aimais le mieux
C'était la couleur de tes yeux
C'était la couleur de la mer
C'était hier.
Il est mort,
Il est mort, le soleil
Quand tu m'as quittée
Il est mort, l'été
L'amour et le soleil,
C'est pareil,
Il est mort, le soleil.
Bon partage !
Rotpier
" Les mots bleus " de Christophe qui deviennent " Les gros bleus " de ... Rotpier
Je vous offre un petit … pastiche !
A la vôtre !
Cette foi-ci :
« Les mots bleus »
de Christophe
qui deviennent :
« Les gros bleus »
de Rotpier
Recette pour bien le déguster :
1) Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !
2) On écoute religieusement l’artiste !
3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !
Donc : on écoute !
Maintenant on y va !
Les gros bleus,
Ça fait six heures que je la brutalise
Dans la chambre et pour des bêtises
Cette fille je l’ai conduite à la mairie
Je voudrais lui péter les dents
Elle me sourit
Il faudrait que je parte
À tout prix
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui marquent bien les yeux
Elle sera très ridicule
Je m’élance et je la bouscule
Pas un coup qui soit inutile
J’ai le coup de poing très habile
Et pas de contre
Et pas de contre
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui rendent malheureux
Je la cogn’rais sans la nommer
Je suis peut-être démodé
Le bruit des coups s’entend en ville
Mais je m’en fous c’est ça mon style
Et pas de contre
Et pas de contre
Il n’y a plus d’horloge elle est cassée
Comme les chevets de la chambre à coucher
En lambeaux sa chemise de nuit
Sur le cul je la revois
Qui me maudit
Il faudra bien qu’elle comprenne
À tout prix
Je lui ferais des gros bleus
On ne pourra plus voir ses yeux
Toutes les claques que je donne
Sont de grande classe et de haut vol,
Il me reste une rancoeur de bile
Mon estomac est très fragile
Et vaille que vaille
Et vaille que vaille
Je lui ferais des gros bleus
De ceux qui sont très douloureux
Fin de l’histoire et des paroles
J’ai pas besoin de protocole
Et de très longs discours futiles
Ce ne serait pas dans mon style
Et vaille que vaille
Et vaille que vaille
Je lui ferais des gros bleus
De préférence sur les yeux
Je lui ferais de très gros bleus
De ceux qui sont très douloureux
De très gros bleus
De très gros bleus
Et pis c’est tout !
A la vôtre !
Avec modération SVP !
Rotpier
Falaise d'Etretat ou d'ailleurs! Le poème du jour : " La loi des tas " de ... Rotpier
La loi des tas
ou
Avec la complicité de Newton
ou
L’art d’occire Constance,
Chute de meuf
et je suis veuf !
J’étais sa chose
et ça repose !
Tout au début
ben … moi j’ai bu !
Oh ! Quelles cuites
j’ai pris de suite !
Un peu plus tard
même un pétard !
Quelle bombance
quand j’y repense !
Le tout discret,
tout en secret !
Loin de la ville :
j’ suis pas débile !
Au quotidien,
le mec très bien :
deuil de Constance
de circonstance !
Pour moi c’est dur
soyez-en sûr,
j’ai de la peine,
ma vie se traîne.
Je prie les cieux
mon bon monsieur ,
paix à son âme
ma bonne dame.
C’était un soir,
il faisait noir,
j’étais à l’aise
sur la falaise.
Mes yeux de chat
voyaient en bas
une marée
fort déchaînée.
J’ai profité
en vérité
de la vue basse
de la bécasse !
Un croche-pied
très bien placé
et une chute
sans parachute !
De haut en bas :
la loi des tas !
Newton oblige
quelle voltige !
Bien éclaté
sur les rochers,
son corps en loques
qui se disloque !
Un scénario
bien comme il faut :
joli montage
et … l’héritage !
Rotpier
Adieu l'été, mais les rêves restent ! Le poème du jour : " Trésor coquelicot, " de ... Pierre
Trésor coquelicot,
Jupe légère et froufroutante,
corsage ouvert en calicot,
la belle est belle et envoûtante
avec ses joues coquelicot !
Cheveux au vent et mèches folles
bouche à poser mille bécots
et un sourire qui affole
sur ses lèvres coquelicot !
Très réactive à touche-touche :
acquiescement sans quiproquo
pour se faire une fraîche couche
au milieu des coquelicots !
La peau à nu - adieu corsage ! -
corps velouté comme abricot
de jolis seins pas du tout sages
aux mamelons coquelicot.
Et pour finir - pourquoi le taire ? -
jupe légère en tas bientôt
et … non ! Stop ! Plus de commentaire
sur … un trésor coquelicot !
Et pour bannir toute indécence,
sur la scène : glisse rideau !
Aller plus loin serait licence :
on en reste aux coquelicots !
Pierre Dupuis
Veau sauce Rotpier ! Le poème-délire du jour: " Mieux veau en rire " ou " Coup vache pour le veau " de ... Rotpier !
Mieux veau en rire,
ou
Coup vache pour le veau,
Veau qui rit
veau qui pleure,
un qui vit
un qui meurt :
litanie
du malheur !
Veau des champs
qui finit
veau de ville
en bouch’rie
en passant,
c’est notoire,
par la case
« abattoir » !
Pas marrant
ce jeu d’oie :
cause aux gens
qui festoient !
Côtelette
dans l’assiette,
et le veau
Marengo !
Têt’ de veau :
que c’est beau !
Le ragoût
quel bon goût,
le rôti
c’est exquis
et le ris
ça nourrit !
Pied de veau :
c’est le pied !
Mais mes pieds
perdent pied,
c’est la faute
à Rotpier !
Ça se barre
au vau-l’eau,
c’est un drôle
d’écheveau !
Un cheval
des chevaux
à cheval
ou à pied
claudiquant :
ils sont bots !
Mon cerveau
a bobo !
Stop !
Il est temps
- j’en conviens ! -
de r’ lever
le niveau :
j’en reviens
à mon veau !
Je ne peux
fair’ d’impair
sur le sort
de sa mère :
C’est très vache
pour la vache :
son petit
en frichtis !
« Mon petit,
tu es beau,
tu seras
un taureau ! »
Patati
patatras
et le v’ la
dans le plat !
Le taureau,
il s’en fout !
Au boulot
pis c’est tout !
Nouveau veau
il le faut,
un travail
des travaux :
« Y en a trois
aujourd’hui
quel boulot
les amis !
Je ne suis
pas Hercule,
mais jamais
je n’ recule,
pas question
de flancher :
si plus bon,
au boucher ! »
Veau qui rit
veau qui pleure,
un qui vit
un qui meurt !
Veau des champs
veau de ville
un méchant
vaudeville
… en les champs !
Pas marrant ?
C’est débile ?
Si c’est ça
pas de bile :
vous léchez
tout tomber !
Oui, mes vers
sont idiots,
de travers
très triviaux !
Je m’amuse
mais ma muse
est confuse
et s’excuse :
« Pardonnez
au Rotpier
son Q.I.
est tout p’tit :
pas plus haut
au bas mot
qu’un demi
cani … veau !
Veau des champs
veau de ville,
tout fumant
sur le gril !
Il est beau
le morceau
allez-y
de facto :
reprenez
un morceau
de p’ tit … veau !
Bon appétit !
Rotpier
Pluton ou : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Notons, comme disait Amélie,
que la Créte se trouve en bas et non en haut !
J'ai relevé cela: cocorico !
Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.
1) La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !
2) Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !
3) Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »
4) Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.
Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !
Aujourd’hui :
HADES chez les grecs
PLUTON chez les romains
Pluton, fils de Saturne et de Rhéa, frère de Zeus, régnait sur le monde souterrain (l’enfer en quelque sorte) où se trouvait son royaume.
Il était le gardien des morts (des fois qu’ils auraient voulu se barrer !) et il était aidé par le célèbre Cerbère, son chien à trois têtes, dont on ne sait toujours pas si il avait trois queues et si il les remuait en même temps quand il était content.
Cerbère avait pour patronyme « Léonard » et il chantait très bien ! Je vous dis cela juste pour le plaisir !
Les morts revivaient ( si ! c’est écrit ! ) mais d’une vie plus terne dans la plaine des Asphodèles (actuelle Algérie ?)
C’est d’ailleurs de là que vient l’expression : « c’est un as Faudel ! » … si !
Les plus chanceux (les favoris des dieux) accédaient aux Champs Elysées. Notre Nicolas a du donc être en cheville avec Pluton pour accéder à l’Elysée, sorte de paradis évanescent sans Vanessa mais avec d ‘abord Cécilia et ensuite Carla … quoique, avec Vanessa, on ne sait pas : il parait que le petit Nico est un chaud du bigoudi … si !
Je ne peux passer sous silence aussi, le surnom de Claude Guéant : Cerbère, le gardien de l’Elysée. On ne sait toujours pas si il possède trois queues et si il les agite en même temps quand Nicolas lui caresse la tête ?
Pluton était un type plutôt (non … pas le chien ! ) renfrogné et vu le royaume où il régnait, aucune femme ne le voulait comme époux. Il décida donc d’enlever Proserpine dont il aimait bien la fin du nom … un peu ma cousine !
Ils ne furent pas (surtout elle) très heureux et n’eurent pas d’enfant.
Je suis désolé pour cette triste fin, mais c’est la stricte vérité … mon cousin !
A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !
Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !
Rébus : réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus … sur le billet « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
Nota : C’est peut-être un faux scoop, mais avec elle on ne sais jamais : on a déjà vu Lucas !
Au PS, c’est Martine qui va être royalement secouée ! Et pour secouer un éléphant, il faut que ça bouge beaucoup !
1ère ligne, 1ère image: porte la voile !
2ème ligne, 1ère image: des marchands s'y installent ! 2ème image: en direct: " art "
3ème ligne, 3ème image: la bébête est un taon qui se prononc " tan " !
4ème ligne, 2ème image : la moitié du personnage ! Dernière image: petit de la biche !
6ème ligne, 1ère image: l'ordre d'y aller ! 2ème image: c'est un " - - - - " mec !
Ça, c’est juste la signature !
Réponse :
Manaudou à la retraite elle attendrait un enfant de Jacques on va beaucoup parler du couple Delors - Manaudou !
" Armtrong " de Nougaro chanté par Maurane : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
De temps en temps, je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Je suis blanc de peau
Quand on veut chanter l'espoir
Quel manque de pot
Oui, j'ai beau voir le ciel, l'oiseau
Rien, rien, rien ne luit là-haut
Les anges... zéro
Je suis blanc de peau
Armstrong, tu te fends la poire
On voit toutes tes dents
Moi, je broie plutôt du noir
Du noir en dedans
Chante pour moi, Louis, oh oui
Chante, chante, chante, ça tient chaud
J'ai froid, oh moi
Qui suis blanc de peau
Armstrong, la vie, quelle histoire ?
C'est pas très marrant
Qu'on l'écrive blanc sur noir
Ou bien noir sur blanc
On voit surtout du rouge, du rouge
Sang, sang, sans trêve ni repos
Qu'on soit, ma foi
Noir ou blanc de peau
Armstrong, un jour, tôt ou tard
On n'est que des os
Est-ce que les tiens seront noirs ?
Ce serait rigolo
Allez Louis, alléluia
Au-delà de nos oripeaux
Noir et blanc sont ressemblants
Comme deux gouttes d'eau
Bon partage !
Rotpier
Fable de vacances: " Le poète et sa canne et la cane de la Canne, " de ... Rotpier
Le poète et sa canne et la cane de la Canne,
Sous un soleil de plomb je pêchais dans la Canne,
une belle rivière aux confins du Morvan,
avec pour matériel une très courte canne
et un petit flotteur qui suivait le courant ;
Pour leur part les poissons devaient être en vacances
- pas une seule touche à mettre à mon compteur ! -
quand je vis arriver avec grande prestance
une cane au détour d’un méandre enchanteur.
Son port de cou altier lui donnait de la grâce,
elle glissait sur l’eau sans aucun clapotis,
son plumage irisé, de la plus grande classe,
conférait à son charme un air très abouti.
« Enchanté » me dit-elle avec beaucoup d’aisance,
d’une voix cristalline et s’exprimant très bien,
avec facilité, sans trop de suffisance,
chose extrêmement rare et ça je le soutiens !
Elle enchaînait fort bien, preuve de sa culture,
il était évident qu’elle en avait beaucoup,
bien des femmes auraient aimé cette stature :
une tête bien faite et pleine pour le coup !
« Vous êtes, cher monsieur, prédateur innommable,
pêcher pour le plaisir est un acte gratuit,
si c’était pour manger, ce serait raisonnable,
mais là je vous abhorre et ce n’est pas fortuit !
Mettez-vous dans la peau de la gent aquatique
qui cherche sa pitance et trouve vos appâts,
avec en leur milieu ce piège traumatique
que l’on nomme hameçon et qui mène au trépas.
Supposez un instant que vous preniez leur place
et que vous vous trouviez de la sorte piégé,
vous auriez bonne mine et ce serait cocasse :
tout nu au bout d’un fil, le regard ravagé !
Je m’en vais vous contraindre à retenir la chose,
jamais vous n’oublierez cette forte leçon,
regardez bien mes yeux et mes prunelles roses :
endormez vous monsieur et cela sans façon. »
Après un court sommeil - peut-être dix minutes ?-
quand je refis surface en me frottant les yeux,
elle avait disparu en me laissant en butte
à une apparition aux contours licencieux.
Assise sur la berge et remuant la queue
une sirène était à deux doigts de mes mains,
elle égrainait un chant et une hochequeue
accompagnait sans heurt son lancinant refrain.
Devant mes yeux hagards, sortis de leurs orbites,
elle mit en avant ce qu’elle avait devant
et cambra à l’arrière - oh ! la la : dynamite ! –
un profil à lever au moins trois régiments !
Sur un clin d’œil d’invite et sans réserve aucune,
elle m’encouragea à venir évaluer
sa plastique de rêve aux courbes sans lacune :
pas un petit défaut et j’en fus éberlué !
Je goûtais ses appâts sans la moindre méfiance
- elle m’avait ferré et elle tenait bon ! -
pour aller de l’avant et avec impatience,
je me mis sans retard aussi nu qu’un jambon !
Mais pour le cas précis, je manquais d’expérience :
aimer une sirène est un art bien à part !
Pas de mode d’emploi pour maîtriser la science :
je cherchais à tâtons, j’y allais au hasard !
Alors que j’essayais une énième manœuvre,
elle me décocha un coup de queue violent
en riant aux éclats, très fière de son œuvre :
je fis un vol plané des plus époustouflant !
Retombant lourdement, je perdis connaissance.
Quand je revins à moi, encore un peu sonné,
plus de sirène mais, je sentis la présence
de la cane infernale au parler raisonné.
« J’ai beaucoup de pouvoir, tu l’as compris je pense,
je peux me transformer de multiple façon,
je protège la Canne et suis sa providence :
je suis fée de nature et c’est ma profession !
Si tu reviens ici n’emmène pas ta canne,
observe seulement nature et poissons,
tu trouveras peut-être en bordure de Canne
une belle sirène et cela pour de bon. »
Sur ce dernier conseil, toujours très élégante,
elle fit demi-tour et partit lentement,
me laissant bien perplexe et chose extravagante,
tout étonné qu’elle soit passée au tutoiement !
Moralité première:
Si tu vois une canne, arrête de pêcher,
si tu ne le fais pas, tu pourrais la fâcher :
rappelle-toi toujours la cane de la Canne
et de ce qu’elle a fait, usant de ses arcanes !
Moralité seconde :
Le jour où tu viens à croiser une sirène,
sache bien qu’elle peut se muer en murène !
Avant de lutiner, n’oublie pas d’amarrer
sa queue solidement avant de l’honorer !
Rotpier