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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Tour à tour cabots puis chiens enragés et ... pas moyen de les vacciner ! La fable du jour : « Le lévrier et le corniaud, » de … Rotpier

9 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Fable

 

 

 
 

Puisque qu' " ils " ont remis ça

( au grand jour, car ils n'ont jamais cessé dans l'ombre ! ) :

... vous en reprendrez bien une petite tournée !

  


 

Avertissement :

 

Toute ressemblance ou tout amalgame pouvant être fait avec des personnages existants ou ayant existés, ne peut être que le fruit de l’imagination débordante du lecteur.

Je décline, en conséquence, toute responsabilité.

 

Rotpier

 

 

 

 

 

Images du net légèrement modifiées par Rotpier

 

 

 

 

 

  Fable écrite en l’an 200 après J.C.

  … celui de Corrèze s’entend !

 

 

Le lévrier et le corniaud,

 

Dans des temps reculés, sur notre bonne terre,

deux bêtes s’affrontaient pour avoir le pouvoir,

aucune concession, une implacable guerre

où les coups très vicieux tombaient comme pleuvoir !

 

L’une tout en hauteur et avec l’élégance

et le maintien inné du lévrier afghan,

l’autre plutôt minus, branché haute fréquence,

un corniaud agité tout aussi intrigant !

 

Chacun avait sa cour avec ses lèches bottes,

ses inconditionnels et ses traîtres aussi,

ceux-là comptait les points quand l’un plaçait sa botte,

passant dans l’autre camp sur un coup réussi !

 

Bien trop accaparés par la lutte intestine,

ils géraient le pays entre deux coups fumants,

utilisant l’appui de louches officines

que le peuple payait ma foi très grassement !

 

Au jeu du plus hargneux - et pas dans la dentelle ! -

le corniaud excellait quand il fallait toucher :

suite à un coup fourré, il déclare et martèle :

« Il finira pour sûr sur un croc de boucher ! »

 

Il me faut préciser, pour mesurer la haine,

que le grand lévrier avait fait au corniaud

un coup des plus tordus - entourloupe certaine ! - :

histoire de gros sous et paradis fiscaux !

 

Une liste de noms, sur parchemin écrite,

où figurait celui du sur vitaminé

se mit à circuler de façon hypocrite

et rendit fou furieux l’animal mâtiné !

 

Il n’était pas certain que l’autre fût coupable,

mais qu’importe après tout dès qu’il tenait un os,

le roquet se montrait tout à fait incapable

de le lâcher un peu, plus têtu qu’un blockhaus !

 

Le roi de cette époque était en fin de règne,

soutenant l’élégant, enfonçant l’agité,

du moins il essayait car la petite teigne

réagissait avec rare animosité !

 

Il finit par gagner et occuper le trône

et décida alors de raccourcir le grand

dont l’ombre le gênait partout sur l’hexagone :

pas de place pour deux, c’était constat flagrant !

 

Un procès s’en suivit mais l’absence de preuves

fit que la vérité ne sortit pas du puits.

Quelques uns la savaient, la gardant pour manœuvre

aux fins de monnayer bon poste ou bon appui !

 

 

Moralité première :

 

Depuis la nuit des temps la politique s'est faite

dans les salons obscurs des différents partis,

un couteau à la main - pas moyen d’être honnête ! -

celui qui y déroge est déjà moitié cuit !

 

  

Moralité seconde :

 

Pour réussir en politique

il ne faut pas prendre de gants,

au besoin s’asseoir sur l’éthique

et être le plus intrigant !

Et façon systématique

couper la route aux plus ardents,

tirer à fond sur l’élastique

quitte à la prendre dans les dents !

 

 

Moralité étendue :

 

C’est le même combat pour toute pyramide,

groupement, entreprise et même au Vatican,

cardinaux en conclave aux discours peu limpides :

transactions et magouille au sein de chaque camp !

Tous les coups sont permis, même les plus sordides,

des plans sont mis au point, parfois très conséquents :

buter, éliminer, il faut faire le vide

il n’y a tout en haut qu’un seul fauteuil vacant !

 

 

                                                    Rotpier

 

 
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Atlas : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

8 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour

 

 

 
 
 
 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

 

1)   La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2)   Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3)   Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

4)   Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

Aujourd’hui :    Atlas

 

 

 

Image du net.

 

Il convient de remarquer la musculature d'Atlas

qui peut presque se comparer à celle du Rotpier !

 
 
 

Atlas

 

Le Géant Atlas était le fils soit de Japet ( qui était un vrai chien ! ) et la Nymphe Clyméné ( celle qui avait inventé la climatisation avec le divin enfant ) soit du Titan Eurymédon de Medon. Ses frères étaient Epiméthée Zihunbourepif, Prométhée (n’importe quoi ) et Ménoetios à moelle et bien sûr Chabal. 

Atlas était le père des Hyades et des Hespérides et l'arrière grand-père de la désespérante Ségolène du Poitou, mais pas du tout le directeur des éditions portant son nom ... non, non, non ! ( comme dit Michel Jonasz )
Le Géant Atlas, l'aîné des frères, connaissait bien les profondeurs de la mer ( de la mère Michel aussi vu qu'il la sondait assez souvent ) il gouvernait un royaume bordé par une côte escarpée, en escarpins, et très vaste.

Ce territoire, l'Atlantide nord, se trouvait au-delà des Colonnes d'Hercule et de celles de Buren et un chapelet d'îles, où poussaient des arbres fruitiers et des grenouilles de bénitier, le séparait d'un continent plus éloigné, non relié au nôtre.

      

Colonnes d'Hercule            Colonnes de Buren

  

Les sujets d'Atlas firent des canaux et cultivèrent une immense plaine centrale dont l'eau provenait des montagnes qui l'entouraient entièrement, excepté une ouverture sur la mer. Ils construisirent aussi des palais, des bains, des hippodromes, des ports et des temples, mais pas de mosquée ni de minaret et pas non plus de projet qui tienne debout pour les socialistes.

Ils faisaient la guerre non seulement sur l'autre continent à l'ouest, mais aussi à l'est, en Égypte et en Italie, tout comme les Américains dès lors qu’il y a du pétrole ou du fric à pomper ! 

Les Egyptiens disent qu'Atlas était le fils de Poséidon qui avait donné naissance, par Clito Rix ( la sœur d’Obélix qui en avait un beau qui plaisait beaucoup à Poséidon : la preuve en est donnée par la suite ! ), cinq fois de suite, à des jumeaux.  Ceux-ci avaient prêté serment de fidélité à leur frère sur le sang d'un taureau sacrifié au sommet d'une colonne située près des abattoirs de la Villette et au début c'étaient des hommes extrêmement vertueux, portant avec sérénité le fardeau de leurs immenses richesses en or et en argent, tout à fait l'inverse du Rotpier qui n'est pas du tout vertueux mais qui ne les a pas en or comme Midas après se les être grattées ( vous suivez ou il faut que je donne des explications ? ) 

Mais un jour la cupidité et la méchanceté envahirent leur cœur et, avec la permission de Zeus, les Athéniens seuls et sans aide les vainquirent et abattirent leur puissance. Au même moment les dieux envoyèrent un déluge, qui, en un jour et une nuit, engloutit l'Atlantide tout entière; les ports et les temples furent recouverts d'une boue épaisse et il devint impossible de naviguer sur la mer, tout comme en Charente Maritime il y a quelque temps.

    Atlas et Ménoetios se joignirent à Cronos ( celui des 24 H ) et aux Titans dans la guerre funeste que leur livrèrent Zeus et les dieux de l'Olympe. Zeus tua Ménoetios d'un trait de sa foudre et l'envoya dans le Tartare avec des fines herbes, mais il épargna Atlas qu'il condamna à porter la voûte céleste sur ses épaules pour toute l'éternité.

Il l'a, depuis lors, toujours portée, sauf en une circonstance, lorsque Héraclès le remplaça temporairement lors de la récolte des pommes d’or et aussi des pièces jaunes avec Bernadette ( pas la nôtre, mais celle de Chirac ) avec le David qui n'est pas si douillet que ça !

 On parle d’ailleurs de David Douillet pour remplacer Atlas et porter le monde, ce qui rend fou jaloux le Nicolas qui, lui, ne peut porter q’une petite balle de tennis !


Certains disent que Persée ( peau lisse : elle passait des bains dans du lait de chamelle avant de se parfumer au Chamel N° 5 ) changea Atlas en pierre ( pas en Rotpier !) et en fit le mont Atlas en lui montrant la tête de la Gorgone Zola qui avait un jules qui s’appelait Emile Lieusouslémer et qui était grand copain avec Verne, vu qu’ils avaient fait ensemble le tour du monde en ballon en 80 jours chrono avec Cronos.

J’espère que vous suivez bien et rien n’est flou pour vous !

Sinon, faites un tour chez Afflelou mes loulous ! Et pis c’est tout !

 

   

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

 

 



 

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Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier

8 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus :

 je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

 

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

Et pis c’est tout !

 

Rotpier 

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Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !

7 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

 
 
 
 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

 

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

 

 Le rébus aïe, aïe, aïe ! … du jour … du Rotpier !

 

1ère ligne, 1ère image: " - - - "  César !  4ème image: c'est pas la fille qu'il faut retenir ! Dernière image: le serpent fait toujours "s" ( ceux d'après aussi ! )

2éme, 1ère image: quand le cheval n'est pas au galop, il est au " - - - - " ! ... Dernière image: en direct, le symbole de la " vie " 

4ème ligne, 2ème image: une petite pièce, ce n'est pas beaucoup, mais un " - - - " c'est " - - - " comme on dit chez les auvergnats ! ... 3ème image : Eole est le dieu du " - - - - " !

5ème ligne, 3ème image: le poisson est une " - - - - " ... et elle est au milieu ! (un simple hasard !) 

Dernière ligne, 2ème image: petite étendue d'eau !

 

Et pis c'est tout !

 

   Nota: Pierre se désolidarise complètement de ce rébus du Rotpier !  

  

  

Réponse :

 

 Avec la gastro on se vide sévère mais le plus souvent, quand même, ça reste marron !

  

Ça, c’est juste la signature !

  

 

 

 

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" Lucie " Pascal Obispo : Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

6 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 

 

 
 

 

Une fois par semaine,

je vous propose de partager les chansons

et les artistes que j’aime !

Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Pascal Obispo :
« Lucie »
 
 
 
 
 
 
 
Lucie
  
Lucie, Lucie c'est moi je sais,
Il y a des soirs comme ça où tout...
s'écroule autour de vous.
Sans trop savoir pourquoi toujours

Regarder devant soi
Sans jamais baisser les bras, je sais...
C'est pas le remède à tout,
Mais 'faut se forcer parfois...

Lucie, Lucie dépêche toi, on vit,
On ne meurt qu'une fois...
Et on n'a le temps de rien,
Que c'est déjà la fin mais...

C'est pas marqué dans les livres,
Que le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour.
Le temps c'est de l'Amour...
C'est pas marqué dans les livres,
Que le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour.
Le temps c'est de l'Amour...

Même, si je n'ai pas le temps,
D'assurer mes sentiments...
J'ai en moi, oh de plus en plus fort,
Des envies d'encore...

Tu sais, non, je n'ai plus à coeur,
De réparer mes erreurs ou de,
Refaire c'qu'est plus à faire :
Revenir en arrière...

Lucie, Lucie t'arrête pas, on ne vit
Qu'une vie à la fois...
A peine le temps de savoir,
Qu'il est déjà trop tard...

(Refrain x2)
de l'Amour...

Mmmm, Lucie, j'ai fait le tour,
De tant d'histoires d'amour.
J'ai bien, bien assez de courage,
Pour tourner d'autres pages, sâche...

Que le temps nous est compté.
Faut jamais se retourner en se disant,
"Que c'est dommage,
d'avoir passé l'âge"

Lucie, Lucie t'encombre pas
De souvenirs, de choses comme ça.
Aucun regrêt ne vaut le coup
Pour qu'on le garde en nous...

C'est pas marqué dans les livres,
Que le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour.
Le temps c'est de l'Amour...

  
C'est pas marqué dans les livres,
Que le plus important à vivre,
Est de vivre au jour le jour.
Le temps c'est de l'Amour...

 
  
  

Bon partage !

 

Rotpier

  

 

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Le CHU Charles Nicolle de Rouen ... vu par un patient prénommé ... Pierre

5 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

 
 
  
Poème écrit entre novembre 2009 et janvier 2010
... Je commence à très bien connaitre ces lieux
que je parcoure très régulièrement !
 
 
 
Le CHU Charles Nicolle de Rouen (image du net)
 
 

 A tout le personnel du CHU Charles Nicolle de Rouen,

  

  

Le CHU,

 

Ce n’est pas par plaisir que l’on pousse la porte,

on s’en passerait bien mais il le faut un jour,

quand la santé nous lâche et que le mal l’emporte

on doit bien se résoudre à y faire un séjour.

 

La première impression ? Celle du gigantisme !

La ville dans la ville où des milliers de gens

circulent en tous sens sans le moindre anarchisme :

tout est organisé, le courant et l’urgent.

 

De l’ancien hôpital avec ses murs de briques

aux nouveaux bâtiments, il faut se déplacer ,

les routes, les accès fourmillent et s’imbriquent :

les services dédiés sont plutôt espacés !

 

Cohorte de taxis et légion d’ambulances

se croisent calmement dans un respect mutuel,

c’est une convention bannissant la violence :

un îlot surprenant de calme contractuel.

 

Selon les maux couvés ou selon les atteintes,

selon les examens, selon les traitements,

on rejoint des accueils dans cette grande enceinte

différents et variés au sein les bâtiments.

 

Le plus sophistiqué, le premier de la classe,

le plus grand, le plus beau : c’est bien l’anneau central !

La convivialité régnant dans cet espace

est à coup sûr le fruit d’un travail cérébral.

 

Il faut un peu de temps pour prendre ses repères

entre les longs couloirs et les grands ascenseurs,

pour bien s’y retrouver un plan est nécessaire,

un GPS dédié serait un vrai bonheur !

 

C’est un très grand hôtel, non classé dans les guides,

avec un potentiel de mille deux cents lits !

Que vous soyez battant ou bien un peu languide,

tout est organisé : ce n’est pas la chienlit !

 

Equipes médicales et équipes soignantes

travaillent en duo pour le bien des patients,

la synergie des deux tend à partie gagnante

pour que les résultats soient les plus efficients !

 

La prise en charge est bonne et l’on nous met à l’aise

lors des consultations et lors des examens,

ce qui modère bien le naturel malaise

inhérent au patient : réaction d’être humain !

 

Quand l’heure arrive un jour de séjourner sur place,

on goûte à l’univers des unités de soins,

pour qui ne rêve pas de luxe ou de palace,

l’endroit est convivial et l’on s’y trouve bien !

 

De jour comme de nuit, le patient est au centre

des préoccupations de tout le personnel,

il suffit d’appeler pour qu’aussitôt on entre

vous demander ce qui motive votre appel.

  

Il y a tout autour, pour que cela fonctionne,

myriade de métiers qui s’occupent de tout,

du ménage à l’accueil, les fonctions s’additionnent :

plus de cent quatre vingt à mettre bout à bout !

 

La féminisation est plutôt surprenante,

rares sont les messieurs que l’on peut côtoyer !

La gente féminine est la grande gagnante,

quelques soient les raisons, pas de quoi larmoyer !

 

Quand on ne connaît pas, la première surprise,

c’est l’amabilité de la majorité

du personnel en place - et la base est comprise ! -

on sent l’engagement, la collectivité !

 

Quelquefois aux accueils on ressent une gêne :

le contact est poli, mais le sourire absent ;

ce petit manque accroît un état anxiogène

naturel dans un lieu spontanément stressant !

 

Bien rares sont les cas où un bonjour s’égare,

je n’en ai recensé qu’une minorité

et une fausse note au sein d’une fanfare

n’altère en aucun cas un air de qualité !

 

Bien que ne sachant pas où j’en suis de ma route,

je fais toute confiance à ce grand hôpital

qui m’accueille et me soigne et je n’ai pas de doute,

ce qui tous comptes faits est un bon capital !

 

                                                           Pierre Dupuis

 

 

 

 

 

 
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Le gendarme du harem : " La nostalgie de l'eunuque " , un poème tout en nuances de ... Rotpier

4 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie - humour

 

 
 
 
Les temps sont durs,
qu'importe le métier,
qu'importe les sacrifices,
il faut bien bosser, même si c'est ici :
  
  
 
Images du net
 
 
 
 
Pas de bol !
  
  
 
 

La nostalgie de l’eunuque,

 

Il avait fait le sacrifice,

pour diriger un grand harem,

de deux pièces de son service :

celles qui marchent en tandem !

 

Il était devenu eunuque

et conséquence de ce choix,

une virilité caduque :

ça marche moins bien sans les noix !

 

On ne peut pas vouloir le beurre,

l’argent du beurre et le beurrier,

il faut savoir choisir sur l’heure :

c’est le lot des aventuriers !

 

Mais à passer entre les croupes

lestes des femmes du sultan,

sans pouvoir goûter à la soupe

c’est quand même très attristant ! *

 

Parfois il versait une larme

sur son appareil estropié,

relégué au rang de gendarme

ne pouvant plus prendre son pied.

 

Il était un peu nostalgique

en les regardant dans leur bol

rempli d’aldéhyde formique :

duo fort mou dans le formol !

  

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J’entends déjà les cris d’orfraie

des grands coincés du bigoudi,

ceux que le parler vrai effraie

mais qui jouent à touche pipi !

 

Bien qu’ils soient un peu équivoques,

ces vers ne sont pas incongrus :

juste une ablation de breloques

et pas une affaire de cul !

 

C’est un poème sans luxure :

pas besoin de gesticuler !

Je ne veux pas que la censure

se mêle de l’émasculer !

 

                                             

                                           Rotpier

   

     

* Comme disait   Bernard !  ( note de Pierre )                           

  

  

  

  

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Le pastiche du jour: " Il suffirait de presque rien de Serge Reggianni " transformé par le Rotpier !

2 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pastiche de chanson

 

Je vous ressers ce petit … pastiche !

A la votre !

 

 

«  Il suffirait de presque rien »

de Serge Reggiani

 

qui devient :

 

«  Le gigolo de Saint-Germain »

de Rotpier

 

  

Image du net

  

Recette pour bien le déguster :

 

1)   Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

 

2) On écoute religieusement l’artiste !

 

3) On descend et l’on chante sur les paroles de l’affreux jojo de Rotpier !

Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que le voisin commence à hurler !

 

 

 

Donc : on écoute !

 
 
 
 

Maintenant on y va !

 

 

Il suffisait de presque rien

D’un peu plus de forc’ dans les mains

Pour te balancer du sixième

J’en rêvais depuis le matin

Dans l’appart’ de Saint-Germain

Où tu me poses des problèmes

 

Et ce n’est pas du cinéma

Boucle-là et regarde-moi

Vois les rides qui nous séparent

A quoi bon jouer la comédie

De la vieille qui rajeunit

Ça fait rigoler ton miroir

 

Un jour je vais te foutre en l’air

Et tant pis pour les commentaires

« C’est son ami elle avait finit de lui plaire

Son compte était à découvert »

 

Il suffisait de presque rien

Du pognon planqué dans un coin

Pour qu’encore une année je reste

Tu es bête mais tu comprends

Qu’en frôlant tes soixant’ cinq ans

Tu es bien loin de ta jeunesse

 

Tu ne sais même plus sourire

Quand je te vois mon cœur chavire

J’en vomis tellement c’est triste

Imagine ma vie demain

Tout à coté d’un tas en train

De se couvrir de mille kystes

 

Vraiment de quoi aurais-je l’air

J’entends déjà les commentaires

« Il est joli, comment peut-il encor’ s’ la faire

Ça doit relever de l’enfer »

 

Et ce sera bien moi demain

Qui t’emm’ ra à Saint-Germain

Dans un grand trou du cimetière

Il suffisait de presque rien

Que tu aies quarante ans de moins

Et des revenus de banquière …

 

Rotpier

 

Et pis c’est tout !

 

A la vôtre !

 

Avec modération SVP !

Sinon, cela donne ça!

 

 

Rotpier

 

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Pluton le dieu des morts en ce jour de Toussaint : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

1 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour

 

 

 
 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

 

1)   La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2)   Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3)   Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

4)   Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août 2009, un billet sur le sujet !

 

 


 

Aujourd’hui et pour la toussaint,

un billet revisité :

  

Pluton, le dieu des morts 

 

 

 

 

 

Images du net

 

 

 

PLUTON  

 

Pluton, fils de Saturne et de Rhéa, frère de Zeus, régnait sur le monde souterrain (l’enfer en quelque sorte) où se trouvait son royaume.

Il était le gardien des morts (des fois qu’ils auraient voulu se barrer !) et il était aidé par le célèbre Cerbère, son chien à trois têtes, dont on ne sait toujours pas s’il avait trois queues et s’il les remuait en même temps quand il était content.

Cerbère, Léonard de son vrai nom, chantait fort bien à trois voix ! Je vous dis cela juste pour le plaisir !

 

Les morts revivaient (si ! c’est écrit !) mais d’une vie plus terne (si terne qu’ils s’y noyaient dedans) dans la plaine des Asphodèles (actuelle Algérie ?)

C’est d’ailleurs de là que vient l’expression : « c’est un as Faudel ! » … si !

 

Les plus chanceux (les favoris des dieux) accédaient aux Champs Elysées. Notre Nicolas a du donc être en cheville avec Pluton pour accéder à l’Elysée, sorte de paradis évanescent sans Vanessa mais avec d ‘abord Cécilia et ensuite Carla … quoique, avec Vanessa, on ne sait pas : il parait que le petit Nico est un chaud du bigoudi … si !

 

Je ne peux passer sous silence aussi, le surnom de Claude Guéant : Cerbère, le gardien de l’Elysée. On ne sait toujours pas s’il possède trois queues et s’il les agite quand Nicolas les lui carresse ? Quand je dis Nicolas, il se peut aussi que se soit Carla vu qu’elle n’est pas la dernière à réagir quand elle se frotte à ce genre de truc là, la Carla !

  

Pluton était un type plutôt (non …  pas le chien qui était Cerbère, vous allez suivre à la fin !) renfrogné et vu le royaume où il régnait, aucune femme ne le voulait comme époux bien qu’il n’eut point de puce. Il décida donc d’enlever Proserpine dont il aimait bien la fin du nom … un peu ma cousine !

 

Ils ne furent pas (surtout elle) très heureux et n’eurent pas d’enfant.

 

Je suis désolé pour cette triste fin, mais c’est la stricte vérité … mon cousin !

 

Voila ce que vous devez savoir de Pluton pour ne pas passer pour des débiles profonds en discutant avec des collègues devant la machine à café !

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse !

  

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Et, pour le plaisir :

Cerbère Léonard  ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier

1 Novembre 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

Réponse pour le rébus :

 je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

 

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

Et pis c’est tout !

 

Rotpier 

 

 

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