Rébus : Réponse pour le rébus de … Rotpier
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :
C’est un rébus au poil et de brûlante actualité !
2ème ligne, 1ème image : C'est un ordre pour le petit personnage ! ... Dernière image: en direct "bi" !
3ème ligne, 1ère image : "- - -" est ce personnage ! ... 2ème image : c'est le petit et non la mère ! ... Dernière image : pour tromper les poissons carnasiers !
4ème ligne, 1ère image endroit ou se tient des marchés couverts ! ... 5ème ligne, 3ème image : ce n'est pas le dur qu'il faut prendre !
PS: Pour ma part: je ne crois pas trop aux miracles !
Réponse :
Coq contre wallaby qui volera le plus : les plumes ou les poils ?
PS : Un fin spécialiste, que je remercie, m’a signalé que le surnom des All Blacks était les Kiwis (oiseau) ! Donc, de chaque coté, ce sont donc des plumes qui ont volé et le match a été splendide !
Vive le kiwi, vive le coq ! A bas le Rotpier qui s’est gouré !!!
Mais bon, un rébus c’est un rébus, donc … vive le Rotpier !
Et pis c’est tout, non mais ! Si l’on ne s’encense pas soit même cela n’a pas de sens et au prix où sont les sens … !!!
Qu'il dit l'animal !
l
" Le géant de papier " de Jean-Jacques Lafon ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
… souvenir …
D'aller défier les dragons du néant
De vous construire des tours, des cathédrales
Sur des sables mouvants
Demandez-moi de briser les montagnes
D'aller plonger dans la gueule des volcans
Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier
Demandez-moi de réduire en poussière
Cette planète où un dieu se perdrait
Elle est pour moi comme une fourmilière
Qu'on écrase du pied
Demandez-moi de tuer la lumière
Et d'arrêter ce soir le cours du temps
Tout me paraît réalisable, et pourtant...
Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
Devant son corps de femme, je suis un géant de papier
Quand je la caresse et que j'ai peur de l'éveiller
De toute ma tendresse, je suis un géant de papier
(instrumental)
Quand je la regarde, moi l'homme loup au coeur d'acier
Devant son coeur de femme, je suis un géant de papier
Bon partage !
Rotpier
" Quel cirque la vie ! " ... Un poème de ... Rotpier
La vie nous fait plus souvent clown que dompteur !
Quel cirque … la vie !
De face, elle avait un coté chatte
… vraiment !
De dos, elle avait un coté chienne
… assurément !
… Chienne de classe … s’entend !
Oh ! oui ! Mazette !
Chienne de classe … genre levrette !
Un coté félin, un coté canin :
joli mélange pour les câlins !
Et moi, cela me plaisait bien !
Mais, cette insatiable tigresse
avait vraiment … le feu aux fesses !
Elle miaulait sur tous les toits
et elle hurlait en tous les bois !
Matous et clebs, en ribambelle,
menaient cortège en sa ruelle !
Et moi, avec des cornes pis que cerf
j’avais l’air plus con qu’un singe en pull-over !
Je lui ai dit alors : « ça suffit ma chère !
Avec la moitié de la terre
je ne veux plus partager ton lit et ta chair !
Va miauler sur d’autres toits,
va hurler en d’autres bois ! »
J’ai repris mon fouet et mes bottes
et j’ai regagné ma roulotte !
Je suis parti le nez en l’air :
j’avais besoin d’un bon bol d’air !
Mais …
La poisse restant à mes trousses
j’ai croisé une grande rousse
qui avait des airs de panthère !
Elle mit vite sa robe à terre
pour me prouver sans commentaires
que la couleur de ses cheveux
allait avec le bas au mieux !
Cela choquera les bigotes
mais je n’ai pas ôté mes bottes
pour consommer l’acte de chair
et … j’ai ressigné chez Pinder !
Rotpier
j
Image du net
Nicolas Sarkosy est papa ! Ça vaut bien un bon discours … non ? … Le tout vu par … Rotpier !
Intervention de M. Nicolas Sarkozy
Président de la République Française
A cause d’une panne de son dont vous voudrez
nous excuser, nous vous prions de lire le discours.
Chers françaises, chers français,
mes chers compatriotes,
C’est avec beaucoup de joie et d’émotion que je viens vous annoncer que je suis de nouveau papa !
Carla et moi avons fait un bébé et il est arrivé ! C’est une petite fille ! Son prénom, c’est Giulia. C’est joli Giulia n’est-ce pas ? C’est Carla qui l’a choisi. Ce qui est un peu embêtant c’est que ça se finit comme Cécilia, mais il faut bien que je fasse des sacrifices, je vais vous en demander tant. Vous voyez, je suis comme vous, je fais des sacrifices comme vous, je fais des enfants comme vous, je vous ressemble et j’espère que vous allez voter pour moi à la prochaine présidentielle !
Votez pour la continuité ! N’allez pas chercher l’aventure : là, vous savez où vous allez !
- Dans le passé, je vous ai empapaouté !
- Aujourd’hui, Je suis papa !
- Demain, je vous empapaouterai encore !
Si ce n’est pas de la continuité ça !
Vive le masochisme !
Vive l’empapaoutage !
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Vive la France !
Images du net !
Vive le net !
Vive la France !
Vive Rotpier... et pis c'est tout !
La vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille … « La nostalgie de l’eunuque, » … un poème de … Rotpier !
L’ambition oblige parfois à de lourds sacrifices
que l’on peu regretter quelque peu par la suite.
Âmes sensibles ou pudibondes,
n’allez pas plus loin : coupez !
l
La nostalgie de l’eunuque,
m
Il avait fait le sacrifice,
pour diriger un grand harem,
de deux pièces de son service :
celles qui marchent en tandem !
Il était devenu eunuque
et conséquence de ce choix,
une virilité caduque :
ça marche moins bien sans les noix !
On ne peut pas vouloir le beurre,
l’argent du beurre et le beurrier,
il faut savoir choisir sur l’heure :
c’est le lot des aventuriers !
Mais à passer entre les croupes
lestes des femmes du sultan,
sans pouvoir goûter à la soupe
c’est quand même très attristant !
Parfois il versait une larme
sur son appareil estropié,
relégué au rang de gendarme
ne pouvant plus prendre son pied.
Il était un peu nostalgique
en les regardant dans leur bol
rempli d’aldéhyde formique :
duo fort mou dans le formol !
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J’entends déjà les cris d’orfraie
des grands coincés du bigoudi,
ceux que le parler vrai effraie
mais qui jouent à touche pipi !
Bien qu’ils soient un peu équivoques,
ces vers ne sont pas incongrus :
juste une ablation de breloques
bien loin d'une affaire de cul !
C’est un poème sans luxure :
pas besoin de gesticuler !
Je ne veux pas que la censure
se mêle de l’émasculer !
j
Rotpier
Fillon - Dati : bagarre en vue pour la députation à Paris … par … Le Rotpier
Image bidouillée du Rotpier !
Le Rotpier, le journaliste qui fourre son nez partout !
Il ne faut jamais cacher la vérité … à fortiori si elle est totalement inventée !
Il y a immanquablement, dedans, une petite parcelle de véracité quand ce n’est pas une grande !
Le Rotpier
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Le Rotpier était dans la Sarthe !
Images du net bidouillées !
Et pis c'est tout !
Le Rotpier
Pâris : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !
Pâris
Pâris grandit comme sa banlieu et devint un beau et fort jeune homme qui défendait les troupeaux contre les voleurs et les porteurs de malettes, c'est à cette époque qu'il fut surnommé "Alexandre" (protecteur des hommes).
Il épousa la nymphe Oenone du couvent fille du fleuve Cébren qui était capable de prévoir l'avenir (don de Rhéa ou d'Apollon) et avait la renommé d'être une femme d'une grande sagesse (chose exceptionnelle !) et une guérisseuse réputée élue à la chambre des réputés. Comme tous les amoureux Pâris lui promit un amour éternel. Mais elle lui prédit qu'un jour il s'enfuirait avec une très belle femme et qu'il participerait à une terrible guerre où il serait blessé et que personne, sauf elle, ne saurait le guérir. Preuve que les gonzesses tentent toujours de nous entuber sévère !
Un jour qu'il gardait ses troupeaux sur le mont Ida sans Dalida je vous le rappelle, lui apparurent trois déesses, Aphrodite, Héra et Athéna conduites par Hermès avec des sacs à main. Elles cherchaient un juge, sur les conseils de Zeus, pour les départager dans un concours de beauté qui faisait suite aux événements du mariage de Thétis et Pélée le jonc.
Les trois Déesses et les trois Dauphines de chez Renault se présentèrent devant lui, dans leur nudité et chacune lui offrit un cadeau pour tenter de fléchir son choix … Oh ! Les tricheuses ! Oh ! Les tricheuses !
Héra lui promit la souveraineté sur l'Asie et de l'Europe, + des contrats avec la Chine, Athéna, la gloire des guerriers, et Aphrodite, la main de la plus belle des femmes. Ce fut à cette dernière que Pâris offrit la pomme d'or. Mais, jalouses de n'avoir point été choisies, Athéna et Héra témoignèrent à l'avenir, d'une haine farouche à l'égard du Troyen Pâris et protégèrent les Grecs en collaboration avec DSK et son FMI, c’était bien avant que le forcené du bigoudi ne rencontre Naf-Naf au Sofitel.
Puis il participa à des jeux funèbres en grandes pompes et surclassa tous les concurrents tant dans le sport que par sa beauté. Déiphobe qui était claustrophobe (son frère inconnu) alla même jusqu'à le menacer de son épée et il dut se réfugier auprès de l'autel de Zeus où Cassandre, sa sœur, le reconnut. Il fut accueilli aussitôt avec joie par son père et toute sa famille qui le croyait mort et qui avaient oublié les prédictions qui entouraient sa naissance.
Envoyé comme ambassadeur en Grèce, Pâris fut accueilli par Ménélas à pas grand-chose, roi de Sparte qui était marié à Hélène la plus belle femme du monde et qui avait lâché les garçons.
Juste avant de partir, Hélénos et Cassandre lui avaient annoncé que son départ serait le prélude à d'effroyables événements. Grâce à l'intervention d'Aphrodite et comme elle le lui avait promis, Hélène tomba amoureuse de Pâris et des Champs Elysées. De plus, Ménélas partit pour la Crète avec deux coqs aux funérailles de son grand père, Catrée et laissa l'amour se développer entre les deux jeunes gens, ce qui prouve qu’il n’était pas très futfut le Catrée !
Paris en profita pour enlever Hélène qui fut semble-t-il consentante (tu parles Charles ! Toutes les mêmes !) et avant d'embarquer, il fit main basse sur le trésor du roi. Le mariage fut consommé chaud sur l'île de Cranae.
Le chemin du retour diffère selon les auteurs. Pour les uns il fut rapide et direct tandis que pour d'autres, Héra le compliqua en suscitant une violente tempête (que ça pue) qui obligea les bateaux à aborder à Sidon en Phénicie circulaire où Pâris aurait pris la ville et quelques objets pour sa mère et pour Mamère des verts et pour Félicie aussi …si !
On dit aussi que pour garder Hélène innocente, Héra lui substitua un fantôme et cacha la véritable Hélène en Egypte chez Moubarak : Hosnï soit celui qui mal y pense !
Les diverses négociations entre les Grecs, les Troyens et DSK (qui mourrait d’envie de se la taper la belle Hélène !) pour restituer Hélène ayant échoué, la guerre devint inévitable. Au cours de la guerre de Troie, Pâris échappa de peu aux coups de Ménélas, qui l'avait provoqué en combat singulier, mais où les coups étaient pluriels. Aphrodite réussit à le cacher dans une nuée alors que Ménélas le traînait par la jugulaire de son casque. Il tua de nombreux guerriers et surtout il toucha mortellement Achille au talon bien qu'il faille admettre que la flèche fut guidée par Apollon.
Blessé lui-même par une flèche d’Héraclès que lui décocha Philoctète de noeud, Pâris fut amené devant Podalirios qui se déclara incapable de guérir la blessure empoisonnée et sa première épouse refusa de le soigner comme elle le lui avait dit une quinzaine d'année auparavant, ce qui prouve une bonne fois pour toute qu’il ne faut pas se fier aux gonzesses !
Après la mort de Pâris, Oenone prise de remords se suicida ce qui était quand même la moindre des choses à faire.
Mais Paris restera toujours Paris
et sous le pont mi-râteau, mi-rabot,
se baignera toujours Hélène
dans des postures très obscènes.
Et Fillion viendra embêter Dati
qui lui dira une candidate suffit !
Un candidat ça va
deux : bonjour les dégâts !
Deux c’est déjà une fellation
… heu … pardon : une inflation !
Mais … qu’est-ce que je raconte moi ?
Ouh ! la la ! je suis un peu fatigué, excusez-moi !
« Agora ! Agora ! » encore et toujours ! … Un poème de … Pierre
Chaque fois qu’ils manifesteront en grand nombre,
je remettrais ce poème !
Les indignés.
Retrouver cette photo et l’article sur :
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/le-mouvement-des-indignes-s-etend-a-71-pays_1040717.html
Poème publié pour la première fois en juillet 2011
l
Je publie aujourd’hui ce long poème en gestation depuis 2 mois ½, parce qu’il faut bien arrêter un jour de le reprendre sans cesse. Dire qu’il n’évoluera plus est une autre histoire tant il est lié à une brûlante actualité !
Pierre
Photo du net
Agora ! Agora !
Venez donc les amis il y a de la place
sur les places de France et de tous les pays,
montrons aux dirigeants que nous, la populace,
ne voulons plus payer pour des banquiers pourris !
Car ce sont bien ceux-là qui sont à l’origine
de la crise mondiale et de tous ses effets :
montages financiers de très basse cuisine
dont le grand chef Madoff a été le reflet !
Pour un qui a payé combien d’autres sont libres ?
Les états ont couvert d’abyssaux déficits,
mais aussitôt qu’ils ont retrouvé l’équilibre
ils ont recommencé sous les satisfecits !
Satisfecits de ceux qui tirent les ficelles :
les grands groupes mondiaux et leurs bons serviteurs
qui en profitent pour remplir leurs escarcelles
en s’infiltrant partout auprès des décideurs !
Ne nous y trompons pas quand ces vautours spéculent
sur le riz et le blé ou autres aliments,
ils savent tout à fait - mais n’ont aucun scrupule ! -
qu’ils condamnent à mort un grand nombre d’enfants !
Et le jour et la nuit et sans aucune pause,
sur leurs ordinateurs des logiciels dédiés,
triturent les marchés pour extraire leur dose
de profits sans savoir ce que c’est que semer !
On peut les rapprocher du genre des sangsues :
ils ne produisent rien et ne sont que saigneurs
qui pompent sans arrêt de manière goulue
une sorte d’impôt comme au temps des seigneurs !
Véritable racket, dîme des temps modernes,
faisant grimper les prix - certains au grand galop ! -
sous les yeux bienveillants de ceux qui nous gouvernent
et nous prennent vraiment pour de pauvres charlots !
Ils ont des revenus qui donnent le vertige,
on s’y perd en cherchant à compter les zéros !
Mais ils en veulent plus à un point qui afflige
quitte à recourir à des actes immoraux !
Ils ont échafaudé des systèmes d’embrouille :
agences à leurs pieds, dites de notation,
des outils pernicieux servant à leurs magouilles,
capables de couler sans remords des nations !
Quand je dis « à leurs pieds » ce n’est qu’un euphémisme
ces agences les ont pour principaux clients !
Pour ne citer qu’un cas illustrant un séisme
les subprimes en sont un exemple criant !
Ces agences ont donné, pendant nombre d’années,
à ces micmacs nocifs la note triple « A »,
la meilleures qui soit sans être condamnées :
laxisme ou connivence aux sommets des états ?
Taxer les plus-values : action prioritaire !
Remettre la morale enfin au goût du jour !
Resserrer nettement l’échelle des salaires :
regonfler les plus bas en pompant les plus lourds !
Un riche un peu moins riche à encore une marge
bien plus que confortable alors qu’un pauvre lui,
même avec un peu plus peine à couvrir ses charges
et petit à petit se retrouve hors circuit !
Si l’on n’y prend pas garde : attention à la casse !
N’ayant plus rien à perdre on devient très méchant,
cela peut glisser vers une lutte des classes :
l’histoire l’a prouvé qui se souvient du sang !
Essayons de rester calmes et pacifiques,
il faut en premier temps exposer nos griefs
de façon claire et nette à tous les politiques
qui vont solliciter nos votes dans leur fief !
C’est des engagements qu’il nous faut et des fermes !
Terminé le blabla : nous voulons des contrats !
A bas le baratin, il faut y mettre un terme :
ils devront rendre compte à la fin des mandats !
Ils ne sont pas à court d’annonces mensongères,
comédiens affirmés ils maîtrisent leur art,
bonimenteurs patents et dupeurs de première :
ce qui ce fait de mieux dans le genre roublards !
Ils surfent sur la vague haute de l’ignorance
de certains citoyens qui ne s’informent plus,
qui ont tout oublié de l’histoire de France
préférant aux débats la télé torche-cul !
Il faudra mettre en place un plan de vigilance
car ils vont - c’est certain ! - essayer de biaiser !
Dans ce domaine là ils frôlent l’excellence
mais il n’est plus question de se laisser baiser !
Le terme est un peu cru mais il a le mérite
d’être clair et précis et sans aucun détour :
pas de langue de bois, pas de mots hypocrites
car en face il a des chevaux de retour !
Monsieur Stéphane Hessel nous a montré la voie !
Indignons-nous vraiment, reprenons le flambeau !
Les purs politicards et bien on les renvoie,
il y a trop longtemps qu’on les a sur le dos !
Agora ! Agora ! Tout comme en Grèce antique,
décidons tout d’ici, reprenons tout en main !
Dictons nos conditions aux hommes politiques :
ils sont là pour servir les peuples souverains !
Beaucoup on oublié, seul un rappel à l’ordre
et un contrat très clair pourraient nous amener
un retour aux valeurs car il est temps de tordre
le cou à un système ô combien gangrené !
Pierre Dupuis
j
Photo du net
La fable sonnet du jour : "Carpe diem" de ... Pierre !
Nota : « Carpe diem » (quam minimum credula postero) est une locution latine extraite d'un poème de Horace que l'on traduit souvent par:
« Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain »
Image du net
Carpe Diem,
Je veux bien croire en la maxime
Et profiter du jour présent.
Du plaisir, atteindre la cime,
Ne peut être que très plaisant.
Mais ce ne vaut - ça, je l’affirme ! -
Que si l’on a pris les devants,
Que si l’on a, c’est légitime,
Préparé ce jour-là avant !
Tu peux jouer à la cigale
Ou rêver de la martingale
Mais avant je t’en prie relis
Ce bon Monsieur de la Fontaine
Qui dans une fable lointaine
Louait bel et bien la fourmi !
Pierre Dupuis