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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Le petit rébus assomptionnel et exeptionnel de ... Rotpier !

15 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

 

A la demande générale ( 1 personne =  Durdan ! ) voici un petit rébus court !

 

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

 

Juste comme ça, pour se dégourdir

 

un peu les neurones !

 

 

 

rebus 306

 

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

C’est un adage hors d'âge ( comme le calva ! ) du Rotpier !

 

1ère ligne, 1ère image : " - - - " est ce personnage ! 
2ème ligne, dernière image : 0, 5  Km/h  ce n'est pas du rapide !
3ème ligne, 3ème image : c'est justement ici que mon rébus se situe !
Et pis c'est tout !  ...  A la vôtre camarade !  Et n'oubliez pas cet autre adage qui n'est pas de moi :

 

Mieux vaut être bourré que con: ça dure moins longtemps !

  

      Réponse :

Qui croise un zébu parlant à un barbu dans un bar a bu ! 

 

 


 

Qu'il dit l'animal !

 

 

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Poésie loufoque du jour : "Mon chat, Malo" de ... Rotpier

14 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

 

Comme nous sommes à la mi-août ... vive la mi-août ... et pis c'est tout !

 

Chat alors !

                                                                                          Image du net
  
  
 

Mon chat, Malo,

J’avais un chat, un chat tout rose,

un chat marrant nommé Malo,

il picolait et la cirrhose

rendait tout mou mon chat Malo !

Non, ce n’était pas un chat teint :

sa couleur était naturelle

et le rose lui allait bien

comme il va aux joues des pucelles !

Arlette trouvait mon chat beau,

moi pas le sien bien qu’il fut rose !

Elle me traitait de chameau

de bon à rien, de pas grand-chose !

Son allure était peu féline

bien qu’il ne fut point bilboquet !

Il a, me disait ma cousine,

une démarche « chat loupé ! »

Il partait souvent en cavale

avec son pote, un chat pelé,

sous les injures en rafale

des grenouilles de bénitier !

Un autre chat, gros comme un clou,

créchant du coté de Montrouge,

les rejoignait à pas de loup,

un chat peu rond tout à fait rouge !

Il aimait bien faire le clown,

juché sur le bord d’un pupitre

au milieu de mon living-room

et nous avions droit au chat pitre !

Des voyous l’ont pris en otage,

ils en voulaient à mon pognon !

Ils m’ont envoyé ce message :

« Si tu tiens à ton chat : rançon ! »

Hélas, je n’avais pas d’oseille

et comme je n’ai pas payé,

ils m’ont envoyé ses oreilles :

c’est là que j’ai beaucoup pleuré.

Pour les sauver de la poubelle,

je les ai piquées au formol :

sur mon buffet, elle sont belles

bien calée dans un petit bol !

Vous rigolez à perdre haleine

alors que je pleure à tout va,

vous me faites beaucoup de peine :

je vais me soigner au calva !

Cette histoire sans queue ni tête,

je la porte comme une croix,

je n’aurais jamais cru, c’est bête,

vous voir autant pliés ma foi !

  
                              

                                         Rotpier
  
Image du net

La croix des templiers du chateau de Gisors (27)

située à 12 Km de chez moi !

 
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Vive la Bretagne, vive les bretons ! La petite chanson de jour : « De Pluméliau à Remungol, » de … Rotpier

12 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

Allez, dernier devoir de vacances bretonnes et c’est une petite chanson !

 

Préambule :

C’est une vieille chanson du siècle dernier que l’on chantait entre Pluméliau et Remungol, certains s’en souviennent peut-être ?

 

 

C’est une histoire d’amour un peu tumultueuse mais tout à fait vraie puisque je l’ai inventée ! … Mais je vous laisse la découvrir et trouver l’air pour la chanter !

 

 

De Pluméliau à Remungol

Image du net

 

De Pluméliau à Remungol,

 

J’arrivais droit de Pluméliau

j’avais mis mon plus beau chapeau

je voulais aller voir Nicole

une fille de Remungol.

 

Refrain :

 

De Pluméliau à Remungol

entre gars et fille on rigole

et après deux ou trois bécots

ça fini en bête à deux dos !

 

J’ l’avais rencontrée au marché

où elle vendait des poulets

des patates et du cerfeuil

et elle m’avait tapé dans l’œil !

 

(Refrain)

 

Il faut dir’ qu’ell’ s’était penchée

pour me faire voir ses poulets

c’est à ce moment que j’ai vu

que sous sa robe elle était nue !

 

(Refrain)

 

Je n’ai pas tâté ses poulets

mais j’ lui ai dit qu’après l’ marché

je tâterais bien autre chose

elle m’a dit : « Allez, chiche, ose ! »

 

(Refrain)

 

Je l’ai aidé à remballer

sans arrêter de reluquer

elle ne prenait pas la mouche :

elle était loin d’être farouche !

 

(Refrain)

 

En revenant à Remungol

elle a arrêté la carriole

dans un chemin près de l’Evel

je l’ai retâtée de plus belle !

 

(Refrain)

 

Elle m’a dit presque aussi tôt :

« Je suis pour la bête à deux dos

je suis à point, allez fait vite,

ne traîne pas je veux la suite ! »

 

(Refrain)

 

Le cheval s’est bien rincé l’œil

ainsi qu’un petit écureuil

qui tout en mangeant des noisettes

applaudissait nos galipettes !

(Refrain)

 

En se relevant ell’ m’a dit :

« Au revoir on se voit mardi

tu m’aideras pour la carriole

et on r’ fera des cabrioles ! »

 

(Refrain)

 

J’étais mordu, j’étais accro

le mardi je suis parti tôt

pour lui donner un coup de main

et bien autre chose en chemin !

 

(Refrain)

 

En arrivant à Remungol

j’ai vu tout près de la carriole

un gars qui aidait ma Nicole

à charger poulets et bricoles !

 

(Refrain)

 

Comme je suis un gars jaloux

je n’ai pas apprécié du tout

mais elle m’a dit en riant :

« Je n’ai pas trop de deux amants ! 

(Refrain)

 

Quand c’est un matin de marché

j’ai besoin d’aide pour charger

et quand le marché est fini

il faut recharger tout l’ fourbi !

 

(Refrain)

 

Comme je n’ai pas les moyens

de payer pour avoir quelqu’un

j’embauche et je paie en nature :

pas de papiers, pas de factures !

 

(Refrain)

 

Et si cela ne te plait pas

j’ai déjà repéré des gars

qui voudraient tâter mes poulets

et en plus ils ne sont pas laids ! »

 

(Refrain)

 

L’autre gars un nommé Roger

m’a dit : « On ne va pas se tuer

elle a un tel tempérament

qu’il lui faut au moins deux amants !

(Refrain)

 

Elle est plus chaude qu’un réchaud

et si elle était une auto

ell’ n’aurait pas besoin c’est clair

d’avoir le plus petit starter !

 

(Refrain)

 

On la partage et puis c’est tout

un seul n’en viendrait pas à bout

pas moyen de la contenter

on y laisserait la santé ! »

 

(Refrain)

 

Je lui ai dit : « Top-là mon gars

c’est entendu on fait comm’  ça

on va vivre à trois à la colle

toi, moi et la chaude Nicole ! »

 

(Refrain)

 

Et cela marche du tonnerre

nous avons évité la guerre

il faut toujours des compromis

pour éviter les lourds conflits !

 

(Refrain)

Si les Grands en faisaient autant

au niveau des cinq continents

notre aventure avec Nicole

serait vraiment un cas d’école !

 

(Refrain)

 

Et puis à bien y réfléchir,

à bien compter sans coup férir :

pas d’inflation chez les cocus

à part qu’ils seraient tous connus !

 

(Refrain)

 

Aux sommets internationaux

les chapeaux se porteraient haut

casquettes, képis ou bicornes

pendouilleraient en haut des cornes !

 

         Refrain terminal :


De Pluméliau à Remungol

entre gars et fille on rigole

c’est comme ça crénom de nom

que naissent les petits bretons !

 

 

                                 Rotpier

 

 

 

 

 

 


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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

11 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

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Le petit rébus dominical de ... Rotpier !

10 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

 

Juste comme ça, pour se dégourdir

 

un peu les neurones !

 

 

 

rebus 305 (1)

rebus 305 (2)

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

C’est connerie du Rotpier : n'ayons pas peur des mots !  Il est court ( le rébus ! ) et se termine par un mot que vous ne trouverez pas dans les dicos mais qui donne toute la finesse à ce rébus car, n'ayons pas peur de le dire aussi : je frôle parfois le génie sans toutefois ne jamais le rattraper !  ... Amen !

 

2ème ligne, dernière image : le garçon " - - - - -  " ...au présent ! (l'autre aussi ! )

4ème ligne, dernière image : si ce n'est pas un océan, c'est  ............  !

5ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre la fille !

6ème ligne, 3ème image : les musulmans disent qu'il est grand ... moi, je ne sais pas,  je ne l'ai jamais fréquenté ! Et ... c'est à partir de là que commence le mot qui n'est pas dans le dico et qui fait que je frôle le génie !

  

Et pis c'est tout !  ...  A vous de mener le combat ! 

 

Réponse :

 

Confondre les pêches Melba et les peshmergas c’est confiner à l’abskurde !


 

Qu'il dit l'animal !

 

 

 

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Pierre Perret : "Blanche" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

9 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Musiques et chansons que j'aime

 

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
 
Cette fois-ci :
Pierre Perret :
 « Blanche »

Un grand moment de tendresse dans ce monde de bruts !

.

 

;
Blanche,
;
Voici exactement voici messieurs mesdames
Comment l'amour creva mon horizon sans joie
Elle s'appelait Blanche et c'était une flamme
Mais oserai-je un jour chanter ce refrain-là
En entrant dans le lit je l'ai sentie nerveuse
Sur le drap de couleur sa chair devint rosée
Sa peau me criait vient et sa bouche fiévreuse
Murmurait pas encore refusant mes baisers

Blanche oh ma Blanche
Sauvage au rouge coeur
La courbe de tes hanches
Je m'en souviens par coeur

Blanche était un volcan c'était plus qu'une flamme
Un brasier que nul homme n'avait pu allumer
Moi j'ignorais ses dons je ne sais rien des femmes
Et je n'ai su qu'après que j'étais le premier
Que ma plume aille droit s'il faut que je l'écrive
Tandis que ses seins ronds échappaient à mes mains
Que ses cuisses fuyaient comme deux truites vives
Moi fou déconcerté je n'y comprenais rien

Blanche oh ma Blanche
Ton regard suppliant
D'animal pris au piège
Je le revois souvent

Je me suis fait pêcheur pour attraper ces truites
Je me suis fait sculpteur pour mouler ses seins blancs
J'ai dû lutter des heures avec cette petite
Furie qui aiguisait sur moi ses jeunes dents
J'ai chevauché ainsi ma plus belle pouliche
Alors que je traînais mon ennui dans Paris
Je cherche en vain depuis cette orchidée de riche
Qui dans ma pauvre chambre un beau soir a fleuri

Blanche oh ma Blanche
Sauvage au rouge coeur
Le piment de tes lèvres
Est resté en mon coeur
.
 
 

Bon partage !

 

 

Rotpier

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Avant dernier devoir de vacances : " Le moulin de la Boulaye, " ... un poème de Pierre !

7 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

Un autre poème sur ce moulin qui me plait beaucoup !

 

 


DSC00254 (2)

Photo personnelle

 

Préambule :

A vous qui êtes les hôtes de ce lieu chargé d’histoire, écoutez … écoutez bien ou … lisez-moi …

 

 

Le moulin de la Boulaye,

 

Et si ce gîte avait une âme ?

… il en a une c’est certain !

Concentrez-vous, écoutez bien

… vous l’entendrez je le proclame !

 

Il faut du calme et du silence

et énormément d’attention

pour entrer en conversation

et recueillir ses confidences.

 

Il faut aussi qu’il ait confiance,

dans le passé il a souffert,

l’abandon ressemble à l’enfer

… il en a vécu l’expérience !

 

Moi qui ai eu le privilège

de recueillir ses souvenirs,

tout ce qu’il a pu ressentir,

me taire serait sacrilège !

 

Pour ceux qui n’auraient pas la chance

d’entrer en contact avec lui,

je vais vous brosser aujourd’hui

sa vie, sa mort, sa renaissance.

 

Qui mieux que lui pourrait décrire

tout ce qu’il a pu endurer,

aussi je le laisse parler

et en douceur je me retire.

 

xxxxxxxxxxxxxx

 

« Je suis né par le fait des hommes

pour un travail bien défini

qu’ils réalisaient jusqu’ici

comme de vraies bêtes de somme !

 

Pour obtenir de la farine

il fallait broyer très très fin

toute une variété de grains :

la poudre devait être fine.

 

L’homme avait inventé les meules

tournées par lui ou un cheval,

ce n’était déjà pas si mal

au vu des aïeux et aïeules !

 

L’idée de la force hydraulique

fut un progrès très ingénieux

et vite on rechercha des lieux

où implanter les mécaniques.

 

Un étang ou une rivière

à proximité d’un chemin

avec des fermes pas trop loin,

voilà les conditions premières.

 

La Boulaye a vu ma naissance,

après les essais convenus

mon premier meunier est venu

et nous avons fait connaissance.

Nous sommes entrés en symbiose,

nous nous sommes appris par cœur

pour fabriquer avec ardeur

de la farine en virtuoses !

 

Nous avions une renommée

de sérieux dans tout le canton,

moi le moulin, lui le patron :

la confiance était proclamée.

 

Mais les hommes ont la vie brève :

j’ai usé beaucoup de meuniers !

Moi, on savait me réparer,

eux c’était plutôt marche ou crève !

 

Mais un jour survint une fée

appelée électricité

qui sans la moindre charité

nous supplanta en peu d’années !

 

Fée pour les uns, pour nous sorcière !

Impossible de résister,

un à un nous avons fermé,

tous en déroute financière.

 

Je ne fus bientôt plus que ruines,

complètement abandonné,

ma roue cassée, mon toit crevé :

 

adieu meunier, adieu farine !

 

 

 


DSC00191

 

Photo personnelle

 

Pendant des dizaines d’années

je suis resté prostré et seul,

pas de tombe, pas de linceul :

une terrible destinée.

 

J’étais tout près de l’agonie

quand un miracle est survenu,

on m’a aidé et secouru :

je suis revenu à la vie !

 

Bien sûr pour moi plus de farine,

mais j’aime mon nouvel emploi,

il me plait d’avoir sous mon toit

 

des gens admirant ma vitrine !

 

 


DSC00205 (2)

Photo personnelle

 

C’est le résumé de ma vie,

si vous le trouvez trop succinct

un jour j’irais un peu plus loin

si vous en ressentez l’envie ! »

 

xxxxxxxxxxxxx

 

Je vais reprendre la parole,

simplement pour vous saluer

et vous priez de continuer

d’entretenir son auréole.

 

Gardez-lui bien, il la mérite,

il a vu les siècles passer

et il a failli trépasser,

que jamais elle ne s’effrite !

 

                             

 Pierre Dupuis

 

 

 

 

 Le privilège du poète

est de savoir communiquer

avec les choses et les êtres

 

et ensuite de partager.

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Israël, bande de Gaza, Hamas, Tsahal … L’apophtegme et le poème du jour de … Pierre

5 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Poésie

 

L’apophtegme du jour :

 

Au Moyen-Orient, c’est l’engrenage.

Les colons juifs amassent, ils sont attaqués par le Hamas et c’est le peuple palestinien qui ramasse.

La fin du tunnel n’est pas pour demain tant les idéologies d’extermination des uns et des autres sont exacerbées.

Chars israéliens contre rockets du Hamas : éternelle sarabande meurtrière de Gaza.

Mais cette fois-ci, l’armée israélienne en sortira les mains encore plus Tsahal.  

 

Pierre

 

Aux dernières nouvelles, les chars se retirent ….

 

 

 

 


char

Image du net

 

Marche arrière,

 

Prudemment ils font marche arrière

pour ne pas exposer leurs flancs.

Ils repassent dans leurs ornières,

monstres d’acier grondant, soufflant.

 

A l’intérieur, peu de lumière,

table de tir et clignotants,

dans leurs viseurs : murs en poussière,

parfois debout mais tout tremblants !

 

Même trajet, mais plus que ruines,

un résultat à la hauteur

pour les hommes et leurs machines :

 

ils ont nettoyé le secteur !

Pour les regrets, ils n’en ont guère,

ils sont coutumiers de la guerre !

 

 

 

                                 Pierre Dupuis


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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

4 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !

Bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

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Le petit rébus dominical de ... Rotpier !

3 Août 2014 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

 

Juste comme ça, pour se dégourdir

 

un peu les neurones !

 

 

rebus 304 (1)

rebus 304 (3)

 

Petite aide au rébus (les champions s'en passeront !) :

 

C’est connerie du Rotpier : il les fait en série l'animal ! 

 

1ère ligne, 1ère image:le serpent fait "s" ... l'autre aussi : ils sont frères !  3ème image : "  - - - " est ce personnage ?  ... les deux autres aussi ! 
3ème ligne, 2ème image: quand on se pince le nez, c'est que ça  " - - - " ! Dernière image : la moitié du personnage !
4ème ligne, 3ème image : lieu ou se tiennent encore quelques marchés !
5ème ligne, 1ère image : accessoire utilisé par le pêcheur  pour tromper les carnassiers ( brochets ou autres ) !
6ème ligne, dernière image : le biscuit phare de la biscuiterie Nantaise !
7ème ligne, 2ème image : prendre la moitié de la marque !
( c'est aussi la moitié d'un roman du bon vieux Totor ! )  
8ème ligne, 1ère image : il ne faut pas prendre le court !
10ème ligne, 3ème image : en direct " bi " !

 

 

Et bi c'est tout !  ... Vous allez peut-être vous le gratter ! 

 

 

Réponse :

Ceux qui croient que l’occiput est un serial killer sévissant dans les lupanars l’ont dans l’os, qu’ils se fourrent bien ça dans le crâne ! 

 


 

Qu'il dit l'animal !

 

 

 

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