" J'en ris sous cape " ... j'espère que cela fera un tabac ! Un poème-chanson de ... Rotpier !
Allez, un petit article pour se consoler
de l’augmentation du tabac !
Restons gais !
Image du net
J’en ris sous cape !
Alors que j’étais à Cuba
en vacances avec ma nana,
ell’ m’a laissé - ça désarçonne ! -
tomber pour une belle autochtone !
Là, j’en suis resté sur le cul :
en deux ans quatre fois cocu !
Les femmes étant trop décevantes,
je me suis tourné vers les tantes !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
C’est le conseil que m’a donné
un ami, un ancien curé,
qui ne porte plus la soutane
et qui habite à La Havane.
Quand il a quitté son boulot,
il m’a dit : « Les fidèles cass’ trop !
Ils sont obèses et je précise
qu’ils pètent les bancs des églises ! »
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Si mon ami est défroqué,
il n’a pas sa cuti viré !
Mais il connaît bien les tapettes
et m’a dit comprendre ma quête :
« Si tu veux fair’ ton trou là-bas
c’est mieux d’être sans poils mon gars !
Si tu veux à tout prix séduire,
tu dois t’épiler à la cire !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Tu n’es pas grand, t’as le cul bas :
c’est un très bon atout pour toi !
Tu vas les rendrent fous ces folles :
tu va passer à la cass’ role !
Ils vont vite fait t’allumer
tu risques même de fumer !
Tu va passer à la tournante :
ça se pratique chez les tantes !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Tu vas remarquer dans le lot
un mec surnommé Ernesto,
en moins de deux il va te faire
le coup du révolutionnaire !
Pendant qu’il sera dans ton dos
tu tiendras des petits drapeaux !
Une position pas facile
même les années bissextiles !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Si tu vois sans son goupillon,
arriver l’abbé Décochon,
un vieux copain de séminaire :
sache qu’il connaît bien l’affaire !
Il est encore un peu curé
mais à cent pour cent bilboquet !
Quand un garçon passe à confesse
il faut qu’il planque bien ses fesses !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Maintenant je vais te quitter
car en France il me faut rentrer
dans le Morbihan, en Bretagne,
j’ai déniché une compagne !
En comptant l’avion et le train,
j’aurais bien six arrêts au moins
car en excluant les pannes,
y a six gares de là à Vannes ! »
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Moralité :
Que l’on soit ici ou là-bas,
qu’on ait le cul haut ou bien bas,
pour éviter d’être maussade
soignons-nous à la rigolade !
Si cette histoir’ fait un tabac
j’espère bien que de Cuba :
je recevrais quelques havanes,
des purs, des vrais, sans cellophane !
( Refrain à bisser ! )
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays
Si tu vas chez les gays vas ras !
Rotpier
Dieudonné et ses quenelles : L’actualité vue par le Rotpier !

Avis à la population !
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !


Réponse :
A son vieux cobra très fatigué le charmeur de serpent était obligé de donner un peu de Viagra !
Qu'il dit l'animal !
Charles Aznavour : "La Marguerite " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
L
La Marguerite
C´était la Marguerite on l´appelait Malou
Déjà toute petite elle nous rendait fou
Elle riait d´un rien et se moquait de tout
La Marguerite
La Marguerite
Elle avait quelque chose, un étrange pouvoir
On portait son cartable, on faisait ses devoirs
On en parlait le jour, on en rêvait le soir
La Marguerite
De l´école au lycée on l´a vu s´épanouir
Et fleurir sa beauté, ses formes et nos désirs
Le secret de chacun était d´un jour cueillir
La Marguerite
La Marguerite
Bien que copain-copain on lui tournait autour
Jaloux les uns des autres on lui faisait la cour
Mais sage elle attendait l´unique et grand amour
La Marguerite
La Marguerite
C´etait la Marguerite ange de nos seize ans
On l´a trouvée un soir inconsciente au printemps
Violée souillée baignante dans ses larmes et son sang
La Marguerite
La Marguerite
On a fait ses battues, armés de nos fusils
On a lâché les chiens, on a fouillé la nuit
Et traqué sans merci celui qui avait sali
La Marguerite
C´etait un gars d´ailleurs, pas un gars de chez nous
Un salaud de passage, un maniaque, un voyou
Qui a su s´en tirer en traînant dans la boue
La Marguerite
La Marguerite
Depuis elle n´a plus ni souri ni chanté
Elle est morte au-dedans comme une fleur fanée
Comme une fleur de nuit, comme une fleur seche
La Marguerite
La Marguerite
C´etait la Marguerite, on l´appelait Malou
Aujourd´hui les gamins lui jettent des cailloux
Elle suit son chemin indifférente à tout
La Marguerite
La Marguerite
Traversant les saisons à petits pas nerveux
Elle va noir vêtue sans relever les yeux
Sans amis, sans amour, sans le secours de Dieu
La Marguerite
Moi je lui trouve encore une étrange beauté
Dans son deuil de la vie, dans son austerité
Et je vais en secret souvent reconforter
La Marguerite
La Marguerite
Elle m´offre un café, écoute mon discours
Le même chaque fois parlant de son retour
A la vie, à l´espoir pour lui donner l´amour
Qu´elle mérite
La Marguerite
Bon partage !
Rotpier
Le poème du jour : " Le terrible sultan " de ... Rotpier ... un drôle de gugusse !
Après " Le mal d’eunuque "
… un autre mal d’eunuque … à éviter à tout prix !
Le terrible sultan,
C’était un sultan très méfiant
Et d’une cruauté farouche,
Un rictus collé à la bouche
Le rendait vraiment terrifiant !
Pour un écart insignifiant
Il prenait aussitôt la mouche :
À toutes ses femmes - pas touche ! -
Ou coup de sabre foudroyant !
Devant sa jalousie démente
Et ses colères permanentes
Ses eunuques mettaient les bouts
Avant que leurs esprits ne tanguent :
Il était à ce point jaloux
Qu’il voulait leur couper la langue !
Rotpier … un drôle de gugusse !
Constat amer :
Si un eunuque - pauvre gus ! -
Doit aussi perdre sa baveuse
Comment rendre une femme heureuse
… même plus de cunnilingus !
Le poème du jour : " Mal d'eunuque " de ... Rotpier !
Mal d’eunuque,
Il avait accepté la chose,
C’était le passage obligé
Car pour pouvoir être engagé
Il avait fallu qu’il compose.
Très brutale métamorphose
Que de vivre en émasculé,
Même en étant très bien payé
On attrape la sinistrose.
A la retraite il devint fou
Et se mit à chercher partout
Comme Proust, à en perdre haleine.
Avec un espoir éperdu
Il partit, mais sans madeleine,
A la recherche du gland perdu.
Epilogue :
Traînant désespoir et ennui
Il erra de vaux en collines
Et entama comme Céline
Un voyage au bout de la nuit.
Rotpier
Nota : Le mal d’eunuque n’a rien à voir avec un blocage des cervicales. Il était important que cela soit précisé, ce qui est fait.
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Le petit rébus dominical de ... Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Réponse :
... Je vous avais prévenu que c'était sévère !
Qu'il dit l'animal !
Daniel Balavoine : "Lucie" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Lucie
Lucie
Oh! Lucie
Qu´est-ce qui t´amène
Lucie
Oh! Lucie
Qu´est-ce qui te gêne
Toute la ville t´appartient
Toute la ville est dans tes mains
Le reste n´est qu´histoire ancienne
Tu connaissais déjà la fin
Lucie
Oh! Lucie
C´est pas la peine
Lucie
Oh! Lucie
Que tu reviennes
Tous les hommes te regardent
Ils te salissent de leurs yeux
C´est la manière dont tu te fardes
Qui ressemble à un aveu
Toute la ville t´appartient
Tu le sais bien
La ville t´appartient
Tu le sais bien
Lucie
Lucie
Oh! Lucie
Faut qu´tu comprennes
Lucie
Oh! Lucie
Que tu te souviennes
Ces nuits entières devant la glace
Où je m´inventais de la dignité
Dans le lit, j´embrassais ta place
Et tu voudrais recommencer
Aujourd´hui la vie que je mène
A guéri ma fragilité
C´est la seule chose qui te gêne
Et que tu voudrais m´enlever
Pourtant la ville t´appartient
Tu le sais bien
La ville t´appartient
Tu le sais bien
Lucie...
Bon partage !
Rotpier