Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
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C’est d'une logique implacable et j'espère que vous ne serez pas acculée à l'impasse, vous les filles... encore que les mecs ne soient pas à l'abri de la chose ! 😃
Épicétout ! 😏
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Allez, c'est parti ! Après vous pourrez aller à la messe sans passer par des lieux mal, famés ! 😂
Réponse:
Acculée au fond d’une impasse par deux loubards à la mine patibulaire, la fille était paniquée. Cela ne mit pas longtemps avant qu’elle ne le fut.
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
Il n'est pas très facile et je répète qu'il est en lien avec le premier ! 😃
Allez, au boulot ! Et n'oubliez jamais que c'est celui qui l'est qui est le dernier à l'apprendre ! 😂
Épicétout !
Réponse :
Plaindre un cocu, c’est louable. Encore faut-il que l’on ne soit pas à l’origine du mal, car dans ce cas c’est, au mieux de la moquerie, au pire, de la perversité.
Les pensées très éclectiques, sérieuses, moins sérieuses et carrément déjantées de ... Pierre et du Rotpier
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Il y a pensées et pensées:
Celles-là :
Et celles-là :
Ces dernières sont très variées :
il y a de l'éclecticité dans l'air !
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Première pensée :
Je voudrais vous entretenir aujourd’hui de quelque chose d’assez délicat car peu de gens ont osé le faire.
Comme vous le savez, je ne suis pas du genre à raconter des balivernes et ce qui va suivre ne relève en aucun cas de Fake News, qu’on se le tienne pour dit.
Je vais vous parler des dégâts collatéraux liés aux miracles du Christ, Jésus.
Je me bornerais à n’en citer que quelques uns car il y en a eu beaucoup.
1er miracle: le changement de l’eau en vin.
Bien sûr la foule exultait ! Ce fut une grande fête et tout le monde chanta et dansa. Mais après, tout le monde fut beurré et ce fut une orgie ! Sans compter qu’avant de le faire, il s’était entraîné en changeant en vin l’eau que buvait son presque père, le charpentier Joseph. Marie, sa mère, lui avait dit : « Regarde dans quel état tu as mis ton père ! Il ne scie plus ses bois comme il faut, ils sont tout de travers et les clous sont enfoncés n’importe comment ! Sûr que la charpente ne va pas tenir longtemps ! Et effectivement la toiture s’effondra à la 1ère tempête, heureusement que les habitants, prévenus par le chien de la maison, avaient eu le temps de sortir en courant.
2ème miracle: multiplication des pains et des poissons.
Là, ce fut un grand festin où tout le monde mangea à satiété. Mais la femme du boulanger du coin, une virago de première, chopa son bonhomme en lui disant : « Tu as vu comment il a fait pour produire tous ces pains alors que toi tu en produis si peu en une nuit ? Et elle se mit à lui coller des pains et comme il tentait de se rebiffer, elle multiplia les pains ! Le malheureux ne pu reprendre son travail au fournil que trois mois après. Quant au pêcheur, il alla directement se balancer dans la mer en voyant l’abondance des poissons issus de leur multiplication.
3ème miracle: rendre la vue à un aveugle.
Le bénéficiaire en eu le souffle coupé, il voyait enfin tout ce qu’il y avait autour de lui et surtout il s’aperçu que sa femme était moche comme un pou et que sa maison était une bicoque toute délabrée. Il lui fallut plusieurs mois pour s’en remettre et c’est grâce à sa femme, très moche mais d’une bonté exemplaire qu’il s’en sorti. Il améliora aussi beaucoup sa maison qui devient vraiment belle. Pour sa femme il ne pu rien faire mais il s’y fit car elle avait une beauté intérieure incomparable.
Là, ma foi, les dégâts collatéraux furent atténués de moustiques.
4ème miracle: refaire marcher un paralytique.
Lui qui ne pouvait ni marcher, ni se bouger, retrouva toute sa mobilité et couru, gambilla et dansa toute une nuit ! Au matin suivant, quand il lui fallut reprendre son métier de mendiant il n’y eu plus une seule pièce qui tomba dans sa sébile. Les gens ne le prenaient plus en pitié. Il fut obligé de prendre un travail de brancardier dans un EHPAD du coin. Très aigri il pinçait les fesses des pensionnaires pour se venger. Une enquête interne mis fin à son travail et il se pendit.
5ème miracle: marcher sur les eaux.
Le voyant faire, trois jeunes garçons du coin essayèrent de faire de même et se noyèrent la nuit même. Leurs corps ne furent jamais retrouvés car le coin était infesté de requins et de crabes extrêmement voraces.
La suite fut la suivante :
Au bout d’un moment, sa mère, Marie, lui dit : tous tes miracles c’est bien mais où cela va-t-il te conduire ? J’ai eu un mauvais pressentiment l’autre jour en tricotant au point de croix. Si tu arrêtais un peu, cela m’enlèverait une belle épine du pied. De plus, dans tes apôtres, il y en a un qui m’inquiète beaucoup, c’est Judas. Je ne le sens pas bien celui-là ! Il a une tête de faux-jeton ! Déjà qu’il baille au travers des portes !»
Mais Jésus passa outre les recommandations de sa mère et il arriva ce qui devait arriver.
Je ne m’étendrais pas sur la suite car vous la connaissez, que vous soyez croyant ou pas.
Le Rotpier qui n’a pas toujours des paroles d’évangile, bien qu’il ait été enfant de chœur pendant six ans sous trois curés différents … je ne sais pas si la formule est bien choisie ?
Épicétout !
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Seconde pensée :
Certains se demandent : « Où habitent les moabites ? »
Je répondrais d’abord : « Où habitaient-ils, car cela se passait entre le VII -ème et le IX -ème siècle av. J.C.
Les moabites habitaient le royaume du Moab du coté d’Israël et en bordure de la mer Morte alors que le père ne l’était pas. »
Maintenant, si on me demande: « Où les mots habitent ? Je dirais: dans toutes les bibliothèques et tous les lieux où l’on trouve des livres et autres supports de communication. Ils habitent aussi dans les têtes et c’est là où ils se sentent le mieux, bien à l’abri, bien au chaud et travaillant à instruire et former les esprits de ceux qui les hébergent.
Épicétout, ce sera mon dernier mot.
Troisième pensée :
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Quatrième pensée :
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Voila, c’est terminé !
Et comme on ne dit pas à Amsterdam :
Un café, pas de joint et pas d'addiction SVP !
Le poème du jour: " Marguerite, " ou "Amour et désamour" de ... Rotpier
Image du net
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Parfois j’ai des accents de trouvère
sans pour autant être atteint de septicémie.
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Marguerite,
ou
Amour et désamour,
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Comment peux-tu Ô Marguerite
Me faire ce terrible affront
J’en ai des sueurs plein le front
Toi qui étais ma favorite.
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En effeuillant la marguerite
Tous les deux nous avions tout bon
Mais quel est donc ce Cicéron
Qui a dénigré mes mérites ?
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Au royaume du baratin
Il doit avoir au moins atteint
Le trône ou une haute marche.
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De quel manège a-t-il usé
Pour t’avoir transformée en garce
Et m’avoir ainsi abusé ?
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Prolongement :
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Quitte à finir sur l’échafaud
Je vais vous régler votre compte
Ce ne sera pas un acompte
J’ai déjà affûté ma faux.
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Nul besoin pour ce petit jeu
De me déguiser en Camarde
J’irai d’une allure peinarde
Vous trancher la tête à tous deux.
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Pas de veines supplications
Je ne ferai pas marche arrière
Vous avez franchit la barrière
Je présenterai l’addition.
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Il n’y aura pas de panier
Pour recevoir vos sales têtes
Ce sera pour moi jour de fête
Quand dedans je viendrais shooter !
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Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
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C’est un rébus qui ne sent pas très bon et qui est en relation avec le suivant ! 😃
Épicétout ! 😏
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Allez, c'est parti mon kiki et j'espère que personne ne dira que je le fais - - - -- ! 😂
Réponse:
Les pets qui sentent le plus mauvais sont les pets des anarchistes. Ce sont ceux aussi qui polluent le plus car ce sont des gaz d’anarchistes.
Nota : Avec un petit clin d’œil aux gaz de schiste bien entendu !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
Il n'est pas très facile et je répète qu'il est en lien avec le premier ! 😃
Allez, au boulot ! Si vous trouvez, vous ne serez pas les rois du pétrole ... mais quand même ! 😂
Épicétout !
Réponse :
Quand on est aux WC, que l’on a une colique carabinée et qu’en même temps on lâche un gros pet qui éclabousse tout, peut-on parler de fracturation hydraulique ?
Nota : Je vous avais bien dit que les deux étaient liés !
Les pensées très éclectiques, sérieuses, moins sérieuses et carrément déjantées de ... Pierre et du Rotpier
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Il y a pensées et pensées:
Celles-là :
Et celles-là :
Ces dernières sont très variées :
il y a de l'éclecticité dans l'air !
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Première pensée :
Tranche de vie dans la gente animale.
Première tranche :
J’ai parlé avec un grand-duc qui m’a dit : il n’y a pas que chez les hommes que l’on trouve des trouducs, chez les grands-ducs, il y en a aussi. J’en connais plus d’un, mais le pire c’est celui qui avait séduit une petite hulotte, qui était folle de lui, et qu’il traitait très mal. Un jour qu’ils s’étaient donnés rendez-vous au sommet d’un grand poteau, il vit passer une autre hulotte, qu’il estima plus chouette que la sienne. D’une bourrade d’ailes il balança sa petite hulotte qui n’eut même pas le temps de déployer les siennes et elle alla se fracasser la tête sur une grosse pierre située au pied du poteau. C’est un ami hibou qui, passant par là, m’a narré la scène. Pourtant, ce trouduc trouva un jour son maître, qui s’avéra être une maîtresse, en la personne d’une chouette chevêche qui se montra très revêche, qui lui régla son compte et puis lui dévora le cœur.
Voilà. Maintenant, si cette histoire vous effraie, je vais vous en conter une autre un peu moins sanglante.
Épicétout nom d'un hibou !
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Seconde pensée :
Tranche de vie dans la gente animale.
Seconde tranche :
Au Gabon, il y a très longtemps, alors que j’étais mercenaire ( je ne dévoilerais pas pour qu’elle organisation occulte je travaillais, elle est encore active et ne me le pardonnerait pas ) j’ai longtemps conversé avec un vieux crocodile, un vieux sage qui professait des adages, dont celui-ci :
« Ce n’est pas celui qui a la plus longue queue qui ouvre le plus souvent et le plus fort sa gueule ». Il m’a assuré que son ami Polo, l’alligator du marigot d’à côté, pensait caïman la même chose et qu’ils en discutaient longuement, allongés sur le sable chaud tout en rêvant à Madame Lacoste qui était, selon certains, belle à croquer. Chose qu’ils n’auraient jamais fait si elle était venue s’allonger près d’eux sur le sable brûlant pour bronzer. Ah ! Ils avaient du savoir vivre à en revendre ces deux-là !
Voilà. La prochaine fois, je vous parlerais de la girafe qui avait raté son coup en mettant au monde un girafon sans cou, et qui était aux cent coups, ce qui était très con pour le coup !
Épicétout ! … Pour aujourd’hui !
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Troisième pensée :
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Voila, c’est terminé !
Et comme on ne dit pas à Amsterdam :
Un café, pas de joint et pas d'addiction SVP !
Le poème salé du jour : " Guet-apens pour un trouvère " de Rotpier
Image du net, je n'ai pas été autorisé à photographier la cour d'Henri III !
Et de toute façon, sans rétroviseur, il avait trop de risques !
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Guet-apens pour un trouvère
Ou
Gays tapant dans un trou vert
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Sous Henri III et ses mignons
Il ne faisait vraiment pas bon
Ne pas surveiller ses arrières
Surtout quand on était trouvère.
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Si j’ai bâti ces quelques vers
C’est pour vous conter les revers
D’un trouvère pas du tout pervers
Qui se l’ait fait mettre à l’envers.
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C’était un guet-apens d’enfer
Sous prétexte de boire un verre
Les mignons alors le cernèrent
Et lui firent tous son affaire !
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Et dans le lot un des compères
Avait une chtouille sévère
Une blennorragie hors pair
Qu’il choppa malgré ses prières.
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Transporté dans un monastère
Pour être soigné par des frères
Il subit un autre calvaire
Les religieux en abusèrent !
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La communauté tout entière
Y compris le pauvre trouvère
Fut un ramassis de trous verts
Et le repère de moult vers !
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Ni les onguents ni les prières
N’évitèrent le cimetière
À tous y compris le trouvère
et Henry III classa l’affaire.
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Le pape ordonna des prières
Tous les curés et les vicaires
Les évêques du haut des chaires
A tour de bras les rabâchèrent.
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Cela ne fit pas revenir
Ni le trouvère ni sa lyre
C’est pour garder son souvenir
Que j’ai écrit cette satire.
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Conclusion :
Cette œuvre n’est pas un bijou
J’en suis conscient rassurez-vous
Juste quelques vers à deux sous
Mais je m’en fous et contre-fous !
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Les calotins vont me maudire
M’abhorrer et me condamner
Mais je n’en ai rien à secouer
Qu’ils aillent se faire introduire !
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Dans ma grande miséricorde
Je leur pardonne leurs péchés
Car croyant être pardonnés
Très souvent ils tiennent la corde !
Rotpier
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
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C’est un rébus très court et très sérieux ce qui est assez rare chez moi ! 😃
Épicétout ! 😏
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Allez, c'est parti mon kiki et au fur et à mesure que vous avancerez, vous progresserez ! 😂
Réponse:
Refuser de se remettre en cause, c’est mettre une croix sur toute espérance de progression individuelle.
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
Il n'est pas très long et assez facile ! 😃
Juste deux petites aides quand même :
1ère aide :
2ème ligne, 2ème image : Bande de terre séparant deux terres ou bande de terre reliant deux continents !
2ème aide :
Le titre du 6ème roman d'Amélie Nothomb pourrait vous aider ! 😝
Allez, au boulot ! Il se peut qu'il vous secoue un peu au début mais après vous vous y ferez ! Poil au nez comme dirait le Rotpier, un drôle de gazier !😂
Épicétout !
Réponse :
J’ai connu un sismologue qui poussait le vice, en faisant l’amour, de mesurer l’amplitude du tremblement de chairs sur l’échelle de Richter.
Les pensées très éclectiques, sérieuses, moins sérieuses et carrément déjantées de ... Pierre et du Rotpier
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Il y a pensées et pensées:
Celles-là :
Et celles-là :
Ces dernières sont très variées :
il y a de l'éclecticité dans l'air !
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Première pensée :
Histoire d'un curé de campagne ou tranche de vie au presbytère dans les années 50.
J'ai connu, il y a fort longtemps, un curé très sympathique et bon vivant qui s'appelait Jean Quille. Tous ses paroissiens l’appelaient l'abbé Quille. Il avait la particularité d'aller visiter ses ouailles ( des vieux paysans pour la plupart ) à moto et en emmenant son chat, qui n'était pas pelé, et qu'il avait appelé Tican. Selon un rituel bien rôdé, il arrivait dans les cours des fermes ou des maisons et mettait sa moto sur la béquille. Aussitôt, il lâchait son chat en disant aux gens: " Regardez où va Tican ! ». Le greffier, qui connaissait le coup par cœur, allait directement gratter à la porte du placard qui abritait la bouteille de rhum ! Et c'était parti pour trinquer à la santé du pape de l'époque qui était Pie XII , de son vrai nom Eugenio Pacelli, et qui n'avait pas été très chaud pour condamner Hitler et les nazis, je crois me souvenir de cela.
Après avoir bien trinqué, il récupérait Tican qui avait eu droit à un grand bol de lait avec un peu de rhum et sautait sur sa moto pour aller rejoindre le presbytère ou l'attendait sa bonne et amante avec ses trois enfants. Chose qui n'était pas rare à l'époque, le Vatican fermait les yeux et les paroissiens également, sauf évidemment les bigotes et les grenouilles de bénitier qui étaient très jalouse de la Denise car elle se prénommait Denise. La Denise, qui ôtait facilement, dans tous les coins du presbytère, sa chemise pour satisfaire son chéri de curé ! La nuit, elle n'en portait pas et son petit briquet d'amour comme elle aimait l'appeler ne passait jamais de nuit sur la béquille !
Voilà, je tenais à vous faire partager ces souvenirs qu'il serait bête de laisser perdre et je compte sur vous pour les relayer et les enjoliver afin qu'ils restent dans le domaine du patrimoine si riche de nos belles campagnes.
Épicétout !
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Seconde pensée :
Prenons de la hauteur et réfléchissons au grave sujet de la baisse de la natalité en France.
Dans les années 60, un Ministre du Général de Gaulle, Michel Debré, avait eu cette formule pour parler de la nécessité de faire des bébés :
" Il faut faire des enfants sur une grande échelle ".
Et, si nous appliquions au pied de l'échelle cette formule ? Cela en surprendrait plus d'une et plus d'un ... non ?
Mais, et il n'y a pas qu'un mais, mais des mais :
Premièrement :
Qui fournira les échelles et les filets de sécurité ( l'exercice étant plutôt périlleux pour ne pas dire casse-gueule ! ), qui ? Des membres du Barreau ? Le Garde des Sceaux sera-t-il d'accord ? Avec Dupond-Moretti, ce n'est pas gagné d'avance !
Deuxièmement :
L'opération se fera-t-elle à domicile ( pour ceux qui ont des plafonds très hauts ou une grange ou un jardin, cela reste possible ) ou bien dans des salles de sport réquisitionnées pour l'occasion ? Pour cette dernière option, qui assurera la garantie minimum d'intimité ? Hors de question que des voyous ou des tordus utilisent leurs Smartphones pour filmer et balancer ça sur les réseaux sociaux, genre Sextape de Valbuena !
Troisièmement :
Qui interviendra si de graves accidents se produisent et il y en aura immanquablement. Les pompiers ? Non ! Vous pensez bien qu'ils seront les premiers à expérimenter la formule en haut de leurs grandes échelles ! Ils ne dégageront pas leurs lances même s'il y a des interventions à faire !
Quatrièmement :
Et les dégâts collatéraux possibles ? Les gamins conçus dans ces conditions ne souffriront ils pas de vertige en grimpant sur un simple tabouret ? De vertiges, de nausées et de vomissements incontrôlables ?
Conclusion :
Comme vous pouvez le constater, le problème n'est pas simple et mérite qu'une commission d'évaluation soit mise en place dans les plus bref délais. Cela n'en fera jamais qu'une de plus !
Cela coûtera très cher mais, au diable la varice ( comme disait la pauvre vieille qui avait de très mauvaises jambes ! ) quand l'enjeu est aussi important !
Il y va de notre avenir qui n'est pas si rose que cela. Pour peu qu'il l'ait vraiment été une fois, ne rêvons pas : tout n'est pas si rose deux fois une fois, comme on dit chez nos amis belges qui sont de bons picoleurs !
Vive les échelles, vive les acrobates, vive la natalité et vive la France !
Le Rotpier qui, dans un élan patriotique, veut bien accepter la présidence de la commission d'évaluation sans rémunération aucune. Si vous avez l'oreille de Macron, je compte sur vous !
Épicétout !
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Troisième pensée :
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Voila, c’est terminé !
Et comme on ne dit pas à Amsterdam :
Un café, pas de joint et pas d'addiction SVP !
Publié depuis Overblog
Image du net
La philosophie du vivre pour vivre,
Il approchait de ses cent ans,
Un âge plus que respectable,
Son mode de vie intraitable
Faisait de lui un bien-portant.
Pas de tabac, pas d’excitant,
Jamais un seul excès à table,
Pas de relation véritable :
Une femme de temps en temps.
Pas de fête, pas de ribote,
Bien arc-bouté, droit dans ses bottes :
Parangon de sobriété.
De quoi au nom de la survie
Passer son temps en société
A s’emmerder toute une vie !
Vive la vie !
Toute une existence asservie
Par le désir de perdurer
Ne peut mener qu’à une vie
Passant à se claquemurer !
S’accorder quelques fantaisies
Sans bien sûr trop exagérer :
Ne pas faire l’apostasie
De toute règle et chavirer !
Mais n’allons pas vivre pour vivre,
Il faut savoir fermer son livre,
Mieux vaut qu’il soit rempli et court
Qu'il déborde de jours de fête !
Vive la vie, vive l’amour :
Laissons s’emmerder les ascètes !
Pierre Dupuis
Nota : Déjà publié mais repris !