Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, dernière image : la sale bête suce le sang !
2ème ligne, 2ème image : la moitié du surnom du volatile ... c'est comme ça mes cocos !
3ème ligne, 1ère image : il doit l'être depuis très longtemps !
4ème ligne, 3ème image : attention: c'est très " - - - - - " ! Nota : il faut enchaîner la dernière lettre de la dernière image avec la 1ère image de la ligne suivante ... ça va ou c'est trop difficile à comprendre ?
6ème ligne, 1ère image : des poches de " - - - - " pour sauver des vies ! ... soyez digne d'un don : ne gloussez pas mais donnez !
Réponse :
La politique c’est comme les morpions quand ça vous chope c’est très difficile de s’en débarrasser !
Qu'il dit l'animal !
Françoise Hardy: " La maison où j'ai grandi " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Françoise Hardy »
« La maison où j’ai grandi »
… Un lointain souvenir …
La maison où j’ai grandi
Quand je me tourne vers mes souvenirs,
je revois la maison où j'ai grandi.
Il me revient des tas de choses:
je vois des roses dans un jardin.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là,
et la maison, les fleurs que j'aimais tant,
n'existent plus.
Ils savaient rire, tous mes amis,
ils savaient si bien partager mes jeux,
mais tout doit finir pourtant dans la vie,
et j'ai dû partir, les larmes aux yeux.
Mes amis me demandaient "Pourquoi pleurer?"
et "Couvrir le monde vaut mieux que rester.
Tu trouveras toutes les choses qu'ici on ne voit pas,
toute une ville qui s'endort la nuit dans la lumière."
Quand j'ai quitté ce coin de mon enfance,
je savais déjà que j'y laissais mon cœur.
Tous mes amis, oui, enviaient ma chance,
mais moi, je pense encore à leur bonheur.,
à l'insouciance qui les faisait rire,
et il me semble que je m'entends leur dire:
"Je reviendrai un jour, un beau matin
parmi vos rires,
oui, je prendrai un jour le premier train
du souvenir."
La temps a passé et me revoilà
cherchant en vain la maison que j'aimais.
Où sont les pierres et où sont les roses,
toutes les choses auxquelles je tenais?
D'elles et de mes amis plus une trace,
d'autres gens, d'autres maisons ont volé leurs places.
Là où vivaient des arbres, maintenant
la ville est là,
et la maison , où est-elle, la maison
où j'ai grandi?
Je ne sais pas où est ma maison,
la maison où j'ai grandi.
Où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Ma maison, où est ma maison?
Qui sait où est ma maison?
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
Éboulement de falaise aux Petites-dalles, le poème du jour de Pierre : " Gargantuesque Manche "
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Troisième devoir de vacances...
- Photo personnelle
Gargantuesque Manche,
La Manche pleine d’appétit
ronge sans cesse les falaises
et gagne petit à petit
du terrain pour se mettre à l’aise !
A longueur d’année sans répit
elle creuse des trous balaises
et provoque des éboulis,
de gigantesques exérèses !
Dernièrement sans prévenir
elle s’est offert sans mollir
un gigantesque casse dalle !
Elle en a pris de gros morceaux
au lieu-dit les Petites-Dalles
juste à coté de Sassetot !
Cela a fait le désespoir
de tout ceux qui vont à la pêche
à pied et qui ont du surseoir
à leur passion : « Ah ! Quelle dèche ! »
Ce n’était que momentané
pour les mordus de l’épuisette,
le moment d’aller taquiner
autre chose que la crevette !
Je ne préciserais pas quoi,
chacun gère ses fantaisies,
alors je vous laisse le choix
… mais foin de toute hypocrisie !
Lien :
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Pierre
1ère ligne, 2ème image : il est surligné !
2ème ligne, 1ère image : la moitié du surnom du volatile ... c'est comme ça mes cocos ! Dernière image : il parait que l'amour y est aussi !
4ème ligne, dernière image : le cri de la bête ! ( l'autre aussi ! )
Réponse :
Les primaires c’est comme les préliminaires le but c’est bel et bien de b - - - er l’autre !
Nota : J'ai légèrement censuré le Rotpier pour son vocabulaire brut de décoffrage !
Pierre
Qu'il dit l'animal !
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
" Pays de Caux " ... un poème de ... Pierre
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Second devoir de vacances !
Pays de Caux,
Si tu n’avais pas tes valleuses
tu serais monotone et plat,
elles te donnent leur éclat
et savent se faire enjôleuses.
Si tu n’avais pas tes falaises
que la mer a taillé à pic,
tu manquerais un peu de chic
mais tu les as et elles plaisent.
Si tu n’avais pas sur tes terres
des abbayes et des châteaux,
du lin, des fermes et des clos,
tu serais beaucoup plus austère.
Et si tu n’avais pas la Manche
qui te grignote un peu les pieds
sans pour autant trop t’estropier,
ta cote serait bien moins blanche.
Mais tu as toutes ces richesses
et tu sais les mettre en valeur
par l’entremise et le labeur
de ceux qui t’aiment sans faiblesse.
De tous ceux que tu as vu naître
ou de ceux qui t’ont adopté,
qui ont choisi de t’habiter
pour mieux t’aimer et te connaître.
Tu as su très souvent séduire
des peintres et des écrivains
qui n’ont pas travaillé en vain
et ont su si bien te traduire.
Une foule d’impressionnistes,
Pisaro, Boudin et Monet,
Renoir, Boldini et Sysley
et il en manque sur ma liste !
Ta côte aux lumières changeantes,
tes ports en pleine activité,
tes falaises et tes cités :
autant de toiles rayonnantes !
Et tes écrivains populaires,
l’incomparable Maupassant
mais aussi Maurice Leblanc
et son Arsène légendaire !
Et l’Abbé Bernard Alexandre,
célèbre conteur et horsain
qui a assisté au déclin
de l’église sans s’y méprendre.
En se rendant à sa paroisse :
« Métier d’ curé, métier foutu ! »
bel accueil d’un berger du cru,
un adage à porter la poisse !
Superstitions et certitudes,
méfiance envers les étrangers
porteurs de peurs et de dangers
faisaient partie des habitudes !
Magie noire et sorcellerie
étaient le lot du quotidien,
les cauchois, surtout les anciens,
craignaient toutes les diableries !
Dans cette campagne profonde,
ceux des villages d’à coté
étaient déjà des étrangers
qui venaient déranger la ronde !
Moins dans les ports que dans les terres
où l’autarcie était un fait,
le horsain était un parfait
et malheureux bouc émissaire !
Si ma mère est née à Bourville
au village d’André Raimbourg,
moi je n’y ai pas vu le jour
et n’y ai pas mon domicile.
Je ne suis qu’un simple touriste
et même si je suis normand,
je suis horsain assurément
… mais les mœurs sont moins rigoristes !
Quoiqu’il en soit j’ai des racines
planté en toi, Pays de Caux,
je te devais bien cet écho
en l’honneur de mes origines.
J’ai parcouru toute ta côte,
j’ai sillonné tout ton plateau
et je me suis senti ton hôte
sans résistance et de facto !
Car tu as su tourner la page,
tu n’es plus refermé sur toi
et ceux qui parlent ton patois
ne le font que pour le partage.
Les noms de tes bourgades chantent
dans ma tête un joyeux refrain
comme au temps où j’étais gamin
et j’avoue que cela m’enchante !
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
3ème ligne, 2ème image : lieu où sont enfermées des animaux sauvages ! 2ème image : 2 personnage par " - - - - " et il y en a 4 !
4ème ligne, dernière image un diagramme de ce que les oreilles perçoivent !
5ème ligne, 1ère image : elle ne tourne pas toujours bien rond !
7ème ligne, 1ère image : autre nom pour un bus ! 2ème image, en direct "U" ...cocote ou pas !
8ème ligne, 2ème image : la moitié du surnom du volatile ! 3ème image, en direct "ti " ... oui mes titis !
Réponse :
Quand l’utopie n’est pas au rendez-vous les rêves sont ternes et fades et ne servent qu’à ruminer le quotidien.