Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 3ème image : appareil ménager servant à la cuisson ! Dernière image : il ne faut pas prendre la brosse ! ( l'autre aussi ! )
3ème ligne, 1ère image : à travers le trou d'une serrure, on " - - - - " ... on est un voyeur !
5ème ligne, 3ème image : '"oui " en russe !
6ème ligne, 3ème image : une petite étendue d'eau !
7ème ligne, 2ème image : le symbole de la " - - - - " !
8ème ligne, 2ème image : en direct : " ch " ! Dernière image : la moitié de ce que regarde titeuf ! ( l'autre aussi ! )
9ème ligne, 1ère image : autre nom du bolet ! ( la dernière lettre est à coller à l'image suivante ! 2ème image : ce qui précède " akbar " ! Dernière image : le marin est presque en haut du " - - - " ... comme Alexandre !
11ème ligne, 2ème image : la moitié du nom du personnage ! ( l'autre aussi ! ) 3ème image : quand son nez s'allonge, il " - - - - " !
12ème ligne, 4ème image : le serpent fait " s "
Réponse :
Entre le « Durafour crématoire » et le culte de Jeanne d’Arc si Jean-Marie Le Pen ne choisissait pas la crémation il aurait un manque certain de suite dans les idées !
Qu'il dit l'animal !
Léo Ferré : " Pépée " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Léo Ferré »
« Pépée »
… Hommage à sa guenon chimpanzé nommée « Pépée » …
Pépée
T'avais les mains comme des raquettes
Pépée
Et quand j' te f'sais les ongles
J' voyais des fleurs dans ta barbiche
T'avais les oreilles de Gainsbourg
Mais toi t'avais pas besoin d' scotch
Pour les replier la nuit
Tandis que lui... ben oui !
Pépée
T'avais les yeux comme des lucarnes
Pépée
Comme on en voit dans l' port d'Anvers
Quand les matins ont l'âme verte
Et qu'il leur faut des yeux d' rechange
Pour regarder la nuit des autres
Comme on r'gardait un chimpanzé
Chez les Ferré
Pépée
T'avais le cœur comme un tambour
Pépée
De ceux qu'on voit le vendredi saint
Vers les trois heures après midi
Pour regarder Jésus-machin
Souffler sur ses trent'-trois bougies
Tandis que toi t'en avais qu'huit
Le sept avril
De soixante-huit
Pépée
J' voudrais avoir les mains d' la mort
Pépée
Et puis les yeux et puis le cœur
Et m'en venir coucher chez toi
Ça changerait rien à mon décor
On couche toujours avec des morts
On couche toujours avec des morts
On couche toujours avec des morts
Pépée
Bon partage !
Rotpier
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
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... Je vous chouette une bonne distraction !
Le poème du jour : "Supplique pour être enterré dans ce petit coin calme et attachant," ... un poème de Pierre
C’est jour de Toussaint aujourd’hui et je vais y aller … pas encore comme locataire mais comme simple visiteur.
Je vous invite à le découvrir, c’est un lieu que j’aime beaucoup depuis mon enfance et qui sera, je l’espère, mon dernier domicile… C'est le cimetière d'un petit village de l'est de l'Eure nommé Nojeon en vexin, autrefois Nojeon-le-Sec, du nom de son petit ruisseau qui est souvent ... à sec !
Supplique pour être enterré dans
ce petit coin calme et attachant,
C'est un petit cimetière
comme on en voit dans nos campagnes.
Dès passé les battants de l’antique grille
on entre dans un autre monde,
un monde portant l’estampille
des aiguilles arrêtées de la montre.
Coté nord, un mur.
Un mur qui protège de la froidure
comme les bras d'un homme protègent sa compagne.
Les morts n'aiment pas les glaçants courants d'air.
Les bâtisseurs, en leur temps,
en avaient tenu compte pour leur plaire.
Pour leur plaire mais aussi,
intérêt bien compris,
pour eux-mêmes sachant
qu’inévitablement, qu’inexorablement,
ils en seraient un jour locataires !
Sur les autres cotés, une haie.
Une haie, pas très régulière,
juste pour délimiter l'aire.
Au centre, une église.
Une très vieille église à l'ardoise grise
et à la pierre façonnée et usée par les ans.
Les siècles qui s’entassent sur sa tête
ne l’empêche pas d’être très coquette !
Une petite tour munie d'un escalier
permet d'accéder au clocher.
Un clocher très fin et élancé.
Un porche d’entrée où l’on pénètre
dans le recul du temps.
La bâtisse a les pieds dans l'eau,
résultat de l'égout de son toit
et aussi de sources surgissant ça et là
de façon rémanente.
Ça ruisselle de manière charmante.
Ça ruisselle tranquillement
jusqu'au Sec, un petit ruisseau
coulant selon son bon vouloir
au grand désespoir du lavoir
qui se retrouve le bec dans l'eau
… quand il vient à en manquer !
Coincées entre l'église, le mur et la haie,
le cimetière et les tombes.
Certaines très anciennes,
des délabrées, des effondrées.
Des qui partent en quenouille
pierres ou marbres cassés,
grilles rongées par la rouille
... la rouille, cet animal vorace et patient
... très patient.
Il y en a des grandes et des petites
... des plus petites encore dans le carré des enfants.
Puis d'autres, plus récentes, plus pimpantes,
regroupées dans le carré neuf
... enfin, presque neuf.
D'autres encore disséminées parmi les anciennes
au gré des places disponibles ou se libérant
par le truchement des tombes relevées
... ici les locataires s'en vont d'eux-mêmes très rarement !
Un mélange hétéroclite
où ceux qui sont sous terre cohabitent
et se côtoient sans préjugés,
sans se soucier de qui ils étaient dans le monde des vivants.
Une fraternité bon enfant
mélangeant moult générations
toutes classes sociales confondues
en se moquant des qu'en dira-t-on
comme d'un guignon !
La devise de la république ici s'applique
sans restriction.
Les morts n'ont que faire des apparences,
ils font fi de leurs appartenances
unis qu'ils sont dans leur ultime danse
... danse macabre par essence ... naturellement.
Et moi, je me vois bien en ce lieu-là,
un lieu que je connais depuis mon enfance
et que j'ai arpenté bien des fois
quand j'étais môme
au gré de mes escapades
ou bien au gré des psaumes.
Il était à deux pas de chez moi
et j'y venais très souvent.
J'aime cet endroit paisible et tranquille
qui, pour dernier domicile,
m'irait, je le crois, comme un gant !
Oui, je le crois vraiment.
Et si j’y avais les pieds dans l’eau
… même un peu plus à l’évidence,
je me dis que ce serait une chance :
c’est bon pour la blancheur des os !
Il est des endroits où l'on se sent bien
... par quel mystère ?
Point n'est besoin de le savoir absolument,
on le constate et c'est le seul point important.
Tout le reste n’est que chimères.
Bercé par le chant des oiseaux,
sous la chaleur ou sous le givre,
après le passage de la dame à la faux
… bon sang !
Comme j’aimerais y vivre !
Ce sera mon dernier domicile,
je l’espère beaucoup y j’y tiens,
il n’y aura aucun codicille :
je le veux, l’affirme et le maintiens !
Peut-être mettrais-je cette épitaphe :
« A vos pieds un humble poète
Grand amateur de raccourcis
Ayant pris la mort à perpète
A choisi de la vivre ici ! »
Vue aérienne de l'église et du cimetière
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
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Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
1ère ligne, 1ère image : " - - - " César qu'il dit le centurion !
2ème ligne, 1ère image : la moitié du surnom du volatile ... c'est comme ça mes cocos ! ( l'autre aussi, ce sont des frères jumeaux ! ) 2ème image: le marin est presque en haut du " - - - " comme le disait si bien Alexandre ! ( l'autre aussi ! )
3ème ligne, 1ère image : il n'est pas de bon ton de mettre un doigt dans son trou !
5ème ligne, 4ème image : c'est aussi le début de la célèbre phrase de Shakespeare !
6ème ligne, 2ème image : en direct " ti " et il faut y accrocher la 1ère lettre de la dernière image !
7ème ligne, dernière image : quand son nez s'allonge il " - - - - " ! Quand c'est autre chose, on ne sais pas ! ... c'était juste pour bien préciser les choses !
8ème ligne, 2ème image : lieu ou se tiennent des marchés couverts . 3ème image et en direct : "U" ... cocotte !
9ème ligne, 1ère image : le plus petit des Dalton et aussi le plus teigneux ! 2ème image : l'animal fait des " - - - - " ... c'est bon pour vous ?
Dernière ligne, 1ère image : l' " - - - - - " de Vitruve selon le bon Léonard ! ... et n'oublions pas que c'est en sciant que Léonard devint scie ! ... ça vous scie ?
Réponse :
Avec les femmes c’est comme avec les fusées il faut bien cibler la fenêtre de tir afin de commencer l’allumage au bon moment !
Qu'il dit l'animal !
Les hululucubrations des chouettes Chouettes du Rotpier : un poil d'humour à plumes !
Certains ont leurs Zozios, le Rotpier a ses chouettes Chouettes !
Elles sont féminines ou masculines et assez BCBG… quoique !
Il leur arrive fréquemment de se voler dans les plumes sans ménagement !
Elles sont, selon les circonstances, sentencieuses, drôles, percutantes, graves, irrévérencieuses, taclantes et même parfois … grivoises, mais toujours en utilisant un vocabulaire respectueux… enfin presque !
Les hululucubrations abracadabrantesques
des chouettes Chouettes du Rotpier
... Je vous chouette une bonne distraction !
Poésie, le poème du jour : "Les mains" de ... Pierre
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Un très ancien poème …
Image du net
Les mains,
Des mains qui s'ignorent,
des mains qui se cherchent,
des mains qui se trouvent.
Des mains qui se voient,
qui s’interpellent
qui s’entrouvrent !
Des mains qui se rapprochent,
qui se frôlent,
qui se découvrent.
Des mains qui se caressent,
qui s'étreignent,
qui s'affolent !
Des mains, main dans la main,
qui s’amusent
comme des folles !
Des mains qui se lassent,
qui s'affrontent !
Qui se blessent !
Des mains qui s'écartent,
qui se menacent !
Qui s'éloignent.
Des mains, sans lendemain,
qui se séparent
et qui s’égarent.
Des mains qui se perdent,
des mains qui s'oublient,
des mains qui s'ignorent.
Et ma tête
entre les miennes,
encore, encore et encore.
Pierre Dupuis
Poésie, le poème du jour : " Les mains" de ... Pierre
.
Un très ancien poème …
Image du net
Les mains,
Des mains qui s'ignorent,
des mains qui se cherchent,
des mains qui se trouvent.
Des mains qui se voient,
qui s’interpellent
qui s’entrouvrent !
Des mains qui se rapprochent,
qui se frôlent,
qui se découvrent.
Des mains qui se caressent,
qui s'étreignent,
qui s'affolent !
Des mains, main dans la main,
qui s’amusent
comme des folles !
Des mains qui se lassent,
qui s'affrontent !
Qui se blessent !
Des mains qui s'écartent,
qui se menacent !
Qui s'éloignent.
Des mains, sans lendemain,
qui se séparent
et qui s’égarent.
Des mains qui se perdent,
des mains qui s'oublient,
des mains qui s'ignorent.
Et ma tête
entre les miennes,
encore, encore et encore.
Pierre Dupuis