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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier
Articles récents

Le pastiche du jour: " Le déserteur "de Boris Vian qui devient : " L’accusateur, " de ... Pierre Dupuis

7 Août 2018 , Rédigé par Rotpier

Un petit  pastiche de la chanson de Boris Vian par … Pierre

Ceux qui me suivent connaissent mes démêlées avec le maire de ma commune en temps de vice-président et webmestre de l'association l'AMG créée pour contrer ses dérives .

 

 

Allez !

Je vous offre un petit … pastiche !

A la vôtre !

 

Cette fois-ci :

 

«  Le déserteur »

de Boris Vian

qui devient :

          « L'accusateur … »

 

De … Pierre
Recette pour bien le déguster :
  • Un petit clic sur le triangle pour démarrer si cela ne se fait pas automatiquement !

 

  • On écoute religieusement l’artiste !

 

  • On descend et l’on chante sur les paroles de Pierre !
Et… si ça plait : on recommence jusqu’à ce que les voisins commencent à hurler !
Donc : on écoute !

[embed]https://www.youtube.com/watch?v=gjndTXyk3mw[/embed]

Maintenant on y va !

Pastiche du « Déserteur » de Boris Vian.

 

L’accusateur,

Monsieur le maire autant

Vous dire  que la lettre

Que j’ai osé commettre

A assez de mordant

 Elle est dans le droit-fil

Des vers et des poèmes

Bâtis en anathème

Aux confins du civil

Forme d’objurgations

Qui de marbre vous laissent

Mais dont j’ai la faiblesse

De croire en leur action

Du haut de votre ego

Vous avez de l’aisance

Beaucoup de suffisance

Et vous toisez de haut

Mon regret le plus grand

Est mon action tardive

À contrer vos dérives

Et tous vos errements

J’aurais du m’impliquer

Bien plutôt dans la danse

Entrer en dissidence

Et je dois m’expliquer

Je ne connaissais pas

La façon arbitraire

De mener les affaires

Que vous aviez déjà

Il a fallut un heurt

Pour en prendre conscience

Et entrer en défiance

Et j’y vais de bon cœur

Je ne suis pas certain

De percer la cuirasse

Mais d’y laisser des traces

Ça je l’espère bien

Nul besoin d’être sûr

De gagner pour se battre

Il faut toujours combattre

Même contre des murs

Vous connaissez les lois

Il faut le reconnaître

Il faut bien les connaître

Pour s’en jouer parfois

Vous avez votre cour

Et vous savez y faire

Vous avez la manière

Le verbe et le discours

Vous les avez choisis

Pour leur coté docile

Comportement servile

Certains sont vos nervis

 Vous en avez besoin

Pour couvrir vos manœuvres

Afin de mettre en œuvre

Vos plans et vos dessins

Je ne crois plus en ceux

Prônant l’indépendance

Ils restent dans la danse

Même quand c’est vaseux

Ils sont inféodés

Mais resterons coupables

De leur indubitable

Statut d’embrigadés

Comment ne pas penser

Que certains en profitent

Ceux de la proche orbite

du cercle rapproché

« Je te donne la main

C’est toi qui fait la donne »

La recette est très bonne

On connaît le refrain

Ça marche à tous les coups

L’omerta est de mise

Sur les choses promises

Tout reste dans le flou

En dehors de la cour

Des favoris gravitent

Genre bernard-l’ermite

Jamais trop au grand jour

L’opacité c’est net

Vous convient à merveille

L’encre de la bouteille

À l’heure d’internet

Moins il y a de gens

Informés plus ça passe

Les tours de passe-passe

Aiment l’ombre vraiment

Il faudra bien un jour

Les mettre sur la place

Car tout laisse des traces

Malgré les beaux discours

Combien auront coûté

D’argent à la commune

Sûrement pas des prunes

Tous vos mandats passés

Si l’on fait le bilan

Sec de vos mandatures

Et sans caricature

Il n’est guère brillant

Vous avez dirigé

la commune en despote

Système lèche-bottes

Avec des obligés

Les résultats sont là

Les communes voisines

Et cela me chagrine

Ont beaucoup plus d’éclat

Voila ce que j’avais

Sur le cœur à vous dire

Vous allez en sourire

Ou pas du tout qui sait

Mais si vous vous fâchez

Vous pourrez porter plainte

J’assume ma complainte

Et ça vous le savez

Dans ce que j’ai écrit

Il n’y a nul mensonge

Depuis longtemps j’y songe

Et c’est sans compromis

Mais je dois m’arrêter

Et déposer ma plume

Et tant pis si j’écume

Il me faut clôturer

Je ne crois pas que vous

Aimerez ces paroles

Car les paroles volent

Et se posent partout

Aux lecteurs et à ceux qui vont fredonner :

Parti dans mon élan

Lors de cette apostrophe

J’ai ajouté des strophes

Au chant de Boris Vian

Veuillez me pardonner

Ce flux excédentaire

Ma plume est cavalière

je dois la refreiner

J’ai beau m’y employer

Elle n’est pas docile

Et ce n’est pas facile

À moins de la noyer

Si cela vous a plu

Vous pouvez tout reprendre

J’aimerai vous entendre

La chanter tant et plus

… La   chanter    tant   et    plus…

                            Pierre Dupuis

 

Et pis c’est tout !

A la vôtre !

Avec modération SVP !

Sinon, cela donne ça!

 

Pierre 

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Blog en veilleuse pour cause de surcharges diverses !

30 Juillet 2018 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #rotpier, #Divers

Avis à la population !

Blog en veilleuse pour une semaine pour cause de :

Gros travaux !

 

 + Fiesta

Ça va être dur !

Que dis-je : terrible !

A mardi prochain si tout va bien

et … si vous le voulez bien !

Rotpier

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Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !

30 Juillet 2018 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour, #Pensées

 

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

 Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

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Le petit rébus dominical de ... Rotpier !

29 Juillet 2018 , Rédigé par Rotpier

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

 

C'est un rébus du Rotpier, il est court mais piégeant ! Aïe !
1ère ligne, 1ère image : le marin est presque en haut du "  - - - " ! ( l'autre aussi ! ) 3ème image : le petit de la vache ! 
3ème ligne, 2ème image : Éole est le dieu du " - - - - " ! 3ème image : un oiseau qui aime les glands ! 
4ème ligne, 1ère image : ce n'est pas grand chose mais un " - - - " c'est un " - - - " et là, il y en a cinq  ! 
5ème ligne, 3ème image : la sale bête se nourrit de sang et file de sales maladies !
6ème ligne, 2ème image : le petit beurre de chez " - - " !
7ème ligne, 1ère image : l'assassin "  - - - " au présent de l'indicatif ! ( l'autre aussi pardi ! )
8ème ligne, 3ème image : le cri de l'animal !
11ème ligne, 1ère image : la moitié de la marque, c'est la règle ! Dernière image : le serpent fait " s " comme d'habitude !
Dernière ligne, 1ère image : sorte de pâté de tête de sanglier ou de cochon ! ... Et ne dites pas que j'en ai une drôle ! Non mais !

 

Et pis c'est tout !
A vous de jouer !  Il est court mais après les chaleurs passées il faut laisser refroidir un peu les neurones ! 

 

 

Réponse :

Madame, votre mari vous trompe, vengez-vous ! Sous couvert de jeu érotique offrez-lui un étui pénien à fermeture éclair : c’est le traquenard assuré !

Observation :

J'ai l'intention de déposer le brevet de l’étui pénien à fermeture éclair … si ! Qui veut me financer ?

 

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Serge Lama : "Les glycines" ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

28 Juillet 2018 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

Serge Lama

« Les glycines »

 

Allez, un peu de fraîcheur à l'ombre des glycines...

 

 

 

Les glycines,

Sur le mur y avait des glycines
Sur le mur y avait des glycines
Toi, tu portais un tablier bleu
Toi, tu portais un tablier

Toujours le nez dans tes bassines
Toujours le nez dans tes bassines
En ce temps-là, on se parlait peu
En ce temps-là, on se taisait.

C'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra

Paraît que cousin et cousine
Paraît que cousin et cousine
Ça ne doit pas s'aimer d'amour, non
Ça ne doit pas parler d'amour

Alors on parlait du beau temps
De la pluie et des fleurs des champs
De la vendange et du labour, mais
On ne parlait jamais d'amour

C'est pas d'l'amour, pauvre Martha !
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra

Puis je suis parti en usine
Puis je suis parti en usine
Je n'voulais pas être fermier, moi
Je voulais être le premier

Merci beaucoup, petit Jésus
J'ai bien mangé et j'ai bien bu
Je suis aimé ou respecté, moi
On me dit "vous" pour me parler

C'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'l'amour, mais ça viendra

Pourtant quand je vois des glycines
Pourtant quand je vois des glycines
J'ai envie de les arracher, moi
J'ai envie de les arracher

Paraît que t'aurais eu deux filles
Qui font partie de ma famille
Mais comme l'amour ne me dit plus rien
Elles n'auront jamais de cousins

C'est pas d'l'amour, pauvre Martha
C'est pas d'la haine, mais ça viendra.

 
 
 

Bon partage !

Rotpier
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La pensée du jour de ... Rotpier

26 Juillet 2018 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Pensées et humour, #Pensées, #Humour

.

Sans nous comparer à Boileau (d’ailleurs, moi, j’en bois assez peu !) nous pouvons quand même émettre quelques pensées pour épancher ainsi nos vies ! Sans avoir trop mal aux genoux ....... ?

 Et pis c’est tout ! 

Rotpier

Statue dans mon jardin

Pas assez de temps pour les chouettes aujourd’hui ! Aussi, je vous propose de méditer cette pensée un peu trop longue pour être mise en rébus :

 

 Dans la quasi-totalité des cas, une pensée, même brillante, n’est que le résultat du glanage de fragments d’autres pensées avec un ordonnancement des mots différents et, pour ne pas être carrément un plagiat, un petit bout (ou un grand : soyons généreux !) d’idée neuve apportant une valeur ajoutée certaine à ladite pensée. Je ne changerais d’avis sur cette affirmation que lorsque l’on me présentera un enfant qui, à peine sortit du ventre de sa mère ait dit : « Merde ! Le monde, ce n’est que ça ? »

 

 

Remarque :

Est-une pensée pertinente ou suis-je resté un peu trop au soleil ces jour derniers ?

 

Et pis c’est tout !

Bonne méditation !

 

Rotpier

 

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" Épopée sibylline, " un poème-fable de ... Pierre

24 Juillet 2018 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour, #Poésie, #Poésie - humour, #Fable

.

Second devoir de vacances ... j'ai un peu traîné pour le finaliser !

.

Image du net

 

            Préambule :

Au pays du grand Rabelais

où la fabulation est reine

et l’absurdité souveraine

le bon mensonge n’est pas laid.

Ce n’est qu’un petit canular

entre le fromage et la pomme

« Le rire est le propre de l’homme »

et contre l’ennui un rempart.

Alors amis rions souvent

cela met du baume à nos peines

cela rend la vie plus sereine

et gomme nos emmerdements !

J’aurais pu c’est bien évident

choisir une toute autre rime

mais Rabelais nous a en prime

pondu le bon mot « excrément » !

Sortons provisions et bouteilles,

mangeons buvons jusqu’à plus tard

on entend mieux bien remplis car :

« Ventre affamé n’a pas d’oreille ! » 

xxxxxxxxxxxxxxx

 

Photo personnelle

 

 Épopée sibylline,

Exposé du contexte …

Alors que j’étais en vacances

au gîte du Moulin Giraud

un très beau gîte au bord de l’eau

j’ai nagé dans l’extravagance.

Il faut préciser c’est notoire

afin de bien comprendre tout

que la commune de Panzoult

est fortement chargée d’histoire.

Parmi les abris troglodytes

il en est un particulier

le logis craint ou recherché

d’une sibylle et de ses mythes.

Situé juste au dessus du gîte

- joli poste d’observation ! -

j’avais la fâcheuse impression

d’être espionné par la susdite !

 

Photo personnelle

.

Pas n’importe quelle sibylle

mais la Sibylle de Panzoult

dont Rabelais citait le trou

et dont l’image m’obnubile !

Si je vous brosse ce contexte

c’est pour que vous compreniez mieux

que vous soyez moins suspicieux

sur la véracité du texte.

Je vais vous relater l’histoire

n’allez surtout pas vous moquer

d’un pauvre barde très marqué

par cette épreuve vexatoire.

xxxxxxxxxxxx

        L’épopée …

C’est par un soir de pleine lune

que me parvint comme une voix

un murmure étrange ma foi

qui enclencha mon infortune.

« Que fais-tu près de ma demeure ?

Es-tu venu me consulter ?

Tu me parais bien emprunté :

tu es plus mou qu’un quart de beurre !

Viens donc et entre dans ma grotte

je ne vais pas te dévorer

et mon vieux chien a bien mangé

dépêche-toi crotte de crotte ! »

Son antre sentait la fumée

ça bouillait dans un vieux chaudron

une mixture à gros bouillons

n’ayant pas été écumée.

Dans un coin une vielle chouette

dardait sur moi ses yeux tout ronds

de quoi me filer les jetons

heureusement qu’elle était muette !

Sur une paillasse douteuse

un chat pelé se prélassait

autour de son cou un lacet

sa peau était exémateuse !

Le chien qui était une chienne

m’observait de façon bizarre

prêt à entamer la bagarre

dans une ambiance kafkaïenne !

Croassant de façon lugubre

un gros crapaud tout rabougri

à la peau couleur vert-de-gris

bavait de façon insalubre !

Cela faisait de grosses bulles

venant s’écraser au plafond

qui retombaient dans le brouillon

en formant une pellicule !

J’avais une de ces pétoches

je frémissais de toutes parts

tout prêt à souiller mon falzar

… ne riez pas ce serait moche !

Tout en remuant sa mixture

elle me dit : « N’aie donc pas peur

je ne tue pas mes visiteurs

ou rarement je te le jure.

Je te trouve très sympathique

bien que tu sois un peu simplet

c’est cela chez toi qui me plait

dans le fond tu es drôlatique.

Quand Épistémon et Panurge

sont venus pour me consulter

nous nous sommes bien disputés :

pour trois fois rien moi je m’insurge !

Je leur ai montré mon derrière

car ils m’avaient poussé à bout

et quand on me cherche des poux

je sais me faire cavalière !

En raison de ta bonne bouille

tout mon travail sera gratuit

mais ne le dit pas à autrui

ou je te transforme en grenouille !

Donne-moi tes mains que je lise

dans leurs lignes ton avenir

et ne fais pas tous ces soupirs

vraiment tu te ridiculises !

Je vois … je vois … Oh ! Quelle chance

tu vas avoir prochainement

tu peux partir tranquillement

là tu peux me faire confiance !

Tiens trois louis d’or de ma cagnotte

tu vois ça commence déjà

cela ira bien au-delà

car tu as marché dans ma grotte ! »

Me raccompagnant à sa porte

elle m’embrassa goulûment

puis disparut en un instant

sa chouette en tomba raide morte !

Grosse montée d’adrénaline

de quoi me perturber l’esprit

au bout d’un moment j’entrepris

de redescendre la colline.

A peine entamé la descente

j’ai glissé sur je ne sais quoi

dévalé le ravin tout droit

une culbute ahurissante !

    La dure réalité …

J’ai bel et bien fait une chute

mais tout simplement de mon lit

car je rêvais et sapristi

ce rêve était sans parachute !

Il faut préciser que la veille

j’avais un peu trop abusé

d’un chinon pour le moins corsé

une véritable merveille !

              Moralité :

Quand on ne tient pas la chopine

mieux vaut y aller très mollo

mais c’est bien meilleur que de l’eau

quand ce n’est pas de la bibine !

Cette histoire rabelaisienne

je me devais de la conter

du doigt n’allez pas me montrer

ou je me jette dans la Vienne !

Comme les moutons de Panurge

bien d’autres viendront s’y jeter

dans un élan d’absurdité

ce sera une grande purge !

Faites en plutôt le partage

plus on est de fous plus on rit

et Rabelais dans ses écrits

nous a légué cet héritage.

La vie n’est pas sans anicroche

amusons-nous tant qu’on le peu

avant que de devenir vieux

et que le moral s’effiloche !

Foin des guerres picrocholines

qu’un petit rien peut déclencher

prenons la vie du bon coté

érigeons ça en discipline !

                                                                 Pierre Dupuis
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Rébus : réponse au petit rébus non dominical de ... Rotpier !

23 Juillet 2018 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour, #Pensées

.

Réponse pour le rébus :

Je viens de la mettre sur le billet d'avant … « rébus » ! 

 Un grand bravo à ceux qui avaient trouvé !

 

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Le petit rébus dominical de ... Rotpier !

22 Juillet 2018 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Rébus, #Humour, #Pensées

 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?

Juste comme ça, pour se dégourdir

un peu les neurones !

 

 

Petite aide au rébus

(les champions s'en passeront !) :

 

C'est un rébus du Rotpier, assez corsé . Une sorte de rébus celtique pour ne pas dire celtrique ...
1ère ligne, 3ème image : la moitié du personnage !
2ème ligne, 2ème image : le cri du mouton !
4ème ligne, dernière image : Éros est le dieu du " - - - - " !
5ème ligne, 2ème image : 0,5 Km/h , c'est très  " - - - - " !
6ème ligne, 2ème image et en direct : " ti " !  3ème image: le verbe aller à l'impératif !
7ème ligne, 3ème image et en direct:  le symbole de la "vie " !
8ème ligne, 2ème image : en direct: " U " !  3ème image : petite, le sale bête est lente !
11ème ligne, 2ème image : le gars a une sacrée "  - - - - " ... et pis c'est tout !
Et pis c'est tout !
A vous de jouer !  Allez, au travail ! Vive la Bretagne, vive la musique, vive les bretons, vive Pinchon , vive le chouchen et le Souchon !

 

Réponse :

Elle était un peu bécassine et il l’avait fait boire avant de l’entraîner au festival des Vielles Charrues pour mieux la bourrer. Elle en était toute retournée !

 

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Jacques Brel : « La Fanette » ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

21 Juillet 2018 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime

 

Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :

« La Fanette »

« Jacques Brel »

L’incontournable grand Jacques …

 

La Fanette

Nous étions deux amis et Fanette m'aimait
La plage était déserte et dormait sous juillet
Si elles s'en souviennent les vagues vous diront
Combien pour la Fanette j'ai chanté de chansons
 
Faut dire
Faut dire qu'elle était belle
Comme une perle d'eau
Faut dire qu'elle était belle
Et je ne suis pas beau
 
Faut dire
Faut dire qu'elle était brune
Tant la dune était blonde
Et tenant l'autre et l'une
Moi je tenais le monde
 
Faut dire
Faut dire que j'étais fou
De croire à tout cela
Je le croyais à nous
Je la croyais à moi
 
Faut dire
Qu'on ne nous apprend pas
A se méfier de tout
 
Nous étions deux amis et Fanette m'aimait
La plage était déserte et mentait sous juillet
Si elles s'en souviennent les vagues vous diront
Comment pour la Fanette s'arrêta la chanson

Faut dire
Faut dire qu'en sortant
D'une vague mourante
Je les vis s'en allant
Comme amant et amante

Faut dire
Faut dire qu'ils ont ri
Quand ils m'ont vu pleurer
Faut dire qu'ils ont chanté
Quand je les ai maudits

Faut dire
Que c'est bien ce jour-là
Qu'ils ont nagé si loin
Qu'ils ont nagé si bien
Qu'on ne les revit pas

Faut dire
Qu'on ne nous apprend pas
Mais parlons d'autre chose

Nous étions deux amis et Fanette l'aimait
La plage est déserte et pleure sous juillet
Et le soir quelquefois, quand les vagues s'arrêtent
J'entends comme une voix
J'entends c'est la Fanette

Bon partage !

  

Rotpier

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