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Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

Ulysse pour les romains ou Odysseus pour les grecs : La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

4 Janvier 2010 , Rédigé par Rotpier Publié dans #Humour



 
 

La mythologie gréco-romaine revisitée et expliquée par … Rotpier !

 

 



Notons, comme disait Amélie,

que la Créte se trouve en bas et non en haut !

J'ai relevé cela: cocorico !

 

Préambule important dont tout lecteur nouveau doit bien s’imprégner pour appréhender correctement la suite.

 

 

1)   La mythologie gréco-romaine n’a rien à voir avec des salades débitées par Juliette : je l’affirme !

2)   Je vous fiche mon billet (d’ailleurs, il y en aura plusieurs et j’espère que vous n’allez pas vous en liasser !) qu’après m’avoir lu, vous serez bien plus à l’aise dans les soirées où vous aborderez les fabuleuses facettes de cette épique époque avec vos amis !

3)   Les explications que je donne ici sont de sources sûres : mon lointain ancêtre étant Achille. Achille était un bel héros (Deravel était son père) et les filles, très amoureuses de lui, lui demandaient toujours : « t’as long Achille ? » et lui, répondait immanquablement en se grattant le pied : « vérifie toi-même ! »

 

4)   Les dieux, demi-dieux et autres personnages étaient les mêmes chez les grec et les romains, mais ils s’appelaient différemment. Prenons pour exemple la déesse de l’amour et de la fécondité : elle s’appelait « Aphrodite » chez les grecs et « Vénus » chez les romains.

 

Ceci étant exposé, vous allez pouvoir suivre pas à pas la véritable histoire de ces temps fabuleux !

 

 

Vous pouvez retrouver chaque lundi, depuis le 17 août, un billet sur le sujet !

 

 


 

Aujourd’hui :  

 

 

 

Image prise par Rotpier juste avant la guerre de Troie

 
 
 

Odysseus  pour les grecs

 

Ulysse  pour les romains

 

Célèbre héros grec, roi légendaire d'Ithaque à main armée, Ulysse ou Odysseus était le fils de Laërte et d'Anticlée qui se faisait allègrement péter le verrou par le premier serrurier venu. Toutefois des traditions postérieures (un peu cul-cul quand même) prétendent que Sysiphe (hein ? Sysiphe ?) en visite à Ithaque, se serait tombé amoureux d'Anticlée ( Rical, était son nom de famille) alors déjà fiancée à Laërte, et aurait engendré Ulysse.
On dit aussi que son grand-père maternel, le célèbre voleur Autolycos ( il volait déjà des bagnoles !) fils d'Hermès (qui ne fut jamais prit la main dans le sac, même pas à Paris) qui avait choisi le nom Odysseus qui signifierait "celui qui est agacé" et lui avait prédit qu'il serait aussi roué que lui et de grandes richesses quand il serait capable de venir les chercher chez lui, sur le Parnasse qui était un mont.

Avec ce singulier grand-père, il participa sur le mont (je vous l’avait bien dit !) Parnasse à une chasse au sanglier qui le blessa d'un coup de défense sous la grande Arche. La cicatrice qu'Ulysse gardera à la jambe lui permettra d'être reconnu par Euryclée à double tour, sa nourrice quand il reviendra à Ithaque.
 
Ulysse fit de nombreux voyages qui l'amenèrent tour à tour à Lacédémone, à lacer des nonnes, à Ephyra, à Taphos septique est bouchée et à Messène où il fit connaissance d'Iphitos, fils d’Eurytos, qui cherchait les juments volées de Bartabas. Ils devinrent amis et Iphitos lui donna l'arc de son père, champion de tir, juste avant d'être tué par Héraclès soupçonné injustement de vol à la place d'Autolycos qui s’était mis à voler les 2 CV !
Ulysse chercha le moyen d'obtenir du poison pour ses flèches mais Ilios, petit-fils de Médée le lui refusa. Il s'adressa alors à Anchialos (un mec qui pleurait tout le temps) prince de Taphos septique est bouchée, qui lui en fournit. Toutefois il n'emporta pas l'arme à la guerre de Troie contre un et il plaça cet arc, qui allait jouer un rôle déterminant par la suite, dans la salle de réception de son palais d'Ithaque .

Parvenu à l'âge adulte, il devint roi d'Ithaque du vivant de son père. Il fut l'un des prétendants de la belle Hélène, mais pas des garçons, n’étant pas tarlouze pour deux sous, mais il renonça très vite devant l'opulence des cadeaux que les riches princes faisaient à la princesse. Il suggéra à Tyndare, qui en avait un fort long, de faire jurer aux prétendants qu'ils s'uniraient pour défendre l'honneur du futur élu.

 Pour le remercier de sa sage recommandation, Tyndare intercéda en sa faveur auprès son frère, Icarios, dont la fille, la sage et riche Pénélope et aussi fieffée s ….. ,  qui était donc la cousine d'Hélène allait devenir son épouse  (j’espère que vous suivez bien jusqu’ici, car l’affaire va se corser comme on dit à l’Elysée !)

Icarios voulait bien de ce mariage, mais il se refusait à voir partir sa fille de la maison paternelle; il suivit même le char Lecler nuptial en suppliant sa fille de rester. Pénélope se couvrit le visage de son voile signifiant ainsi qu'elle désirait suivre son époux. Icarios fit élever une statue de la déesse Aidôs (déesse de la Pudeur et de l’entraide entre les peuples). Le couple n'eut qu'un fils, Télémaque ( il existe une statue de Télémaque à Rosny dans le quartier Italien que l’on peut admirer en passant par Mesan )

PREPARATIFS POUR LA GUERRE.

Quand fut organisée l'expédition à un contre Troie contée par Homère Michel, dans l’Iliade et l’Audi C, il chercha à se dérober car il ne se sentait pas concerné par le pacte des prétendants n'ayant jamais officiellement demandé la main d'Hélène (ni des garçons, je vous le rappelle !) Il joua la folie: il laboura (ce qu’il n’avait jamais fait à Hélène) le sable de la mer et y sema du sel. Mais Palamède Lesflots , qui était venu le trouver pour le convaincre, plaça le petit Télémaque devant la charrue de son père, qui détourna rapidement ses bêtes démontrant ainsi qu'il n'était pas fou. Il garda toujours rancune mortelle à Palamède d'avoir déjouer sa ruse.

Ulysse découvrit à Skyros Dufoie le jeune Achille, caché par sa mère sous des habits de femme à la cour de Lycomède. Malgré les funestes prédictions du devin en bouteille, Halithersès, il se rendit à Aulis avec douze navires, qui portaient les contingents d'Ithaque, de Zacynthe (qui se portait comme une fleur) des côtes d'Epire et des meilleures ainsi que des chasseurs alpins, des légionnaires de Calvi, des espions d’Hortefeux, des gardes suisses du Vatican, des suisses de chez HBC ainsi que l’avant-garde de Blanche Neige et des sept nains qui, en se retrouvant à Troie, constatèrent qu’il en manquait quatre à l’appel.

 

Tout ça n’est pas si simple, mais je ne peux que vous encourager à apprendre par cœur et si vous ne comprenez pas tout, ne vous inquiétez pas : moi non plus !

 

A la semaine prochaine pour la suite ... si vous le voulez bien !

 Rotpier ........ à qui il ne reste qu'un tout petit rien de jeunesse comme disait Lucien !

 

 

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