Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
N'oubliez pas les petites aides glissées en début et en fin de chaque rébus : elles vous donnent souvent des orientations intéressantes à retenir ! 😉😊😄
C'est un rébus haut en couleur, pas pâle du tout !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Et pisse c'est tout mes loulous !
Vous avez suivi ou je vous remets une couche ? 😂
Réponse :
D’après les archives du Vatican, le pape Pie VII avait de graves problèmes d’incontinence d’urine. Épicetout !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus sous forme de deux questions dont je n'ai pas trouvé les réponses chez Marmiton !
. 😂
.
Allez, au boulot !
Bon appétit à tout le monde !
😄
Réponse :
Qu’elle est la durée idéale de cuisson pour les staphylocoques si on veut les déguster à point avec des mouillettes de pain de campagne ? D’autre part, sont-ils meilleurs avec ou sans sel ?
Qu'il dit l'animal !
"Le coup de soleil" de Richard Cocciante ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine,
je vous propose de partager les chansons
et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Allez, un petit coup de soleil ne peut faire
que du bien à tout le monde
... encore que je m'en méfie toujours beaucoup !
Richard Cocciente :
« Le coup de soleil »
Le coup de soleil
J'ai attrapé un coup de soleil,
Un coup d'amour, un coup d'je t'aime
J'sais pas comment, il faut qu'j'me rappelle
Si c'est un rêve, t'es super belle
J'dors plus la nuit, j'fais des voyages
Sur des bateaux qui font naufrages
J'te vois toute nue sur du satin
Et j'en dors plus, viens m'voir demain
Mais tu n'es pas là, et si je rêve tant pis
Quand tu t'en vas j'dors plus la nuit
Mais tu n'es pas là, et tu sais, j'ai envie d'aller là-bas
Le fenêtre en face et d'visiter ton paradis.
J'mets tes photos dans mes chansons
Et des voiliers dans ma maison
J'voulais m'tirer, mais j'me tire plus
J'vis à l'envers, j'aime plus ma rue,
J'avais cent ans, j'me r'connais plus
J'aime plus les gens depuis qu'j't'ai vue
J'veux plus rêver, j'voudrais qu'tu viennes
Me faire voler, me faire je t'aime.
Ça y est, c'est sûr, faut qu'j'me décide
J'vais faire le mur et j'tombe dans l'vide
J'sais qu'tu m'attends près d'la fontaine
J't'ai vu descendre d'un arc-en-ciel
Je m'jette à l'eau des pluies d'été
J'fais du bateau dans mon quartier
Il fait très beau, on peut ramer
La mer est calme, on peut s'tirer
Les pensées très éclectiques, sérieuses, moins sérieuses et carrément déjantées de ... Pierre et du Rotpier
Il y a pensées et pensées:
Celles-là :
Et celles-là :
Ces dernières sont très variées :
il y a de l'éclecticité dans l'air !
Première pensée :
Seconde pensée :
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Èpicétout pour aujourd’hui !
Voila, c’est terminé !
Et comme on dit à Amsterdam :
Un café, un joint mais pas d'addiction SVP !
Le poème du jour : " Notre cerveau est une éponge, " ... du Rotpier
Quant est-il du mien ? ... Mystère et boule de gomme !
Compile d'images du net !
Notre cerveau est une éponge,
Notre cerveau est une éponge
c’est très bizarre quand on y songe
tout ce qui passe à sa portée
est tout aussitôt absorbé !
Déluge ou gouttes d’information
peu importe pour lui il stocke
de façon tout à fait ad hoc :
une grande compilation !
Pour les gouttes fraîches et claires
il les stocke sans intercalaire
quand elles sont par trop boueuses
il les met dans sa lessiveuse.
Tranquillement elles décantent
des tours et des tours de tocante
des jours des mois ou des années
selon la boue à décanter !
Il ne garde que le dessus
éliminant les résidus
il faut bien faire de la place
éliminer toutes les crasses !
Quand il ne peut plus absorber
limite à ne pas dépasser
sous peine de finir noyé
il faut à tout prix qu’il s’épanche
souvent ça sort en avalanche !
Pressé pressé et repressé
il peut de nouveau absorber
il se refait une santé
il plonge il plonge et il replonge
et il redevient une éponge
ne pensant qu’à se saturer !
Parfois il rêve de la mer
quand il éponge trop d’amer
il rêve de fonds sous-marins
où du monde il ne saurait rien
bercé par des courants très doux
oubliant tracas et courroux.
Un retour à la vie basique
dans les océans pacifiques
vivant et se reproduisant
sans s’occuper de l’air du temps.
Retour à la vie animale
car une éponge même banale
est un être des plus vivants
tantôt papa tantôt maman
tantôt les deux assurément
qui aurait tout à fait sa place
chez le LGBT c’est classe !
Mais je m’éloigne du sujet
mon cerveau vient de m’alerter
je lui ai donné trop de mou
ce n’est pas du tout à son goût
mais je m’en fous et contrefous
c’est comme ça épicétout !
La prochaine fois mes amis
je vous parlerais c’est promis
de mon foie qui quand on y songe
n’est pas bien loin d’être une éponge !
Si j’avais autant de talent
que le merveilleux Francis Ponge
je broderais sur les éponges
un écrit pur et sans rallonge
comme celui qu’il fit sur l’huître
hélas je ne suis qu’un bélitre !
Je vais finir ce n’est pas gai
comme le héros d’Hemingway
vieil homme entraîné sur la mer
ressassant son passé amer
à moins que je croise un matin
un marlin bon samaritain
qui me remette bien à flot
bien à l’abri des cachalots
et des cohortes de salauds
qui me prennent pour un charlot !
Qu’en pensez-vous mes bons amis
ai-je une chance de survie
ou bien dois-je me résigner
à finir un jour harponné ?
Allez cette fois je vous quitte
pour effeuiller la marguerite
et si jamais c’est : « Pas du tout »
qu’elle m’autorise à boire un coup
je la trempe dans de l’essence
je n’ai plus beaucoup de patience
et mon briquet à amadou
fera le reste épicétout !
Qu’elle s’occupe des amoureux
qu’ils soient beaux ou bien boutonneux
j’en ai vraiment rien à cirer
c’est clair et net et bien carré !
D’ailleurs il faut être débile
pour confier le sort d’une idylle
à une fleur sans panache
qui se laisse bouffer par les vaches !
Moralité :
N’effeuillez pas la marguerite
elle est menteuse et hypocrite
ses prédictions sont du pipeau
faites-lui sur le champ la peau !
Si un jour une vous invite
à l’effeuiller prenez la fuite
mais juste avant piétinez-là
comme un vulgaire cancrelat !
Image du net
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
N'oubliez pas les petites aides glissées en début et en fin de chaque rébus : elles vous donnent souvent des orientations intéressantes à retenir ! 😉😊😄
C'est un rébus-conseil très pragmatique et je vous le donne à l'œil ! Suis-je bon quand même, n'est-ce pas ?
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Et pis c'est tout mes loulous !
Prenez bien soin des vôtres ! 😂
Réponse :
Comme on dit chez Afflelou ou Optique 2000, " Qui prend soin de ses lunettes ménage leur monture ! "
Nota : Je suis toujours très à cheval sur les adages !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus qu'il faudrait distribuer dans les EHPAD ! ... Enfin, je n'en suis pas certain !
. 😂
.
.
Allez, au boulot !
Si vous avez mal au dos ou autre part, n'allez pas faire ce genre de chose, cela pourrait vous créer de gros ennuis !
😄
Réponse :
Plus on vieillit, plus notre carcasse craque de partout et ce n’est pas en décidant de casser trois ostéopathes et un canard que cela arrangera les choses !
Qu'il dit l'animal !
Léo Ferré : " La mémoire et la mer " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Que dire ? Rien, écouter et se laisser bercer par
la voix, la musique et les paroles ...
LA MÉMOIRE ET LA MER
La marée je l'ai dans le coeur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite soeur
De mon enfant et de mon cygne
Un bateau ça dépend comment
On l'arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années-lumière et j'en laisse
Je suis le fantôme Jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baisers
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts du sable de la terre
Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps-là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l'écume
Cette bave des chevaux ras
Au ras des rocs qui se consument
Ô l'ange des plaisirs perdus
Ô rumeurs d'une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu'un chagrin de ma solitude
Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ô parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j'allais géométrisant
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans les draps d'aube fine
Je voyais un vitrail de plus
Et toi fille verte mon spleen
Les coquillages figurants
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tant
Qu'on dirait l'Espagne livide
Dieu des granits ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s'immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu'on pressent
Quand on pressent l'entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue
Dans cette mer jamais étale
D'où nous remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles
Cette rumeur qui vient de là
Sous l'arc copain où je m'aveugle
Ces mains qui me font du flafla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l'anathème
Comme l'ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sur mon maquillage roux
S'en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue aux musiques mortes
C'est fini la mer c'est fini
Sur la plage le sable bêle
Comme des moutons d'infini
Quand la mer bergère m'appelle
Bon partage !
Rotpier
Les petites ou les grosses conneries ou pensées du jour de ... Rotpier
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
« Le rire est le propre de l'Homme »
Image du net
" Le rire est le propre de l'Homme, ce qui n'empêche pas de se laver un peu de temps en temps. "
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Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries !
N’ ayant pas de voisine à portée de langue .................................
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Mieux vaut rire de tout !
Èpicétout
😂😂😂
.
Salut brav' gens !
Un peu de politique aujourd'hui: ça chauffe au RN !
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Èpicétout pour aujourd’hui !
Voila, c’est terminé !
Et comme on dit à Amsterdam :
Un café, un joint mais pas d'addiction SVP !
"Comme un relent de peste brune" , un poème actualisé de ... Pierre
J’avais écrit ce poème en mars 2017 ( il y a 5 ans … tiens tiens, bizarre ! ) Je le reprends et l’actualise en fonction des évolutions politiques mais il est toujours aussi décapant.
Pour celle-là, nous n'avons pas encore trouvé de vaccin pour l'éradiquer définitivement ...
Image du net
Comme un relent de peste brune…
Regardez bien ceux du RN,
pour le moment ils se retiennent
mais dans leurs yeux brille la haine,
celle de la marque « Le Pen » !
Il suffirait de trois fois rien,
qu’un plus enragé les ameute
pour qu’ils se regroupent en meute
et se conduisent comme chiens !
Un flash-back du temps de Vichy
un noyau dur et des complices,
un remake sur les milices,
ces nœuds gluants d’introvertis !
« Les étrangers ont tous les torts,
allez dehors et sans manière,
on les chasse hors de nos frontières,
on les jette par-dessus bord ! »
Qui c’est ce mec, qui le connait ?
Il serait agrégé d’histoire ?
Encore un emmerdeur notoire,
un sale type, un foutriquet !
Allez allez, t’es basané,
rien à foutre ici tu dégages !
T’es né ici ? C’est bien dommage !
Décampe ou ça va mal tourner !
On n’aime pas les étrangers,
nous on est des français de souche,
ne joue pas les saintes-nitouches :
rien à foutr’ si t’es agrégé !
Quoi ? Troisième génération !
Ça fait trop longtemps que ça dure,
si on te cassait la figure
et si l’on te bottait le fion ?
Tu vas nous accuser c’est sûr
d’être des racistes primaires,
on connaît vot’ vocabulaire
quand vous êtes le dos au mur !
Cette fois tu peux te tirer
mais un jour nous aurons Marine
là tu pisseras des narines
à ne plus pouvoir respirer !
Le Rassemblement National
va s’occuper des rastaquouères,
la France n’est le sanctuaire
que des gaulois et c’est normal ! »
Péroraison :
« Mais c’est de la science fiction ! »
C’est ce que vous allez me dire
et bien moi je peux vous prédire
que certains sont prêts à l’action !
Regardez bien autour de vous,
écoutez bien, tendez l’oreille,
chauffés ou pas par la bouteille,
ils se lâchent un peu partout !
Et quand je dis « autour de vous »
n’excluez pas votre famille
… je vois vos yeux qui s’écarquillent :
vous allez me traitez de fou !
Pas ceux du cercle rapproché,
en principe on sait ce qu’ils pensent,
les autres quelles accointances
ont-ils auprès d’autres clochers ?
C’est quand même très angoissant,
quand on voit des petits villages
offrir au FN ses suffrages
à plus de cinquante pour cent !
Ça pue et ça vous prend au nez,
ça incommode ça importune,
comme un relent de peste brune,
comme une charogne en été.
Nous aurions besoin d’un Camus
pour dénoncer la pestilence
de ce qui nous arrive en France
et que nous avons déjà vu !
Eternel recommencement,
il reste toujours quelques braises
de haine et certains se complaisent
à souffler dessus longuement !
Un détail est à mentionner :
chez nous la peste brune est blonde,
aussi sûr que la terre est ronde
il nous faudra l’éradiquer !
Maintenant il y en a deux
et celles-là font bien la paire,
bien entourées par des compères
au passé souvent sulfureux !
Oui, maintenant elles sont deux,
la fille a écarté le père,
la nièce a laissé tata faire :
il était encombrant le vieux !
Il a défriché le terrain,
créé sa petite entreprise
et ces deux-là la lui ont prise :
il n’est plus le grand mandarin !
Un coup de chaud chez les fachos,
pas de quoi fouetter une chatte,
sauf que celles-là ont pris date
pour nous entraîner au chaos !
Et depuis peu y a du nouveau
un certain Zemmour gesticule
qui contre Marine et l’accule
et Marion qui crie : « Bravo ! »
Panier de crabes s’il en faut
tous prêts à tuer père et mère
c’est déjà fait pour le grand-père
c’est vrai qu’il est près du tombeau !
Nouvelle nuit des longs couteaux
tous les gêneurs on les expurge
on pratique la grande purge
à coups de poignards dans le dos !
Là se sont les réseaux sociaux
les actifs de la fachosphère
qui du fin fond de leurs tanières
visent et lancent les couteaux !
L’envoi de fake news à gogo
ça ébranle et déstabilise
ça perturbe et démoralise
de quoi choper le vertigo !
Épilogue :
« Numérote tes abattis ! »
m’a conseillé un ami proche
« Tu joues un peu trop au Gavroche
s’ils reviennent t’es mal parti ! »
J’ai répondu à cet ami :
« Je n’ai plus l’âge de me taire,
de ravaler mes commentaires :
je dis que ça pue le nazi !
Oui je le dis et je le redis! "
Pierre Dupuis
Image du net