Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
Les deux sont tout frais et non les œufs sont tout frais ! 😉😊😄
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Nul besoin d'avoir le BAC pour déchiffrer !
Réponse :
Quand les policiers de la BAC arrêtent un important dealer dans une cité, ils ont souvent le beur et l’argent du beur mais très rarement la crémière !
xxxxxxxxxxxxxxxxxxx
Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus qui parle de flics aussi ! Il convient de signaler qu'il contient deux mots d'argot mais vous n'allez pas ergoter pour deux fois rien hein mes lapins !
😂
Bon déchiffrage et bon apéro, qu'il soit jaune ou pas ! 😄
Réponse :
Comme disent les vieux argousins de Marseille ou d’ailleurs quand ils partent en chasse, qu’ils se prénomment Paul ou pas: ce sera un tricard sinon rien !
Nota :
Les deux mots d’argot étant « Argousin » ( Gendarmes, flic, policiers etc. ) et « Tricard » ( personne interdite de séjour )
A la vôtre brav’ gens !
Qu'il dit l'animal !
Yves Montant : " Cyracuse " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Yves Montant »
« Syracuse »
Très belle reprise de la chanson d'Henry Salvador ...
J'aimerais tant voir Syracuse
L'île de Pâques et Kairouan
Et les grands oiseaux qui s'amusent
À glisser l'aile sous le vent
Voir les jardins de Babylone
Et le palais du grand Lama
Rêver des amants de Vérone
Au sommet du Fuji-Yama
Voir le pays du matin calme
Aller pêcher au cormoran
Et m'enivrer de vin de palme
En écoutant chanter le vent
Avant que ma jeunesse s'use
Et que mes printemps soient partis
J'aimerais tant voir Syracuse
Pour m'en souvenir à Paris
Syracuse
Syracuse
Syracuse
Syracuse
Syracuse
Bon partage !
Rotpier
Les petites ou les grosses conneries ou pensées du jour de ... Rotpier
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
« Le rire est le propre de l'Homme »
Image du net
" Le rire est le propre de l'Homme, ce qui n'empêche pas de se laver un peu de temps en temps. "
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Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries !
N’ ayant pas de voisine à portée de langue .................................
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Collusion Zemmour - Jean-Marie Le Pen
.
Èpicétout pour aujourd’hui !
Voila, c’est terminé !
Et comme on dit à Amsterdam :
Un café, un joint mais pas d'addiction SVP !
Le long poème du jour : " Tailler la route, " ou " Le long périple Rabelaisien, " de ... Rotpier
Petit (assez long ! ) souvenir de vacances au Pays de Rabelais...
Tailler la route,
ou
Le long périple Rabelaisien,
A la suite d’un gros chagrin
- on m’avait volé mes lapins ! -
sac à dos j’ai taillé la route
avec mon chien rempli de doute.
Ne vous méprenez pas c’est moi
qui était en plein désarroi
mon chien lui avait la patate
pas de problème de prostate !
Je vous rassure moi non plus
même si ce n’est pas exclu
qu’un jour j’aie des incontinences
pour l’instant je tiens la distance !
Je vais vous confier un secret
la chapardeuse était tout près
une femme au trois quarts manouche
qui avait partagé ma couche !
Il faut être vraiment crétin
pour partager sans savoir rien
son lit avec une inconnue
rencontrée un soir dans la rue.
Elle était experte en amour
mais au matin au petit jour
plus de lapins plus de gitane
et plus non plus de caravane !
Elle avait vidé mes clapiers
aidée par plusieurs équipiers
plus de lapins plus de lapines
totale et complète rapine !
Un sacré retour de bâton
alors mon chien sur les talons
je suis parti pour un périple
jonché de surprises multiples.
Sur les traces de Rabelais
et partant du bourg de Benais
je quittais pour trois mois ma ferme
la confiant à Vincent Delerm.
Pourquoi lui et pas son cousin
me direz-vous mine de rien :
je lui trouve beaucoup de classe
il n’est pas fier et ça le classe.
Son père n’était pas dispo
il s’occupait du goût des mots
sinon il aurait fait l’affaire
ils ont tous deux du savoir faire !
Et le périple commença …
Une vigneronne à Bourgueil
qui prenait le frais sur le seuil
de sa maison ma foi coquette
m’a paru pour le moins pompette.
Elle m’a dit : « Viens boire une coup !
mon bonhomme il a mis les bouts
avec la voisine d’en face
une redoutable poufiasse ! »
J’ai bien mangé et j’ai bien bu
mais quand elle m’a dit : « Veux-tu
que l’on fasse des galipettes ? »
j’ai vite repris ma musette !
Je suis arrivé à Chinon
et j’ai squatté un cabanon
abandonné en bord de Vienne
qui n’avait plus qu’une persienne !
Il a vraiment plu à mon chien
même quand je lui disais : « Viens ! »
je voyais qu’il faisait la tête
et c’est moi qui restait tout bête !
Une chienne est venue un jour
elle cherchait le grand amour
mon chien l’a très vite séduite
pour la laisser tomber ensuite !
Je suis passé chez le coiffeur
car j’avais la tignasse en fleur
il m’a dit : « C’est vraiment dommage
la mode n’est plus au crêpage !
J’avais appelé mon salon :
« Au bon crêpage de Chinon »
les femmes et les demoiselles
venaient chez moi pour être belles !
Elles se battaient pour entrer
on voyait les jupons voler
c’était un spectacle grandiose :
volées de coups et ecchymoses !
Il y avait des spectateurs
moitié sportifs moitié voyeurs
je louais tabourets et chaises
aux plus vieux pour qu’ils soient à l’aise !
Je me suis fait un tas de fric
il y avait même des flics
qui se délectaient du spectacle
portant ces combats au pinacle !
Mais un gradé a tout gâché
un vieux barbon tout desséché
il m’a fait fermer la boutique
en jubilant comme un sadique !
Un matin j’ai dit à mon chien :
« Allez on reprend le chemin ! »
et on a traversé Avoine
sans y rencontrer un seul moine.
Nous avons fait un grand détour
pour passer loin des alentours
de la centrale nucléaire
allongeant notre itinéraire.
Ce n’est pas que l’on avait peur
de son nuage de vapeur
mais l’atome ça fout les boules
on s’est barré : roule ma poule !
On est passé à Parilly
à petits pas c’était la nuit
nous avions raté Saint-Lazare
cela nous a paru bizarre !
A Seilly nous avons croisé
des moutons avec leur berger
qui n’étaient pas ceux de Panurge
évoqués par le grand démiurge !
N’empêche que ledit berger
avait un air de Rabelais
comme lui l’amour de la treille
du vin de la dive bouteille !
Il m’a dit viens boire un canon
j’ai ma réserve de chinon
et ce n’est pas de la bibine
ça vient droit de chez ma cousine.
Elle est de Cravant-les-Coteaux
son mari connaît son boulot
qui sait s’occuper de la vigne
et d’elle aussi je le souligne !
Et on s’est mis à picoler
en mangeant un petit pâté
de lapin cuit à la terrine
entre deux séances d’urine !
Quand on boit il faut évacuer
il faut bien la vessie vider
ça rentre dans l’ordre des choses
vous partagez je le suppose ?
Pendant ces agapes mon chien
était devenu bon copain
avec ceux tout poilus du pâtre
dont un qui avait une emplâtre.
Après deux jours à dessoûler
on est reparti vers Ligré
le dolmen situé dans la plaine
s’ennuyait de façon certaine.
Il était content de nous voir
comme il commençait à pleuvoir
nous avons accepté son offre
d’hébergement en catastrophe !
On a dormi vachement bien
à l’abri sans rites païens
ni barbarie ni sacrifice
pas de trace de maléfice !
On est passé trois jours plus tard
sur le pont de l’Ile-Bouchard
quand nous avons suivi la Vienne
se sont refermées les persiennes !
L’accueil n’était pas chaleureux
on n’aime pas ici les gueux
qui ont une drôle d’allure
souliers usés et grands galures !
Heureusement un vieux curé
nous a aussitôt hébergé
dans son vaste et beau presbytère
alors qu’on nous lançait des pierres !
Sa bonne nous a préparé
un bon repas au pied levé
pas arrosé au vin de messe
mais au chinon je le confesse !
Un curé comme on en fait plus
en soutane et marchant pieds nus
très attentionné pour ses ouailles
ne recherchant pas les médailles !
Bon vivant et même un peu plus
aussitôt porté sur le « tu »
il m’a raconté des histoires
plutôt scabreuses c’est notoire !
Quelques secrets de confession
sans révéler le moindre nom
par soucis de délicatesse
mais il était question de fesses !
La vieille bonne souriait
bien appuyée sur son balai
connaissant sans le moindre doute
tous ces secrets… oh ! La filoute !
Plus jeune elle avait sûrement
eu un sacré tempérament
pas du genre à se faire nonne
le curé l’avait à la bonne !
Croquer la pomme en ce temps là
pour un curé pas de tracas
petite entorse aux évangiles
bien mieux que d’être pédophile !
Mon chien et moi sommes restés
bien plus longtemps qu’envisagé
jusqu’à ce que des paroissiennes
jettent des cailloux aux persiennes !
Le curé n’allait plus les voir
occupé du matin au soir
à me raconter les fredaines
de la femme d’un capitaine !
Elle avait essayé en vain
de séduire le sacristain
elle se trouva toute bête
quand il lui dit : « J’suis d’la jaquette ! »
Elle s’est rabattue sur moi
j’ai refusé comme il se doit
mais elle avait de la constance :
j’ai succombé aux circonstances !
Nous sommes partis une nuit
pour éviter les gros ennuis
mon chien devant et moi derrière
nous avons franchi des barrières.
Nous sommes passés par Roncé
et avons vu le pigeonnier
nous avons traversé des vignes
et rencontré des gens très dignes.
Nous avons abordé Panzoult
par les étangs et pour le coup
une nuée d’évangélistes
avait squatté toutes les pistes !
Nous avons évité l’endroit
et sommes partis vers les bois
où nous avons trouvé très vite
un abri dans les troglodytes.
Il y en a énormément
dans la région c’est très courant
comme celui de la Sibylle
que Rabelais brosse avec style.
D’ailleurs nous y sommes allés
nous avons vu un vieux balai
abandonné depuis des lustres
mais rien de la voyante illustre !
En dessous le Moulin Girault
et son étang aux calmes eaux
formait un spectacle admirable
d’une beauté inoubliable.
La cave étant à quelques pas
nous y sommes allés ma foi
mon chien faisait un peu la tête
pas moi car c’était jour de fête !
J’ai goûté et j’ai regoûté
du Chinon clair et du corsé
au point d’être à la fin pompette
bon à ramener en brouette !
On m’a soigné et hébergé
mon chien était bien rassuré
on nous a bien rempli la panse
des braves gens qu’en on y pense !
Puis notre périple a repris
tranquillement et sans ennui
jusqu’aux abords de Rivarennes
en passant par une fontaine.
Un endroit sympa et peinard
pour nous délasser les panards
nous y avons planté la tente
pour nous reposer sans attente.
Nous étions frais comme gardons
nous avons croisé sur le pont
une vieille femme ridée
pire qu’une poire tapée !
Fort sympathique au demeurant
elle a trouvé mon chien marrant
bien sûr il lui a fait la fête :
un vrai cabotin cette bête !
Et elle nous a invités
à partager son déjeuner
elle avait fait une blanquette
un vrai régal dans les assiettes !
Après tous nos remerciements
et un au revoir au tournant
nous avons repris le voyage
par des chemins sans balisage.
En arrivant à Restigné
nous avons été désignés
comme voyageurs de l’année
lors d’une homérique veillée !
Le Bourgueil a coulé à flot
en méchoui y avait deux agneaux
en déssert des poires tapées
quelle épopée quelle épopée !
Nous sommes restés quelques jours
mon chien a aimé le séjour
passant son temps avec des chiennes
qu’en moins de deux il faisait siennes !
Mais il était temps de rentrer
de boucler la boucle à Benais
de retrouver enfin ma ferme
et remercier Vincent Delerm.
Il m’attendait sur le perron
sans la vipère du Gabon
disant qu’il avait des idées
sur les piqures d’araignées !
J’avais pris soif sur le chemin
il m’a offert une Jenlain
j’ai apprécié comme son père
la première gorgée de bière !
Je l’ai remercié chaudement
d’avoir gardé mes bâtiments
mes cochons mes oies et mes poules
il m’a dit « T’inquiète ça roule ! »
Pour que tout se finisse bien
j’ai acheté douze lapins
un fusil et plein de cartouches :
« Passez au loin femmes manouches ! »
Terminaison :
Je ne sais pas si Rabelais
aurait aimé ce long ballet
de strophes un peu chaotiques
lui le chantre du fantastique.
J’espère que vous avez ri
ou qu’au moins vous avez souri
car comme disait le bonhomme
« Le rire est le propre de l’homme. »
Pour ma part, je propose ces adages :
« Qui ne rit pas est déjà mort
et dans sa tête et dans son corps
à quoi sert de vivre en ascète
à peine plus gai qu’un squelette ! »
« On ne peut pas rire de tout
mais comme disait un Bantou
tout souriant et débonnaire :
il est bien cuit le missionnaire ! »
Rotpier
Montage personnel à partir d'images du net !
Rébus : le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier ! Deux pour le prix d'un et c'est toujours cadeau !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Observation :
Le premier est recyclé, le second est tout frais ! Date de fraîcheur garantie : c'est un engagement du Rotpier 😉😊😄
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
Réponse :
Qu’il soit journaliste ou pas, un gigolo travaille toujours en free-lance !
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Le second en bonus et sans aide pour les accros !
C'est un rébus de chaude actualité !
😂
Le début est tout à fait véridique, le reste moins !
Bon déchiffrage et vous n'êtes pas obligé de courir ! 😄
Réponse :
Quand j’étais jeune, j’ai été six ans enfant de cœur sous trois curés différents sans me faire violer. Je ne sais pas si c’est parce que je n’étais pas beau du tout ou si c’est parce que je courais très vite !
Qu'il dit l'animal !
Françoise Hardy : "L'amitié " ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Françoise Hardy »
« L’amitié »
Puisque de nos jours elle est devenue une denrée assez rare
… pas Françoise Hardy mais l'amitié ...
L’amitié
Beaucoup de mes amis sont venus des nuages
Avec soleil et pluie comme simple bagage
Ils ont fait la saison des amitiés sincères
La plus belle saison des quatre de la Terre
Ils ont cette douceur des plus beaux paysages
Et la fidélité des oiseaux de passage
Dans leurs cœurs est gravée une infinie tendresse
Mais parfois, dans leurs yeux, se glisse la tristesse
Alors, ils viennent se chauffer chez moi
Et toi aussi, tu viendras
Tu pourras repartir au fin fond des nuages
Et de nouveau sourire à bien d'autres visages
Donner autour de toi un peu de ta tendresse
Lorsqu'un autre voudra te cacher sa tristesse
Comme l'on ne sait pas ce que la vie nous donne
Il se peut qu'à mon tour je ne sois plus personne
S'il me reste un ami qui vraiment me comprenne
J'oublierai à la fois mes larmes et mes peines
Alors, peut-être, je viendrai chez toi
Chauffer mon cœur à ton bois
Bon partage !
Rotpier
Les petites ou les grosses conneries ou pensées du jour de ... Rotpier
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.
La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri ... même en province !
« Le rire est le propre de l'Homme »
Image du net
" Le rire est le propre de l'Homme, ce qui n'empêche pas de se laver un peu de temps en temps. "
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Le dicton de présentation :
Mieux vaut tourner sept fois sa langue dans la bouche de sa voisine avant que de s’exprimer : cela évite d’énoncer des conneries !
N’ ayant pas de voisine à portée de langue .................................
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1ère connerie
La vie n’est pas simple quand même…
Ah ! Si seulement j’avais des talents d’écriture ! Des idées, j’en ai et même un peu trop, elles mènent joyeuse sarabande dans ma pauvre tête. Il faut que je me pose pour les calmer un peu et éviter de vilaines céphalées.
Vous le voyez la vie n’est pas simple tous les jours pour moi et je ne parle même pas des nuits.
Tenez, il y a quelques jours, je devrais dire quelques nuits, deux récits se télescopaient dans mon crâne : le roman fleuve en sept tomes de Marcel Proust « A la recherche du temps perdu » et « Le vieil homme et la mer » d’Ernest Hemingway.
Deux sujets et deux univers aux antipodes l’un de l’autre, vous en conviendrez aisément.
Et bien, chez moi, tout se mélangeait ! Les madeleines, Swan, Guermantes, les jeunes filles en fleurs, Albertine, les bottines d’Albertine, les vilains Sarrazins, Santiago, Manolin, Cuba, Castro, le Gulf Stream, l’énorme marlin, le petit thon en appât, la barque, les canes à pêche … Bref, l’imbroglio total, l’amphigouri garanti, l’embrouillamini maxi !
Au matin, j’avais la calebasse à marée basse ! Je ne savais plus où mon esprit avait dérivé toute la nuit entraîné par un courant marin sans fin et sans marlin !
Après un grand bol de café noir et deux aspirines, j’avais décidé d’écrire un roman synthétisant les deux histoires et les deux univers que j’intitulerais : « A la recherche du thon perdu » ;
Cela fait déjà plusieurs mois de cela et je n’ai toujours que le titre en tête en tout et pour tout !
Tous les matins, je rêvasse devant mon bol de café en trempant machinalement des madeleines dedans mais cela ne va pas plus loin.
Ma vie est quand même compliquée pour un simple profane, je l’avoue. Si seulement j’avais le don de bien écrire car, j’en suis persuadé : je suis digne d’un don … complètement.
Bon, d’autre part, est-ce que je ne ferais pas d’ombre aux jeunes filles en fleurs au point qu'elles aillent se faire déflorer par les premiers marins qui passent, qu'ils soient de Hambourg ou d'ailleurs, qu'ils pissent ou pas sur les femmes sans cervelle, le nez au ciel et la tête dans les étoiles ...
Ah! Comme tout cela est compliqué quand même ... Je sens déjà une céphalée qui monte, qui monte ... vite, deux aspirines ma cousine !
Le Rotpier
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2ème connerie :
J'ai lu que pour être certifié ISO 9001, il fallait passer des audits internes.
Ayant eu, quand j'étais petit, plusieurs otites internes, je ne dois pas être loin d'être certifié ISO 9001... qu'en pensez-vous ?
Ce serait une reconnaissance de qualité qui rendrait mes détracteurs fous de rage !
Ils n'auraient plus qu'à la mettre en sourdine en maugréant !
Ah ! Que cela me plairait bien ! Je vois d'ici leurs têtes déconfites !
Le Rotpier
Nota pour ceux qui ne connaissent pas la norme ISO 9001 : https://fr.wikipedia.org/wiki/ISO_9001
Ne suis-je pas un grand vulgarisateur ?
Èpicétout pour aujourd’hui !
Voila, c’est terminé !
Et comme on dit à Amsterdam :
Un café, un joint mais pas d'addiction SVP !
Pour faire écho au rapport Sauvé : " Tu le diras un jour " ... un poème encore et toujours de circonstance de Pierre
Ce poème a 18 ans et je l’ai déjà mis plusieurs fois. Il n’a - hélas ! - pas pris une ride.
Aujourd'hui, c'est la publication du rapport Sauvé qui me fais le remettre :
Pierre
Image du net modifiée par moi-même
.
Tu le diras un jour …
Neuf ans,
tu avais neuf ans.
Lui ? Quarante… à peu près.
Il t’en imposait
…il en imposait à tout le monde !
Il était l’autorité reconnue.
Reconnu de tous.
Ne pas lui obéir ? Personne n’osait !
Toi, plus que tout autre.
Toi le timide, le respectueux, le presque soumis.
Oh ! il avait soigneusement choisi !
Il avait de l’expérience: la science de l’infamie !
Des bruits avaient bien circulé …
mais il en circule tant… des bruits !
Et puis … si gentil, si près des enfants !
Lui, l’organisateur des veillées,
des ballades, des feux de camp,
des sorties, des colos,
des voyages en bateau
et toujours le bon mot !
Si serviable, si près des enfants …
Trop près !
Beaucoup trop près !
Avec ta naïveté et ta timidité,
tu n’avais rien vu venir.
Tu n’avais pas vu l’étau se resserrer,
l’étau dégoûtant de ses bras se resserrer !
Et … c’était arrivé.
Après … des promesses ! … des menaces !
Trois fois il a recommencé !
Puis il a vu - il a su ! - que tu allais craquer.
Alors, doucement, perfidement, il a battu en retraite.
Il a continué les promesses … les menaces
… beaucoup plus les menaces !
Mentalement, il t’a bâillonné,
il t’a mis dans sa nasse !
Comme d’autres … comme beaucoup d’autres !
Puis, le temps a passé mais … rien ne s’est effacé !
Image claire et nette dans ta mémoire
qui remonte certains soirs
… certains soirs un peu plus noirs.
Tout est près à resurgir ! Il suffirait d’un déclic,
d’un fait plus fort que les autres
… un procès ?
Une lecture sur le sujet ?
Une émission de télé ?
ou bien tout simplement … l’amour !
L’amour et toute la confiance en une femme,
pour qu’enfin tu parles, que tu dises,
que tu accuses le maudit, l’infâme !
Le calculateur !
Le manipulateur !
Le maître chanteur !
Le persécuteur !
L’abject prédateur !
Et d’autres suivront !
Oui ! D’autres suivront !
Et vous éviterez que nuise encore le scélérat
… l’ignoble ordure qui t’a fait ça !