Le poème du jour: "Les baveux" de ... Pierre
Préambule :
Du verbiage à la médisance il n’y a qu’un pas que certains franchissent allègrement histoire de continuer à clabauder. Je suis certain que ce sonnet-pamphlet augmenté vous rappellera quelques personnes dont vous avez connaissance et auxquelles cette épithète irait comme un gant !
Le proverbe de circonstance :
Verbiages et commérages sont les mamelles de la médisance.
Image du net
Les baveux,
Parler pour ne rien dire ou bien alors si peu
Voilà ce qui me fâche et me rend très acerbe
Multiplié par deux dans le vers et le verbe
Quand j’entends près de moi clabauder des baveux !
Ça dégoise à tout va, c’est du à qui mieux mieux,
Si ça ne suffit pas on force sur l’adverbe,
Au niveau du cancan ça frôle le superbe :
De futile au départ cela devient douteux !
Et puis on en rajoute à grand coup d’hypothèses,
Les langues comme fouet montent la mayonnaise :
L’amalgame devient vraiment diffamateur.
Je dénonce cela - je sais c’est casse-gueule ! -
pour une fois c’est moi qui serais délateur :
« Arrêtez les baveux, fermez enfin vos gueules ! »
Epilogue :
Voila c’est balancé j’arrête ma diatribe
Pour ne pas déraper comme les sus cités,
Mais je ne doute pas que je vais susciter
Une réprobation dont j’aurais quelques bribes !
Préambule :
Du verbiage à la médisance il n’y a qu’un pas que certains franchissent allègrement histoire de continuer à clabauder. Je suis certain que ce sonnet-pamphlet augmenté vous rappellera quelques personnes dont vous avez connaissance et auxquelles cette épithète irai comme un gant !
Le proverbe de circonstance :
Verbiages et commérages sont les mamelles de la médisance.
Image du net
Les baveux,
Parler pour ne rien dire ou bien alors si peu
Voilà ce qui me fâche et me rend très acerbe
Multiplié par deux dans le vers et le verbe
Quand j’entends près de moi clabauder des baveux !
Ça dégoise à tout va, c’est du à qui mieux mieux,
Si ça ne suffit pas on force sur l’adverbe,
Au niveau du cancan ça frôle le superbe :
De futile au départ cela devient douteux !
Et puis on en rajoute à grand coup d’hypothèses,
Les langues comme fouet montent la mayonnaise :
L’amalgame devient vraiment diffamateur.
Je dénonce cela - je sais c’est casse-gueule ! -
pour une fois c’est moi qui serais délateur :
« Arrêtez les baveux, fermez enfin vos gueules ! »
Epilogue :
Voila c’est balancé j’arrête ma diatribe
Pour ne pas déraper comme les sus cités,
Mais je ne doute pas que je vais susciter
Une réprobation dont j’aurais quelques bribes !
La fable du jour : " La petite chatte imprudente, " de ... Rotpier
Puisque nous sommes presque à la mi-août, je vous propose une histoire de chatte... en tout bien tout honneur, vous me connaissez !
Image du net
Fable à l’intention des jeunes chattes
ou … des jeunes filles !
La petite chatte imprudente,
Trois matous en goguette,
un tantinet voyous,
se rinçaient les mirettes
en matant les ébats fous
d’une jeune minette.
La jeune chatte,
un joli petit lot super bath,
jouait avec ses pattes,
les enroulant autour de son cou.
Du coup,
la belle, pourtant tout à fait innocente,
prenait des positions indécentes
qui émoustillaient
les matous voyous !
Trop occupée à ses galipettes,
notre jeune minette
vit trop tard le trio de fripons
qui la coinça dans un buisson !
Et, ce qui devait arriver arriva :
ils lui firent trois fois … le coup du chat !
Trois à l’envers, trois à l’endroit !
Moralité :
Une petite chatte
- encore plus si elle est bath ! -
doit bien surveiller ses gestes
pour ne pas finir
sous les reins lestes
des joyeux matous !
A retenir,
un point c’est tout !
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
.
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 2ème image : synonyme de car !
3ème ligne, 1ère image: quand son nez s'allonge, il " - - - - " ! ... quand c'est son zizi, on ne sait pas ... c'était juste une précision ! Dernière image : il parait qu'il est cocu le chef de ce lieu !
4ème ligne, 1ère image : un diagramme de "- - - " ... qui n'est pas fait pour les ânes ! 3ème image : ce n'est pas un garçon !
5ème ligne, 2ème image: 5 centimes d'euro, ce n'est pas grand chose mais un " - - - " c'est un " - - - " ! 3ème image : Eole est le dieu du " - - - - " comme le Rotpier est le dieu des rébus ... toute modestie mise à part ! Dernière image : un " - - - " de sable ou une femme laide !
6ème ligne: le personnage fait comme une petite statue de Bruxelles dans le quartier St Jacques !
7ème ligne, dernière image : c'est la marque du célèbre petit beurre qu'il faut retenir !
Dernière ligne, 1ère image : poisson plat ou ... tais-toi le Rotpier, ne sois pas mal embouché !
Bon, comme il est court, j'ai brodé un peu sur l'aide !
Et pis c'est tout !
J'espère que vous n'allez pas faire banquette !
Réponse :
Il paraît qu’à Aubusson, par manque de garçons, les filles font souvent tapisserie... sauf les plus délurées !
Qu'il dit l'animal !
Georges Moustaki et Barbara: " La longue dame brume " ... les chansons ou les musiques que j'aime ... Rotpier
" Barbara et Georges Moustaki"
"La longue dame brune"
Pour une longue dame brune, j'ai inventé
Une chanson au clair de la lune, quelques couplets.
Si jamais elle l'entend un jour, elle saura
Que c'est une chanson d'amour pour elle et moi.
Je suis la longue dame brune que tu attends.
Je suis la longue dame brune et je t'entends.
Chante encore au clair de la lune, je viens vers toi.
Ta guitare, orgue de fortune, guide mes pas.
Pierrot m'avait prêté sa plume ce matin-là.
A ma guitare de fortune j'ai pris le la.
Je me suis pris pour un poète en écrivant
Les mots qui passaient par ma tête comme le vent.
Pierrot t'avait prêté sa plume cette nuit-là.
A ta guitare de fortune, tu pris le la,
Et je t'ai pris pour un poète en écoutant
Les mots qui passaient par ta tête comme le vent.
J'ai habillé la dame brune dans mes pensées
D'un morceau de voile de brume et de rosée.
J'ai fait son lit contre ma peau pour qu'elle soit bien,
Bien à l'abri et bien au chaud contre mes mains.
Habillée de voile de brume et de rosée
Je suis la longue dame brune de ta pensée.
Chante encore au clair de la lune, je viens vers toi.
A travers les monts et les dunes, j'entends ta voix.
Pour une longue dame brune, j'ai inventé
Une chanson au clair de la lune, quelques couplets.
Je sais qu'elle l'entendra un jour, qui sait demain,
Pour que cette chanson d'amour finisse bien.
Bonjour, je suis la dame brune, j'ai tant marché.
Bonjour, je suis la dame brune, je t'ai trouvé.
Fais-moi place au creux de ton lit, je serai bien,
Bien au chaud et bien à l'abri contre tes reins.
Bon partage !
Rotpier
Grand angle sur le poème du jour : " Objectif : photos ! " de ... Pierre
.
Attention les amoureux ! En vacances, soyez discrets !
Ne bougez plus ......... clic clac !
Photo de Jean-François Simon
Objectif : photos !
Allez-y les mouflons ,
allez-y les linottes
Faites de jolis bonds,
lancez de belles notes !
Nous sommes à l’affût,
en ordre de bataille,
les diaphragmes tendus
et quelque soit la taille !
Protégés du soleil
nos objectifs espionnent,
tous les sens en éveil :
que la photo soit bonne !
Et vous les amoureux,
trouvez bonne cachette,
un cliché sulfureux
peut faire une manchette !
A moins qu’une photo
jamais ne vous dérange,
pour la bête à deux dos :
préférez une grange !
La légende du jour : "La sulfureuse légende de Verneiges" de ... Rotpier !
Localisation dans la Creuse
Localisation plus précise avec le nom de la petite rivière: la Verneigette
( Propice à un joli contrepet ... qui m'est venu spontanément ! )
Image du net
A Verneiges, charmant petit village au nord-est de la Creuse.
La sulfureuse légende de Verneiges
ou
Les propriétés cachées de la Verneigette
J’ai la faculté de percer
les anciens secrets des campagnes,
des bords de mer et des montagnes :
je me suis longtemps exercé.
Vous allez peut-être tiquer
mais il n’y a pas de mensonge,
tout cela relève du songe
… un songe assez alambiqué !
Il y a longtemps de cela
dans un village de la Creuse
une légende sulfureuse
se fabriqua et s’installa.
Il y avait une maison
où vivait une vieille femme
que l’on aurait jetée aux flammes
sans la moindre des oraisons !
Toutes les femmes alentour
médisaient d’elle après la messe,
sur les marchés et les kermesses
tenant de venimeux discours !
Accusée de jeter des sorts
alors qu’elle était guérisseuse
d’une maladie dite honteuse
qui s’attrapent lors des rapports.
C’était un modeste logis
à deux pas de la Verneigette,
petite rivière sujette
à sortir parfois de son lit.
Son eau claire avait le pouvoir
de soigner la blennorragie,
une très sale maladie
que l’on chope sans le savoir !
Bien d’autres noms lui sont donnés :
chaude lance, pécole ou chtouille,
mais c’est la même qui gratouille
tous ceux qui se font couillonner !
( Pour ménager les puritains
j’ai choisi une rime en « ouille »
sans « C » pour éviter la brouille :
je suis un sage c’est certain ! )
La vieille gardait le secret
car il assurait sa pitance,
tous ses moyens de subsistance
et aussi ses dons aux pauvrets.
Des bourgeois venaient de fort loin,
même des gens de la noblesse,
ce qui prouve que pour les fesses
les barrières n’existent point !
Et pour eux c’était le prix fort
leurs bourses étaient bien garnies
… pas celles là ! Je vous en prie !
Vous allez me causer grand tort !
Pour les pauvres c’était gratuit
ou alors quelques victuailles,
un lapin ou une volaille
ou tout simplement un merci !
Et la vieille ne chômait pas :
souvent il y avait la queue !
Ils avaient tous une peur bleue
de devenir tout raplapla !
Un rituel très bien rôdé :
dans une très grande cuvette
remplie d’eau de la Verneigette
le gars plongeait tout le paquet !
Avec le sablier en main
- surtout pas plus de trois minutes ! -
au son d’une petite flûte
la panoplie prenait son bain !
Ensuite essuyage au plumeau
accompagné d’une formule
que je vous livre sans scrupule :
je sais que vous n’en direz mot !
« Oh ! Toi l’eau de la Verneigette,
soigne celui qui a fauté,
qui par malheur s’est trop frotté
à une fille peu proprette !
Car :
« Trempette dans la Verneigette :
quand on ressort la - - - - - - - - - - - - ! »
( Deux consonnes à permuter
pour compléter ce bel adage
qui glissé dans un bavardage
déclenche un fou rire assuré !
Je vous laisse le déchiffrer,
c’est un contrepet très facile,
il n’est peut-être pas gracile
mais pas non plus des plus soufrés !
Très en avance sur son temps
elle avait, sans effronterie,
l’art de la contrepèterie
qui est souvent très percutant ! )
Vous avez tous les éléments
pour soigner une bonne chtouille
et si un copain se gratouille
aidez-le naturellement !
Une vigoureuse ablution
et c’est reparti de plus belle,
la médecine naturelle
est une bonne solution !
Pourquoi ne pas aller plus loin ?
Pensons à l’essor de la Creuse,
une bonne idée ça se creuse
et ça se peaufine avec soin !
Il se pourrait bien, pourquoi pas,
que les propriétés thermales
de la rivière sur les mâles
soient supérieures au Viagra ?
Verneiges-les-Bains sonne bien,
c’est un nom qui coule de source,
de quoi arrondir bien des bourses :
c’est l’avenir c’est certain !
Si jamais l’affaire se fait
n’oubliez pas mon pourcentage,
ce n’est pas du tout un chantage
mais j’ai horreur d’être refait !
J’avais un aïeul à Evaux
qui s’est fait avoir de première :
c’est lui qui a mis en lumière
les propriétés de ses eaux !
Il pensait se les faire en or
mais il était bien trop crédule
et fut la cible de crapules
qui l’ont roulé sans un remords !
Pour avoir l’exclusivité
de cette affaire très juteuse
- un nouvel élan pour la Creuse ! -
contactez-moi sans hésiter !
Pour l’heure je m’en vais tester
les données de mon hypothèse
et si j’en ressors très à l’aise
il sera temps de négocier !
Rotpier
Image du net
Image du net
A Verneiges, charmant petit village au nord-est de la Creuse.
La sulfureuse légende de Verneiges
ou
Les propriétés cachées de la Verneigette
J’ai la faculté de percer
les anciens secrets des campagnes,
des bords de mer et des montagnes :
je me suis longtemps exercé.
Vous allez peut-être tiquer
mais il n’y a pas de mensonge,
tout cela relève du songe
… un songe assez alambiqué !
Il y a longtemps de cela
dans un village de la Creuse
une légende sulfureuse
se fabriqua et s’installa.
Il y avait une maison
où vivait une vieille femme
que l’on aurait jetée aux flammes
sans la moindre des oraisons !
Toutes les femmes alentour
médisaient d’elle après la messe,
sur les marchés et les kermesses
tenant de venimeux discours !
Accusée de jeter des sorts
alors qu’elle était guérisseuse
d’une maladie dite honteuse
qui s’attrapent lors des rapports.
C’était un modeste logis
à deux pas de la Verneigette,
petite rivière sujette
à sortir parfois de son lit.
Son eau claire avait le pouvoir
de soigner la blennorragie,
une très sale maladie
que l’on chope sans le savoir !
Bien d’autres noms lui sont donnés :
chaude lance, pécole ou chtouille,
mais c’est la même qui gratouille
tous ceux qui se font couillonner !
( Pour ménager les puritains
j’ai choisi une rime en « ouille »
sans « C » pour éviter la brouille :
je suis un sage c’est certain ! )
La vieille gardait le secret
car il assurait sa pitance,
tous ses moyens de subsistance
et aussi ses dons aux pauvrets.
Des bourgeois venaient de fort loin,
même des gens de la noblesse,
ce qui prouve que pour les fesses
les barrières n’existent point !
Et pour eux c’était le prix fort
leurs bourses étaient bien garnies
… pas celles là ! Je vous en prie !
Vous allez me causer grand tort !
Pour les pauvres c’était gratuit
ou alors quelques victuailles,
un lapin ou une volaille
ou tout simplement un merci !
Et la vieille ne chômait pas :
souvent il y avait la queue !
Ils avaient tous une peur bleue
de devenir tout raplapla !
Un rituel très bien rôdé :
dans une très grande cuvette
remplie d’eau de la Verneigette
le gars plongeait tout le paquet !
Avec le sablier en main
- surtout pas plus de trois minutes ! -
au son d’une petite flûte
la panoplie prenait son bain !
Ensuite essuyage au plumeau
accompagné d’une formule
que je vous livre sans scrupule :
je sais que vous n’en direz mot !
« Oh ! Toi l’eau de la Verneigette,
soigne celui qui a fauté,
qui par malheur s’est trop frotté
à une fille peu proprette !
Car :
« Trempette dans la Verneigette :
quand on ressort la - - - - - - - - - - - - ! »
( Deux consonnes à permuter
pour compléter ce bel adage
qui glissé dans un bavardage
déclenche un fou rire assuré !
Je vous laisse le déchiffrer,
c’est un contrepet très facile,
il n’est peut-être pas gracile
mais pas non plus des plus soufrés !
Très en avance sur son temps
elle avait, sans effronterie,
l’art de la contrepèterie
qui est souvent très percutant ! )
Vous avez tous les éléments
pour soigner une bonne chtouille
et si un copain se gratouille
aidez-le naturellement !
Une vigoureuse ablution
et c’est reparti de plus belle,
la médecine naturelle
est une bonne solution !
Rébus : réponse au petit rébus dominical de ... Rotpier !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Réponse pour le rébus :
Je viens de la mettre sur le billet … « rébus » !
Bravo à ceux qui avaient trouvé !
Et pis c’est tout !
Rébus : Le petit arrêt rébus dominical de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 1ère image : c'est ce qui n'est pas grisé qu'il faut prendre... et pis c'est tout !
3ème ligne, dernière image: le serpent fait toujours "s" !
4ème ligne, 3ème image : la sale bête pique et ça fait mal !
Dernière ligne, derère image: 5 centimes d'euro, ce n'est pas grand chose mais un " - - - " c'est un " - - - " !
Si vous êtes en vacances, prenez le temps de planter votre tente avant de vous mettre au travail !
Et pis c'est tout !
Réponse :
A part en camping un homo passe plus de temps derrière sa tente que dessous !
Avec bien sûr un petit jeu de mots avec tente et tante !
Qu'il dit l'animal !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ?
Juste comme ça, pour se dégourdir
un peu les neurones !
Petite aide au rébus
(les champions s'en passeront !) :
2ème ligne, 1ère image : c'est ce qui n'est pas grisé qu'il faut prendre... et pis c'est tout !
3ème ligne, dernière image: le serpent fait toujours "s" !
4ème ligne, 3ème image : la sale bête pique et ça fait mal !
Dernière ligne, derère image: 5 centimes d'euro, ce n'est pas grand chose mais un " - - - " c'est un " - - - " !
Si vous êtes en vacances, prenez le temps de planter votre tente avant de vous mettre au travail !
Et pis c'est tout !
Qu'il dit l'animal !
Didier Barbelivien : "Elsa" ... ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
« Didier Barbelivien »
« Elsa »
La la lal la la lal la la lal la …