Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Le blog-notes poétique et autre de Rotpier

Le petit arrêt rebus de … Rotpier !

8 Février 2008 , Rédigé par Rotpier Publié dans #rotpier


 

Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !

 

 

 

rébus8

rébus 8 bis

 

Petite aide au rébus :

 

C’est une expression reprise par Michel Audiard pour le titre d’un de ses films. Je l’ai un peu déformée vers la fin ! ………….. Pour arriver à mes fins ! 

Je ne sais pas si c’est très fin ou si vous resterez sur votre faim en me faisant un compliment feint ?

 

Le perroquet se prénomme : Coco 

 

 

Bon travail !

 

 

Rotpier

Réponse :

 Il ne faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des connards dans les sondages!

 

 

 

Lire la suite

Le poème du jour : « Les couleurs de la vie » de … Rotpier

7 Février 2008 , Rédigé par Rotpier Publié dans #rotpier


 

Merci à Jean-François qui m’autorise à utiliser quelques unes de ses photos !

 

   J’avais écrit deux poèmes en m’appuyant sur un même cliché de Jean-François, un sombre et un,  plutôt optimiste.

 

Comme promis :

 

Je vous invite à découvrir ( ou à redécouvrir !) aujourd’hui le plus optimiste !

 

 

CI

 

Photo de Jean-François

 

 

Les couleurs de la vie,

 

L’homme était là, droit … immobile …

détaillant chaque ton … fragile

… encore … encore un peu.

Il avait, sous les yeux,

les couleurs traversées

cette dernière année.

 

De gauche à droite sur le cliché,

… il les revivait …une à une … intensément.

Le sombre … le plus que sombre,

cette poisse d’ombre

…désespérant.

 

Il était là … dans ce trou noir.

Il avait perdu tout espoir.

L’enfer ! Le fond ! La fin du rêve !

Et tous les jours … et pas de trêve !

Il n’y avait plus que le vide

… plus que le noir … livide.

Le temps passait … pas un éclair.

Pourtant il savait bien le clair !

Il l’avait connu … avec elle.

Oui ! Avec elle, la belle !

Et puis un jour … plus rien … partie !

Sans explications ! … La folie !

Le tunnel !  Le trou !  Le néant !

Des mois dans ce gouffre béant.

Des mois et des mois d’amertume :

le long deuil d’un amour posthume.

 

Pourtant …

 

Un matin, dans son vieux miroir,

il avait cru apercevoir

une lueur … fugitive.

Eclaicie toute relative :

du noir … moins noir … virant au gris.

Mais, vigilant même amaigri,

décochant des nuées de traits sombres,

le noir essayait le surnombre.

Malgré cela, il reculait.

Des escadrons, couleur de lait,

arrivaient à faire main-basse

sur les volumes de l’espace !

Le bleu avançait, impérial,

gommant tout souvenir glacial.

 

Ayant fini son balayage,

certain d’avoir tourné la page,

l’homme pivota et sourit.

Son regard accrocha  – surpris ! –

le fier profil d’une passante

d’une clarté éblouissante !

 

 

                                                           Pierre Dupuis

 

 

 
Lire la suite

Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier

6 Février 2008 , Rédigé par Rotpier Publié dans #rotpier


 

Une fois par semaine, je vous propose de partager les chansons et les artistes que j’aime !

 Clip vidéo et paroles

 

Cette fois-ci :

 

Mouloudji: Comme un petit coquelicot

 

Je l’ai choisie aussi pour le clip qui est superbe !

 

 

Cela ne va pas nous rajeunir énormément, mais tant pis !!!

 
 
 
 
 
 
Le myosotis, et puis la rose,
Ce sont des fleurs qui dis'nt quèqu' chose !
Mais pour aimer les coqu'licots
Et n'aimer qu'ça... faut être idiot !
T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà :
Quand j't'aurai dit, tu comprendras !
La premièr' fois que je l'ai vue,
Elle dormait, à moitié nue
Dans la lumière de l'été
Au beau milieu d'un champ de blé.
Et sous le corsag' blanc,
Là où battait son cœur,
Le soleil, gentiment,
Faisait vivre une fleur :
Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.

C'est très curieux comm' tes yeux brillent
En te rapp'lant la jolie fille !
Ils brill'nt si fort qu'c'est un peu trop
Pour expliquer... les coqu'licots !
T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà
Quand je l'ai prise dans mes bras,
Elle m'a donné son beau sourire,
Et puis après, sans rien nous dire,
Dans la lumière de l'été
On s'est aimé ! ... on s'est aimé !
Et j'ai tant appuyé
Mes lèvres sur son cœur,
Qu'à la plac' du baiser
Y avait comm' une fleur :
Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.

Ça n'est rien d'autr' qu'un'aventure
Ta p'tit' histoire, et je te jure
Qu'ell' ne mérit' pas un sanglot
Ni cett' passion... des coqu'licots !
Attends la fin ! tu comprendras :
Un autr' l'aimait qu'ell' n'aimait pas !
Et le lend'main, quand j'lai revue,
Elle dormait, à moitié nue,
Dans la lumière de l'été
Au beau milieu du champ de blé.
Mais, sur le corsag' blanc,
Juste à la plac' du cœur,
Y avait trois goutt's de sang
Qui faisaient comm' un' fleur :
Comm' un p'tit coqu'licot, mon âme !
Un tout p'tit coqu'licot.
 

 

 

 

Bon partage !

 

Rotpier

 
Lire la suite

Le poème du jour : « Les couleurs de la vie » de … Rotpier

5 Février 2008 , Rédigé par Rotpier Publié dans #rotpier



 

Merci à Jean-François qui m’autorise à utiliser quelques une de ses photos !

 

J’avais écrit deux poèmes en m’appuyant sur un même cliché, un sombre et un,  plutôt optimiste.

Je vous invite à découvrir ( ou à redécouvrir !) aujourd’hui le sombre, demain ou après demain, je vous mettrais l’autre !

 

 

CI

 

            Photo de Jean-François

 

 

Les couleurs de la vie,

 

Là, sous nos yeux … la vie ! Toute la vie.

Ses couleurs, ses tons … des tons à l’envie.

Clairs au début mais … déjà perturbés.

Le socle et la base … déjà plombés.

On avance et … la lumière s’estompe.

On fait un vœu, on croit, mais … on se trompe !

Et, l’irréductible avance du temps

nous entraîne vers les tons rebutants.

D’ abord, quelques traits décochés … sombres,

avant-garde des bataillons de l’ombre.

Vaincu, le bleu cède la place et meurt.

Le gris, plus gris, se renforce et s’étale.

Encore quelques lueurs qu’il avale …

et puis … il passe un pacte avec le noir

… son maître … inexorable laminoir !

 

Plus de lueurs,

toutes les peurs

et … le trou noir.

 

                                                            Pierre Dupuis

 

 

Lire la suite

Le dicton du jour et ceux des jours suivants … selon Rotpier !

4 Février 2008 , Rédigé par Rotpier Publié dans #rotpier


 

Le dicton du jour et ceux des jours suivants …  selon Rotpier !

 

 

Les dictons de la  semaine … selon Rotpier !

 

Un petit jeu de mot, une petite bêtise ou …. une grosse,

un personnage caché ou bien toute autre chose : juste pour vous faire sourire !  Enfin, je l’espère !

 

 

Bonne fête

 

Bonne fête à tous les saints de la semaine !

 
 
 

A la Sainte Véronique,

que l'on soit bien d’accord :

les « Véro » font ce qu’elles veulent

de leur corps !

Elles peuvent faire la nique

… plus ou moins fort !

 

 

Mardi-gras fait rêver les maigres

et grossir les gras !

 

 

 

Une Véronique allumée

le lundi,

ne sera plus que Cendres le mercredi !

A moins … à moins

que le feu ne reprenne

jusqu’au Carême !

Il suffit pour cet adage,

qu’elle ait un gros tirage !

 

 

A la Sainte Eugénie,

même les crétins ont du génie !

Et … le Rotpier s’en réjouit !

 

 

A la Sainte Jaqueline :

baratine !

Si tu t’y prends bien,

tu peux avoir aussi le lendemain

une Apolline !

Et, là, ce serait le carton plein !

 

 

PS :  Je connais une Apolline qui habite à Paris.

La pauvre n’a plus toute sa tête et, souvent, on la voit, l’air égaré, du coté du pont Mirabeau, là où coule la seine … Apolline erre.

 

 

Du coté de l’Elysée, c’est le petit Nicolas qui dit :

 

Viens ma Bruni, quand sonne l’heure,

je veux que dans mon lit tu demeures !

 

 

Mais, là, c’est une autre histoire ! Et cela fera partie maintenant de l’Histoire de France !

 

 

 

Et pis c’est tout !

Rotpier

Lire la suite

Car la nouvelle est tombée ( dans les bras du Président : ça, ce n’est pas d’hier ! ) : allez, lisez ! de … Rotpier

3 Février 2008 , Rédigé par Rotpier Publié dans #rotpier


 

French cancans : la revue de presse du Rotpier !

 

 

French cancan

 

 

 

 

Le non-scoop du jour :

 

Quelqu’un m’a dit …

 

La France avance !

C’est super ! C’est au poil !

 

Nous avons la chance

d’avoir la première Dame de France

qui ait posé à poil !

 

La France avance !

C’est super ! C’est au poil !

Mais …

l’économie en souffrance

risque aussi de laisser aussi

...  bien des français … à poil !

 

 

 

Et pis c’est tout pour aujourd’hui !

 

Rotpier

 
Lire la suite

Société Générale : la pensée du jour de … Rotpier !

2 Février 2008 , Rédigé par Rotpier Publié dans #rotpier


 

Jamais deux sans trois:    la pensée du jour de … Rotpier !

 

Grosse zone d’ombre à la Société Générale : les actionnaires se sont posé la question : Est-ce qu’en enfonçant Bouton, la lumière jaillira ?

Ils ont pensé que non, alors, ils l’ont reconduit !

 

 

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

Lire la suite

Les pensées du jour de… Rotpier !

2 Février 2008 , Rédigé par Rotpier Publié dans #rotpier


 

Deux p’tites pensées pour les internautes que nous sommes :

 

1ère pensée :

 Internaute ou pas, quand la vieillesse arrivera, notre mémoire risque dur d’être formatée !

 

2ème pensée :

 Quand je reçois des mèls qui, par trop, me chagrinent, je les colle d’un clic de souris dans ma boite de déception !

 Quand elle est pleine, je les mets à la poubelle en prenant bien garde que les plus visqueux ne restent pas collés au fond !

  

Et pis c’est tout !

 

Rotpier

Lire la suite

Cette fillette, on peut la retrouver dans beaucoup d'endroits dans le monde: le poème du jour: "Regard " de ... Rotpier

1 Février 2008 , Rédigé par Rotpier Publié dans #rotpier


 
Il est des souvenirs, non vécus, plus forts que ceux de nos propres expériences.
Je cherche à savoir pourquoi mais ne m’en étonne pas : c’est un grand privilège.

 

 

 

 

                                                                           Image pour regard

                                                                            Photo-montage Pierre

 

 

 

Regard 

ou 

Enfance en décombre,

 

 

Elle ne pleurait même pas.

Il y avait dans ses yeux mouillants

- d’une rare amplitude -

de l’hébétude

et des reflets de feu dansants.

Sous le coton frémissant,

tout son être tremblait.

 

Elle était,

bouche ouverte et muette,

une main tordant l’une de ses tresses,

l’image même de la détresse.

 

Elle devait avoir six ans.

 

Elle tourna la tête vers moi,

mais … ne me vit pas.

 

Je ne sus que dire,

je ne sus que faire

à  part maudire,

maudire toutes les guerres !

 

                                                                                       Pierre Dupuis

 

 

 

 

Déjà publié mais ,hélas, toujours d'actualité.

Lire la suite
<< < 1 2 3