Le petit arrêt rebus de … Rotpier !
Et si l’on faisait un petit arrêt rébus ? … Juste comme ça, pour se dégourdir un peu les neurones !
Petite aide au rébus :
C’est une expression reprise par Michel Audiard pour le titre d’un de ses films. Je l’ai un peu déformée vers la fin ! ………….. Pour arriver à mes fins !
Je ne sais pas si c’est très fin ou si vous resterez sur votre faim en me faisant un compliment feint ?
Le perroquet se prénomme : Coco
Bon travail !
Rotpier
Réponse :
Il ne faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des connards dans les sondages!
Le poème du jour : « Les couleurs de la vie » de … Rotpier
Merci à Jean-François qui m’autorise à utiliser quelques unes de ses photos !
J’avais écrit deux poèmes en m’appuyant sur un même cliché de Jean-François, un sombre et un, plutôt optimiste.
Comme promis :
Je vous invite à découvrir ( ou à redécouvrir !) aujourd’hui le plus optimiste !
Photo de Jean-François
Les couleurs de la vie,
L’homme était là, droit … immobile …
détaillant chaque ton … fragile
… encore … encore un peu.
Il avait, sous les yeux,
les couleurs traversées
cette dernière année.
De gauche à droite sur le cliché,
… il les revivait …une à une … intensément.
Le sombre … le plus que sombre,
cette poisse d’ombre
…désespérant.
Il était là … dans ce trou noir.
Il avait perdu tout espoir.
L’enfer ! Le fond ! La fin du rêve !
Et tous les jours … et pas de trêve !
Il n’y avait plus que le vide
… plus que le noir … livide.
Le temps passait … pas un éclair.
Pourtant il savait bien le clair !
Il l’avait connu … avec elle.
Oui ! Avec elle, la belle !
Et puis un jour … plus rien … partie !
Sans explications ! … La folie !
Le tunnel ! Le trou ! Le néant !
Des mois dans ce gouffre béant.
Des mois et des mois d’amertume :
le long deuil d’un amour posthume.
Pourtant …
Un matin, dans son vieux miroir,
il avait cru apercevoir
une lueur … fugitive.
Eclaicie toute relative :
du noir … moins noir … virant au gris.
Mais, vigilant même amaigri,
décochant des nuées de traits sombres,
le noir essayait le surnombre.
Malgré cela, il reculait.
Des escadrons, couleur de lait,
arrivaient à faire main-basse
sur les volumes de l’espace !
Le bleu avançait, impérial,
gommant tout souvenir glacial.
Ayant fini son balayage,
certain d’avoir tourné la page,
l’homme pivota et sourit.
Son regard accrocha – surpris ! –
le fier profil d’une passante
d’une clarté éblouissante !
Pierre Dupuis
Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
Une fois par semaine, je vous propose de partager les chansons et les artistes que j’aime !
Clip vidéo et paroles
Cette fois-ci :
Mouloudji: Comme un petit coquelicot
Je l’ai choisie aussi pour le clip qui est superbe !
Cela ne va pas nous rajeunir énormément, mais tant pis !!!
Ce sont des fleurs qui dis'nt quèqu' chose !
Mais pour aimer les coqu'licots
Et n'aimer qu'ça... faut être idiot !
T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà :
Quand j't'aurai dit, tu comprendras !
La premièr' fois que je l'ai vue,
Elle dormait, à moitié nue
Dans la lumière de l'été
Au beau milieu d'un champ de blé.
Et sous le corsag' blanc,
Là où battait son cœur,
Le soleil, gentiment,
Faisait vivre une fleur :
Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.
C'est très curieux comm' tes yeux brillent
En te rapp'lant la jolie fille !
Ils brill'nt si fort qu'c'est un peu trop
Pour expliquer... les coqu'licots !
T'as p't'êtr' raison ! seul'ment voilà
Quand je l'ai prise dans mes bras,
Elle m'a donné son beau sourire,
Et puis après, sans rien nous dire,
Dans la lumière de l'été
On s'est aimé ! ... on s'est aimé !
Et j'ai tant appuyé
Mes lèvres sur son cœur,
Qu'à la plac' du baiser
Y avait comm' une fleur :
Comme un p'tit coqu'licot, mon âme !
Comme un p'tit coqu'licot.
Ça n'est rien d'autr' qu'un'aventure
Ta p'tit' histoire, et je te jure
Qu'ell' ne mérit' pas un sanglot
Ni cett' passion... des coqu'licots !
Attends la fin ! tu comprendras :
Un autr' l'aimait qu'ell' n'aimait pas !
Et le lend'main, quand j'lai revue,
Elle dormait, à moitié nue,
Dans la lumière de l'été
Au beau milieu du champ de blé.
Mais, sur le corsag' blanc,
Juste à la plac' du cœur,
Y avait trois goutt's de sang
Qui faisaient comm' un' fleur :
Comm' un p'tit coqu'licot, mon âme !
Un tout p'tit coqu'licot.
Bon partage !
Rotpier
Le poème du jour : « Les couleurs de la vie » de … Rotpier
Merci à Jean-François qui m’autorise à utiliser quelques une de ses photos !
J’avais écrit deux poèmes en m’appuyant sur un même cliché, un sombre et un, plutôt optimiste.
Je vous invite à découvrir ( ou à redécouvrir !) aujourd’hui le sombre, demain ou après demain, je vous mettrais l’autre !
Photo de Jean-François
Les couleurs de la vie,
Là, sous nos yeux … la vie ! Toute la vie.
Ses couleurs, ses tons … des tons à l’envie.
Clairs au début mais … déjà perturbés.
Le socle et la base … déjà plombés.
On avance et … la lumière s’estompe.
On fait un vœu, on croit, mais … on se trompe !
Et, l’irréductible avance du temps
nous entraîne vers les tons rebutants.
D’ abord, quelques traits décochés … sombres,
avant-garde des bataillons de l’ombre.
Vaincu, le bleu cède la place et meurt.
Le gris, plus gris, se renforce et s’étale.
Encore quelques lueurs qu’il avale …
et puis … il passe un pacte avec le noir
… son maître … inexorable laminoir !
Plus de lueurs,
toutes les peurs
et … le trou noir.
Pierre Dupuis
Le dicton du jour et ceux des jours suivants … selon Rotpier !
Le dicton du jour et ceux des jours suivants … selon Rotpier !
Les dictons de la semaine … selon Rotpier !
Un petit jeu de mot, une petite bêtise ou …. une grosse,
un personnage caché ou bien toute autre chose : juste pour vous faire sourire ! Enfin, je l’espère !
Bonne fête à tous les saints de la semaine !
A la Sainte Véronique,
que l'on soit bien d’accord :
les « Véro » font ce qu’elles veulent
de leur corps !
Elles peuvent faire la nique
… plus ou moins fort !
Mardi-gras fait rêver les maigres
et grossir les gras !
Une Véronique allumée
le lundi,
ne sera plus que Cendres le mercredi !
A moins … à moins
que le feu ne reprenne
jusqu’au Carême !
Il suffit pour cet adage,
qu’elle ait un gros tirage !
A la Sainte Eugénie,
même les crétins ont du génie !
Et … le Rotpier s’en réjouit !
A la Sainte Jaqueline :
baratine !
Si tu t’y prends bien,
tu peux avoir aussi le lendemain
une Apolline !
Et, là, ce serait le carton plein !
PS : Je connais une Apolline qui habite à Paris.
La pauvre n’a plus toute sa tête et, souvent, on la voit, l’air égaré, du coté du pont Mirabeau, là où coule la seine … Apolline erre.
Du coté de l’Elysée, c’est le petit Nicolas qui dit :
Viens ma Bruni, quand sonne l’heure,
je veux que dans mon lit tu demeures !
Mais, là, c’est une autre histoire ! Et cela fera partie maintenant de l’Histoire de France !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Car la nouvelle est tombée ( dans les bras du Président : ça, ce n’est pas d’hier ! ) : allez, lisez ! de … Rotpier
French cancans : la revue de presse du Rotpier !
Le non-scoop du jour :
Quelqu’un m’a dit …
La France avance !
C’est super ! C’est au poil !
Nous avons la chance
d’avoir la première Dame de France
qui ait posé à poil !
La France avance !
C’est super ! C’est au poil !
Mais …
l’économie en souffrance
risque aussi de laisser aussi
... bien des français … à poil !
Et pis c’est tout pour aujourd’hui !
Rotpier
Société Générale : la pensée du jour de … Rotpier !
Jamais deux sans trois: la pensée du jour de … Rotpier !
Grosse zone d’ombre à la Société Générale : les actionnaires se sont posé la question : Est-ce qu’en enfonçant Bouton, la lumière jaillira ?
Ils ont pensé que non, alors, ils l’ont reconduit !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Les pensées du jour de… Rotpier !
Deux p’tites pensées pour les internautes que nous sommes :
1ère pensée :
Internaute ou pas, quand la vieillesse arrivera, notre mémoire risque dur d’être formatée !
2ème pensée :
Quand je reçois des mèls qui, par trop, me chagrinent, je les colle d’un clic de souris dans ma boite de déception !
Quand elle est pleine, je les mets à la poubelle en prenant bien garde que les plus visqueux ne restent pas collés au fond !
Et pis c’est tout !
Rotpier
Cette fillette, on peut la retrouver dans beaucoup d'endroits dans le monde: le poème du jour: "Regard " de ... Rotpier
Photo-montage Pierre
Regard
ou
Enfance en décombre,
Elle ne pleurait même pas.
Il y avait dans ses yeux mouillants
- d’une rare amplitude -
de l’hébétude
et des reflets de feu dansants.
Sous le coton frémissant,
tout son être tremblait.
Elle était,
bouche ouverte et muette,
une main tordant l’une de ses tresses,
l’image même de la détresse.
Elle devait avoir six ans.
Elle tourna la tête vers moi,
mais … ne me vit pas.
Je ne sus que dire,
je ne sus que faire
à part maudire,
maudire toutes les guerres !
Pierre Dupuis
Déjà publié mais ,hélas, toujours d'actualité.