Jean Ferrat : « Les nomades » ... Les chansons ou les musiques que j’aime … de Rotpier
11 Avril 2015 , Rédigé par Rotpier Publié dans #les chansons et les musiques que j'aime
« Jean Ferrat »
« Les nomades »
Allez, on part sur les routes !
Les Nomades
Ils sont nés près de Barcelone
Ils ont grandi en Australie
Ils se sont aimés à Paris
Mais ils s'en vont encore d'ici
Les Nomades
Ils ont habité la roulotte
Les quatre planches qui cahotent
De Saint-Ouen aux Saintes-Maries
Mais ils s'en vont encore d'ici
Les Nomades
Ni la couronne d'oranger
Ni la cheminée de faux marbre
Ne leur mettent racine au pied
Ils ne sont pas comme les arbres
Les Nomades
Ils vont toujours de ville en plaine
Il n'y a rien qui les retienne
Eux c'est la route qui les mène
En dimanche comme en semaine
Les Nomades
Ils ont eu froid comme personne
Ils ont chanté mieux que nous tous
Mais c'est la route qui les pousse
Avec des fifres à leurs trousses
Les Nomades
Qu'ils soient venus du fond des âges
Tous les gitans, tous les tziganes
Un violon leur a brisé l'âme
Ils en gardent parfois des larmes
Les Nomades
Ni la peur de mourir un jour
Dans quelque ville frontalière
Sans tenir la main d'un amour
Ne les arrête sur la terre
Les Nomades
Et quand on voit sous les platanes
Passer les mulets et les ânes
On a beau être des profanes
On voudrait suivre la caravane
Des Nomades
Bon partage
Rotpier
Les Nomades
Ils sont nés près de Barcelone
Ils ont grandi en Australie
Ils se sont aimés à Paris
Mais ils s'en vont encore d'ici
Les Nomades
Ils ont habité la roulotte
Les quatre planches qui cahotent
De Saint-Ouen aux Saintes-Maries
Mais ils s'en vont encore d'ici
Les Nomades
Ni la couronne d'oranger
Ni la cheminée de faux marbre
Ne leur mettent racine au pied
Ils ne sont pas comme les arbres
Les Nomades
Ils vont toujours de ville en plaine
Il n'y a rien qui les retienne
Eux c'est la route qui les mène
En dimanche comme en semaine
Les Nomades
Ils ont eu froid comme personne
Ils ont chanté mieux que nous tous
Mais c'est la route qui les pousse
Avec des fifres à leurs trousses
Les Nomades
Qu'ils soient venus du fond des âges
Tous les gitans, tous les tziganes
Un violon leur a brisé l'âme
Ils en gardent parfois des larmes
Les Nomades
Ni la peur de mourir un jour
Dans quelque ville frontalière
Sans tenir la main d'un amour
Ne les arrête sur la terre
Les Nomades
Et quand on voit sous les platanes
Passer les mulets et les ânes
On a beau être des profanes
On voudrait suivre la caravane
Des Nomades
Bon partage
Rotpier
Bonjour et bienvenue sur ce blog où vous trouverez, pêle-mêle poésie classique, libre, sérieuse, moins sérieuse ou encore … moins sérieuse ! Ma devise : « Enfermez la poésie dans un genre et elle s’étiole » Vous y trouverez aussi des pensées de toutes sortes, des rébus, des chansons que j’aime (clip et paroles) et encore plein d’autres choses frôlant parfois le délire ! Rotpier
Newsletter
Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés.
Catégories
- 1213 Rébus
- 1165 Humour
- 889 Pensées
- 791 Poésie
- 560 rotpier
- 362 Poésie - humour
- 270 Pensées et humour
- 261 Musiques et chansons que j'aime
- 246 les chansons et les musiques que j'aime
- 140 Les chouettes Chouettes du Rotpier
- 132 L'actualité vue par le Rotpier
- 97 Politique
- 85 Fable
- 69 Billet d'humeur
- 56 La mythologie selon Rotpier
- 51 Les dictons
- 50 Conneries,
- 44 Poésie, Humour
- 43 Pastiche de chanson
- 32 Divers
- 18 Chansons que j'aime
- 16 Haïkus
- 11 humour
- 9 Morale
- 5 Question pour un champion
- 5 Souvenirs
- 3 Les pensées détournées
- 2 Travail du bois
- 1 Bricolage ferronnerie
- 1 Passions
- 1 Père Noël